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En mode Dominos, le Racing a encore du boulot !
Le troisième match de préparation à cette nouvelle saison de Ligue 2 avait lieu samedi après midi à Schiltigheim face aux Belges de Charleroi. Thierry Laurey avait annoncé en avant match qu’il donnerait plus de temps de jeu à certains éléments de son effectif en vue des premiers matchs officiels à venir. Le but étant de prendre des automatismes pour la nouvelle saison.
Le onze de la première période ressemble fortement à ce qu’on pourra certainement voir lors de la première journée face à Bourg-en-Bresse.
Les premières minutes ne montrent pas grand chose, les deux équipes ne prenant aucun risques et s’observant. Le Racing commence à dominer quand Charleroi, sur sa première offensive, ouvre le score d’un contrôle de la poitrine suivi d’une demi-volée un peu chanceuse de Boulenger qui finit sa course dans le petit filet d’Oukidja, impuissant. Au quart d’heure de jeu, Charleroi mène donc 1-0.
Bien qu’impuissant offensivement, le Racing domine et son milieu de terrain montre de très belles choses. Nogueira, après un premier match passable puis un autre bien meilleur, confirme toutes ses promesses. Il a surnage techniquement, surtout dans les petits espaces, toutefois avec quelques pertes de balles dûes notamment à un manque d’automatismes et de compréhensions avec ses compères offensifs et du milieux.
L’attaque est quand même assez décevante. Boutaïb, plein de bonne volonté, n’arrive pas à se faire servir dans de bonnes conditions et Guillaume, à court de forme, est souvent à contre temps avec ses appels. Toutefois, il montre lors de quelques incursions bien senties qu’il peut être un des points fort de cette attaque.
La défense et surtout Seka apparaissent assez fébriles ce samedi, surtout dans les interventions les plus compliquées. C’est peut-être dû aux nombres d’entrainements en cette période de reprise. Néanmoins, N’Dour confirme sa forme de la saison dernière, toujours bien placé et dont les incursions offensives amènent le danger dans le camp adverse.
A la mi-temps, Bahoken remplace Guillaume et l’ancien Turinois à l’essai, Landry Bonnefoi remplace Alexandre Oukidja, peu sollicité dans cette mi-temps mais battu au quart d'heure de jeu. L’entrée de Bahoken, qui est plus remuant que Guillaume mais toujours maladroit dans le dernier geste, montre qu’il peut être précieux sur le front de l'attaque, grâce à son profil différent de ses camarades.
Le match reprend dans la même ligne qu'en première période, le Racing domine mais ne se procure quasiment aucune occasion et Charleroi se procure quelques contres, où Bonnefoi ne parait pas toujours rassurant.
A la 70ème, Laurey fait rentrer bon nombre de joueurs pour une équipe complément remaniée. L’équipe emmenée par un Pouye volontaire et appliqué et un Belhameur en jambes dynamite l’attaque strasbourgeoise face à une équipe belge elle aussi reconstituée. Pouye apparait comme un joueur neuf et peut prétendre à plus qu'un rôle de remplaçant.
Pour conclure, le Racing s'est montré dans un bon jour face à un adversaire d'une division supérieure à lui. Le milieu s'est montré prometteur et peut encore progresser tout comme la défense qui devra se montrer plus sérieuse. Mais le grand chantier sera forcement l'attaque où les combinaisons n'ont pas été fructueuses. Ce Racing suscite l'espoir d'une bonne saison, dans la lignée des déclarations de Laurey qui vise une 8ème place.
Le onze de la première période ressemble fortement à ce qu’on pourra certainement voir lors de la première journée face à Bourg-en-Bresse.
Les premières minutes ne montrent pas grand chose, les deux équipes ne prenant aucun risques et s’observant. Le Racing commence à dominer quand Charleroi, sur sa première offensive, ouvre le score d’un contrôle de la poitrine suivi d’une demi-volée un peu chanceuse de Boulenger qui finit sa course dans le petit filet d’Oukidja, impuissant. Au quart d’heure de jeu, Charleroi mène donc 1-0.
Bien qu’impuissant offensivement, le Racing domine et son milieu de terrain montre de très belles choses. Nogueira, après un premier match passable puis un autre bien meilleur, confirme toutes ses promesses. Il a surnage techniquement, surtout dans les petits espaces, toutefois avec quelques pertes de balles dûes notamment à un manque d’automatismes et de compréhensions avec ses compères offensifs et du milieux.
L’attaque est quand même assez décevante. Boutaïb, plein de bonne volonté, n’arrive pas à se faire servir dans de bonnes conditions et Guillaume, à court de forme, est souvent à contre temps avec ses appels. Toutefois, il montre lors de quelques incursions bien senties qu’il peut être un des points fort de cette attaque.
La défense et surtout Seka apparaissent assez fébriles ce samedi, surtout dans les interventions les plus compliquées. C’est peut-être dû aux nombres d’entrainements en cette période de reprise. Néanmoins, N’Dour confirme sa forme de la saison dernière, toujours bien placé et dont les incursions offensives amènent le danger dans le camp adverse.
A la mi-temps, Bahoken remplace Guillaume et l’ancien Turinois à l’essai, Landry Bonnefoi remplace Alexandre Oukidja, peu sollicité dans cette mi-temps mais battu au quart d'heure de jeu. L’entrée de Bahoken, qui est plus remuant que Guillaume mais toujours maladroit dans le dernier geste, montre qu’il peut être précieux sur le front de l'attaque, grâce à son profil différent de ses camarades.
Le match reprend dans la même ligne qu'en première période, le Racing domine mais ne se procure quasiment aucune occasion et Charleroi se procure quelques contres, où Bonnefoi ne parait pas toujours rassurant.
A la 70ème, Laurey fait rentrer bon nombre de joueurs pour une équipe complément remaniée. L’équipe emmenée par un Pouye volontaire et appliqué et un Belhameur en jambes dynamite l’attaque strasbourgeoise face à une équipe belge elle aussi reconstituée. Pouye apparait comme un joueur neuf et peut prétendre à plus qu'un rôle de remplaçant.
Pour conclure, le Racing s'est montré dans un bon jour face à un adversaire d'une division supérieure à lui. Le milieu s'est montré prometteur et peut encore progresser tout comme la défense qui devra se montrer plus sérieuse. Mais le grand chantier sera forcement l'attaque où les combinaisons n'ont pas été fructueuses. Ce Racing suscite l'espoir d'une bonne saison, dans la lignée des déclarations de Laurey qui vise une 8ème place.
