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- Par romain-du-11
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Grâce à sa victoire sur Amiens hier soir, le Racing est assuré de terminer la première partie de la saison sur le Podium de la Ligue 2.
Une entame compliquée
Une fois le round d'observation dépassé, c'est l'équipe amiénoise qui se crée la première occasion par l'intermédiaire du très remuant Antoine Buron, bien servi par Fayolle; le milieu droit Picard se joue très facilement de Jean-Christophe Vergerolle avant de tenter une frappe croisée que Stéphane Cassard claquera d'une manchette de la main droite.
Nous jouons la quatorzième minute et toujours rien à se mettre sous la dent du côté strasbourgeois, Amiens, sixième au classement accentue sa pression toujours par le même Buron qui mystifie Vergerolle avant de frapper en angle fermé mais Cassard est vigilant.
Les visiteurs vont clore ce premier quart d'heure avec une troisième occasion franche, cette fois-ci c'est Yves Deroff qui juge mal la trajectoire d'un ballon venant de la gauche, l'ancien Toulousain Thibault Giresse en profite pour adresser un bon centre à Heitzmann surnommé "Le Bison", ce dernier frappe en première intention mais le ballon rase la barre transversale.
Le réveil des Strasbourgeois
Après un quart d'heure proche du néant, le Racing se procure sa première véritable occasion par son capitaine, Yacine Abdessadki, ce dernier profitant d'un bon centre venu de la gauche signé Renaud Cohade pour réaliser une belle tête plongeante qui obligera Merville à s'employer.
La bourde de Merville
Peu après la demi heure de jeu, une frappe de Lacour n'inquiètera pas le gardien Picard qui sera très malheureux, lorsque, à la trente-cinquième minute, suite à un corner intelligemment joué par Abdessadki, le revenant Pascal Camadini déposera le ballon sur la tête de Strasser, a priori sans danger... A priori seulement car le ballon glissant échappe à Merville, un but gag qui fait le bonheur des 15 654 spectateurs de La Meinau hier soir.
Au retour des vestiaires, c'est Strasbourg qui continue à pousser pour obtenir ce second but libérateur, ce second but, Yacine Abdessadki n'était pas loin de l'obtenir, c'était sans compter sur la jolie parade de Merville sur son coup franc peu avant l'heure de jeu.
Cassard sauve les meubles
Amiens évolue de plus en plus par des contres, l'un d'entre eux aurait très bien pu coûter très cher au Racing. Nous jouons la 60ème minute, Heitzmann, transfuge de Valenciennes, déborde sur sa droite et centre à ras de terre, Deroff coupe la trajectoire en se jetant mais sans un réflexe miraculeux du toujours très bon Stéphane Cassard, Amiens égalisait.
Une fin de match sereine
Le coach amiénois, Ludovic Batelli, changera ses batteries en faisant entrer Gary Perchet et le Carcassonnais Nicolas Raynier, buteur au match aller mais rien n'y fera.
Sous les yeux de son sélectionneur, Eric Mouloungui aurait même dû bénéficier d'un pénalty à un quart d'heure de la fin, s'étant fait "sécher" par Boche mais l'arbitre, M. Falcone, ne bronchera pas.
Dans les arrêts de jeu, un contre mené par Cohade échouera de très peu mais l'essentiel est assuré, le Racing s'accroche à sa troisième place, pouvant passer les fêtes de Noêl sereinement.
Une fois le round d'observation dépassé, c'est l'équipe amiénoise qui se crée la première occasion par l'intermédiaire du très remuant Antoine Buron, bien servi par Fayolle; le milieu droit Picard se joue très facilement de Jean-Christophe Vergerolle avant de tenter une frappe croisée que Stéphane Cassard claquera d'une manchette de la main droite.
Nous jouons la quatorzième minute et toujours rien à se mettre sous la dent du côté strasbourgeois, Amiens, sixième au classement accentue sa pression toujours par le même Buron qui mystifie Vergerolle avant de frapper en angle fermé mais Cassard est vigilant.
Les visiteurs vont clore ce premier quart d'heure avec une troisième occasion franche, cette fois-ci c'est Yves Deroff qui juge mal la trajectoire d'un ballon venant de la gauche, l'ancien Toulousain Thibault Giresse en profite pour adresser un bon centre à Heitzmann surnommé "Le Bison", ce dernier frappe en première intention mais le ballon rase la barre transversale.
Le réveil des Strasbourgeois
Après un quart d'heure proche du néant, le Racing se procure sa première véritable occasion par son capitaine, Yacine Abdessadki, ce dernier profitant d'un bon centre venu de la gauche signé Renaud Cohade pour réaliser une belle tête plongeante qui obligera Merville à s'employer.
La bourde de Merville
Peu après la demi heure de jeu, une frappe de Lacour n'inquiètera pas le gardien Picard qui sera très malheureux, lorsque, à la trente-cinquième minute, suite à un corner intelligemment joué par Abdessadki, le revenant Pascal Camadini déposera le ballon sur la tête de Strasser, a priori sans danger... A priori seulement car le ballon glissant échappe à Merville, un but gag qui fait le bonheur des 15 654 spectateurs de La Meinau hier soir.
Au retour des vestiaires, c'est Strasbourg qui continue à pousser pour obtenir ce second but libérateur, ce second but, Yacine Abdessadki n'était pas loin de l'obtenir, c'était sans compter sur la jolie parade de Merville sur son coup franc peu avant l'heure de jeu.
Cassard sauve les meubles
Amiens évolue de plus en plus par des contres, l'un d'entre eux aurait très bien pu coûter très cher au Racing. Nous jouons la 60ème minute, Heitzmann, transfuge de Valenciennes, déborde sur sa droite et centre à ras de terre, Deroff coupe la trajectoire en se jetant mais sans un réflexe miraculeux du toujours très bon Stéphane Cassard, Amiens égalisait.
Une fin de match sereine
Le coach amiénois, Ludovic Batelli, changera ses batteries en faisant entrer Gary Perchet et le Carcassonnais Nicolas Raynier, buteur au match aller mais rien n'y fera.
Sous les yeux de son sélectionneur, Eric Mouloungui aurait même dû bénéficier d'un pénalty à un quart d'heure de la fin, s'étant fait "sécher" par Boche mais l'arbitre, M. Falcone, ne bronchera pas.
Dans les arrêts de jeu, un contre mené par Cohade échouera de très peu mais l'essentiel est assuré, le Racing s'accroche à sa troisième place, pouvant passer les fêtes de Noêl sereinement.
