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- Après-match
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- Par marc
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Un peu plus de 11 000 spectateurs ont assisté à la remontée inespérée de deux buts du Racing. Entre sifflets et soulagements, les tribunes n'ont pas livré un grand match hier.
Tout a commencé par une gerbe déposée par José Cobos et Olivier Echouafni aux pieds du Quart de virage nord Ouest en la mémoire de Jacqueline, disparue en octobre dernier. Beau geste des deux anciens Strasbourgeois qui n'ont pas oublié la fidélité et l'amour que vouait au Racing cette supportrice au grand coeur.
Mis à part ça, c'est un match plutôt classique qui a eu lieu hier soir même s'il s'est avéré attrayant avec une équipe de Nice recroquevillée en défense et un Racing qui tente de jouer son jeu. Cependant, rien de réellement marquant n'a eu lieu dans les tribunes si ce n'est peut être les sifflets adressés à l'encontre de Mikael Dorsin lors de l'annonce de la composition du Racing par le speaker de la Meinau. Décidément, le public alsacien est rancunier et n'oubliera pas tout de suite les errements du jeune Suédois lors du derby face à Sochaux.
Côté ambiance, si le public s'est montré timide pendant toute une partie du match, il s'est réveillé sur la réduction du score de Le Pen et a réellement explosé sur l'égalisation du même Le Pen. Le Kop a alors servi de guide et le match se termina dans une très bonne ambiance. On notera tout de même que les spectateurs n'ont pas hésité à siffler leurs protégés à la moindre passe ratée alors que le score était encore de 0 à 0. Les sifflets ont également jailli des tribunes sur le coup de sifflet de l'arbitre annonçant la mi-temps. A la fin du match, la déception envahit les esprits tant le Racing semblait capable de mettre un troisième but synonyme de victoire. Les habituels Drobny et Ehret viennent saluer longuement le Kop suivis par un José Cobos ovationné comme il se doit.
Cobos a d'ailleurs pu compter sur le soutien de supporters niçois (une trentaine, la majorité venant de Paris), sérieusement encadrés par les forces de l'ordre.
Ce match face à Nice a aussi marqué le lancement de la nouvelle politique tarifaire de Seven Squares, le « vendeur de saucisses » de la Meinau, à l'attention des abonnés et des membres des associations de supporters. Plus adaptés aux portefeuilles des supporters, ces tarifs ont été bien accueillis par l'ensemble des intéressés même s'il reste encore de nombreuses personnes qui ont abandonné les baraques à frites de la Meinau depuis le départ de la société Ritter et l'ouverture d'un Mac Donald's aux abords du Stade.
Mis à part ça, c'est un match plutôt classique qui a eu lieu hier soir même s'il s'est avéré attrayant avec une équipe de Nice recroquevillée en défense et un Racing qui tente de jouer son jeu. Cependant, rien de réellement marquant n'a eu lieu dans les tribunes si ce n'est peut être les sifflets adressés à l'encontre de Mikael Dorsin lors de l'annonce de la composition du Racing par le speaker de la Meinau. Décidément, le public alsacien est rancunier et n'oubliera pas tout de suite les errements du jeune Suédois lors du derby face à Sochaux.
Côté ambiance, si le public s'est montré timide pendant toute une partie du match, il s'est réveillé sur la réduction du score de Le Pen et a réellement explosé sur l'égalisation du même Le Pen. Le Kop a alors servi de guide et le match se termina dans une très bonne ambiance. On notera tout de même que les spectateurs n'ont pas hésité à siffler leurs protégés à la moindre passe ratée alors que le score était encore de 0 à 0. Les sifflets ont également jailli des tribunes sur le coup de sifflet de l'arbitre annonçant la mi-temps. A la fin du match, la déception envahit les esprits tant le Racing semblait capable de mettre un troisième but synonyme de victoire. Les habituels Drobny et Ehret viennent saluer longuement le Kop suivis par un José Cobos ovationné comme il se doit.
Cobos a d'ailleurs pu compter sur le soutien de supporters niçois (une trentaine, la majorité venant de Paris), sérieusement encadrés par les forces de l'ordre.
Ce match face à Nice a aussi marqué le lancement de la nouvelle politique tarifaire de Seven Squares, le « vendeur de saucisses » de la Meinau, à l'attention des abonnés et des membres des associations de supporters. Plus adaptés aux portefeuilles des supporters, ces tarifs ont été bien accueillis par l'ensemble des intéressés même s'il reste encore de nombreuses personnes qui ont abandonné les baraques à frites de la Meinau depuis le départ de la société Ritter et l'ouverture d'un Mac Donald's aux abords du Stade.
