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- Après-match
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- Auteur(s)
- Par i.love.rcs
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Le Racing s'est déplacé hier à Gundershoffen après 25 ans d'absence. Tout le village était en ébullition depuis une semaine et c'est la foule des grands soirs qui a assisté à une rencontre plutôt terne qui s'est soldée par un match nul.
Le temps est nuageux à l'approche du match mais plus le coup d'envoi se rapproche plus le ciel se dégage. Les supporters strasbourgeois s'entassent dans le stade Charles Jung et une belle colonie de « Karlsruher » est également présente. La température est printanière, une tribune a été spécialement érigée pour l'arrivée du RCS le stade est presque comble, 1800 spectateurs sont finalement présents pour assister à ce match amical.
Au coup d'envoi les UB90 et les PS99 fêtent leur jumelage avec une trentaine de torche allumées.
Le match commence timidement, le jeu est assez fermé mais le milieu de terrain s'anime. Cette rencontre est réellement amicale, les fautes sont rares et c'est un jeu d'attaque défense qui prédomine avec peu d'occasions, quelques frappes mais non cadrées. La partie est assez équilibrée tout de même avec une légère domination strasbourgeoise vers la fin de la première mi-temps, c'est une domination concrétisée par un pénalty, pénalty transformé par le jeune Kévin Gameiro à la 46ème minute.
Le coup de sifflet retentit pour annoncer le but et la mi-temps les joueur regagnent les vestiaires et les spectateurs la buvette. A noter l'absence dans les tribunes de Marc Keller, d'Egon Gindorf et de Philippe Ginstet.
Le match reprend en seconde mi-temps comme en première: le jeu est calme, posé avec une certaine animation du côté du KSC avec deux occasions par Sean Dundee, qui égalise sur pénalty également. A observer les joueurs et leur engagement, personne ne semble vouloir gagner cette rencontre qui fait vraiment figure de match d'entraînement plus qu'autre chose. Le Racing s'active quand même côté droit avec trois bons centres mais qui atterrissent dans les bras du portier allemand. La rencontre se termine finalement logiquement sur un score de parité.
Plusieurs joueurs ont su toutefois tirer leur épingle du jeu lors de cette opposition. Kévin Gameiro, le jeune attaquant des -18 ans du Racing a bien animé le match et Ulrich Le Pen a bien bougé la défense du KSC.
Une partie bien terne mais suivie par quelque chants « Karlsruher » et quelques applaudissements du public Gundershoffenois acquis à la cause du Racing.
Chacun rentre et y va de son petit commentaire « vivement la prochaine fois », « j'ai jamais vu autant de monde à Gunder' depuis la CF4 ».
Au coup d'envoi les UB90 et les PS99 fêtent leur jumelage avec une trentaine de torche allumées.
Le match commence timidement, le jeu est assez fermé mais le milieu de terrain s'anime. Cette rencontre est réellement amicale, les fautes sont rares et c'est un jeu d'attaque défense qui prédomine avec peu d'occasions, quelques frappes mais non cadrées. La partie est assez équilibrée tout de même avec une légère domination strasbourgeoise vers la fin de la première mi-temps, c'est une domination concrétisée par un pénalty, pénalty transformé par le jeune Kévin Gameiro à la 46ème minute.
Le coup de sifflet retentit pour annoncer le but et la mi-temps les joueur regagnent les vestiaires et les spectateurs la buvette. A noter l'absence dans les tribunes de Marc Keller, d'Egon Gindorf et de Philippe Ginstet.
Le match reprend en seconde mi-temps comme en première: le jeu est calme, posé avec une certaine animation du côté du KSC avec deux occasions par Sean Dundee, qui égalise sur pénalty également. A observer les joueurs et leur engagement, personne ne semble vouloir gagner cette rencontre qui fait vraiment figure de match d'entraînement plus qu'autre chose. Le Racing s'active quand même côté droit avec trois bons centres mais qui atterrissent dans les bras du portier allemand. La rencontre se termine finalement logiquement sur un score de parité.
Plusieurs joueurs ont su toutefois tirer leur épingle du jeu lors de cette opposition. Kévin Gameiro, le jeune attaquant des -18 ans du Racing a bien animé le match et Ulrich Le Pen a bien bougé la défense du KSC.
Une partie bien terne mais suivie par quelque chants « Karlsruher » et quelques applaudissements du public Gundershoffenois acquis à la cause du Racing.
Chacun rentre et y va de son petit commentaire « vivement la prochaine fois », « j'ai jamais vu autant de monde à Gunder' depuis la CF4 ».
