Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Association RC Strasbourg

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Flux RSS 1144 messages · 99.963 lectures · Premier message par redaction · Dernier message par redaction

  • triangle a écrit, le 2012-02-04 09:55:46 :
    Pas philanthrope, le mot est faible.


    D'un autre côté, on ne lui demande pas de l'être. Faut pas jouer les faux naïfs non plus.
  • C'est clair Kibitz... Il est la pour au moins ne pas perdre trop d'argent, il l'a toujours dit. (Tout le monde ferait pareil à sa place)
    Qu'on le laisse un peu bosser nom d'un chien.
    Pour une fois qu'un président s'entend à nouveau bien avec les élus locaux.
  • Pour ne pas perdre d'argent on s'est très bien qu'il vendra des joueurs ca me rappel quelqu'un.
  • Ca ne risque pas d'arriver les 3 prochaines années ;)
  • greg a écrit, le 2012-02-04 11:14:50 :
    Ca ne risque pas d'arriver les 3 prochaines années ;)

    Pas si sur car, à partir de la cfa il y aura des équipes réserves de l1 et l2 donc peut être que un ou deux joueur peut taper dans l'oeil d'un entraîneur.
  • maxxub90 a écrit, le 2012-02-04 11:03:41 :
    C'est clair Kibitz... Il est la pour au moins ne pas perdre trop d'argent, il l'a toujours dit. (Tout le monde ferait pareil à sa place)
    Qu'on le laisse un peu bosser nom d'un chien.
    Pour une fois qu'un président s'entend à nouveau bien avec les élus locaux.


    Il n'est pas certain du tout que toutes ces histoires fassent plaisir aux collecivités locales qui, elles, mettent la main à la poche.

    Ne pas vouloir perdre d'argent est une chose. Vouloir en gagner à tout prix en est une autre.
  • alcapone a écrit, le 2012-02-04 11:18:11 :
    greg a écrit, le 2012-02-04 11:14:50 :
    Ca ne risque pas d'arriver les 3 prochaines années ;)

    Pas si sur car, à partir de la cfa il y aura des équipes réserves de l1 et l2 donc peut être que un ou deux joueur peut taper dans l'oeil d'un entraîneur.


    Il y aussi des observateurs en CFA2, mais il n'est pas possible techniquement de vendre des joueurs sous contrat fédéral.
  • Ok merci je ne le savait pas.
  • greg a écrit, le 2012-02-04 11:41:26 :
    alcapone a écrit, le 2012-02-04 11:18:11 :
    greg a écrit, le 2012-02-04 11:14:50 :
    Ca ne risque pas d'arriver les 3 prochaines années ;)

    Pas si sur car, à partir de la cfa il y aura des équipes réserves de l1 et l2 donc peut être que un ou deux joueur peut taper dans l'oeil d'un entraîneur.


    Il y aussi des observateurs en CFA2, mais il n'est pas possible techniquement de vendre des joueurs sous contrat fédéral.


    Comment se passe le transfert dans ce cas?
  • maxxub90 a écrit, le 2012-02-04 11:03:41 :
    Pour une fois qu'un président s'entend à nouveau bien avec les élus locaux.
    Tiens, les élus locaux parlons en.
    En lisant la presse de ce matin, nous apprenons que le Racing vit exclusivement grâce à l'argent des contribuables.
    J'en viens à me demander si le premier secrétaire de la fédération PS du Languedoc-Roussillon, également adjoint aux finances de la Ville de Strossburi laisse passer tout ça.

    A moins qu'il n'ait déjà pris langue avec Sitterlé, l'homme étant plutôt du genre discret.
  • oui mais là la présentation de l'Alsace est un peu orientée car il y a deux choses différentes :
    * les subventions.
    * le rachat des infrastructures

    C'est de l'argent public dans les deux cas, mais qui ne répond pas à la même logique.

    Enfin l'article n'évoque pas les recettes générées par l'activité elle meme (produits dérivés, entrées), ce qui donne l'impression que 100% du financement est public, ce qui n'est pas le cas. Le « en grande partie » de l'article veut dire quoi ? 30% 50% 80% ?? C'est là un peu facile comme article.
  • il-vecchio a écrit, le 2012-02-04 12:00:39 :

    En lisant la presse de ce matin, nous apprenons que le Racing vit exclusivement grâce à l'argent des contribuables.


    tu vois : le « en grande partie » de l'article, déjà très vague, est devenu un « exclusivement » chez toi. Ou comment sur pas mal d'imprécisions se construit une opinion publique ...
  • Le rachat des infrastructures ne constitue qu'une subvention déguisée, quant aux recettes dites commerciales elles ne doivent pas peser beaucoup dans le budget du club. La présentation de l'article de Godin n'est nullement orientée, sans les subventions où en serait le Racing?.
    Le FC Mulhouse ne retrouvera jamais le statut pro, la Nationale au mieux. Toutefois il ne vit pas grâce aux subventions. Son Président a déjà injecté plus que la moitié de ce que Sitterlé a promis d'investir au Racing et ce sans clause de retour avec une plus value à la mode BMV!
  • Sitterlé agit en employeur. Il fait ce que bon nombre d'employeurs font en France : la quête à la subvention publique, déguisée ou non. Ceci étant, le salaire - pour toute ou partie - des joueurs que l'on peut considérer comme pro, est alimentée par une association dont le compte se vide et se voit renflouer par de l'argent public. Ici, sur la Stub règne une passion pour le Racing. Ailleurs, et très largement dans les travées de la Meinau c'est de la sympathie, pas de la passion. Pour vider les dites travées, on ne s'y prendrait pas mieux. Le "On" ne vise pas Godin quoi qu'en pensent certains, le mec du Sud fait son job. Entre Jaffar et Frédéric, le no man's land s'est restreint. Attention de ne pas briser l'élan. Le Racing me semble de plus en plus en danger. Il y a un mois, à titre perso, je disais volontiers que Sitterlé était le meilleur président du Rcs depuis Alain Léopold. Je n'en suis plus du tout convaincu. Et j'ai franchement envie de renvoyer ma carte d'abonné ! Et pourtant, mon premier match à la Meinau remonte à 1965 !
  • limmt a écrit, le 2012-02-04 11:49:51 :
    greg a écrit, le 2012-02-04 11:41:26 :
    alcapone a écrit, le 2012-02-04 11:18:11 :
    greg a écrit, le 2012-02-04 11:14:50 :
    Ca ne risque pas d'arriver les 3 prochaines années ;)

    Pas si sur car, à partir de la cfa il y aura des équipes réserves de l1 et l2 donc peut être que un ou deux joueur peut taper dans l'oeil d'un entraîneur.


    Il y aussi des observateurs en CFA2, mais il n'est pas possible techniquement de vendre des joueurs sous contrat fédéral.


    Comment se passe le transfert dans ce cas?


    Il n'y a pas de transfert. Si un joueur se voit proposé un contrat pro, il est automatiquement libéré de son contrat fédéral.
  • Et voilà! Qu'est ce que je disais dans ce fil ou un autre, il y a danger pour le Racing. spoutnik, pourtant supporter depuis 1965, envisage de lâcher sa passion. Bon, spoutnik, on s'en fout. Un de perdu, ce n'est pas grave, mais combien silencieux sont tentés par cette même attitude?

    La passion, la sympathie, l'enthousiasme, la ferveur s'étaient bien émoussés avec les relégations puis avec cette rétrogradation. C'est grâce à la communication et au sens commercial de Sitterlé qu'elle ne s'est pas éteinte, qu'elle s'est rallumée, mais ce feu est fragile.

    Les ultras, les passionnés, les supps, les sympathisants, ceux qui suivent le Racing dans la presse ne pardonneront JAMAIS à Jafar. JAMAIS!

    Mais je sens venir des comparaisons entre l'immonde et le self-made-man de Blodelsheim. C'est navrant, mais il y a matière à, d'autant que je doute fort que seules ces deux clauses constituent les actuels problèmes du Racing. Il n'est pas impossible que Godin n'ait pas tout dit. Quid de l'attitude de la Ville? Je ne puis croire qu'elle laisse pisser le mérinos et que Fontanel se dévoue corps et âme aux socialiste de Septimanie. Je ne puis croire que Godin qui a ses entrées partout sauf au PC Jupiter ne sache rien.

    Si d'aventure il devait s'avérer que Frédéric=Jafar (putain, j'ai mal aux doigts en tapant ça), alors ce serait la fin. Si on ne pardonne pas à un salaud, on est encore plus dur avec un traître.

    Quoique très troublé, je veux encore croire que Frédéric Sitterlé ne trahira pas la confiance qu'il a su créer.
  • Je ne suis pas un inconditionnel naif, je me souviens simplement d'ou on est tombé, à cause de qui, et qui ne s'est pas bousculé pour nous aider. De mémoire Sitterlé n'a jamais dit qu'il arriverait tel un émir, au contraire c'est plutot un modèle de gestion basé sur des partenariats nécessaires qui était évoqué, ainsi qu'une confiance des acteurs locaux publics (parce que en traitant les alsaciens de mafieux, tu l'auras plus difficilement ta subvention) et sportifs.

    Après il faudra juger sur pièce, aux premières crises, sportives, économiques, etc .
  • La majorité des présidents de club aujourd'hui injectent des fonds sans avoir la certitude de les récupéré par la suite... Ces clauses de retour sont disproportionnés !
    Je rejoint Spoutnik sur le fait que le RACING est en danger... les subventions publiques sont normalement une contribution au financement mais ne doivent pas être la seule source de financement non plus ! J'ai bien peur que la ville ne laisse pas passer ça !
  • La Ville a été très méchamment refroidie après le passage de la tornade Jafar. Il n'est pas impossible que le 1er secrétaire de la fédération PS du Languedoc-Roussillon, continue à suivre le Racing très attentivement et qu'il signifie avec toute la diplomatie qu'on lui connait, sa désapprobation.
  • spoutnik a écrit, le 2012-02-04 13:59:39 :
    Et j'ai franchement envie de renvoyer ma carte d'abonné ! Et pourtant, mon premier match à la Meinau remonte à 1965 !


    Tout ça pour un ou deux articles ! Bordel, mais vous pouvez pas attendre que les conventions soient signées au moins ?
  • La ville avait vraiment besoin de donner une telle somme en subvention? Je me demande combien ca represente en pourcentage(budget) dans d'autre club de cfa2 ou de cfa.
  • Sitterlé persiste

    Retirés de l'ordre du jour de l'assemblée générale du 20 janvier pour être réexaminés, la convention de gestion et le contrat de marque nouvelle version, censés être signés pour cinq ans (2012-2017), ont été présentés il y a huit jours aux administrateurs de l'association.

    Rappelons-en les principales pierres d'achoppement, déjà largement détaillées dans nos éditions des 13 janvier et 4 février :

    1) Propriétaire de la marque RCS depuis son rachat au liquidateur pour 150 000 euros cet été, Frédéric Sitterlé, via sa holding BMV, compte la louer à partir de 2012-2013 à l'association qui devra ensuite se faire rembourser les montants déboursés auprès de la future SASP (1). Cette location annuelle (hors taxes) est indexée sur le niveau de l'équipe première : 150 000 euros en CFA2 ou inférieur, 250 000 en CFA, 400 000 en National, 900 000 en Ligue 2 et 1,5 million en Ligue 1. Damien Kleinmann, estime que ce contrat de marque ne peut être dissocié de la convention de gestion, au motif qu'il impacte grandement les finances de l'asso.

    2) La convention de gestion, elle, impose des pénalités à l'association en cas de non-renouvellement de son propre fait. Des pénalités au profit de la SASP que Patrick Spielmann juge hors de proportions. Elles ne peuvent être inférieures – dit le texte – à 1 million en CFA, 2 en National, 5 en Ligue 2 et 10 en L1. Ces dispositions apparaissent en contradiction avec l'article R 122-8 du Code du Sport qui stipule que « les modalités de renouvellement de la convention ne doivent pas inclure de possibilité de reconduction tacite. » Sous-entendu : l'indemnisation prévue par Frédéric Sitterlé n'a pas lieu d'être.

    Après « renégociations », les deux conventions sont identiques, à quelques détails près. Elles sont supposées prendre effet au 1 er juillet 2012. La mise en oeuvre du contrat de licence de marque reste simplement subordonnée au lancement de la SASP, prévue... pour la même date. La loi fait de toute façon obligation à un club de créer cette SASP dès lors que sa masse salariale joueurs dépasse 800 000 euros, ce qui est le cas du Racing.

    Reste à savoir si ce montage, dont on peut supposer qu'il sera validé lors de la prochaine assemblée générale fin février, recevra le feu vert de l'autorité administrative de tutelle, autrement dit le Préfet. Lequel devra se prononcer, notamment, sur la base des conclusions rendues par les services de la DRJSCS.

    (1) Société anonyme sportive professionnelle.

    L'Alsace
  • Une clause bientôt close ?

    http://www.lalsace.fr/fr/images/4E5E3604-FEB6-4CC6-9B96-E56774EAD...

    La fermeté de Roland Ries (ici au centre) a contraint Frédéric Sitterlé (à droite) à renoncer au contrat de marque. Le Haut-Rhinois pourrait bien devoir faire l'impasse sur certaines de ses autres idées. Archives Jean-Marc Loos
    Après avoir renoncé à son contrat de marque, Frédéric Sitterlé devra sans doute abandonner l'idée, non conforme à la loi, d'imposer à l'association amateur de lourdes pénalités financières si elle refuse unilatéralement en 2017 de reconduire la future convention de gestion avec la SASP (1).

    Frédéric Sitterlé a-t-il été « touché par la grâce », comme le suggérait lundi au conseil municipal l'élu UMP Robert Grossmann après avoir été informé, comme toute l'assemblée, que l'homme d'affaires haut-rhinois avait abandonné son projet de contrat de marque ? Et ceux avec qui il bataillait ferme sur le dossier le seront-ils aussi pour ramener une certaine forme de paix sociale au Racing ?

    Peut-être, même si l'adjoint aux finances de Strasbourg, Alain Fontanel, avouait avant-hier que cette avancée - la réintégration de la marque dans la future SASP qui permet son usage gratuit par l'association - « ne suffit pas à dire que tout est rose dans le meilleur des mondes »

    Au moins cette reculade de l'homme d'affaires haut-rhinois, un peu aidée par une municipalité regroupée comme jamais derrière une même bannière (majorité comme opposition), a-t-elle éliminé une pierre d'achoppement importante. Il en reste néanmoins quelques-unes à enterrer avant que le club ne soit définitivement pacifié. À supposer qu'il le soit un jour tant il paraît peu probable que les récents déchirements ne laissent pas de traces indélébiles.

    Lundi, Frédéric Sitterlé a donc dû tirer un trait sur un montage qui lui permettait de sécuriser son investissement par une rente annuelle pour sa holding, Blodelsheim Media Venture, propriétaire de la marque depuis son rachat au tribunal le 22 août. Un investissement toujours nul à ce jour, sur lequel la municipalité lui a demandé des engagements fermes et des garanties bancaires. Exit la licence de marque qui garantissait à BMV de récupérer tout ou partie de sa mise, même et surtout après avoir cédé la majorité de la SASP.

    Une valorisation aléatoire

    Reste désormais à rédiger la convention de gestion entre cette SASP et l'association pour les cinq prochaines saisons (2012-2017). Dans le projet de Frédéric Sitterlé figure une clause en contradiction avec le Code du Sport. Elle prévoit que l'association devra verser à la SASP une indemnité indexée sur le niveau de l'équipe première si elle refuse unilatéralement de la reconduire en 2017 (2). À la lumière des événements de lundi sur la marque, on voit mal comment l'homme fort du RCS pourrait ne pas se heurter aux mêmes obstacles législatifs, puisque l'article R-122 8 « proscrit toute reconduction tacite » et suggère ainsi que les pénalités sont abusives.

    Le chef d'entreprise perdra alors un 2 e moyen de récupérer ses billes. Comment dès lors pourra-t-il sécuriser son investissement, alors que Mc Cormack, Philippe Ginestet, Dominique Pignatelli, Robert Lohr et Jafar Hilali, tous précédents actionnaires majoritaires ou minoritaires, ont englouti à titre personnel respectivement 30, 4,3, 1,5, 2,6 et 6,5 millions d'euros ? De la réponse à cette question dépend assurément l'avenir du RCS.

    F. Sitterlé a toujours déclaré ne pas vouloir perdre d'argent. Son montage inédit sur la location de marque ayant été retoqué par les mondes sportif et politique, il est peut-être en train de se rendre compte que comme ses prédécesseurs, il risque fort d'investir à fonds perdus, même s'il pourra toujours valoriser la marque et le club à la revente. L'histoire récente a cependant montré combien cette valorisation était aléatoire.

    (1) Société anonyme sportive professionnelle.

    (2) « L'Alsace » du 13 janvier 2012 : 1 million en CFA, 2 en National, 5 en Ligue 2 et 10 en Ligue 1. Ces montants s'entendent a minima.

    L'Alsace
  • C'est moi ou Godin n'a toujours rien compris ? b-(
    (par rapport à la rente soit disant à vie qui n'en est pas une en fait..)
  • Frédéric Sitterlé, via Facebook, dément une fois de plus les informations du jour. Et il confirme une fois de plus un "refus" de l'Alsace de publié un droit de réponse (j'ai déjà posté son intervention sur ton topic).
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