La SIG
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tecumsehCe sont deux sports différents, ne l oubliez pas ! -
La saison ne se joue pas d'octobre à mai mais exclusivement en juin, on ne peut pas transposer le modèle du basket dans le foot. La régularité permet de se positionner, c'est déjà une récompense. Mais ensuite on laisse les gros s'expliquer : cela permet de ne pas faire dépendre le championnat des équipes plus faibles. C'est le vieux truc du "un championnat ne se gagne pas contre les petits, mais il peut se perdre".
Pas de ça en basket puisqu'on a fait le tri :) Et puis le niveau de jeu, d'intensité en playoffs est sans commune mesure avec le traintrain de la saison "régulière". Ça vaut le coup d'attendre. -
Tout à fait ! Ceux qui se plaignent des play offs vivent le basket de loin de toute évidence.
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En tout cas on se rend bien compte que le classement en saison régulière, l'avantage du parquet et tout et tout, ne valent plus grand chose à l'arrivée des PO..
(2011) 1er saison régulière : Cholet / vainqueur PO : Nancy
(2012) SR : Gravelines / PO : Chalon-sur-Saône
(2013) SR : Gravelines / PO : Nanterre
(2014) SR : Strasbourg / PO : Limoges
(2015) SR : Strasbourg / PO : Limoges
(2016) SR : Monaco / PO : Villeurbanne
(2017) SR : Monaco / PO : Chalon-sur-Saône
(2018) SR : Monaco / PO : Le Mans
Pour Monaco ça commence à faire beaucoup de déceptions également. -
C'est un jeune club qui a le temps. Il y a encore peu ils ferraillaient contre Mulhouse...
Ca fait toujours moins de déceptions que 5 finales consécutives perdues :-B -
Je peux comprendre que les plays offs soient intéressants pour certains, mais que ce soit en basket ou en rugby, perso je n'y trouve pas mon compte en terme de champion légitime en fin de saison....
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Ce n'est pas qu'intéressant pour certains, c'est un aspect essentiel des sports US dont le basket fait partie (d'origine même canadienne). Les trophées ne se gagnent pas contre Poitiers ou Boulazac, mais entre gros.
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Monaco est loin d'être un jeune club, qui a vu le jour en 1924 et qui évoluait encore au plus haut niveau au début des années 90. Par la suite un richissime propriétaire, qu'il n'est pas utile de citer, a permis au club de brûler les étapes à coups de biftons et d'avantages fiscaux, comme en foot. Un modèle en rien comparable avec un concurrent qui grandit à son rythme depuis plus d'une vingtaine d'années et son dernier passage en Pro B, l'investissement financier étant beaucoup plus grand en principauté sur une courte période. Au final une déception reste une déception, à Stras ou ailleurs mais je doute fort que la poule aux oeufs d'or se contente éternellement de la Coupe à Mickey, avec le risque de dire stop un jour et de voir Monaco retourner au niveau amateur. La SIG n'est pas plus récompensée sportivement ces dernières années mais elle ne dépend pas du bon vouloir d'un seul homme et ce sera encore plus vrai avec la nouvelle Arena.
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dudu a écrit, le 25/06/2018 08:32 : Je peux comprendre que les plays offs soient intéressants pour certains, mais que ce soit en basket ou en rugby, perso je n'y trouve pas mon compte en terme de champion légitime en fin de saison....
C'est défendable mais d'un autre côté, sans les PO, certains duels légendaires n'auraient jamais eu lieu..
Niveau intensité ce n'est en rien comparable avec la saison régulière. -
Louis Labeyrie s'en va
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De manière assez sale et imprévisible au regard du laconique communiqué du Club... ?
Comme quoi le foot ne détient pas le monopole en termes de mercenaires sans honneur ni fierté... -
Cela prouve que même avec Vincent Collet le club n'a pas beaucoup d'armes pour retenir ses meilleurs joueurs, il faudra encore modifier l'équipe à 80%, pour l'instant il y a juste pietrus qui est sur de rester. Zack Wright, Bilan, Dee Bost, Inglis, Atkins... Ont pratiquement fait leurs valises aussi.
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En terme de mercenaires, cale fait très longtemps que le basket est bien placé, en particulier pour les joueurs américains qui jouent en Europe.
Mais j'ai du mal à comprendre que l'on s'étonne encore de devoir renouveler un effectif à hauteur de 80% chaque année. C'est le sport où le taux de renouvellement est le plus important. -
C'est pareil pour les coupes d'Europe, je ne comprends pas que les clubs puissent choisir dans quelle coupe ils veulent jouer .
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Vu la popularité grimpante de Labeyrie, le fossé salarial entre le basket français et les principaux championnats européens, on pouvait malheureusement se douter qu'il allait faire marcher sa clause de départ. Au final, avec cette histoire de virus on aura que trop peu profité de lui et il fera le bonheur de clubs étrangers bien plus fortunés à l'avenir.
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Le 12 mai,la Sig a trouvé un accord avec Jacques Alingue
Le soir même :rupture du tendon d'Achille
La Sig a néanmoins tenu sa promesse et le fait signer 1 an mais le joueur ne sera pas opérationnel avant janvier 2019 -
L'enchaînement absence des play offs pour "maladie" et départ de Labeyrie laisse toutefois perplexe :-B
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chrisneudorf a écrit, le 01/07/2018 11:48 : Le 12 mai,la Sig a trouvé un accord avec Jacques Alingue
Le soir même :rupture du tendon d'Achille
La Sig a néanmoins tenu sa promesse et le fait signer 1 an mais le joueur ne sera pas opérationnel avant janvier 2019
Même si le club peut aussi y voir son intérêt par rapport au potentiel du joueur, que le risque est calculé avec la durée du contrat, ça reste un beau geste, les promesses n'ayant en général que peu de valeur et de poids dans le sport actuel face à l'enjeu financier et sportif. D'autres n'auraient pas hésité à lui souhaiter un bon rétablissement et une bonne continuation surtout. -
et ca peut jouer sur la fidelité du joueur
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En attendant des joueurs,la Sig a recruté Lassi Tuovi,ex adjoint de Dettmann. Il sera assistant coach chargé du scouting
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Qui avait d'ailleurs été conservé (après le licenciement de Dettmann) , laissant de bons souvenirs à son départ par la suite. La 3e arrivée avec Nzeulie et Alingue.
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Tant qu'Alingue ne sera pas opérationnel, je pense que c'est la sécu qui paie son salaire...
Financièrement vôtre, Paplo -
Sans être un spécialiste dans ce domaine, il me semble que la Sécu a un plafond, forcément bas par rapport aux salaires du monde pro, en comparaison avec Monsieur tout le monde, sans oublier que le club n'a pas la garantie de voir le joueur retrouver rapidement ses sensations en revenant d'une telle blessure. En conclusion, ce n'est pas un pari gratuit et qui comporte malgré tout une part de risque, d'où le geste appréciable du club en ayant tenu sa promesse.
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Une assurance spécifique pour les salaires élevés est généralement souscrite.
Le vrai risque porte sur la condition physique après guerison. -
Et sur le salaire malgré tout, une fois que le joueur sera jugé apte pour reprendre l'entraînement. Une rupture du tendon d'Achille n'est pas une blessure bénigne, après rééducation le joueur pouvant avoir besoin de plusieurs mois pour retrouver toutes ses sensations. C'est une bonne chose de respecter sa parole mais la SIG pourrait très bien ne jamais profiter d'Alingue à son véritable niveau lors de la saison à venir.
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