[2008-2009] Vannes - RCS | Avant-match
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thespecialoneEt Cohade seul à la récup...
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Je trouve que cette équipe a vraiment de la gueule (+) -
2 Bezzaz sur le terrain...
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D'accord Lacour n'a pas été bon vendredi, mais de là à le sortir du 11 de départ non ! Je ne suis pas d'accord.
C'est quand meme le vice-capitaine, le mec à tout faire, le mec qui joue au poste qu'on lui demande, le bouche trou quoi. Donc Lacour mérite quand meme sa place parmis les 11...
Si il faudrait en écarter du 11 de départ, ce serait Pelé,Cohade et Paisley !
D'accord Paisley est capitaine, mais ce mec là, depuis le début de la saison il est hors du coup ! Alors que Lacour il loupe temps en temps un match, mais il est régulier.
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pour moi ça le ferait!!
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yannou a écrit, le 2009-02-24 15:53:43 : pour moi ça le ferait!!
Non jamais de la vie Furlan nous sortira un 4-4-2 en + à l'exterieur ! -
thespecialone a écrit, le 2009-02-24 15:02:38 : 2 Bezzaz sur le terrain...
En remplacent le Bezzaz arrière gauche par JAF alors :)) -
Une possibilité un peu différente avec un milieu défensif jouant vraiment très bas pour soutenir la faible défense centrale et 2 relayeurs au pressing : (c'est pas très loin du 4-5-1 à la Furlan mais sans 10 qu'on a de toute façon pas).
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Fanchone de retour.
Au repos hier, James Fanchone, qui a ressenti une douleur aux ischio-jambiers, fait son retour à l'entraînement aujourd'hui. Absent également hier, Harlington Shereni, victime d'un coup au tendon d'Achille, et Gregory Paisley, au repos depuis deux jours, devraient également être de retour si le staff médical les y autorise. Par contre, Boubacar Kébé, malade, sera au repos.
L'Alsace -
« Pas encore décrochés »
Alors que le Racing peine à engranger les points, Renaud Cohade préfère rester positif. Et en appelle à la « solidarité » du groupe strasbourgeois pour relancer la machine et aligner enfin une série victorieuse.
Renaud Cohade avait la mine des mauvais jours, vendredi soir, après la défaite face à Sedan. Car si le pit-bull du milieu de terrain strasbourgeois retrouve enfin son niveau de jeu - après des mois difficiles liés à sa pubalgie - ce n'est pas vraiment le cas d'une équipe du RCS empêtrée dans le doute.
« On n'a pas été réalistes »
« En ce moment, c'est vrai que je me sens mieux, les jambes sont là. Mais mentalement c'est difficile, car je n'aime que la victoire », lâche d'emblée le joueur, coupant court aux compliments d'usage.
Forcément, la défaite face à Sedan lui est restée en travers de la gorge. « On avait bien réagi à Châteauroux et ensuite, face à Sedan, on a très mal démarré et on l'a payé cash. Les Sedanais nous ont fait mal en contre dès la 1ere minute. Et même si en deuxième mi-temps on a eu des bonnes phases de jeu et qu'on a su créer la faille, on n'a pas été réalistes », analyse le milieu récupérateur.
Pas question pour autant de rejeter la faute sur les attaquants. « Contre Sedan, j'ai aussi eu des occasions, quelques tirs de loin, poursuit « Coco », mais j'ai manqué de lucidité ».
Une fois la « frustration » passée, pas question de ressasser cette défaite. Car un nouveau casse-tête attend les Strasbourgeois au stade de la Rabine.
« Face à Sedan, on s'est fait contrer d'entrée parce qu'on avait envie de bien faire et qu'on s'est trop projetés vers l'avant. Il faut corriger ces points négatif, être plus agressifs », ajoute encore le Nîmois passé par Bordeaux, qui veut à tout prix «rester positif».
Lui qui a participé à la dernière montée du Racing, sous l'ère Papin, rappelle aux pessimistes qu'en 2006 « le Racing avait aussi eu une période difficile. Amiens nous collait aux fesses et on avait lutté jusqu'à la dernière journée ».
Pour Renaud Cohade, même si les deux équipes du Racing - celle de 2006/2007 et l'actuelle - sont différentes, la clé du succès reste la même. Et elle se nomme « solidarité ». « On n'est pas encore décrochés dans la course à la montée, mais maintenant, il va falloir faire une série », expose le joueur. Et si possible, en commençant vendredi à Vannes.
« C'est à nous de prouverqu'on mérite de monter »
« Cette équipe nous avait causés des soucis à la Meinau mais on avait réussi à gagner (2-1, grâce à une doublé de Traoré en fin de rencontre, ndlr). Après c'est clair qu'il y a beaucoup de bons joueurs à Vannes, ils ne sont pas en finale de la Coupe de la Ligue par hasard », poursuit le milieu récupérateur.
Qui sait que quelle que soit le nom de l'équipe adverse, le Racing n'a plus de temps - ni de points - à perdre pour raccrocher le bon wagon. « C'est à nous de prouver qu'on mérite de monter, on ne doit pas compter sur les autres », précise encore Renaud Cohade. Avant d'ajouter : « il faut de l'orgueil ».
Un orgueil qui risque d'être plus que nécessaire face à une équipe de Vannes qui a déjà battu Lens et Metz dans son antre.
DNA -
Présentation du Vannes Olympique Club
Le RCS se rend pour la première fois de son histoire en terre vannetaise : présentation du club breton.
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Renaud cohade version L'Alsace.....
Cohade, retour au premier plan
A l'image de son équipe, Renaud Cohade vient de traverser une période difficile. Pourtant, comme le prouve sa bonne prestation face à Sedan la semaine passée, il semble retrouver peu à peu son niveau. Tout n'est pas encore parfait mais le milieu de terrain est confiant avant le déplacement à Vannes vendredi.
Décontracté, comme à son habitude, Renaud Cohade se présente dans la salle de presse du stade de la Meinau tout sourire. Sa pubalgie, qui l'a tenu éloigné des terrains pendant 6 mois - de mars à septembre dernier , n'est plus qu'un mauvais et lointain souvenir. « Personnellement, je me sens mieux sur le terrain depuis quelques matches, les jambes tournent bien et mentalement, ça va aussi. Mais la période est quand même difficile parce que j'aime gagner », souligne Renaud Cohade.
Forcement, l'ancien nîmois n'est pas totalement heureux en décryptant le début d'année de son équipe dans un championnat de Ligue 2 piégeux comme jamais. Une seule victoire à Châteauroux (0-1) -, trois nuls et deux lourdes défaites à Reims (4-1) et face à Sedan (1-3) vendredi dernier à la Meinau. Malgré ce maigre bilan, le RCS est toujours en course pour la montée, à deux points d'Angers, surprenant troisième. « Je ne regarde pas les résultats des autres équipes car il reste bien trop de matches à jouer. Il faut plutôt se concentrer sur nous mais c'est vrai qu'on arrive à un moment fatidique de la saison et toutes les équipes s'accrochent pour prendre des points », précise le numéro 8 strasbourgeois.
Déçu par la lourde défaite concédée le week-end dernier face aux Ardennais, le Bas-rhinois estime que son équipe ne méritait pas une telle déconvenue. « Contre Sedan, on paie très cher notre mauvaise entame. A ce niveau, face à une bonne équipe, ça ne pardonne pas. Pourtant, je trouve qu'on fait un bon match, on a essayé de jouer au ballon mais sans doute de façon trop désorganisée » justifie le Strasbourgeois. « Il ne faut pas gamberger et surtout rester solidaire pour essayer de commencer une série qui nous mettrait sur le bon chemin. »
« Pas encore à mon meilleur niveau »
Auteur de 8 et 3 buts les deux dernières saisons, le milieu de terrain n'a trouvé les chemins des filets qu'à une seule reprise cette année, un penalty face à Amiens. Une donnée qui ne l'inquiète pas particulièrement. « Mon rôle est avant tout de récupérer les ballons et d'apporter un plus en attaque si je peux. Marquer n'est donc pas mon objectif numéro un alors je ne me prends pas la tête avec ça » résume Renaud Cohade.
En tout cas, comme le prouve sa performance face à Sedan, son retour en forme devrait faire un bien énorme à son équipe avant la dernière ligne droite. « Je ne suis pas encore à mon meilleur niveau car je manque encore de lucidité sur certaines phases de jeu. Mais, je travaille beaucoup pour finir la saison à fond » prévient avec ambition le milieu de terrain. Un retour au premier plan qui devrait profiter, on l'espère, à toute son équipe.
L'Alsace -
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Boubacar Kébé (malade) est forfait pour le match à Vannes. Harlington Shereni (tendon d'Achille) et Grégory Paisley (repos) sont eux incertains.
Source: L'Alsace -
knacki a écrit, le 2009-02-21 20:37:05 : Je voudrais y aller mais maintenant je pense que c'est trop tard...
J'ai envoyé un mail à "Maud" des UB90 comme spécifié sur leur site, mais pas de réponse...
Quelqu'un aurait une solution ?
Je t'ai envoyé un MP.
Nous essayons de mobiliser en ces temps difficiles. Tout fout le camp, on en a conscience mais on se revendique supporter alors pour nos couleurs, notre club, notre crédibilité et notre fierté nous ne devons pas lacher.
Nous organisons un bus qui partira demain soir à minuit.
60 € membres 70 € non membres. Et c'est un tarif ultra préférenciel étant donné que pour l'instant nous mettons de l'argent de la caisse du groupe pour faire ce bus. Si certains sont motivés ils sont les bienvenues.
Si vous pouvez prévenir faites le, sinon ce n'est pas grave venez demain soir devant le stade il restera de la place de toute manière. -
Infos ou intox pour Boubacar ?
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Merci kenny pour le MP, malheureusement pour les 2 raisons évoquées en MP, c'est trop juste pour moi.
En tout cas pour ceux qui feront le déplacement, vous pouvez tranquillement aller boire un coup avant le match avec les supporters vannetais (les Hermines et bientôt un nouveau groupe indépendant qui sera au Stade de France notament), ils sont vraiment très sympas !
La Rabine est un stade assez atypique, il me fait penser au Parc des Sports d'Haguenau.
Concernant le match, je ne vois pas comment le Racing pourrait avoir un quelconque sursaut d'orgueil, les joueurs qui en veulent, comme Weber, Ekobo et même Tum, on aurait du les garder !
Maintenant bon on va espérer, comme toujours ! -
Ce message est une brève publiée sur le portail.
Le Vannetais Pascal Delhommeau (rééducation) est forfait pour le match contre le Racing.
Source: DNA -
Le train de la ligue 1 partira sans le racing, car je ne vois pas comment une équipe avec un entraineur qui trouvera les mots et les excuses après les défaites pourrait gagner à Vannes qui en cas de victoire se relancerai dans la course à la monté
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Tu sera un des premiers à être content si on monte O:)
Et Vannes ne jouera plus la montée, par contre, l'absence de Delhommeau c'est peut être une bonne chose.. m'enfin -
oui je serai content bien sur, mais sois réaliste, je ne vois pas comment se sera possible avec cette équipe, si on peu encore parler d'équipe.
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Un nul à Vannes, enchainées de deux victoires contre Clermont et à Nimes, ça peut suffire à relancer le Racing, à retrouver de la confiance pour essayer de jouer un match crucial face à Angers à domicile. Jusqu'à ce premier match charnière, rien n'est encore joué
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Match nul à Vannes....oui je veux bien y croire.
en tout cas moi j'ai pronostiqué 3-0
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Incertitudes
Grégory Paisley pourrait bien être forfait pour le déplacement à Vannes. "J'ai encore mal au genou, on verra demain (aujourd'hui, ndlr) mais ça va être compliqué, a indiqué le défenseur central hier.
Boubacar Kébé, malade et souffrant d'une tendinite au genou set lui aussi quasiment forfait, tout comme Pierre Ducrocq qui n'a repris la course qu'en début de semaine. Emil Gargorov, absent hier, devrait en revanche tenir sa place. Il a simplement été ménagé en raison d'une grosse fatigue.
DNA -
Une question d'équilibre
En quelques semaines, le Racing a perdu sa belle assise défensive, encaissant dix buts lors des six dernières rencontres. La faute à de « petits relâchements » chèrement payés, combinés, selon Grégory Paisley, à un déséquilibre entre les lignes. Explications.
Tous les joueurs du Racing, ou presque, font le même constat. Vendredi dernier, face à Sedan, les Strasbourgeois ont joué « déséquilibrés ». Avec d'un côté, un quatuor offensif aspiré par le but adverse et de l'autre, des défenseurs un peu esseulés.
« Coupés en deux »
« Face à Sedan on était coupés en deux et du coup, on a pris des vagues en contre attaque », résume Grégory Paisley.
Et dans ces cas-là, la sanction est immédiate, surtout face à une équipe sedanaise rapide - et efficace - en contre. « Tu bloques le mec une fois, deux fois... et il suffit qu'il y ait un petit relâchement et il passe. Face à Sedan, on l'a payé cash », poursuit le capitaine des ciel et blanc.
On ne peut guère lui donner tort, car hormis les trois buts encaissés - tous marqués sur contre attaque - les attaquants sedanais ne se sont guère approchés du but alsacien.
Le souci, c'est que ces « petits relâchements » défensifs synonymes de buts se sont succédé ces dernières semaines. Résultat : le Racing pointe aujourd'hui à la 11e place du classement défensif de Ligue 2, avec 28 buts encaissés.
Et reste sur une série de dix buts pris lors des six dernières rencontres. Ce qui ne constitue pas, et de loin, un bilan digne d'un candidat à la montée en L 1.
« Quand on encaisse autant de buts, nous, les défenseurs, sommes les premiers mis en cause. C'est normal et on assume. Mais la défense c'est un tout. On peut attaquer à 6, même à 7, mais derrière, il faut se replier plus vite », précise l'ancien joueur du PSG. Avant d'ajouter : « A nous de trouver le bon équilibre ».
Or c'est bien là que le bât blesse. Car le RCS a actuellement un mal fou à trouver ce sacro-saint équilibre entre l'attaque et la défense.
La faute à des buts trop rapidement encaissés, qui obligent les Strasbourgeois à courir après le score, s'exposant d'autant plus aux contre attaques adverses.
S'ajoute à cela un certain manque d'automatismes au sein d'une défense qui a fréquemment été modifiée depuis le début de saison. Côté droit, Zoltan Szelesi, Pierre Ducrocq et Guillaume Lacour se sont partagés le poste avec plus ou moins de bonheur, les deux derniers cités n'étant pas des latéraux de formation.
« Une histoire d'état d'esprit »
En défense centrale, la longue absence de Steven Pelé cet hiver se fait toujours sentir, puisque le défenseur central a du mal à retrouver son rythme de croisière. Sans compter l'absence probable de... Grégory Paisley, face à Vannes (lire ci-dessous).
« C'est vrai qu'avec les blessures, les quatre joueurs en défense n'ont jamais été au niveau en même temps. Et côté droit, ça a beaucoup bougé. Mais ça n'explique pas tout », ajoute encore Grégory Paisley.
Qui voit finalement plus une raison « mentale » à cette mauvaise passe. « La défense, c'est avant tout une histoire d'état d'esprit, parce que ça se joue sur des détails », précise Paisley.
De la force mentale et une organisation sans faille, tels seraient donc les ingrédients nécessaires à une assise défensive enfin retrouvée. Reste au Racing à les mettre réellement en pratique pour éviter une nouvelle indigestion de buts à Vannes.
DNA -
Vannes, la belle histoire
Étonnant promu, le Vannes OC, qui accueille le Racing demain soir (20 h 30), a pratiquement assuré son maintien et jouera la finale de la Coupe de la Ligue contre Bordeaux le 25 avril prochain au Stade de France.
Le Vannes OC est une équipe surprenante : passé du CFA à la Ligue 2 en quatre saisons, peu de personnes auraient misé une pièce sur son maintien cette année. Mais les hommes de Stéphane Le Mignan, qui pointe aujourd'hui au septième rang du classement, ont déjoué tous les pronostics grâce à un début de saison tonitruant. « En battant Clermont puis Lens lors des deux premières journées, le groupe a pris conscience de ce qu'il pouvait faire, assure Olivier Cloarec, directeur général du club vannetais. Aujourd'hui, ce n'est plus une surprise d'être à cette place. Si on en est là, c'est qu'on l'a mérité sur le terrain ». Pourtant, avec le plus petit budget du championnat (6,7 millions d'euros), le pari n'était pas gagné d'avance.
Mais puisque le maintien n'est pas encore mathématiquement acquis, la prudence est encore et toujours de mise. « On doit encore gagner deux rencontres et faire un nul pour assurer notre place en L2. Tout peut aller très vite alors on a envie d'être rapidement rassuré. L'exemple du Racing la saison passée a frappé les esprits et on n'a pas envie de se retrouver dans la même situation » poursuit Cloarec en faisant référence à la série de 11 défaites consécutives qui a conduit le RCS en L2. Une « descente aux enfers » dont semble tout de même à l'abri le club breton.
« Une grande aventure humaine »
Surtout qu'avec une seule défaite (face à Bastia 0-1 fin novembre) en 12 matches de championnat à la Rabine, les Vannetais sont difficilement prenables dans leur stade et possèdent la meilleure défense à domicile avec seulement 4 buts encaissés. Les gros bras de la L2 Lens et Metz mais aussi des clubs de L1 comme Valenciennes et Auxerre en Coupe de la Ligue peuvent en témoigner.
Pas épargné par les blessures depuis le début de la saison, le VOC est une équipe en pleine confiance. « Le club vit une grande aventure humaine, symbolisée par l'épopée en Coupe de la Ligue. Je ne sais pas si on peut concevoir ce que c'est d'être en finale d'une coupe pour un club comme le nôtre. C'est tout simplement énorme », explique Olivier Cloarec, ancien responsable du merchandising puis chargé de la communication et du marketing au Racing de 1999 à 2004.
Demain soir face à Strasbourg, le Vannes OC, qui pourrait bien devenir la deuxième équipe de L2 à remporter la Coupe de la Ligue après Gueugnon en 2000, jouera une nouvelle fois sans pression. « Ce sera un bon match car le Racing va venir pour gagner, et nous, à domicile, on joue toujours pour attaquer. »
L'Alsace
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