Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Le Racing saison 2008/2009

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  • Au soleil

    Les Strasbourgeois prolongent leur séjour dans le sud jusqu'à cet après-midi. Ce mini-stage n'a pour autre but que de se ressourcer au sortir d'un hiver rigoureux.
    Lundi soir, les Bleus ont rallié un établissement de balnéothérapie du côté du Grau-du-Roi, à Port-Camargue. « On est juste là pour changer d'environnement et chercher le soleil », explique Jean-Marc Furlan.
    Hier, les titulaires se sont ainsi reposés après un footing sur la plage. Quatre d'entre eux, touchés la veille - Paisley (cuisse), Cohade (mollet), J. Fanchone et Szelesi (ischio) - ont enfourché des vélos pour une sortie en bord de mer. Une séance d'entraînement est programmée ce matin, avant le retour vers Strasbourg dans l'après-midi.


    DNA
  • Le Racing a bien commencé sa saison,ensuite il s'est endormi en hiver,puis il se relève au retour des beaux jours.
    Ca me rappelle quelque chose et j'ai déjà vu ça par le passé..
    Il paraît que la vie est un éternel recommencement..
  • Faudrait recruter des Norvégiens, Suédois et des Danois pour l'hiver comme ça on fera enfin une saison complète :D
  • C'est vrai que les problèmes du Racing lorsque l'hiver arrive m'ont souvent étonnés.
    A croire qu'il y a qu'en Alsace qui fait froid.
    C'est presque un soulagement de voir les températures remontées.
    Ca peut faire sourire,pourtant c'est pas loin d'être vrai..
  • A onze journées de la fin, si on estime à 67 points le total à atteindre pour accéder à l'échelon supérieur, il faut encore que le Racing gagne 21 points, ce qui fait 7 victoires ou 6 victoires et trois nuls.
    Dans cette dernière hypothèse, il faut faire le plein à domicile, 5 victoires et gagner une fois à l'extérieur (Troyes ou Tours). On pourrait même s'accorder encore deux défaites (Lens et Montpellier). Je suis d'ailleurs persuadé que ce dernier match ne sera pas décisif. Mais comme on le voit, cela ne laisse pas beaucoup de joker et il ne faudra plus musarder en route. Tout faux pas entraine l'obligation de remporter plus d'un match à l'extérieur.
  • Au diable le nombre de point à avoir ! Que le racing fasse des bons / très bon résultats : face à angers, metz, montpellier et lens, et la montée sera assuré ! ;)
  • Allez juste un petit lien, parce que ca m'a fait exploser de rire quand je l'ai vu :
    Le classement sur le site officiel de Metz.Ils en seraient presque au point de tricher, regardez : Classement Ligue 2 Fcmetz.com

    :)) :)) :))
  • En attendant se soir il joue Tours et je l'ai vois mal perdre... On va devoir cartonner lundi contre cette belle équipe de angers...
  • kent168 a écrit, le 2009-03-20 13:40:27 :
    En attendant se soir il joue Tours et je l'ai vois mal perdre... On va devoir cartonner lundi contre cette belle équipe de angers...


    Ils jouent contre Chateauroux KENT168 ! loool !
    C'est bientot le week end, tu vas pouvoir te reposer :p
  • :$ En meme temps je ne suis pas sur que sa change grand chose a ma donne :p

    Il y a un Boulogne-Vannes intéressant par contre et Lens jour chez le 10eme donc pas évident :)
  • Ou est Romulo? Voila encore un recrutement que se fait attendre.
  • Contre Angers le racing doit gagner c est un adversaire qui vise aussi la monte
  • Rômulo va squatter l'infirmerie, il est blessé aux adducteurs ;)
  • Romulo est pire que Gargorov #-o
  • Le problème c est que Romulo est prête. Il doit jouer le plus vite possible pour que le racing rentabilise le pret sinon c est encore de l argent de perdu.
  • Tu parles de la femme de Romulo qui est prete ?
  • Pire dans le sens meilleur ? Alors c'est intéressant :))

    Encore faut-il qu'on le voit jouer avant qu'il ne retourne d'où il vient :D
  • katzo68 a écrit, le 2009-03-22 09:40:45 :
    Rômulo va squatter l'infirmerie, il est blessé aux adducteurs ;)
    avant la rencontre il y aura un match amical entre les infirmiers de Strasbourg contre les infirmiers d'Angers avec Romulo et Gargorov comme titulaire!
  • 3 victoires consécutives,4 fois de suite qu'on marque 2 buts dans un même match,3 rencontres sans encaisser de but,une 2 ème place au classement..
    L'histoire est en marche pour notre Racing.. (+)
  • Voila enfin la série que j'appellais de mes voeux. Il serait bon qu'elle se poursuive encore un peu histoire de stabiliser la position de l'équipe sur le podium. On entre dans le sprint final, désormais, il faut tout donner et prendre un maximum de points. Au cours de matches aller, les équipes que l'on va rencontrer ne nous ont pas beaucour réussi. La victoire d'hier soir montre que ce n'est pas une fatalité. Il va falloir rendre la monaie de leur pièces à toutes ces formations, C'est possible.
  • ludo2607 a écrit, le 2009-02-23 11:42:44 :
    L'avenir du Racing se dessine clairement en L1 pour moi.
    Prendre 6 points sur 18 possibles et rester accroché à 2 points seulement du podium est pour moi le signe que lorsque ces feignasses se décideront à (re)-jouer au football, avec au pire un match nul à Vannes et deux victoires après, les bleus seront sur le podium et voila... (+)


    ludo2607 a écrit, le 2009-02-23 11:51:13 :
    OK pour Montpellier mais concernant Angers, ils ont à mon sens et aux vues de leurs prestations actuelles atteint leur acmé...


    O:)
  • Le triumvirat s'affirme

    Il aura donc fallu attendre le baisser de rideau de la 28e journée et la probante victoire du Racing aux dépens d'Angers (2-0) pour voir les favoris à l'accession occuper de concert les marches du podium. Lens, Strasbourg et Metz, soit les trois recalés de l'élite, ont désormais dix journées devant eux pour consolider leurs positions et repousser les assauts des trouble-fête.

    Désignés comme les grands favoris dans la course à la (re)montée, le triumvirat déchu au printemps dernier à l'étage supérieur n'avait encore jamais affirmé à l'unisson ses ambitions. Vannes, Tours, Boulogne, Angers ou Montpellier étaient venus, dans le désordre, se hisser au sommet de la Ligue 2 pour composer le tiercé gagnant.

    « Les joueurs ne se sont jamais déballonnés. Ça fait aussi partie du talent »

    Comme un symbole, c'est à l'entame de la dernière ligne droite, à désormais dix étapes du poteau, que Lensois, Strasbourgeois et Messins se retrouvent aux avant-postes. C'est assurément un signal fort pour ceux qui rêvent de reléguer l'une des pointures sur le quai au moment où le train de l'élite s'ébranlera, des valises pleines d'amertume et de regrets sous les bras, le 29 mai prochain.
    Sur le refrain de « rien n'est fait, tout reste à faire », Jean-Marc Furlan se garde bien de tirer des plans sur la comète. Son équipe, qui se trouva fort dépourvue quand la bise fut venue, retrouve à peine des couleurs. Il n'empêche. Le Racing est sorti debout, peut-être même renforcé sait-on jamais, d'un hiver à glacer les sangs.
    « On n'a pas surmonté nos déboires, on s'en est servi, explique l'entraîneur alsacien, à l'évocation des mois pénibles. Les joueurs ne se sont jamais déballonnés. Ils n'ont pas sombré dans les affres traversées à la Meinau. Ils ont toujours su répondre présent. Ça fait aussi partie du talent. Cette équipe a un projet de jeu. Tout cela va la faire grandir. »
    La victoire contre le SCO d'Angers, formation qui les précédait directement au classement au coup d'envoi, participe à cette logique. Les Bleus montent indéniablement en régime, même si la qualité de jeu en pâtit. « Nous ne fournissons pas un grand spectacle, mais nous gagnons », s'excuse presque Furlan.
    En quatre journées, le Racing a ainsi inscrit dix gros points. Soit autant que lors des dix journées précédentes. Au passage, Guillaume Lacour et les siens ont repris trois points à Metz et à Montpellier, sept à Lens, un leader dont le statut d'intouchable est sérieusement mis à mal ces dernières semaines.
    « C'est bien, mais ça peut encore être mieux, ajoute Jean-Marc Furlan. L'avantage, c'est que nous avons élargi le groupe. Dans le sprint final, tout le monde va se sentir concerné. » Le coach peut ainsi compter sur un Kandia Traoré remonté comme un coucou, lui qui a signé son troisième doublé de la saison après avoir croupi plus de trois mois sur le banc.

    « Je ne vais rien changer, sauf à y être obligé »

    Au-delà de la réussite éclatante de l'Ivoirien, en pur finisseur, le Racing dispose a priori d'une marge de progression intéressante. Sur le côté gauche, la relation entre Jean-Alain Fanchone et Yassine Bezzaz s'affine de match en match et pourrait bientôt relever de la complicité. Le premier nommé, naturellement porté vers l'attaque, sait que son coéquipier colmatera les brèches en cas de besoin.
    A l'arrière, la paire Shereni - Pelé gagne en assurance et en crédibilité. Contre Angers, leur deuxième association - le Zimbabwéen était suspendu à Nîmes la semaine passée - s'est à nouveau soldée par un résultat probant, le but de Cassard restant inviolé. Grégory Paisley, l'ex-pilier défensif relégué sur le banc, devra redoubler d'effort pour récupérer sa place de titulaire.
    « La fin de saison n'est plus trop propice aux essais, confirme Furlan. J'ai acquis certaines convictions quant à la composition de mon équipe. Je ne vais rien changer, sauf à y être obligé. » L'entraîneur apprécie tout particulièrement le rendement de ses deux milieux récupérateurs, en l'occurrence Lacour - qui a disputé son 200e match sous le maillot bleu - et Cohade. Ce dernier, longtemps en proie à des baisses de régime, revient au sommet de sa forme au bon moment.

    « J'ai l'impression que nous avons franchi un palier à l'extérieur »

    En dépit de l'absence prolongée d'Emil Gargorov, qui soigne toujours une lésion à la cuisse, les Alsaciens semblent bien armés pour aborder l'emballage final. Sur les cinq prétendants à la montée (*), leur calendrier parait être le plus compliqué, avec trois confrontations directes, mais surtout six déplacements pour quatre matches à domicile.
    « J'ai l'impression que nous avons franchi un petit palier à l'extérieur », tempère Jean-Marc Furlan, rasséréné par le nul ramené de Vannes (2-2) et la victoire obtenue à Nîmes (0-2). C'est à Troyes, ce vendredi, que le Racing cherchera à confirmer ses bonnes dispositions. Histoire de défendre ses positions, ardemment convoitées par les trois poursuivants.
    Le triumvirat est peut-être constitué, mais la lutte de pouvoir ne fait que commencer.


    (*) Boulogne, Tours et Sedan, tous trois à 42 points, restent à un degré moindre en course pour la montée.


    DNA
  • «Une saveur en plus»

    Aux côtés de Shereni comme de Paisley, Steven Pelé participe à l'efficacité d'une arrière-garde hermétique depuis trois matches.

    - Le Racing a enchaîné sa 3e victoire en trois matches, sans encaisser le moindre but. A quoi attribuez-vous ses progrès ?
    - Toute l'équipe a pris conscience qu'on avait un problème à ce niveau. On s'est plongé dans des statistiques de janvier ou février. Il fallait changer d'attitude. Et c'est chaque joueur qui fait aujourd'hui le petit mètre supplémentaire et nécessaire pour corriger les lacunes.

    - Cette série intervient alors que vous avez dû, tour à tour, défendre avec Shereni ou Paisley en défense centrale. N'est-ce pas perturbant de participer à une défense changeante ?
    - Cela a pu l'être. Mais depuis le début de la saison, l'équipe change beaucoup. En fait, on commence à s'habituer. On se connaît de mieux en mieux avec Harlington et Greg, il y a des réflexes qui se mettent en place et il y a une dynamique : moins on prend de but, moins on a envie d'en prendre.

    - Quels sentiments dominent après une victoire face à un concurrent direct ?
    - Il y a une petite saveur en plus, c'est sûr, parce que c'était un sommet et que l'on prend de l'avance sur un rival. Mais on sait aussi qu'il reste dix matches. Si on perd vendredi et les deux suivants, cela n'aura pas servi à grand-chose de battre Angers.


    DNA
  • Un dauphin les pieds sur terre

    Calmes dans la tourmente des pénibles mois de janvier et février, les Strasbourgeois, de nouveau dauphins de L 2, ne s'enflamment pas après leurs trois succès d'affilée 2-0 contre Clermont, à Nîmes et lundi face à Angers. Entre une solidité retrouvée, mais pas sans faille, et un jeu perfectible, ils savent le chemin encore long.

    C'est une grâce à rendre aux Strasbourgeois version 2008-2009 : Jean-Marc Furlan et ses hommes n'ont besoin de personne pour juger leurs propres prestations. Loin de l'euphorie un peu béate dans laquelle baignaient les observateurs lundi après la rencontre, le coach et ses joueurs ont dressé un tableau sans concession de leur 3e victoire consécutive sur le même score : 2-0 contre Clermont, à Nîmes et, donc, face à Angers. Sans bouder leur plaisir, mais avec un discernement qui en dit long sur la lucidité d'un groupe à l'heure d'évaluer ses chances réelles.
    Dès son arrivée au point-presse d'après-match, Jean-Marc Furlan, qui affiche parfois moins de recul à chaud, a volontiers reconnu que son équipe n'avait pas livré « son match le plus abouti offensivement. Nous n'avons pas fourni un grand spectacle. Mais nous gagnons et le public aime ça. C'est bien de gagner sans forcément y mettre la manière. Nous avons su être efficaces et pragmatiques. Ça n'a pas toujours été le cas cette saison. »
    Longtemps scrutateur privilégié depuis le banc de touche, avant son entrée en fin de partie, Pierre Ducrocq laisse lui aussi la langue de bois aux vestiaires. « Les Angevins ont été fébriles derrière. Nous avons su en profiter. Du banc, j'ai tout vu et bien (rires). Quelqu'un qui connaît le foot ne peut pas dire qu'il a vu un bon match. Ce n'est pas le genre de partie où tu prends du plaisir, ni à regarder, ni à jouer, mais qu'il faut gagner. La rencontre n'était pas belle. Nous avons eu le mérite de la gagner. C'est tout ce qu'il faut retenir. Cette 3e victoire va donner encore plus de confiance. Aujourd'hui, nous ne courons plus après nos adversaires. Nous sommes devant. Nous pouvons imprimer notre rythme. »
    Renaud Cohade acquiesce : « Nous avons eu la chance de marquer et de faire le break très vite. Après, nous avons pu les laisser venir. Nous aurions sans doute pu poser davantage la balle, mais l'essentiel était de poursuivre notre série et d'entretenir notre bonne dynamique. Tout n'est pas parfait et il reste des choses à améliorer. Il faudra aller à Troyes ce vendredi avec encore beaucoup de volonté. Mais nous avions à coeur de nous rattraper après le match aller perdu 3-0 au cours duquel nous étions passés à travers. En plus, Angers est un prétendant. Nous avons su être costauds. »
    Pour la 3e fois d'affilée, le RCS n'a en effet pas encaissé de buts. Mais en certaines occasions, mal négociées par les Angevins notamment en début de match, il a été au bord de la rupture. « Si deux dernières passes dans l'intervalle avaient été mieux assurées, nous nous serions retrouvés deux fois en duel avec Cassard », enrage un Jean-Louis Garcia incapable d'expliquer « le jour sans, l'accident » de son SCO à la Meinau. « Mais comptez sur nous pour nous mêler à la lutte jusqu'au bout. »

    Cohade : « Il faut conserver cette solidité »

    Cette lutte, le Racing, par la grâce de 10 points pris en 4 matches, en est de nouveau au coeur. « Ça fait trois rencontres que nous n'encaissons pas de but. 2-0, c'est un tarif qui me va bien », sourit Cohade. « Les matches à venir vont être les meilleurs à jouer, parce qu'on arrive dans les moments importants. Il faut conserver cette solidité, tout simplement. »
    Conscients de leurs lacunes résiduelles, les Bleus avancent groupés vers leurs dix derniers rendez-vous. Avec six déplacements en vue, la dernière ligne ne paraît pas si droite. Le Racing l'aborde lancé. C'est toujours mieux.

    L'Alsace
  • Des images comme on les aime :x

    http://www.sports.fr/images/features/200913/thumb_196_56151.jpg
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