Carlos Bianchi
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katzo68Rencontre avec Carlos Bianchi, ancien joueur du Racing
« J'ai adoré l'Alsace »
L'un des plus grands buteurs de l'histoire du football français, celui qui a tout gagné comme coach de Velez et Boca, a passé quelques jours en Alsace. En toute discrétion. Pour partager les fruits de la passion.
« Je conserve un excellent souvenir de la région, de l'Alsace, sa culture, ses villages typiques, sa gastronomie et ses gens. Le public m'aimait bien et je lui rendais », aime-t-il raconter.
« Je me souviens de mon dernier but pour le Racing contre St-Étienne. A la mi-temps, alors que je me trouvais sur le banc et que le score était de 0-0, les supporteurs scandaient "Car-Los". Je suis rentré et j'ai marqué le 1-0 final à Curkovic. Ensuite, j'ai été opéré d'une pubalgie le même jour que Roger Jouve. »
Carlos Bianchi a noué des contacts en Alsace, lors son passage au Racing lors de la saison 1979-80, qui a suivi le titre de champion de France. « J'ai gardé un ami de plus de 30 ans avec Albert Marson, un ancien joueur du Racing et de l'ASS », précise-t-il.
« En Argentine, Carlos est un mythe vivant »
« En Argentine, Carlos est considéré comme un mythe vivant et il se comporte comme le gentleman qu'il est », souligne Albert Marson, qui a accueilli chez lui, à Wasselonne, Carlos Bianchi et Marga, son épouse.
« J'ai mal aux genoux, je n'ai plus joué au foot. Je marche beaucoup, je fais des abdominaux, je me surveille. Je m'occupe de ma famille », explique encore l'ancien avant-centre argentin.
En revanche, il ne dit pas qu'avec son épouse il anime et subventionne depuis douze ans une fondation destinée à aider les enfants des quartiers défavorisés. Catholique pratiquant, il va régulièrement à l'église. Papy attentif, le père de Mauro Carlos, 37 ans, et Brenda, 35 ans, parle un français parfait avec sa belle-fille champenoise et ses deux petits fils. « La France est un pays unique. On y revient dès que possible » glisse-t-il encore.
Un palmarès unique
L'homme aime évoquer le métier d'entraîneur. « On est ce qu'on était comme joueur, on essaye de faire passer le message, mais sur le terrain, les joueurs décident seuls. Je suis partisan d'un système en 4-3-1-2, alors qu'en Europe on privilégie les 4-5-1. Mais un entraîneur doit d'abord gagner. »
Et Bianchi n'a cessé de le faire, lui qui a refusé plusieurs fois de prendre l'équipe nationale. Fidèle à ses idées. Ce qui ne l'empêcha pas, comme en Corée et en Allemagne, de suivre la Coupe du monde de près, comme consultant à la TV mexicaine.
Carlos Bianchi a 61 ans et un palmarès unique comme joueur, comme buteur, mais surtout comme entraîneur à succès, lui qui a quitté le 1er mars son poste de manager général du mythique Boca Juniors, le club au maillot bleu et jaune d'une banlieue pauvre et colorée de Buenos Aires.
« J'ai été champion d'Argentine à 18 ans avec Velez, ajoute-t-il en toute modestie. Je suis le 9e buteur mondial de tous les temps avec 385 buts marqués en championnat. »
Les livres d'histoire du football retiennent aujourd'hui qu'il a été seize fois champion avec Velez Sarsfield et Boca, qu'il a remporté quatre Copa Libertadores, la célèbre Coupe d'Amérique latine, et trois Coupes Intercontinentales. Et, tout naturellement, une désignation si justifiée de meilleur entraîneur d'Amérique du Sud en 2001. Dommage que Menotti, le sélectionneur argentin, ne l'ait pas appelé pour le Mondial victorieux de 1978, alors que Bianchi se « trouvait au sommet de (sa) forme »
Avant de prendre congé, Carlos Bianchi s'interroge : « Que sont-ils devenus les dirigeants, mes coéquipiers ? Ottmann, Wagner, Tanter, Django Marx, Piasecki, tous les autres ? Pour Domenech, je sais.» Et de conclure: «J'ai adoré l'Alsace. » Une partie de son coeur est restée dans la région.
DNA -
Assurément un grand Monsieur et un superbe joueur.
Il est dommage que Gress ne l'ait pas estimé à sa juste valeur.
J'étais présent lors du match contre Sainté lorsqu'il marque le but de la victoire, d'ailleurs contesté ( à tort ) de façon extrêment virulente par Kurkovic et ses partenaires. -
Je l'avais vu jouer à la meinau et aussi contre saint-étienne, dommage comme dit bibi57 qu'on ne lui ai pas fait davantage confiance. Un sacré buteur... malheuresement surtout dans d'autres équipes.
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bibi57 a écrit, le 2010-07-19 06:37:39 : Assurément un grand Monsieur et un superbe joueur.
Il est dommage que Gress ne l'ait pas estimé à sa juste valeur.
J'étais présent lors du match contre Sainté lorsqu'il marque le but de la victoire, d'ailleurs contesté ( à tort ) de façon extrêment virulente par Kurkovic et ses partenaires.
C'était pas le fameux but derriére la ligne dans les bras de CURKOVIC ?
En attendant, heureusement qu'il y a eu une caméra de FR3 qui était sur le coté et qui montra les jours suivants et de maniére formelle, que le ballon avait bien franchi la ligne...ce qui coupa court a toute polémique coté stéphanois.
A signaler que le juge de touche n'avait pas hésité une seule seconde car trés bien placé et qui signala le but immédiatement et bien suivi par l'arbitre central.
Je m'en souviens parfaitement car j'étais de l'autre coté et pratiquement sur la même ligne et nous avions bien vu CURKOVIC rentrer dans le but avec le ballon.
Pour en revenir a C.BIANCHI, c'était le plus gros transferts de l'été a cette période et le coût devait être de 3 M de francs, ce qui était énorme a l'époque.
GRESS ne le faisait que trés peu jouer, lui reprochant de ne pas assez participer au jeu de l'équipe ni de défendre, ce que nous étions nombreux a reprocher a GRESS car BIANCHI était le buteur type par excellence...
N'empéche, voir jouer C.BIANCHI a la Meinau, c'est comme si TREZEGUET a son meilleur niveau, était venu jouer au Racing.... -
Foot - Argentine - Boca :
Bianchi va signer 3 ans
A 63 ans, Carlos Bianchi va faire son retour sur le banc de Boca Juniors. Le club de Buenos Aires, qui vient de virer Julio Cesar Falcioni, lui fera signer lundi un contrat de trois ans. Ce sera le troisième passage de Bianchi à la tête des Xeneizes après 1998-2001 et 2003-2004. L'ancien joueur de Reims, Paris ou encore Strasbourg n'a plus dirigé d'équipe depuis son échec à l'Atlético Madrid, où il a été remercié fin 2005 après six mois en poste. Sa première décision comme nouvel entraîneur devrait être de convaincre Juan Roman Riquelme de jouer de nouveau pour Boca.
L'Equipe.fr -
Ce message est une brève publiée par chrisneudorf.
L'ancien joueur du Racing, Carlos Bianchi, a été nommé entraineur de Boca Juniors.
Source: L'Equipe -
Très grand buteur qu'était Carlos Bianchi mais à strabourg il n'en a pas claqué beaucoup ! Son passage au racing n'a pas été une réussite !
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De la faute a Gress qui ne le voulait pas a la base car c'était le choix de Bord pour remplacer Gemmrich qui partait a Bordeaux.
Bianchi a pourtant essayé de faire des efforts pour s'adapter au jeu prôné par Gress mais c'était perdu d'avance car jamais Gress n'a été favorable pour faire jouer son équipe au profit d'un buteur.
Et comme Carlos était performant en restant dans la surface, et bien sa période a Strasbourg était voué a l'échec malheureusement. -
fleet a écrit, le 2014-03-27 20:17:31 : Très grand buteur qu'était Carlos Bianchi mais à strabourg il n'en a pas claqué beaucoup ! Son passage au racing n'a pas été une réussite !
Il n'a malheureusement pas joué beaucoup mais il a tout de même marqué 11 buts en 25 matchs avec le Racing !
On aurait bien besoin d'un Carlos Bianchi en ce moment... (+) -
J'étais jeune quand il est venu en France et j'habitais pas très loin de Reims ou il jouait a cette époque.
Lors d'un match de championnat gagné 6-0 il me semble par le Stade de Reims, il avait marqué les 6 buts !
A noter aussi qu'il a remplacé a Reims un autre grand buteur, puisqu'il s'agissait de Delio Onnis... -
chris3fr a écrit, le 2014-03-27 20:36:26 : fleet a écrit, le 2014-03-27 20:17:31 : Très grand buteur qu'était Carlos Bianchi mais à strabourg il n'en a pas claqué beaucoup ! Son passage au racing n'a pas été une réussite !
Il n'a malheureusement pas joué beaucoup mais il a tout de même marqué 11 buts en 25 matchs avec le Racing !
On aurait bien besoin d'un Carlos Bianchi en ce moment... (+)
C'est Gress qui ne voulait pas le faire jouer (il n'aimait pas les stars à part
lui). Pourtant Bianchi arrivait à Stras avec le titre de meilleur buteur
du championnat la saison précédente. S'il avait joué et avait été mis
en confiance, nous ne serions pas passés loin d'un second titre. -
Raconte pas de betises , Gress ne voulait
pas de Bianchi, car il ne rentrait tout simplement pas dans son système.Bianchi terminait toujours meilleur buteur à Reims, mais Reims n'a jamais rien gagner avec Bianchi.
Gress n'aimait pas les stars, c'est pour cela qu'il voulait à tout prix Neeskens Johann, qui avait d'ailleurs faillit venir :-B -
C'est terrible cet aveuglement concernant Gress
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Dans les deux sens !
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Pour info il ne venait pas de Reims mais du
PSG où il venait de marquer 71 buts en deux
saisons ! -
Oui pour tu as raisoń, mais cela ne change rien, il a peu être marqué 71 buts, mais le PSG, il a gagné quoi ?
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Mais la question n'est pas là !
La question c'est Bianchi qui met plus de 100 buts avec Reims
71 avec le PSG et que Gress fait peu jouer à Strasbourg.
Note que le fait que le PSG et Reims n'aient pas gagné de titre
ces années là augmente encore la performance de Bianchi car
cela montre qu'en outre il ne jouait pas dans de super équipes. -
Toute l'équipe était au service de Bianchi, alors qu'avec Gress, c'était chaque joueur au service de l'équipe .
Gress n'allait pas changer son système, même pas pour Bianchi.
Cela n'enlève bien sur rien aux qualités de buteur hors pair qu'était Bianchi. -
soleil7 a écrit, le 2014-03-27 21:11:40 :
Gress n'aimait pas les stars, c'est pour cela qu'il voulait à tout prix Neeskens Johann, qui avait d'ailleurs faillit venir :-B
Gress n'aimait pas les stars, donc il voulait Neeskens ?
J'ai un peu de mal avec le fait que Neeskens ne soit pas une star.
On parle quand même d'un mec qui a gagné trois fois la C1, a été double finaliste de coupe du monde, a joué à l'Ajax, au barça et surtout au temple des stars, le club de Chinaglia, le New-York cosmos. -
Humour......... O:)
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Ah, ok, au temps pour moi.
Désolé, j'ai pas l'habitude. :D -
Tout le jeu du PSG de l'époque (1977/78 et 1978/79) était axé sur son buteur C. Bianchi, le seul trophée qui semblait intéresser cette équipe était la place de meilleur buteur. La compétition était rude avec l'autre argentin D. Onnis évoluant à Monaco.
en 1979, PSG n'était encore qu'une équipe en devenir avec un palmarès vierge. -
sedna a écrit, le 2014-03-28 11:06:01 :
en 1979, PSG n'était encore qu'une équipe en devenir avec un palmarès vierge.
Un presque bébé. A peine 5 ans de professionnalisme en 79.
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