Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

En bourse ?

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Flux RSS 82 messages · 3.273 lectures · Premier message par rcsmick · Dernier message par captainflirt

  • Le club gagne un peu d'argent lors de l'émission des titres, le public est content d'avoir une part dans "son club"...et à la fin on appelle Jacques Maillot...ou Miguet #-o
  • Mieux que les emprunts russes et les actions Euro tunnel, les actions....Racing Club de Strasbourg! :))
  • D'un côté, c'est une bonne affaire, bientôt elles ne pourront que remonter :))
  • Jean-François Lamour a réaffirmé jeudi dans les colonnes de L'Equipe son opposition à l'entrée en bourse des clubs. Le ministre de la Jeunesse et des Sports estime que c'est un risque pour l'équité sportive.


    Déclarations de Jean François Lamour à L'Equipe (Ministre des Sports)
    L'équité sportive doit être préservée. Mais si certains ont accès et pas d'autres à ce type d'épargne, il y a un grand risque que cette équité sportive ne soit plus respectée. Aujourd'hui, même si les clubs français voulaient entrer en bourse, ils ne le pourraient pas. Leur capacité d'actifs est nulle. La transparence en matière de comptes n'est pas une réalité et les actifs des clubs sont extrêmement faibles.

    foot365
  • hans a écrit :
    D'un côté, c'est une bonne affaire, bientôt elles ne pourront que remonter :))


    C'est fou c'était il y a pas loin d'un an et c'est toujours aussi vrai :D
  • Mais ca se passe comment quand l'on mise en bourse pour un club de foot comment l'on gagne de l'argent c'est selon ces victoire et defaite ses affluence au stade etc... #-o ?
  • Je ne suis pas un expert en bourse mais il me semble (corrigez moi si je me trompe) que ça se passe de la manière suivante: le Racing met en vente un certain nombre d'actions. Les particuliers achètent et celà produit de l'argent pour le club. A la fin de la saison, un actiona chetée 30€ peut valoir 15€ ou 45€.
    Les actionnaires recoivent des dividendes sur les bénéfices du club.
  • Les clubs ont la cote

    Comme annoncé, le ministre des Sports Jean-François Lamour a indiqué mardi matin que la France allait lever l'interdiction pour ses clubs de faire appel public à l'épargne «de façon proportionnée», à l'issue d'une table ronde réunissant les acteurs du sport professionnel français réunie mardi à Paris. «L'interdiction absolue d'appel public à l'épargne sera levée, a déclaré le ministre. Le gouvernement français fera part à la Commission européenne de son intention de modifier en ce sens la loi française. Il importe cependant d'encadrer cette possibilité, de façon proportionnée, aux buts d'intérêt général que nous poursuivons».

    «Ainsi, une hypothèse de travail pourrait consister à lever l'interdiction d'appel public à l'épargne de manière encadrée, en autorisant l'émission par les sociétés sportives d'obligations, voire même de titres participatifs», a poursuivi M. Lamour. «En ce qui concerne les actions, leur émission publique pourrait être réservée aux sociétés sportives qui sont directement ou indirectement titulaires de droits réels sur l'équipement sportif dans lequel elles évoluent, a-t-il précisé. L'existence d'un droit de propriété sur l'enceinte sportive me semble être une garantie quant à la solidité des actifs de la société et quant au lien qui l'unit à son territoire. En résumé, un club qui ne serait pas propriétaire de son équipement sportif pourrait émettre dans le public des obligations ou des titres participatifs. Un club qui serait propriétaire de son équipement sportif pourrait de surcroît émettre des actions», a ensuite dit M. Lamour.

    Le 14 décembre dernier, la Commission européenne avait demandé à la France de modifier sa législation qui interdit aux clubs de football et autres structures sportives d'entrer en bourse. «Cette interdiction constitue une entrave injustifiée à la libre circulation des capitaux, en violation du traité européen (article 56)», précisait alors la Commission. Si la France devait ne pas donner de réponse satisfaisante dans les deux mois, la Commission pourrait décider de saisir la Cour européenne de justice, menaçait également Bruxelles. Si Jean-François Lamour, comme ses prédécesseurs, n'avait jamais manqué de rappeler son opposition à l'entrée des clubs en bourse, la plupart des présidents des grands clubs de football français réclamaient eux un changement de législation. L'interdiction d'entrer en bourse avait été introduite en 1999 dans la loi sur le sport du 16 juillet 1984. Elle avait été votée sous le gouvernement de Lionel Jospin et la ministre des Sports de l'époque était l'actuelle secrétaire nationale du PCF Marie-George Buffet.

    source : lequipe.fr
  • conan a écrit :
    Quand on voit le résultat avec la Lazio... :(


    C'est clair ! Obligés de faire des saluts nazis pour relancer l'économie du club ! :-&
  • samh a écrit :
    Les clubs ont la cote

    Comme annoncé, le ministre des Sports Jean-François Lamour a indiqué mardi matin que la France allait lever l'interdiction pour ses clubs de faire appel public à l'épargne «de façon proportionnée», à l'issue d'une table ronde réunissant les acteurs du sport professionnel français réunie mardi à Paris. «L'interdiction absolue d'appel public à l'épargne sera levée, a déclaré le ministre. Le gouvernement français fera part à la Commission européenne de son intention de modifier en ce sens la loi française. Il importe cependant d'encadrer cette possibilité, de façon proportionnée, aux buts d'intérêt général que nous poursuivons».

    «Ainsi, une hypothèse de travail pourrait consister à lever l'interdiction d'appel public à l'épargne de manière encadrée, en autorisant l'émission par les sociétés sportives d'obligations, voire même de titres participatifs», a poursuivi M. Lamour. «En ce qui concerne les actions, leur émission publique pourrait être réservée aux sociétés sportives qui sont directement ou indirectement titulaires de droits réels sur l'équipement sportif dans lequel elles évoluent, a-t-il précisé. L'existence d'un droit de propriété sur l'enceinte sportive me semble être une garantie quant à la solidité des actifs de la société et quant au lien qui l'unit à son territoire. En résumé, un club qui ne serait pas propriétaire de son équipement sportif pourrait émettre dans le public des obligations ou des titres participatifs. Un club qui serait propriétaire de son équipement sportif pourrait de surcroît émettre des actions», a ensuite dit M. Lamour.

    Le 14 décembre dernier, la Commission européenne avait demandé à la France de modifier sa législation qui interdit aux clubs de football et autres structures sportives d'entrer en bourse. «Cette interdiction constitue une entrave injustifiée à la libre circulation des capitaux, en violation du traité européen (article 56)», précisait alors la Commission. Si la France devait ne pas donner de réponse satisfaisante dans les deux mois, la Commission pourrait décider de saisir la Cour européenne de justice, menaçait également Bruxelles. Si Jean-François Lamour, comme ses prédécesseurs, n'avait jamais manqué de rappeler son opposition à l'entrée des clubs en bourse, la plupart des présidents des grands clubs de football français réclamaient eux un changement de législation. L'interdiction d'entrer en bourse avait été introduite en 1999 dans la loi sur le sport du 16 juillet 1984. Elle avait été votée sous le gouvernement de Lionel Jospin et la ministre des Sports de l'époque était l'actuelle secrétaire nationale du PCF Marie-George Buffet.

    source : lequipe.fr


    C'est notre cher Président qui va etre content...Il va pouvoir vendre une partie du capitale a ses supporters.... :-'
  • Tienjs, voici un article intéressant qui faisait le point sur les clubs côtés en bourse aujourd'hui, et ce qu'à fait leur cours.

    ClubPaysPrix à l'émissionPrix actuel
    Aston VillaAngleterre17€ (1997)6€
    Newcastle UtdAngleterre3€ (1998)0.6€
    Lazio RomeItalie3.04€ (1998)0.3€
    AS RomeItalie5.5€ (2000)0.507€
    Juventus TurinItalie3.7€ (2001)1.5€
    Borussia DortmundAllemagne11€ (2000)2.36€


    Les autres infos:
    • Les autres clubs côtés sont: Birmingham City, Charlton, Manchester City, Tottenham, West Bromwich Albion.
    • Manchester United a été le seul club qui a fait augmenter sa valeur en bourse, jusqu'à ce que Glazer ne rachète la totalité des parts.
    • Bolton, Leeds et Sunderland ont été décotés ces 2 dernières années.
    • Le Borussia Dortmund, seul club allemand côté, accuse un déficit de 90M€.
    • Aucun club espagnol n'est côté, alors que tous, exceptés le Real Madrid, le FC Barcelone et l'Atletic Bilbao remplissent les conditions pour entrer en bourse (être constituer en société anonyme).


    Bref, rentrer en bourse, c'est la meilleure façon pour que le club coule ...
  • :O Sa fait peur b-(
  • selon les conditions définies par lamour, seuls ajaccio et auxerre pour être cotés...
  • Et le RC Lens. :-B

    Sinon comme je n'ai pas envie de m'embeter à tout recopier, copier coller de ce que je disais dans le topic du SR Colmar:

    La cotation en bourse... Belle connerie dans l'esprit, mais à mon avis ca ne changera pas grand chose.

    Il doit y avoir une quarantaine de clubs cotés en bourse en Europe, la plupard se sont vautrés en beauté. A part quelques exceptions (Manchester, quelques clubs... Turcs, me demande pas comment ca se fait) ca ne marche pas.

    Aujourd'hui, seuls deux clubs pro en France peuvent prétendre à la cotation en bourse: Auxerre et Lens, les deux seuls clubs propriétaires de leur stade (enfin, bail amphithéotique très avantageux pour le RC Lens). Donc, tempête dans un verre d'eau comme dirait l'autre, mais ca dénote bien un état d'esprit général, ca arrive en même temps que Aulas qui essaye de détruire les séléctions nationales avec son recourt en justice dans l'affaire Abidal (il a de bonnes chances de gagner en plus, et ca risque des faire très mal... ).
  • La Une de Libé hier :

    Football

    Les clubs de foot un pied en bourse
    La France va autoriser leur cotation, comme l'exige Bruxelles. Les patrons du foot le souhaitaient depuis longtemps


    De quoi rendre jaloux les restaurateurs et les entrepreneurs du bâtiment. Rarement une corporation comme celle des patrons de club de foot aura été autant chouchoutée par son ministre de tutelle. Après une loi Lamour 1 en juillet 2004, leur accordant notamment la copropriété des droits télé ; après une loi Lamour 2 en décembre 2005, leur permettant de verser une partie des salaires en droits à l'image (exonérés de charges), il y aura, avant que l'ancien champion olympique de sabre ne quitte le ministère des Sports, une troisième loi Lamour, portant sur le sport professionnel. Dont la mesure la plus spectaculaire sera l'autorisation, sous conditions, de la cotation des clubs en Bourse, ce qui est formellement exclu dans la loi depuis 1999.

    Tabou. Le ministre de la Jeunesse, des Sports et de la Vie associative a brisé hier ce tabou du sport français. Il n'y a pas d'ambiguïté possible : «L'interdiction absolue d'appel public à l'épargne sera levée», a dit le ministre, qui ne s'était jamais déclaré favorable à l'entrée des clubs en Bourse, même au plus fort des revendications en ce sens des plus libéraux des patrons de club, menés par Jean-Michel Aulas, président de l'Olympique lyonnais (lire ci-contre). Question «accessoire», répondait Jean-François Lamour, sujet «second et secondaire». Un sujet revenu au premier plan via la Commission européenne : le 14 décembre, celle-ci avait demandé à la France de modifier sa loi, au motif que l'interdiction faite aux clubs d'entrer en Bourse constituait «une entrave injustifiée à la libre circulation des capitaux, en violation du traité européen». «Si la France devait ne pas donner de réponse satisfaisante dans les deux mois, la Commission européenne pourrait décider de saisir la Cour européenne de justice», ajoutait-elle. On ne devrait pas en arriver là.

    C'est donc contraint que Jean-François Lamour doit retourner son maillot sur la cotation des clubs. Qu'il entend assortir de garde-fous, au nom de «la préservation de l'unité entre sports amateur et professionnel», de l'«importance de ne pas rompre les liens entre un club et son territoire», pour éviter que des supporteurs, obéissant à leur passion, n'investissent dans leur club et «n'engagent leur épargne dans des investissements hasardeux», et enfin pour se prémunir «du risque très fort d'atteinte à l'équité des compétitions». En clair, pour Jean-François Lamour, la Bourse, c'est contraire à la tradition française, dangereux pour le petit épargnant et potentiellement facteur de corruption.

    Revendication. Mais comme il est interdit d'interdire d'y aller, le ministre des Sports suggère de n'autoriser à émettre des actions que les clubs propriétaires, directement ou indirectement, de leur stade. Les autres ne pourraient émettre que des obligations ou des titres participatifs, négociables sur les marchés financiers mais ne donnant pas de droit de vote en assemblée générale. Reste au gouvernement à négocier ces conditions avec Bruxelles, qui pourrait les estimer contraires à la libre circulation des capitaux et enjoindre à la France d'ouvrir plus grandes les portes de la Bourse. La cotation, c'est une vieille revendication des clubs français, qui n'ont de cesse de protester contre les distorsions de concurrence dont ils seraient victimes par rapport à leurs concurrents européens, même si l'expérience prouve que la Bourse n'est pas la panacée (lire ci-contre).

    Dans le paysage actuel du foot français, avec les conditions posées par Lamour, quel club pourrait alors postuler ? Seuls deux sont propriétaires de leur stade, Auxerre et Ajaccio. Lens possède un bail emphytéotique sur le sien de 99 ans. Lyon, Lille, Nice et Marseille ont des projets de construire le leur. Pas de quoi doucher la joie des responsables du foot à leur sortie du ministère. Frédéric Thiriez, président de la Ligue du foot professionnel : «Le nombre de clubs concernés, ce n'est pas la question. Il n'y a pas de raison que les clubs soient privés d'une source de financement accessible à toute société commerciale.» Gervais Martel, président de Lens et de l'Union des clubs professionnels français : «Il y a beaucoup d'avancées depuis deux-trois ans.» Il y en a même eu de supplémentaires hier matin.

    Cadeaux. Car au-delà de l'aspect spectaculaire de cette annonce, Jean-François Lamour a promis aux pontes du foot d'explorer des pistes de réforme, pour, par exemple, exonérer les clubs de la taxe sur les spectacles ou de la taxe professionnelle pour les investissements dans les infrastructures sportives. Le sport n'est pas une activité économique comme les autres, arguait Lamour. Pour refuser l'entrée en Bourse... et multiplier les cadeaux fiscaux aux clubs. C'est sûr, le foot français le regrettera.

    source : Libération.fr
  • La Bourse s'ouvre au football français

    Une étape décisive vers l'introduction en Bourse des clubs de football français a été franchie jeudi. Le conseil des ministres a en effet adopté le projet de loi négocié par le ministre des Sports Jean-François Lamour qui permettra aux clubs professionnels de faire appel à l'épargne publique. Ce texte que le parlement devrait adopter avant la fin de l'année prévoit que les clubs désireux d'entrer à la Bourse devront notamment remplir des conditions comme «acquérir ou construire un stade».

    Opposé à l'entrée en Bourse des clubs professionnels, Jean-François Lamour a dû céder sous la pression de la Commission européenne qui menaçait se saisir la Cour de justice. Dans une interview jeudi à L'Equipe, le ministre ne se dit toutefois «ni déçu, ni amer». «C'est une libéralisation avec des conditions, explique-t-il. Les clubs devront délivrer à l'AMF (Autorité des marchés financiers) un document spécifiant leurs projets de développement : équipement sportif, mais aussi restaurants, hôtels... Un certain nombre de club français ont d'ailleurs des projets dans ce sens». C'est notamment le cas de l'Olympique Lyonnais dont le président, Jean-Michel Aulas, a mené un intense lobbying pour obtenir la levée de l'interdiction de cotation des clubs. Le projet de l'OL consisterait à lever une centaine de millions d'euros avant la fin de l'année pour lancer la construction de son nouveau stade.

    Lyon et les autres clubs français sauront-ils faire mieux que leurs homologues européens ? La presse souligne jeudi «les piètres performances du ballon rond à la corbeille» (Le Figaro) et relève que dans de nombreux pays comme l'Angleterre, l'Italie ou l'Allemagne «la Bourse n'a plus la cote» (L'Equipe). Depuis l'introduction de Tottenham en 1983, une quarantaine de clubs européens a tenté l'aventure de la Bourse. Un quart de siècle plus tard, elles ne sont plus que 28 équipes à affronter l'humeur des actionnaires. Et seulement trois d'entre elles cotent au dessus de leurs cours d'introduction. A la sortie du conseil des ministres, le ministre des Sports s'est d'ailleurs appuyé sur ces précédents pour mettre en garde les futurs investisseurs : «On voit des exemples européens qui sont très mauvais en termes de résultats, des actions qui valaient cent à l'introduction d'un club en bourse valent dix, voire cinq maintenant». Jean-François Lamour a enfoncé le clou: «Je souhaitais protéger l'actionnaire, je reste maintenant très interrogatif sur les résultats d'une entrée en bourse». A noter que le projet du gouvernement suscite des réserves de l'opposition, le Parti socialiste dénonçant un projet de loi qui «s'inscrit pleinement dans une logique ultra-libérale».

    source : lequipe.fr
  • A y est c'est voté !
  • Le Bayern n'ira pas en Bourse

    A l'heure où la France ouvre aux clubs professionnels la possibilité d'entrer en Bourse (le projet de loi a été adopté jeudi matin en conseil des ministres), le Bayern Munich n'entend pas faire appel à l'épargne publique, adoptant ainsi une stratégie différente de celle prêtée notamment à l'Olympique Lyonnais. Les déconvenues du Borussia Dortmund, le seul club de Bundesliga à avoir tenté sa chance à la corbeille, ont certainement refroidi les ardeurs du club bavarrois. Le manageur général du Bayern, Uli Hoeness, a indiqué jeudi au site internet Sport1 que le club le plus réputé du football allemand n'avait pas l'intention d'être coté en Bourse dans l'immédiat. «Ce n'est pas un projet que nous avons actuellement à l'esprit, même si le Bayern susciterait beaucoup d'intérêt», explique-t-il. «Nous avons, je pense, toutes les caractéristiques pour être un club coté en Bourse : nous générons des bénéfices, n'avons pas de dettes et sommes propriétaires de notre stade» ajoute le futur président du Bayern Munich (en 2009). Sans exclure définitivement une entrée en Bourse, Hoeness privilégie l'ouverture du capital du Bayern à de nouveaux partenaires : «Nous nous entendons très bien avec Adidas qui détient 10% de notre capital. Plutôt qu'une cotation en Bourse, j'imaginerais plutôt que l'on cède une part de notre capital à Adidas ou à un autre partenaire stratégique qui nous convienne», a-t-il dit. Comme le Bayern, d'autres clubs allemands, comme le Hertha Berlin, ont été un temps tentés de franchir le pas. Mais l'exemple du Borussia, côté depuis 2000, a douché leur entousiasme. L'Equipe rappelle jeudi qu'en six ans l'action du club est passé de 11 à 2,46 euros.

    source : lequipe.fr
  • C'est un jeu dangereux. L'activité des clubs professionnels de foot, et de sport en général, n'est pas une activité économique traditionnelle, l'aléa des résultats sportifs, l'aléa dans la possibilité de trouver des sponsors, ne permettent pas de "programmer" à coup sûr les objectifs à atteindre, ne serait-ce qu'à court terme.

    En exemple, on peut citer le titre de la Lazio, passé de 18€ en 1998 à 0,35€ aujourd'hui. No comment. et MU s'est retiré du marché en 2004.

    Maintenant, s'il y a un club français suffisamment structuré pour tenter l'aventure (entre OL taxis, OL coiffure -quelle blague!- et OL taxis, l'activité est variée) c'est bien Lyon. J'imagine déjà Marseille qui veut faire pareil et qui se plante en choux-fleur :D
  • Nan moi j'aimerais bien que l'OL se vautre là dedans, style le gars qui le demande depuis 10 ans, qui l'obtient, et puis qui se rend compte que c'était débile :))
  • bon la grosse difference entre tous les clubs deja en bourse et les clubs francais reste le fait que nous avons la DNCG et que les clubs ne peuvent se permettre des deficites enormes sans apporter des garantis financieres...
    c'est deja une garantie de serieux meme si le principal risque a introduire un club en bourse reste le coté aleatoire du sport, qui fait que la meilleure equipe du monde peut toujours perdre sur 90 minutes face a un club de DH... l'argent ni changera rien... :-B
    perso je ne m'y risquerai pas, pas de facon a investire pour speculer...maintenant prendre quelques actions pour me croire proprietaire d une petite partie du Racing... je dis pas non!!! :)
  • C'est du n'importe quoi...

    Le but d'un club de foot, c'est d'avoir une balance financière équilibrée et de bon résultats sportifs, ce n'est pas de faire de l'argent pour verser des dividendes à des actionnaires.

    Vous préférez quoi, le Racing 10ème avec 1 M€ de bénéfice net ou le Racing 1er avec une balance nulle ?

    Dans toutes les secteurs, dès que les financiers arrivent, ils détruisent l'activité. C'est au tour du foot.

    Sans compter les futures situations ubuesques où les joueurs seront payés en stock-options, et où Machinchose, ancien joueur du FC X (et donc actionnaire du FC X) jouera avec l'AS Y... contre le FC X.
  • matteo a écrit :
    C'est du n'importe quoi...

    Le but d'un club de foot, c'est d'avoir une balance financière équilibrée et de bon résultats sportifs, ce n'est pas de faire de l'argent pour verser des dividendes à des actionnaires.

    Vous préférez quoi, le Racing 10ème avec 1 M€ de bénéfice net ou le Racing 1er avec une balance nulle ?



    Et toi, tu préfère quoi, le Racing 1er avec 1 M€ de bénéfice net ou le Racing 10ème avec une balance nulle ? :-'
  • Ah oui, samh, tu as un exemple qui existe d'un club qui finit premier sans tricher, côté en bourse, et qui fait des bénéfices ?

    - En Allemagne, Dortmund est proche du dépot de bilan permanent.
    - En Italie, la Juventus a triché, la Lazio a triché, et l'AS Roma ne gagne pas.
    - En Angleterre, seuls des clubs de seconde zone sont encore côtés en bourse.
    Tous sont perdants au final, tant sportivement que financièrement pour les actionnaires. (-)
  • Manchester United, Chelsea, Tattenham, Celtic, Rangers, Juventus, Ajax, Porto, Lisbonne, Galatasaray, Besiktas.

    Et encore là j'ai que mis ceux qui ont gagné qqchose. :-'
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