Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Les répliques de films cultes

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Flux RSS 215 messages · 54.913 lectures · Premier message par playlikebeckham · Dernier message par rcarlos67

  • Sean Connery, dans Goldfinger (j'ai honte, mais j'ai un vieux doute, j'en ai vu beaucoup en peu de temps) :
    "Il y'a des choses qui ne se font pas, comme de boire un Don Perignon 54 à plus de 3 degrés. C'est comme... (il réfléchit) Ecouter les Beatles sans boules quies."
    :x
  • Bon on pourrait mettre tout Apocalypse Now, mais j'ai tout de même choisi celle-ci:

    Colonel Walter E.Kurtz (Marlon Brando):
    We train young men to drop fire on people. But their commanders won't allow them to write "fuck" on their airplanes because it's obscene!
  • Dans l'indispensable "Un dimanche à Kigali":

    Un rwandais désabusé, au tout début du génocide:
    "Vous croyiez que nous étions des animaux, maintenant vous savez que nous sommes des êtres humains"

    L'héroïne, Gentille:"Les gens ne meurent pas chez vous?"
    Ce qui inspirera ceci à Luc Picard, remarquable interprète du héros du film:
    "Ce que je retiens de l'Afrique, c'est cette attitude face à la mort. Brel disait que nous avions des problèmes d'immortels; les Africains, eux, ont des problèmes de mortels, ils savent que la mort existe. Ici (nota: Au Canada, et par extension en occident), nous nous prenons la tête comme si nous allions vivre 400 ans, tandis que pour eux, chaque jour suffit sa peine. Il y a un côté tragique à cela, mais en même temps, il y a un amour du moment, de la vie. En fait, ils sont moins éloignés de la vie que nous."
  • denpasar a écrit, le 2008-08-28 19:56:19 :
    Sean Connery, dans Goldfinger (j'ai honte, mais j'ai un vieux doute, j'en ai vu beaucoup en peu de temps) :
    "Il y'a des choses qui ne se font pas, comme de boire un Don Perignon 54 à plus de 3 degrés. C'est comme... (il réfléchit) Ecouter les Beatles sans boules quies."
    :x


    Je suis entrain de me tapper l'integralle... en fait on pourrait faire un topic special citations de James ;-)

    Sean Connery, Les diamants sont eternels :
    [elle] : Tot ou tard il faudra bien que tu parle... il te feront parler. Et de toute facons tu ne pourra quitter la ville vivant. Mais je peux regler ce petit probleme. [...]. On peut etre dans un avion demain matin. Rio..? Hong Kong..?
    [james] : je connais un tres bon tailleur a Hong Kong.

    Par contre je me rappel plus de ta tienne... dans Goldfinger. Quoique Goldfinger est de 1964 qui est l'annes ou le succes de beatles traverse l'atlantique. Et sinon il me semble pas non plus que ce soit le 54 qu'il kiffe, je crois que c'est le 53 qu'il prefere... A verifier donc, tu peux preciser le contexte ?
  • Il est sur une gonzesse. :-B
    Moi aussi je regarde l'intégrale, on retrouvera l'info. C'est peut-être dans "On ne vit que deux fois"...
  • Dr.Evil dans Austin Powers:

    Citation:

    "The details of my life are quite inconsequential... very well, where do I begin? My father was a relentlessly self-improving boulangerie owner from Belgium with low grade narcolepsy and a penchant for buggery. My mother was a fifteen year old French prostitute named Chloe with webbed feet. My father would womanize, he would drink. He would make outrageous claims like he invented the question mark. Sometimes he would accuse chestnuts of being lazy. The sort of general malaise that only the genius possess and the insane lament. My childhood was typical. Summers in Rangoon, luge lessons. In the spring we'd make meat helmets. When I was insolent I was placed in a burlap bag and beaten with reeds- pretty standard really. At the age of twelve I received my first scribe. At the age of fourteen a Zoroastrian named Vilma ritualistically shaved my testicles. There really is nothing like a shorn scrotum... it's breathtaking- I highly suggest you try it."
  • J'adore cette réplique :D

    Bart : Homer, je suis sûr qu'à 10 ans tu volais des bières, t'embrassais les filles et t'embêtais les dinosaures !
  • Romain Duris, alias Xavier, dans Les poupées russes

    "Hé grosse connasse ! Ta rue, là... Tu veux que je te dise un truc ? Ben... elle est moche ta rue !"
  • Alors c'est peut être très connu mais je remets le lien sur ces répliques qui claquent:
    http://www.koreus.com/video/repliques-qui-tuent.html
    Je me demande d'ailleurs si les versions originales sont aussi fun.
    Mention spéciale à Chuck, notre héros à tous: "Je mets les pieds où je veux ! Et c'est souvent dans la gueule !"

    Et pour les anglophiles, 100 répliques plus ou moins connues en 200 secondes:
    http://www.koreus.com/video/100-repliques-film-200-secondes.html
  • J'ai envie de tirer une balle entre les deux yeux de chaque panda qui refuse de baiser pour sauver son espèce.

    (en) I felt like putting a bullet between the eyes of every Panda that wouldn't screw to save its species.

    Fight Club


    OU

    Tu dois admettre qu'il est possible que Dieu ne t'aime pas du tout. Il ne t'a jamais voulu. En toute probabilité, il te déteste et ce n'est pas ce qu'il peut t'arriver de pire. On n'a pas besoin de lui mec ! On n'en a rien à foutre de la damnation ni de sa sa foutue rédemption. On est les enfants non désirés de Dieu, très bien !

    (en) You have to consider the possibility that God does not like you. He never wanted you. In all probability, he hates you. This is not the worst thing that can happen. We don't need Him. Fuck damnation, man, fuck redemption! If we are God's unwanted children, so be it!


    Fight Club
  • Je crois qu'un up de ce topic me parait approprié :D. A l'époque où le doublage était un art, on avait le droit à pas mal de répliques cultes :

    "Hé Claudius ! C'est toi qui a tué mon père ? Monumentale erreur."

    "Hé, t'aimes bien les omelettes ? Tiens j'te casse les œufs."

    "- Vous avez d'autres questions ?
    - Oui, deux. Très brèves. Primo, pourquoi est-ce que je perds mon temps avec un branquignol dans ton genre alors que j'pourrais faire des choses beaucoup plus risquées, comme ranger mes chaussettes par exemple ? Deuzio, comment comptes tu claquer des doigts pour tes molosses une fois que je t'aurai bouffé les pouces des deux mains ?".

    "- Comment t'as deviné qu'il y avait quelqu'un dans le placard ?
    - Y'a toujours quelqu'un dans le placard. Je dépense des fortunes à changer les portes."
  • En même temps, ces répliques sont tirées d'un des plus grand chefs d’œuvre du 7e art.:-B

  • Je m'en suis tenu au film qui fait hommage aux films d'action des années 90 sans pour autant exagérer (comme le font un peu les "expandables"). J'en ai plein d'autres en stock sinon :

    "- Non de dieu, pour qui tu te prends, hein ? - Il s'prend pour Rambo.
    - Rambo, c'est une pédale."

    "Pourquoi pas une laisse dans l'cul, c'était plus simple !"

    Ou encore plus simple, pour le plus grand de tous :
  • Le premier est une réplique de Stalone dans je ne sais plus quel film. Le deuxième, sur la laisse dans le cul, c'est dans le mythique Demolition Man et ses 3 coquillages.
  • Pour la première réplique, elle est dans le même film que le mythique "T'as fait boum-boum avec ma sœur ?". Tout aussi mythique que Demolition Man.
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