Parlons des autres Bleus (Equipe de France)
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shmoldruktIls jouent quasiment tous en Ukraine, dans les clubs principaux comme le Shaktar, le Metalist ou le Dynamo. Donc ils sont habitués à évoluer ensemble et à avoir beaucoup d'automatismes. Un bon petit match du collectif contre le "talent", ça va être très intéressant. -
C'est vraiment une bande de zouaves.. ils sont connus ces joueurs, ils jouent soit à Donetsk, soit Kiev, soit Karkhov.
Ils jouent la CL ou l'EL donc dire qu'ils sont inconnus.....
Cette équipe est dangereuse l'angleterre n'a pas réussi à les battre et ils ont bien plus de points que nous dans leur poule même si leur poule était peut être moins impressionnante.... -
En novembre à Kiev, les projecteurs sont les meilleurs alliés des Ukrainiens :-B
Attention spoiler - cliquez pour afficher -
L'Ukraine qui a accroché par deux fois l'Angleterre en phase de poules et qui ne finit qu'à un petit point des Rosbeefs (en battant 2 fois la Pologne aussi). Faudra s'en méfier même si individuellement c'est moins fort, ils ont un collectif supérieur au notre (l'avantage d'avoir des joueurs évoluant ensemble en club ou dans le même championnat).
L'Ukraine nous réussit plutôt bien avec un jeu solide mais pas vraiment surprenant. Ca doit passer... -
J'aurais préféré le portugal. Au moins contre eux c'était pas difficile de motivé les glandeurs.
Là ils vont se la péter et trouver moyen de perdre.
Pour moi c'est l'un des pires tirages parce qu'ils sont favoris. On a déjà eu du mal contre des bielorusses qui sont pourtant mille fois moins bons qu'eux.
Quand à la qualité... ma fois je crains que les joueurs de l'est n'aient pas grand chose à envier aux nôtres. -
conan a écrit, le 2013-10-21 11:06:06 : dolores a écrit, le 2013-10-20 20:44:25 : Après avoir vu l'interview "intégrale" (censurée sans doute des propos sur le physique de Menes entre autres), il faut quand même avouer que evra c'est une belle cible facile. Le journaliste à bien mené son interview jusqu'à ce que Mr Moi-Je soit bien chaud est explose tout seul.
Pas très honnête comme procédé, mais le résultat est là.
Affaire sans doute mal venue, amenée par des gens peu scrupuleux (on me rétorquera qu'ils ne font que le job, soit remuer la merde dans ce cas précis), et qui doit aboutir sur des sanctions parce que les propos ont bien étés tenus.
Mouais, je ne vois pas trop ce qu'il y avait de vicieux dans les questions du journalistes. Ce n'était certes pas du Sophie Thalman, mais ce n'était pas non plus un odieux traquenard. Mais Evra n'en est pas a son coup d'essai, j'attends toujours pour ma part les révélations fracassantes qu'il avait à nous faire à son retour d'Afrique du Sud et les résultats des ses fines investigations concernant la chasse à la taupe...
Il y a surtout un décalage énorme entre un Evra qui se perçoit comme le meilleur latéral et la manière dont le voit le public Français. Faut dire qu'il a été énorme à Manchester et qu'en équipe de France, d'un point de vue strictement sportif, il n'a jamais cassé de briques.
Autre élément frappant qui montre que lui (et beaucoup de ses équipiers) vivent vraiment dans leur monde, sa méconnaissance de l'histoire de son sport et son irrespect des anciens: Lizarazu a peut être le melon et est peut être un sale con arrogant, mais il est champion du monde, d'Europe et avait 10 Evra dans chaque chaussure. Et faudrait lui faire des séances de visionnage de l'Euro 84 et France-Brésil 86 pour lui expliquer qui était Luis Fernandez.
Enfin, sa minimisation de Knysna est juste catastrophique. Le gars 3 ans après ne se rend toujours pas compte de l'impact que ca a eu et n'a même pas le sentiment d'avoir souillé le maillot de l'équipe de France. Aucune remise en question de sa part alors qu'on peut se poser la question si, légitimement, il devait revenir un jour ou non en edf...
Et le tout exprimé dans un Français lamentable. Au moins s'il avait le charisme d'un Cantona, ca pourrait être drôle, mais là...
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Bref, selon moi, le plus gros suicide médiatique depuis Chantal Goya chez Sabatier.
Donc Evra est un simplet qui a réussi sa carrière en club et qui se prend pour ce qu'il n'est pas. Ce serait drôle si il ne portait pas le maillot de l'équipe de France. -
Evra c'est une machine à débiter des conneries, tout le monde le sait et surtout dans le milieu journalistique.
Lui tendre un micro c'est déjà être complice du tumulte que ses déclarations causent. -
mouloungoal a écrit, le 2013-10-21 14:31:22 : Mi-novembre il peut déjà faire -10°C à Kiev, va falloir se méfier! L'Irlande aussi c'était du tout cuit...
Ben oui mais justement, on a passé l'Irlande les mains dans les poches. :D -
Justement non, la main n'était pas vraiment dans la poche :p
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La France va facilement se qualifier d'après Patrice EVRA, " Oleg Goussev et Andrei Voronine sont des clochards qui savent même pas faire de jonglages, pour nous c'est plié ! "
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Facile pour la France , match nul a aller et 3 - 0 a Paris sans même forcé
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Bon honnêtement ce n'est pas une très bonne équipe, en dehors de leurs ailiers Konoplyanka et Yarmolenko qui peuvent mettre le feu, le reste est assez limité.
Ils possèdent une tripotée de joueurs combatifs et accrocheurs, Chigrinsky, Stepanenko, Rakitsky, Khacheridi ou Garmash, mais ils n'ont plus d'attaquants de pointe, Milevsky est passé à côté de sa carrière, Bezus est inexpérimenté, et il reste Seleznov et Devic qui ne sont pas sensationnels.
En toute logique, ça doit passer, même si ce ne sera pas simple. -
On ne vas pas se plaindre du tirage...
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Non on va pas pleurer
Si on passe pas on a rien à faire au Bresil! -
androsz a écrit, le 2013-10-21 18:09:20 :
En toute logique, ça doit passer, même si ce ne sera pas simple.
Sur le papier, on est au-dessus oui.
Certains me diront : "comme Israel en 1993 ou le Sénégal en 2002". -
Ou la Grèce en 2004 ou l'Italie en 2008 ou l'AFS en 2010 ou ...
Rigolo ce jeu :)
Après ce barrage, ça reste un bon tirage et une bonne opportunité de construire un groupe soudé pour le Mondial. -
Grèce- Italie - Afrique du Sud - Sénégal - Israël
Attention, un intrus quadruple champion du monde s'est glissé parmi ces équipes de foot moyennes, sauras tu le retrouver ? -
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La contre-attaque suicide de Patrice Évra
Par une amusante ironie, le week-end avait commencé avec un dossier de L'Équipe Mag sur la gestion de la communication des sportifs par des consultants et agences spécialisés, illustrant à la fois les contraintes et les risques pesant sur cette communication ainsi que le contrôle exercé sur elle. Un tableau assez déprimant, celui du calcul permanent interdisant finalement toute sincérité de la parole. Patrice Évra, avec une interview diffusée par Téléfoot dimanche, a dynamité le ronronnement reproché au discours des joueurs en fustigeant certains consultants [1] auxquels il reproche (non sans raison) leur acharnement contre lui... déclenchant ainsi une nouvelle tornade.
Attaquer le consultanat français est pourtant une mission de salubrité publique, tant ses principaux représentants sont les acteurs d'une vision étroite du football, d'un journalisme de déblatération qui ne sert qu'eux-mêmes: versatilité éhontée, copinage et connivences à peine masquées, déférence envers les forts et virulence avec les faibles, hypertrophies de l'ego, haine démagogique des arbitres et ignorance des règles, culture tactique minimale, mépris des supporters, flemme intellectuelle, omniscience... Le problème est que Patrice Évra n'était ni le plus légitime, ni le plus habile pour mener cette initiative, et qu'il va la payer au prix fort.
EXEMPLARITÉ À SENS UNIQUE
La version longue de cet entretien est pourtant assez éclairante, et invite à pondérer le "scandale". Le joueur passe son temps à se défendre des points de controverse sur lesquelles le journaliste le sollicite. Au début de l'interview, les relances semblent sensées, mais l'insistance mise à le faire se justifier de son "image" rend palpable la montée de son énervement. Passée une douzaine de minutes, il lâche: "Vous voulez me faire parler, je vais parler." Ses railleries sont plutôt meilleures que celles généralement émises par les consultants qu'il attaque [2], hormis des qualificatifs déplacés [3] et des arguments puérils [4]. En tout état de cause, rien n'y égale en virulence le propos de Pierre Ménès estimant, lors de la Coupe du monde 2010, qu'Évra "vendrait sa mère pour rejouer en équipe de France". L'esclandre a aussi occulté bien des points avancés par le footballeur: notamment l'idée que "les gens" ne partagent pas forcément l'avis des mandarins médiatiques, ou le constat que ceux-ci en revenaient toujours, maladivement, à la grève de Knysna.
Étant donné les dizaines de procureurs dont il bénéficie, il n'est pas utile de refaire le procès de Patrice Évra, footballeur énervant, écervelé et prétentieux, très fort pour être au mauvais endroit au mauvais moment sur le terrain et en dehors (lire "Évra élève son niveau de je") [5]. Mais dans cette affaire, son erreur majeure a en définitive été de se mettre sur le terrain de ceux qu'il a désignés: celui de l'invective, de la démolition, de la blague lourde, de l'avis expéditif. Eux y ont droit, à satiété, lui pas même une fois. L'exemplarité est exigée de lui, la médiocrité, la malveillance et les "dérapages" sont l'ordinaire des autres, qui semblent détenir l'exclusivité de la liberté d'expression liberté sans devoir, bien entendu, pas même celui d'accepter d'être repris de volée à l'occasion.
UN MILIEU DÉFENSIF
Tout cela nous vaut un grand moment de comédie : massivement, univoquement, le corps armé des journalistes, consultants et éditorialistes se dresse contre le joueur en réussissant une nouvelle fois l'opération consistant à ne pas émettre la moindre critique, la moindre interrogation non seulement sur le contexte de ces déclarations, mais aussi sur la "façon de parler" des Rolland Courbis, Pierre Ménès, Daniel Riolo, Jean-Michel Larqué et consorts. Le mot d'ordre est de se masser derrière ceux qui galvaudent le journalisme de sport par démagogie, par facilité, par abus de leur pouvoir médiatique. Ceux-là ont bien droit de cité: le problème est la place qui leur est accordée, l'hégémonie de ceux qui braillent plus fort et voient dans leur part de marché médiatique la preuve de leur légitimité... quand cette part de marché n'est qu'un indicateur de la médiocrité générale.
La solidarité de ceux qui ont quelques prétentions d'analyse et d'écriture avec ces imprécateurs, ceux que Patrice Évra a désignés, est plus significative que tout le reste. Parce que s'il est communément admis que l'arrière latéral a rarement fait preuve d'une grande intelligence, la démonstration de corporatisme à laquelle nous assistons est infiniment plus consternante que ses propos. Une démonstration que résument à merveille la une et la double page de L'Équipe de lundi, agrémentées d'un éditorial de Vincent Duluc (le meilleur-journaliste-sportif-de-France) qui mène un réquisitoire univoque et se conclut par une généralité consternante [6].
PERDU D'AVANCE
L'affaire Nasri, lors de l'Euro 2012, avait illustré cette incapacité des médias spécialisés à faire preuve de recul envers leurs rapports avec les sportifs et à envisager leur part de responsabilité dans l'évolution vers une agressivité réciproque de plus en plus exacerbée (ne laissant d'alternative que pour une connivence problématique et occultée entre certains membres des deux parties). Cette évolution s'analyse pourtant assez simplement, et l'ambivalence des torts est évidente (lire "Nasri, le doigt où ça fait mal").
Le combat était perdu d'avance pour Évra, auquel on reproche un "calendrier" qui n'est pourtant pas de sa seule responsabilité: l'interview a recherché son agacement, et été enregistrée le mardi pour une diffusion le dimanche, soit à la veille du tirage au sort des barrages. Surtout, ce combat se dispute sur le terrain de ses adversaires, qui peuvent occuper les antennes et les pages des journaux (à l'image d'un Rolland Courbis qui prétend ne pas être touché mais qui n'a pas repris son souffle depuis deux jours), monopoliser la parole et être certains que seuls des espaces marginaux seront laissés à leurs contradicteurs. Personne ne semble remarquer que ceux qui fustigent les propos d'Évra sont aussi ceux qui les ont provoqués et leur donnent une telle résonance. Au passage, la controverse pose aussi la question de la soumission de la FFF aux exigences morales des médias, comme le souligne remarquablement cet article de Zone Euro. Après avoir convoqué notre délinquant verbal, Noël Le Graët a présenté de risibles "excuses" à Bixente Lizarazu.
Ce à quoi on assiste, c'est à l'aggravation constante de l'antagonisme entre les internationaux et les journalistes dominants, ces derniers souhaitant entraîner ou exacerber la réprobation de cette "opinion" qu'ils façonnent aussi avec leurs obsessions (lire "Comment Tata Simone en est venue à 'haïr' les Bleus"). On se demande ce qui peut être attendu de positif de ce processus de destruction: les Bleus sont invités à adopter une hypocrisie qui leur sera (qui leur est déjà) reprochée, à se retrancher dans un entre-soi depuis lequel ils ne pourront que "haïr" à leur tour les potentats médiatiques, et ne chercheront plus à gagner que pour eux-mêmes, contre tous.
Au lendemain du tirage au sort des barrages qui opposeront la France à L'Ukraine, on se prend à penser qu'une non-participation à la Coupe du monde ferait office, sinon de punition collective pour les joueurs comme pour les médias, du moins d'occasion de lessiver, enfin, la névrose autour de la sélection nationale.
[1] Luis Fernandez, Rolland Courbis, Pierre Ménès et Bixente Lizarazu.
[2] "Au Paris Saint-Germain, à part sucer des Chupa Chups et danser la Macarena, je ne sais pas ce qu'il [Luis Fernandez] a fait". "Même si tu mets Rama Yade arrière gauche, ils vont dire qu'elle est meilleure qu'Évra."
[3] "Clochards", terme ô combien impropre, "parasites", même s'il n'est pas complètement usurpé.
[4] S'il avait mieux préparé sa sortie, Évra aurait évité certaines rodomontades inutiles et arguments faibles: on ne juge pas de la compétence d'un consultant à sa faculté à faire huit jongles, et vouloir comparer le palmarès de Bixente Lizarazu avec le sien n'est pas très concluant. Son insistance à vouloir considérer la grève du bus comme une "bêtise" traduit aussi sa difficulté à prendre la mesure de cette initiative.
[5] On peut déplorer les défauts footballistiques d'Évra, à condition de ne pas occulter qu'il est titulaire depuis des années dans un des meilleurs clubs du monde, et que de toute façon, aucun joueur français n'est aujourd'hui en mesure de le surpasser à son poste.
[6] "(L'interview d'Évra) a rappelé qu'il représentait toute une génération et toute une époque".
Jérôme Latta pour Le Monde
Au passage Noël Le Graet a déclaré ce matin qu'Evra ne risquait pas de suspension (en gros je résume). Moi ce qui me gêne là-dedans comme expliqué dans l'article c'est que les journalistes savent qu'Evra est un "bon client", qu'en le titllant sur son image il va partir au quart de tour. Il a tenu 10 minutes avant d'exploser. Mais bien sûr personne ne remet en cause les(s) journaliste(s) dans cette affaire. Sans parler du climat qu'ils font règner autour de l'EdF et qui évidemment doit être pesant pour les joueurs. Je ne cherche pas à défendre Evra, mais pour moi c'est trop facile de vouloir tout lui mettre sur le dos. Il y en a pas mal qui devraient faire leur auto-critique dans ce milieu. -
Est-ce qu'on connait les horaires des matchs ?
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univiversal a écrit, le 2013-10-21 21:49:04 : Ou la Grèce en 2004 ou l'Italie en 2008 ou l'AFS en 2010 ou ...
Rigolo ce jeu :)
Après ce barrage, ça reste un bon tirage et une bonne opportunité de construire un groupe soudé pour le Mondial.
Comme contre l'Irlande pour L'Afrique du Sud
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mouloungoal a écrit, le 2013-10-22 09:05:16 :
Au passage Noël Le Graet a déclaré ce matin qu'Evra ne risquait pas de suspension (en gros je résume). Moi ce qui me gêne là-dedans comme expliqué dans l'article c'est que les journalistes savent qu'Evra est un "bon client", qu'en le titllant sur son image il va partir au quart de tour. Il a tenu 10 minutes avant d'exploser. Mais bien sûr personne ne remet en cause les(s) journaliste(s) dans cette affaire. Sans parler du climat qu'ils font règner autour de l'EdF et qui évidemment doit être pesant pour les joueurs. Je ne cherche pas à défendre Evra, mais pour moi c'est trop facile de vouloir tout lui mettre sur le dos. Il y en a pas mal qui devraient faire leur auto-critique dans ce milieu.
Ben encore une fois, je ne vois pas sur ce coup en quoi il a été titillé ou provoqué dans cette interview, le gars pète une pile tout seul.
Est ce que le mec se serait lâché comme ça en Angleterre, ou pourtant les journalistes du Sun me paraissent plus incisif que Menès. Non, parce qu'il respecte l'institution.
Et tout le problème est là. Les gars sont cons comme des balais, mais il ne faut pas croire que les footballeurs étaient des sommités avant. Le seul truc c'est comment veux tu respecter un Le Graët ou un Deschamps qui t'expliquent que ce n'est pas grave, alors que ce dernier, le jour de sa prise de fonction, a déclaré qu'il ne tolérerait aucun dérapage écornant l'image de l'edf...
Les consultants sont incriminés par Evra non pas à cause de leur médiocrité, mais parce qu'ils se sont attaqués à sa petite personne en contestant sa place en équipe de France. Ils ont le droit de le faire et je trouve qu'ils sont assez soft par rapport, par exemple, à ce que je peux lire sur le stub ou Evra est attaqué sportivement et moralement (le capitaine de Knysna peut il rejouer en edf? la question n'est pas absurde).
Là ou les journalistes sont attaquables à mon avis, c'est sur le traitement qui a été fait de l'affaire Anelka ("ta gueule fils de pute" c'est un truc sensationnaliste qui n'aurait pas du sortir) et, d'une manière générale, le traitement du football (cf telefoot ou un Christian Jeanpierre qui a mon avis fait beaucoup plus de mal qu'un Lizarazu à l'égo démesuré mais qui est loin de dire que de la merde) -
Entièrement d'accord.
De plus EVRA est a coté de la réalité quand il affirme que personne ne le déteste en France. -
Qu'Evra soit un con arrogant, tout le monde le savait. Il en a donné la dernière confirmation pour ceux qui en doutaient encore.
On pourra regretter le fait que ca risque de faire voler en éclat le peu de sérénité que s'était offerte l'EdF sur les 2 derniers matchs.
(J'aimerais croire à l'hypothèse de @bofbof2004 comme quoi se serait une technique pour détourner l'attention du sportif, mais ...
)
Il va devoir être extrêmement costaud dorénavant, parce qu'il est attendu au tournant. -
L'article de Latta est, comme à l'accoutumée, éloquent. Il est évidemment tentant de taper sur Evra : idiot, prétentieux, limite obscène. Pour ne rien arranger il est plus que limite dans ses prestations en bleu et reste le symbole d'un mondial 2010 minable pas tant sur le plan sportif ou nous étions à notre niveau mais sur le plan humain.
Bref Evra dès qu'il l'ouvre, ça picote ... Pourtant il est plus intéressant de s'intéresser aux géniteurs des monstres type Evra. A savoir les médias, leurs consultants qui ressassent en boucle les mêmes généralités érigées en vérité absolue.
Honnêtement les 4 cités par l'autre truffe, ils méritent. Entre les ex entraineurs, trop mauvais pour être sur la banc mais qui se permettent de donner des leçons à leurs ex collègues. Liza qui préfère se refaire l'intégrale des chanteuses des années 80 plutôt que de coacher les minimes de Biscarrosse, Courbis donc Courbis et enfin Menes. Le seul journaliste qui est au fil du temps devenu une caricature de lui même pour émission de variétés.
Peut être qu'à un moment, les médias ont les footballeurs qu'ils méritent.
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