Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Nordine Sam

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Flux RSS 22 messages · 5.028 lectures · Premier message par superdou · Dernier message par chrisneudorf

  • Ce message est une brève publiée sur le portail.
    Nordine Sam ne sera pas conservé par le Racing. Le jeune défenseur (22 ans, 1 match pro) va effectuer un essai avec le club allemand de Kaiserslautern pendant 2 jours à compter d'aujourd'hui.
    Source: DNA
  • il a rien montré au racing ... ou plutot on ne lui a pas laissé le temps de se montrer ! Dommage !
  • rcsmick a écrit :
    il a rien montré au racing ... ou plutot on ne lui a pas laissé le temps de se montrer ! Dommage !



    ben pour les matchs que j'ai vu en cfa, je l'ai trouvé plutot bon.
  • il a ete tranfere ou il fait juste un essai (cf. titre du topic) ? :-/
  • Sam n'a signé en juin dernier qu'un contrat professionnel d'un an (tout comme Salim Arrache). Leur contrat ne sont pas reconduits.
  • Bonne chance à lui alors !!! (+)
  • Moi je le trouvais prometteur celui là, dommage ...
  • bluedevil1305 a écrit :
    Moi je le trouvais prometteur celui là, dommage ...


    A quelle occasion l'as tu vu jouer ?
  • Il a joué un match l'an dernier non avec l'équipe 1,à Ajaccio je crois lors de la dernière journée.
  • Ce message est une brève publiée sur le portail.
    Nordine Sam, en fin de contrat avec le Racing, pourrait rejoindre Le Havre.
    Source: L'Alsace
  • Le défenseur central Nordine Sam (1 match de L 1 avec Strasbourg en 2002-2003) s'entraîne, lui, avec Valence, relégué cette saison en National et toujours entraîné par Alain Ravera, l'ancien joueur du FC Mulhouse.
  • Quelqu'un aurait-t-il des nouvelles de Nordiine. Où joue t'il aujourd'hui? Est-ce que ça se passe bien?

    Merci d'avance.
  • Il joue en Suisse, au FC La Chaux-de-Fonds :)
  • Ils jouent en quoi eux, D2 suisse ?
  • D'après ce que j'ai vu sur le site oui. Mais ils sont 14eme de D2
  • Incroyable il joue encore au foot. Je viens de le voir à la télé avec le FC LUCERNE (SUISSE). Ils se sont fait balader contre le Brésil en amical (8-0) avec un petit sauvetage sur la ligne de Sam. Magnifique. Je crois meme qu'il a eu la chance d'échanger son maillot avec Adrianoà la fin du match.
  • Il a signé à Nea Salamina (club chypriote) il y a quelques jours.
  • A participé au match RCS II - Illhauesern 4-0 (Amical) le : titulaire
  • A participé au match RCS II - Bischheim Soleil 0-2 (Amical) le : titulaire remplacé à la 60'
  • A participé au match Ernolsheim sur Bruche - RCS II 0-1 (Amical) le : titulaire
  • Noredine Sam: «En Libye, on peut avoir avoir un salaire de L1»


    Le défenseur Noredine Sam, à Strasbourg, le 3 mars 2011. G.VARELA/20MINUTES
    http://www.20minutes.fr/article/680438/sports-noredine-sam-en-libye-peut-avoir-avoir-salaire-l1



    INTERVIEW - Pendant quatre mois, le défenseur de 28 ans a joué en Libye. Il est rentré en France une semaine avant la révolte anti-Kadhafi...

    Nordine, avez-vous l'impression d'être rentré en France au bon moment?

    Oui, j'ai eu beaucoup de chance. J'ai pu rentrer en France car je n'étais pas qualifié pour la Coupe d'Afrique. C'est avec beaucoup d'étonnement que j'ai appris par téléphone qu'il commençait à y avoir des mouvements de foule à Benghazi, que la police était intervenue. Vu les contextes tunisien ou égyptien, on pouvait penser qu'en Libye ça allait bouger mais pas de cette façon-là. La révolte a été assez dure et assez sanglante. Durant les quatre mois que j'ai passés en Libye, à aucun moment, je n'aurai pensé que ça pouvait bouger ou exploser.

    Comment vous tenez-vous au courant de ce qui se passe en Libye?

    Les premières semaines, ça a été assez difficile car le téléphone et Internet avaient été coupé par le gouvernement. Donc il fallait passer 200 coups de téléphone pour joindre une personne. Les premières infos, je les ai eues à la télé. Je me tenais informé avec beaucoup d'étonnement et de stupeur par rapport à ce qui était annoncé dans les journaux. Depuis quelques jours, j'arrive à joindre les dirigeants de mon club, mes amis là-bas.

    Quelles nouvelles vous donne-t-on de Benghazi?

    Etonnamment, chez eux, la vie a repris. Les gens ont rouvert les magasins, ils retournent travailler. J'ai eu un ami qui travaille dans une banque. Je l'ai eu ce matin et il était à son poste normalement. Je trouve ça un peu bizarre. Hier, j'entendais que les hommes de Kadhafi essayaient de reprendre le contrôle de l'Est du pays avec l'armée. A Benghazi, ils sont super contents de s'être libérés de cette dictature. A l'Ouest, les gens continuent de se battre pour leur liberté.

    Avez-vous l'intention de retourner en Libye?

    Oui, je voudrais récupérer mes affaires. J'attends que la situation se calme. Après quand? Comme on dit, Dieu seul le sait. Il faut voir comment la situation va évoluer. Si Mouammar Kadhafi va jeter l'éponge, rendre les clefs du pays ou continuer à se battre. Je suis attentivement l'évolution de la situation. Quand tout se calmera, j'y retournerai.

    Comment êtes-vous arrivé à jouer en Libye?

    En février dernier, j'ai cassé mon contrat avec le club chypriote Salamina Larnaca car je n'étais plus payé depuis huit mois. Je suis revenu à Strasbourg, je me suis entraîné avec la réserve du club. J'ai reçu quelques propositions pas très intéressantes sportivement ou contractuellement. En septembre, j'ai eu une offre d'Al-Nasr Benghazi. On me proposait de jouer la Coupe arabe et la Coupe d'Afrique. En plus, je ne connaissais pas cette partie du monde ni le football africain. Financièrement, dans les bons clubs libyens, on peut avoir un salaire de Ligue 1. En plus, c'est net d'impôts.

    Continuez-vous à être payé?

    Jusqu'à présent, j'étais payé régulièrement. J'ai eu récemment mes dirigeants au téléphone. Ils m'ont dit, que quand je reviendrais prendre mes affaires, ils paieraient le reste de mon contrat qui court jusqu'en juin car ce n'était pas de ma faute. Ce qui m'a étonné sachant que la deuxième partie du championnat va être annulé vu le contexte actuel, qu'il va falloir reconstruire le pays.

    Propos recueillis par Floréal Hernandez
  • Découvert Nordine SAM hier Sur RBS & le moins que l'on puisse dire c'est que c'est un globe trotter du foot avec beaucoup de choses à raconter & un répertoire rempli d'anciens du RCS. Il a notamment eu Salim Arrache au téléphone pendant l'émission :)

    A conseiller à tous ceux qui s'intéressent au foot qui sort de la barbante championsleague sur TF1 ... enfin BewithUmachin.

    Lien de l'article fleuve de Mediasoc à son sujet.
  • Nordine Sam, agent content

    http://www.lalsace.fr/fr/images/2B6682B0-5990-491E-A682-26D6976EC...

    L'ancien défenseur du Racing Strasbourg, Nordine Sam, qui n'a disputé qu'un match de Ligue 1 durant sa carrière pro, vient d'y mettre un terme à 31 ans. Il a entamé sa reconversion comme agent de joueurs. Son parcours de globe-trotter en a naturellement fait un spécialiste des destinations exotiques.

    Ils ne sont pas nombreux à s'en souvenir. Mais ceux qui étaient à Ajaccio ce 24 mai 2003, pour le dernier match du coach tchèque du Racing Ivan Hasek, aujourd'hui actionnaire (0-0), n'ont pas oublié. Au stade François-Coty, un défenseur de 21 ans, Nordine Sam, arrivé au centre de formation six ans plus tôt, est titulaire dans l'axe et dispute ce qui sera son premier et dernier match de Ligue 1 française.

    Sa carrière dans l'Hexagone s'arrêtera ce jour-là ou presque. Après une année pro dans son club formateur (2003-2004) où il ne retrouvera jamais l'équipe une, Nordine Sam n'est pas conservé. Mais le garçon possède déjà une ouverture d'esprit peu commune qui va lui permettre de rebondir. Ses tribulations le mèneront en Suisse, à Chypre, en Libye et en Algérie. Neuf ans d'une carrière atypique à laquelle il a mis un terme début 2013 pour se consacrer à une activité à laquelle il touchait depuis quelques mois déjà : conseiller de joueurs et de clubs.

    Nordine, pourquoi avoir mis un terme à votre carrière à seulement 31 ans ?

    Ces dernières années, les événements contraires se sont succédé. À Chypre, j'ai eu des soucis avec mon club. À Constantine où je suis arrivé en août 2011, tout s'est bien passé au début. À tel point qu'en janvier 2012, j'aurais dû être transféré au Koweït, à Kazma Sport. Mais je me suis rompu les ligaments croisés du genou tout seul juste avant que l'affaire ne soit conclue. J'étais lié à Constantine jusqu'en juin 2013. Le président ne m'a pourtant plus jamais payé. J'ai cassé mon contrat le 14 juin 2012 et porté l'affaire devant la FIFA. Nous sommes toujours en litige. Depuis janvier 2012, je vis de nouveau à Strasbourg. J'ai suivi toute ma rééducation au centre Clémenceau, puis à ma demande, François Keller m'a autorisé à m'entraîner avec le Racing. C'était à l'été 2012. Mais je n'étais pas prêt et je n'ai pas retrouvé de club.

    Aviez-vous déjà en tête de passer à autre chose ?

    Pendant mon inactivité, pas mal d'amis, de joueurs, d'agents et de dirigeants m'ont sollicité pour des conseils, des tuyaux, parce que j'ai pas mal bourlingué. J'étais plus ou moins consultant. Je me suis engagé avec certains joueurs pour leur trouver un club et j'ai commencé à penser qu'une porte s'ouvrait devant moi, qui me permettrait peut-être de rester dans le foot durant les trente prochaines années. Les liens avec les joueurs se sont renforcés et je ne me voyais pas les planter pour poursuivre ma carrière de joueur. J'avais toujours des contacts avec mon ancien club libyen, Al Nasr, que j'avais dû quitter en 2011 quand la révolution a éclaté. Mais y retourner était dangereux pour ma sécurité. J'ai aussi reçu une offre dans les pays arabes. Mais ma fille, qui va avoir quatre ans en décembre, ne cessait de me répéter que je lui manquais quand je partais loin et longtemps. Elle me manquait aussi. Alors, je me suis dit que le moment était peut-être venu de tourner la page. En février-mars 2013, j'ai pris la décision d'arrêter. J'ai 31 ans. Je suis arrivé au Racing à 15. J'ai eu la chance de faire une longue carrière.

    J'ai envie d'être l'agent que je n'ai jamais eu

    N'avez-vous pas été tenté d'endosser le survêtement d'entraîneur ?

    Au début, je me suis posé la question. Mais la vie de coach est la même que celle de joueur et je n'avais plus envie de ça. En fait, j'ai envie d'être l'agent que je n'ai jamais eu et qui peut éviter à ses joueurs certains dérapages. Quand je suis passé pro au Racing, je n'ai pas mis toutes les chances de mon côté. Je n'ai pas été très sérieux durant la préparation et je me suis blessé. J'étais jeune et con. J'avais besoin qu'on me remette la tête à l'endroit et j'aurais bien aimé avoir un conseiller comme celui que je suis devenu. Quand j'oriente un joueur, c'est d'abord dans son intérêt, jamais dans le mien. En tant qu'ancien footballeur, mon approche est différente. Si elle ne l'était pas, je ne pourrais pas me regarder dans une glace. En plus, c'est ma façon d'être et je n'ai pas l'intention d'en changer. Financièrement, je m'y retrouve. J'arrive à en vivre. Mais avant de voir plus haut, mon ambition est de montrer au milieu du foot que j'existe et que je travaille bien, avec des valeurs sur lesquelles je ne suis pas prêt à transiger. Je collabore avec un avocat installé à Strasbourg, Nordine Gherbi. Je vais préparer mon diplôme d'agent lors du prochain concours. Nordine s'occupera de l'aspect juridique et moi, de la partie sportive. J'ai créé ma société de scouting et de consulting, « Football Life », il y a trois mois. J'ai une quinzaine de joueurs sous contrat, dont le jeune avant-centre du Racing Omar Hassidou qui a récemment signé avec moi. Je m'acquitte aussi de certaines missions à la demande de clubs.

    En Libye, j'ai reçu ma plus belle leçon de vie

    Votre activité est beaucoup tournée vers l'étranger. Est-ce lié à votre itinéraire personnel ?

    Oui et non. C'est surtout lié au fait que le foot français offre de moins en moins d'opportunités aux joueurs français. Quand j'ai signé pro au Racing en 2003, les effectifs étaient de 32 ou 33 joueurs. Aujourd'hui, il n'y a plus que de 21 à 24 pros par club. Les footballeurs français qui ne trouvent pas preneur vont devoir s'expatrier. Mais ils sont réticents. Quand je leur propose une destination exotique, ils se braquent souvent. De la Bulgarie par exemple, ils ont encore l'image d'un pays de l'Est d'avant l'éclatement du bloc communiste. Mais après plusieurs mois de chômage, ils finissent par accepter de partir. Et une fois sur place, ils enlèvent leurs oeillères. La plupart n'a plus envie de revenir chez nous.

    La porte du foot français s'est fermée devant vous en 2004. À l'heure du bilan, en nourrissez-vous des regrets ?

    Mon départ de Strasbourg m'a poussé à une remise en question, à aller chercher ailleurs ce que je ne trouvais pas en France. J'ai joué en Suisse, à Chypre, en Libye et en Algérie. J'aurais peut-être pu faire mieux, mais si c'était à refaire, je ne changerais rien sur le plan footballistique et encore moins sur le plan humain. J'ai vécu des expériences extraordinaires, appris l'allemand, l'anglais, un peu le grec. En Libye, j'ai reçu ma plus belle leçon de vie, parce que ces gens qui n'ont rien sont prêts à tout t'offrir. Ce genre d'expérience t'ouvre au monde et te fait porter un autre regard sur ton petit confort d'Occidental. Les choses ont parfois mal tourné pour moi, mais j'ai toujours su retomber sur mes pattes. Mon destin a bien fait les choses. Et j'espère que ça va continuer.

    L'Alsace
  • Il joue en amateur à la Joie et Santé Koenighoffen (JSK) en Promotion d Honneur
  • Petit zoom dans les DNA ce jour
    Outre ses nombreuses expériences de joueurs très exotiques, il est aussi agent de joueurs (entre autres Benkaid, Faug Porret, Do ou Schwechlen)
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