Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Le Vendée Globe

Chargement...

Flux RSS 98 messages · 10.534 lectures · Premier message par samh · Dernier message par chrisneudorf

  • jerebzh a écrit, le 2012-11-20 13:09:33 :
    ça se bagarre bien en haut du classement. Dick, 2e hier soir était 6e ce matin et revient à la 5e place au pointage de 12h. Gabard perd deux places et laisse Riou prendre la deuxième place.

    Pour la tactique de Gutkowski, je suis d'accord avec toi samh, son parcours est assez bizarre.


    En même temps les 5 poursuivants (de la place 2 à 6) se tiennent en ... 1.6 mille nautique (moins de 3 km) au bout de 10 jours de courses (dernier pointage de 12h).
    Logique que les positions varient d'un classement à l'autre.
  • paplo a écrit, le 2012-11-20 13:16:03 :
    Il doit faire du tourisme :D


    Je me pose sérieusement la question, il file droit sur les îles canaries maintenant !!!
    Le voilà à 813 nm (1500 km) de l'avant-dernier.
  • Il teste/répare son pilote automatique :-B
  • D'ailleurs il vient d'abandonner... :(
    Plus que 14 skippers en course après 11 jours. :-s
  • Soit il ne sait pas lire ses instruments, soit il les a oublié aux Sables d'Olonne, mais il y a quelque chose !!! :))

    J'espère maintenant que tous les participants encore en lice vont aller jusqu'au bout !!
  • jerebzh a écrit, le 2012-11-21 19:29:58 :
    Soit il ne sait pas lire ses instruments, soit il les a oublié aux Sables d'Olonne, mais il y a quelque chose !!! :))

    J'espère maintenant que tous les participants encore en lice vont aller jusqu'au bout !!

    c''est les aléas de la course! si son pilote automatique marche pas il peut pas continuer , il dort comment attacher a la barre! :D
  • Le Cléac'h accroît son avance

    Le Français Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) était toujours en tête du Vendée Globe, mercredi soir (à 20h). Il comptait 38,4 milles d'avance sur François Gabart (Macif) et 44,4 sur Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat).
    Après le Pot au Noir, place désormais aux alizés et aux premières heures de navigation dans l'hémisphère Sud. «Je vais bien, nous sommes tous dans les vents de Sud-Est et nous descendons vers le Sud. Je pense que nous avons bien négocié le passage du Pot au Noir. Il faut savoir saisir les opportunités quand elles se présentent. C'est une bonne chose d'être collé à l'arrière du groupe de tête plutôt que de former un second groupe !» a commenté Mike Golding, septième à l'heure actuelle.

    Classement à 20h00 (heure de Paris):

    1. Armel Le Cléac'h (FRA/Banque Populaire) à 20.959,3 milles de l'arrivée
    2. François Gabart (FRA/Macif) à 38,4 milles du premier
    3. Bernard Stamm (SUI/Cheminées Poujoulat) à 44,4
    4. Vincent Riou (FRA/PRB) à 44,5
    5. Jean-Pierre Dick (FRA/Virbac-Paprec 3) à 52,8
    6. Alex Thomson (GBR/Hugo Boss) à 65,3
    7. Mike Golding (GBR/Gamesa) à 186,1
    8. Jean Le Cam (FRA/SynerCiel) à 210
    9. Dominique Wavre (SUI/Mirabaud) à 222
    10. Arnaud Boissières (FRA/Akena Vérandas) à 295,7

    Cartographie
  • Riou abandonne

    Vincent Riou (PRB) a été contraint d'abandonner la 7e édition du Vendée Globe. Le skipper avait débuté la réparation de la coque mais le tirant d'outrigger ne peut être réparé. Il fait désormais route vers Salvador de Bahia.

    http://medias.lequipe.fr/img-photo-jpg/prb-a-bien-d-rr-a-transat-...

    Vainqueur de l'édition 2005, Vincent Riou subit donc le même sort que Marc Guillemot (Safran), Kito De Pavant (Groupe Bel), Louis Burton (Bureau Vallée), Samantha Davies (Savéol), Jérémie Beyou (Maître Coq) et Zbigniew Gutkowski (Energa), qui ont également mis dû mettre un terme prématurément à leur tour du monde en solitaire, sans assistance et sans escale. Le skipper de PRB, qui tentait depuis samedi de réparer les dégâts causés sur son monocoque par une collision avec une grosse bouée métallique au large des côtes brésiliennes, a justifié sa décision par la prudence exigée dans une telle épreuve.

    «C'était une décision très dure à prendre mais c'est la plus raisonnable. Je m'étais fixé cet objectif de Vendée Globe depuis plusieurs années. J'y ai mis énormément d'énergie. Je suis profondément déçu mais je le suis aussi et surtout pour mes partenaires, PRB, Bouyer Leroux et Mercedes, a-t-il réagi. PRB m'accompagne depuis dix ans. Ils me font une grande confiance. Même si je n'y suis pour rien dans cette collision et les dégâts que cela a entraîné, je ne peux m'empêcher de culpabiliser. Je me sentais vraiment bien dans la course. Ces bateaux ont un potentiel impressionnant et je sais que la course dans le Sud va cette année prendre une autre tournure. La barre sera très haute et j'aurais bien aimé être de la partie. Ce jeu-là, j'avais vraiment envie d'y participer !»

    Vingt skippers avaient pris le départ de la 7e édition du Vendée Globe, le 10 novembre. Ils ne sont plus désormais que treize en course.

    L'équipe.fr
  • La question du jour : comment s'établit un record de distance parcourue en 24h ?


    François Gabart hier, Jean-Pierre Dick aujourd'hui... Le record de distance parcourue en 24h en solitaire sur un 60' Open IMOCA n'en finit plus d'augmenter. Jusqu'alors détenu par Alex Thomson avec 468,72 milles avalés en une journée en 2003, c'est désormais le skipper de Virbac-Paprec 3 qui en est le détenteur, en l'améliorant de presque 35 milles (502,53 milles).


    Le record de 2003 a en réalité été battu plusieurs fois depuis le début de ce Vendée Globe et ne cesse d'évoluer d'un skipper à l'autre. Car un record de distance parcourue peut changer toutes les 30 minutes, à chaque nouveau point franchi par le bateau. C'est à l'aide du système de « tracking 30' » que la direction de course est en mesure de calculer le chemin effectif que chaque skipper parcourt en 30 minutes, puis de déterminer la distance parcourue de point à point en 24 heures.

    Les positions étant enregistrées toutes les demi-heures, il est alors fréquent que ce record soit amélioré par son détenteur lui-même au cours d'une même journée.


    Les derniers records du 1er décembre 2012:
    Jean-Pierre Dick : 502,53 milles à 09h00 TU (vitesse moyennes de 20,9 noeuds)
    François Gabart : 487,23 milles à 05h30 TU (20,3 noeuds)
    Bernard Stamm : 482,59 milles à 12h00 TU (20,1 noeuds)
    Alex Thomson : 473,87 milles à 10h00 TU (19,7 noeuds)

    Pour information, le record en double est également détenu par Jean-Pierre, sur ce même bateau, avec Loïck Peyron (506,33 milles) depuis 2011.

    La distance parcourue par Virbac-Paprec 3 équivaut à environ 930 km, soit un Douarnenez-Marseille à vol d'oiseau.

    vendeeglobe.org
  • L'équipe technique d'Initiatives-Coeur a reçu un appel de Tanguy à 16h18 (heure française). Suite à une désolidarisation du vérin de pilote avec le système de barre, le bateau est parti à l'abattée et s'est retrouvé couché.


    « A 14h05 TU, le bateau est parti à l'abattée dans une vague, j'étais à l'intérieur en train de boire un thé dans le pouf et je me suis retrouvé sur la tranche avec tout qui valdingue. Je m'habille, je mets la quille dans l'axe, je me rends compte que le pilote signale "no rudder angle" mais je m'accroche et vais m'occuper de ce qui se passe dehors, je commence à rouler le reacher mais ça ne se passe pas comme je veux... je prends la bastaque, choque progressivement le hale bas, le bateau se redresse, je fini de rouler le reacher, c'est pas parfait mais ça ne bat plus, je suis donc à la barre en tribord amure (vent de droite) j'essaye le pilote mais le même message apparait, j'enclenche le pilote de secours (je dois lâcher la barre... pas facile...) il fonctionne, un peu de répit...

    J'ouvre la trappe arrière et je me rends compte que le vérin du pilote n'est plus accroché à la mèche de safran... Ouf, c'est que ça, la goupille a dû tomber... Je dois re-empanner et affaler le reacher, dans une grosse vague, le bateau part en survitesse mais le pilote de secours se laisse emporter et alors que j'étais en train de préparer l'empannage, il se fait tout seul dans le bas de la vague, la bastaque était prise mais pas l'écoute de grand voile...

    Nous revoilà en bâbord amure, je vais affaler le reacher et le mettre rapidement dans la soute à voile, en revenant dans le cockpit pour faire un peu de ménage, je me rends compte que les axes qui relient les chariots de mât aux boîtiers de lattes sont cassés... »

    Un diagnostic plus complet est en cours avec l'équipe technique. Tanguy recherche activement une solution pour continuer sa course.

    vendéeglobe.org

    Pendant ce temps Armel Le Cleac'h reprend la tête de la course !!!
  • J'ai rien compris, il y a beaucoup trop de mots technique #-o...
  • En clair son pilote automatique est flingué et ils essaient de voir comment faire pour pouvoir continuer la course.
  • Voici la situation au bout de 30 jours : Classement

    4.2 milles nautiques d'écart entre le premier (Armel Le Cléac'h) et le deuxième (François Gabart), soit moins de 8 km...
    Le tout après 15.535mn parcourus (28.772km)
  • Et voilà François Gabart qui prend la tête aujourd'hui. Au pointage de 20h il compte 14.4 milles nautiques d'avance sur Armel Le Cléac'h
  • Gabart mène toujours la danse devant Le Cléac'h et Dick

    http://www.lalsace.fr/fr/images/CCBB6CD4-6CF5-464B-AA99-14308E5A1...

    François Gabart (Macif) était toujours en tête du Vendée Globe lundi matin devant Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) au sud-ouest de la Tasmanie et les deux skippers remontaient vers le nord pour passer la "porte des glaces" Australie Est.

    Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3), 3e à une journée de mer derrière (400 milles), suivait la même route tandis que le Britannique Alex Thomson (Hugo Boss, 4e) et le Suisse Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat, 5e) naviguaient beaucoup plus au nord, par 40 degrés de latitude sud.

    Par précaution, les organisateurs du Vendée Globe ont remonté de 3 degrés vers le nord la "porte des glaces" Ouest Pacifique, située entre la Nouvelle-Zélande et le cap Horn. De gros glaçons ont en effet été repérés par 54° sud, sur une route qu'auraient potentiellement empruntée les voiliers.

    Treize voiliers -des monocoques de 60 pieds (18,28 m)- étaient encore en course lundi matin, après les abandons de sept concurrents depuis le départ des Sables-d'Olonne (Vendée) le 10 novembre.

    Classement à 5h (heure française) :

    1. François Gabart (FRA/Macif) à 12.844,6 milles de l'arrivée

    2. Armel Le Cléac'h (FRA/Banque Populaire) à 28,1 milles du premier

    3. Jean-Pierre Dick (FRA/Virbac-Paprec 3) à 400,4

    4. Alex Thomson (GBR/Hugo Boss) à 774,7

    5. Bernard Stamm (SUI/Cheminées Poujoulat) à 822,6

    6. Jean Le Cam (FRA/SynerCiel) à 1.500,2

    7. Mike Golding (GBR/Gamesa) à 1.662,5

    8. Dominique Wavre (SUI/Mirabaud) à 1.835,9

    9. Javier Sanso (ESP/Acciona) à 1.961,8

    10. Arnaud Boissières (FRA/Akena Vérandas) à 2.519,7

    L'Alsace
  • Amel Le Cléac'h reprend la première place en devançant François Gabart de 18,4 miles et le troisième, Jean Pierre Dick de 413,1 miles.

    *Pointage effectué ce matin à 5 heures.
  • Classement à 05h (heure de Paris) :

    1. François Gabart (FRA/Macif) à 12.173,7 milles de l'arrivée

    2. Armel Le Cléac'h (FRA/Banque Populaire) à 5,3 milles du premier

    3. Jean-Pierre Dick (FRA/Virbac-Paprec 3) à 473

    4. Alex Thomson (GBR/Hugo Boss) à 805,7

    5. Bernard Stamm (SUI/Cheminées Poujoulat) à 827,6

    6. Jean Le Cam (FRA/SynerCiel) à 1.503,4

    7. Mike Golding (GBR/Gamesa) à 1.711,7

    8. Dominique Wavre (SUI/Mirabaud) à 1.847,4

    9. Javier Sanso (ESP/Acciona) à 1.934

    10. Arnaud Boissières (FRA/Akena Vérandas) à 2.497
  • 8.5 km d'avance ,je me demande si ce n'est pas un des plus petit écart a ce stade de la corse ( historiquement parlant !)
  • Furiani?

    OK... je sors :p

    Lourdement tien, Paplo
  • L'écart est certes très mince MAIS lors de l'édition 2004/2005, le deuxième (Jean Le Cam) était arrivé aux Sables d'Olonnes avec 6 heures et demi de retard seulement sur le premier (Vincent Riou).
    On peut dès lors imaginer des écarts très faibles pendant le reste de la course également...
  • Les infos du jours :



    A toi, à moi : en tête, le chassé-croisé continue entre Armel Le Cléac'h (Banque Populaire) et François Gabart (MACIF). Mais derrière eux, Jean-Pierre Dick (Virbac-Paprec 3) reprend du terrain puisqu'en 24 heures, il a comblé 80 milles de son retard sur les leaders. Pour Bernard Stamm (Cheminées Poujoulat) la grande question est de trouver le bon équilibre entre la durée de son escale forcée et la fiabilité des réparations effectuées sur ses supports d'hydrogénérateurs.

    Le marquage à la culotte continue pour les deux leaders du Vendée Globe. Les deux gaillards disposent de bateaux très proches, ont été élevé au même lait du centre d'entraînement de Port-la-Forêt, ont les mêmes approches pragmatiques mâtinées d'une rigueur toute scientifique. Au final, c'est plutôt logique que les écarts de route soient si faibles entre eux. Pourtant, la donne pourrait être bousculée à l'approche de la porte Pacifique Ouest. En cause, une dépression d'origine tropicale qui pourrait venir perturber ce bel ordonnancement, en générant des vents instables et faibles aux abords de cette porte. Les logiciels de routage qui préconisaient, hier encore, un crochet bien au nord pour rejoindre ensuite la dernière des portes du Pacifique, proposent aujourd'hui de plonger jusqu'aux abords du 55° Sud. Comme quoi, vérité d'un jour ne vaut pas forcément le lendemain. Cette zone de vents faibles pourrait aussi décider du destin de Jean-Pierre Dick dans cette course. Qu'elle s'installe suffisamment tôt et les deux leaders pourraient être fortement freinés, permettant à Jean-Pierre de revenir dans le match. Qu'en revanche, la dépression tarde à descendre et la zone de transition pourrait s'installer après le passage des leaders, reléguant aux oubliettes tous les efforts du skipper niçois, lorientais d'adoption.

    Le Cam, l'échappée belle

    Jean Le Cam, quant à lui, peut se friser les moustaches, voire la tignasse par défaut. Le skipper de SynerCiel a saisi l'opportunité de creuser le trou sur le groupe des quinquas Mike Golding (Gamesa), Dominique Wavre (Mirabaud) et Javier Sanso (Acciona 100% EcoPowered). On sentait, depuis plusieurs jours, Jean Le Cam, moins prolixe, plus concentré, lors des directs avec le PC Course. Sans doute sentait-il cette occasion se profiler et craignait-il de la voir s'échapper. Au final, il a su rester sur la brèche au bon moment et filer à l'anglaise sous l'étrave de Mr Golding. Reste que pour lui, le podium est encore à plus de 1200 milles, soit entre trois et quatre jours de mer à rattraper. Autant dire que, sauf souci matériel chez le trio de tête, l'affaire n'a rien d'une évidence.

    Les solidaires de Sandy Bay

    Bernard Stamm a finalement mouillé son voilier en face de la plage de Sandy Bay, au nord de l'île Auckland. Après avoir vainement cherché un mouillage forain suffisamment abrité, il a, après bien des zigzags jeté son dévolu sur cette baie dans laquelle Marc Guillemot avait déjà mouillé en 2008 pour réparer son rail de grand-voile endommagé. Le skipper de Safran, quand il a été mis au courant des intentions de Bernard, s'est spontanément proposé pour guider le navigateur suisse. S'en est suivi, un véritable petit road-book transmis à l'équipe technique de Cheminées Poujoulat avec les pièges à éviter et quelques bons conseils pour choisir le lieu de mouillage le plus adapté. Quand il s'était arrêté en 2008, Marc avait été sidéré par la densité de la faune évoquant un endroit magique où phoques et morses vivent par troupeaux, où de nombreux cétacés, orques et cachalots viennent roder autour du bateau. Il y avait même aperçu deux scientifiques néo-zélandais sur la plage, mais n'avait pu, règlement oblige, entrer véritablement en contact avec eux.

    Pour approcher Sandy Bay, Bernard Stamm a dû mettre son moteur en route après en avoir informé la direction de course. Il devra, une fois les réparations effectuées, plomber de nouveau son arbre d'hélice, puis en envoyer la preuve photographique à la direction de course. Ce sera ensuite au jury international d'évaluer si Bernard a tiré un avantage quelconque du fait d'avoir rejoint le mouillage au moteur. Il prendra sa décision au vu de l'ensemble des éléments fournis par le navigateur suisse. Actuellement, Bernard évalue le temps de travail entre 24 et 48 heures. Il ainsi pourrait repartir bord à bord avec Jean Le Cam, qui pointe à près de 500 milles de sa position. Nul doute que ce duel dans la course, entre deux fortes personnalités, aurait une certaine allure.

    PF Bonneau

    vendeeglobe.org
  • Mardi 1er janvier, à 18h20 TU (19h20, heure française), François Gabart (Macif) a franchi le cap Horn en tête après 52 jours, 6 heures et 18 minutes de course.
  • L'info du jour est incontestablement la disqualification de Bernard Stamm, qui a demandé la réouverture de son dossier. Joint au live ce midi, le Suisse a annoncé qu'il finirait son tour du monde quoiqu'il arrive, quitte à être classé « hors course ». Dans l'histoire du Vendée Globe, ils sont huit au total à avoir rallié les sables d'Olonne sans figurer au classement final.

    Bernard Stamm reçoit le soutien d'Alex Thomson, Dominique Wavre, Mike Golding, Jean-Pierre Dick et Jean Le Cam.
    Il n'y a plus qu'à espérer que le jury révise sa décision.
  • François Gabart creuse un peu l'écart en tête avec une soixantaine de miles d'avance sur Armel Le Cléac'h.
    Il semble que le record de la course (84 jours 3h et des brouettes) soit à sa portée.

    Derrière, Jean-Pierre Dick (3e) a qqs soucis techniques et va perdre du temps pour réparer.

    Bernard Stamm a heurté un OFNIla nuit dernière et a perdu un hydrogénérateurs et le deuxième est endommagé.
    Il ne lui resterait plus que 5% d'énergie pour ... finir la course.
    Les hydrogénérateurs servent à fabriquer de l'énergie pour entre autre le pilotage automatique, le radar, la radio ou les instruments de mesure.
Il faut être inscrit et connecté pour ajouter un commentaire. Déjà inscrit ? Connectez-vous ! Sinon, inscrivez-vous.
Connectés

Aucun stubiste connecté...


Stammtisch

Mode fenêtre Archives