Karlsruher SC 2007-2008
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karatekidpetit aperçu de l'ambiance coté ka
Edit de modération : mise en place de la vidéo -
meinauboys a écrit : voila messieurs ce que veut dire respect ,le block du herta qui applaudi et chante la victoire du ksc qui viennent les saluer
"herta und de ksc !!!!"
C'est HertHHHHHHHa avec un H au milieu
....faut arrêter de bouffer du jambon :)) -
meinauboys a écrit : voila messieurs ce que veut dire respect ,le block du herta qui applaudi et chante la victoire du ksc qui viennent les saluer
"herta und de ksc !!!!"
Domage qu'on soit potte avec aucun autre club francais, ca aurai pu donner des ambiances sympathique....
Bon en meme temps avec les om psg metz et autre bordelais je voix pas trop avec qui on pourait sympathiser, surtout qu'on nous appréci pas trop... Comme on dit vaut mieu etre seul que mal accompagné.. -
Trés bon article des DN sur le KSC, le journaliste en a pris plein la vue au Wildparkstadion on dirait :p
Il faudrait offrir des tickets à l'équipe et au président :)
La bande des Badois
Après neuf longues années de purgatoire, le Karlsruher SC a retrouvé la lumière. En dépit d'un budget riquiqui, les Badois s'invitent durablement dans la cour des grands, du haut de leur quatrième place en Bundesliga. Histoire d'une résurrection qui transporte de bonheur toute une région.
De nos envoyés spéciaux à Karlsruhe
Il est décidément très couru, ces temps-ci, le « Humba » badois. Adossée aux panneaux publicitaires, face au kop, l'équipe du KSC reprend en choeur la harangue du meneur.
Perché sur son estrade, rejoint par l'attaquant Sebastian Freis, l'homme invite la foule à entonner des chants à la gloire des Blanc et Bleu. Les lazzi, dont la décence nous interdit d'en rapporter les propos, sont invariablement destinés au VfB Stuttgart, voisin honni du Wurtemberg.
Les Badois sont à nouveau
fiers de leurs couleurs
De longues minutes durant, la communion entre joueurs et supporteurs est intense, sincère, ardente. Comme si ces moments, rares et précieux, avaient été volés à un marchand de bonheur qui se serait aventuré par mégarde en lisière de forêt, là où gronde le Wildparkstadion.
Quand tout le stade, soit quelque 30 000 fidèles, se met à sautiller frénétiquement sur place et à tendre comme un étendard l'écharpe du club dans la salve finale, l'évidence saute aux yeux. Le Karlsruher SC, meurtri et laissé pour mort lors de la bascule dans le nouveau millénaire, a retrouvé son honneur. L'euphorie gagne la ville entière. Et au-delà, les Badois sont à nouveau fiers de leurs couleurs.
« Nous compensons
par l'envie et la
dynamique de la montée »
L'autre vendredi, la petite troupe d'Edmund Becker vient de remporter sa quatrième victoire de la saison en ses murs décrépits. Cette fois, c'est le Hertha Berlin qui a fait les frais de l'insolente réussite du promu. Menés à la pause, Tamas Hajnal et les siens ont su retourner la situation en leur faveur (2-1).
Quatrième de Bundesliga, à seulement cinq longueurs de l'ogre munichois - et surtout avec quatre points de plus que Stuttgart, champion en titre -, le KSC étonne et détonne.
« Ne nous emballons pas, relativise « Ede » Becker, l'homme du renouveau. Nous ne sommes qu'une petite équipe dont l'objectif reste le maintien. Sur la durée, on ne peut pas lutter avec le Bayern, Brême ou Leverkusen. »
Il est vrai que ces trois « gros bras » ont montré leurs biscotos et ramené Karlsruhe à la raison. Trois cinglantes défaites - onze buts encaissés - ont sanctionné les débats. « C'est toute la différence entre des Ribéry, Klose ou Diego et mes gars, poursuit Becker. Nous faisons avec nos moyens et compensons par l'envie et la dynamique de la montée. »
Là où le Bayern fonctionne avec plus de 200M€ et peut en débourser près de 70 pour son mercato, le KSC fait figure de petit frère des pauvres. Son budget se chiffre à 13M€ - en comparaison, celui du Racing s'élève à 28 -, alors que les finances du club sont encore plombées par un déficit de 4M€, « petit » reliquat des années fastes.
« Je ne veux accabler personne, sourit Becker, qui a vécu de l'intérieur la période de grandeur puis de décadence. Disons que beaucoup de mauvais choix ont été faits. » (lire ci-contre)
Dans le staff depuis 1990, notamment comme adjoint de Winfried Schäfer, l'entraîneur de la remontée veut tirer les leçons du passé.
« Comme des explorateurs
motivés par
l'esprit d'aventure »
Finies, les extravagances, l'heure est à la « Realpolitik ». Becker s'appuie sur une ossature plutôt solide, autour des piliers défensifs que sont Franz, l'international suisse Eggimann ou Porcello. Le rendement du KSC n'a pas été altéré par la vente « forcée » de Federico, meilleur buteur parti au Borussia Dortmund pour renflouer les caisses.
Quant aux recrues, elles apportent une réelle plus-value. A l'image de Christian Timm, vainqueur de la Ligue des Champions 1997 avec Dortmund et porté disparu du côté de Fürth, d'Andreas Görlitz, arrière droit prêté par le Bayern, ou encore du petit magicien hongrois Hajnal, tous sont animés d'un vif sentiment de revanche.
« Ce qui devait constituer une faiblesse, à savoir le manque d'expérience en Bundesliga, représente en fait une force, dit Tobias Schachter, journaliste à la Süddeutsche Zeitung. C'est comme s'il s'agissait d'explorateurs motivés par l'esprit d'aventure. En outre, ils atteignent aujourd'hui le zénith de leur carrière. »
L'impétueuse bande a prouvé
qu'un « après » était possible
Voilà comment le KSC, sorti des limbes après neuf ans d'errements, campe le rôle d'inattendue révélation de cette première moitié de saison. « Ça fait plaisir de jouer dans un stade plein et enthousiaste, savoure Jeff Kornetzky, le gardien wissembourgeois. On produit un jeu agréable, technique, très éloigné de l'image de bourrins que la Bundesliga véhicule en France. »
De là à savoir si le KSC va renouer le fil de son glorieux passé, il est un pas que personne ne se risque encore à franchir. Les blessures sont encore trop douloureuses, les coulisses pas suffisamment apaisées.
Toujours est-il que cette impétueuse bande de Badois a prouvé qu'un « après » était possible. Ça n'a pas de prix. Au Wildparkstadion, le « Humba » a de beaux jours devant lui.
Sébastien Keller -
Chronique du KSC
CRÉATION. - Le Karlsruher SC est né en 1952 de la fusion entre le VfB Mühlburg, champion d'Allemagne en 1909, et du KFC Phoenix. Le club élit domicile, deux ans plus tard, au Wildparkstadion. Il remporte coup sur coup deux coupes d'Allemagne, en 1955 et 1956.
GRANDEUR. - Le club a connu ses heures de gloire sous la présidence de Roland Schmider et la houlette de l'emblématique « Winnie » Schäfer. Karlsruhe dispute trois campagnes européennes, dont une demi-finale de Coupe UEFA, contre l'Austria Salzbourg, dès sa première participation en 1993. Au 2e tour, le KSC écrit la plus belle page de son histoire en passant le FC Valence à la moulinette (7-0). Le jeune Oliver Kahn, le rouquin russe Sergeï Kiriakov et l'ex-Racingman Wolfgang Rolff sont de la partie.
DÉCADENCE. - La folie des grandeurs s'est emparée du Wildparkstadion, où brillent Thomas Hässler et Guido Buchwald. En 1998, quand Marc Keller quitte le pays de Bade pour West Ham, Karlsruhe est relégué. La période d'insouciance est révolue. Le club touche le fond deux ans plus tard. Joachim Löw, l'actuel sélectionneur allemand, ne peut éviter la descente en Regionallliga.
Le KSC est au bord de la faillite. L'intervention de Michaël Kölmel, magnat de la presse qui injecte 15M de marks, en contrepartie de 15% des droits TV qu'il doit percevoir à vie, évite le pire.
PURGATOIRE. - Si Stefan Kuntz ramène l'équipe en 2. Bundesliga au terme de la saison 2000/2001, le KSC entre dans une période d'instabilité chronique. Hubert Raase, actuel président, est intronisé en novembre 2002.
Les tiraillements internes débouchent parfois sur des situations cocasses. Reinhold Franz peut ainsi se targuer d'avoir eu la carrière la plus courte sur un banc allemand. Nommé le 28 décembre 2004, il est débarqué... sept jours plus tard, sur l'insistance du sponsor principal, EnBw. Le 13 janvier 2005, Edmund Becker, l'homme de la remontée, prend ses fonctions.
AVENIR. - Le KSC ne s'est pas encore affranchi du lourd fardeau des années 90. Aujourd'hui, le club cherche à se débarrasser de l'encombrant contrat qui le lie à Kölmel, moyennant quelque 12M€. La municipalité a annoncé qu'elle s'engageait à construire un nouveau stade de 35 000 places d'ici 2010, sur le site du Wildpark. Coût de l'opération : 58M€, dont 11 à la charge du club. -
Il y a aussi un très bel article sur le gardien du moment Jeff Kornetzki ! Je le sais parce que c'est un gars de ma ville :)
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le ksc en deplacement à bochum sans trois cadres blesses ou malades Edmond Kapllani .Bradley Carnell , et Christian Eichner
c'est là qu'on va voir que vaut le banc de karlsruhe tres jeunes..............
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En cours : Bochum 1-0 Karlsruhe ( Sestak 19' ) :(
Edit : 1-1 Egalisation de Hajnal 24' :D -
tres bon match nul 2 à 2 hier du ksc en pensant que avant le match aduobe a aussi declaré forfait....
le duo hajnal-freis a fait des miseres aux defenseurs de bochum
le block du ksc à bochum
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ne pâs oublier la semaine prochaine apres le match au sommet contre le hsv,il y a les moser rock,musique,alcool,belles filles à gogo
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Citation: Un policier a été gravement blessé et deux autres plus légèrement par des supporters de Karlsruhe, qui jouait samedi à Bochum (2-2). L'intervention de la police avait été demandée par le service d'ordre du stade de Bochum, débordé par des supporters de Karlsruhe agressifs. Le policier le plus gravement atteint a été hospitalisé et souffre d'une fracture d'une vertèbre dorsale. Selon le communiqué de la police, les deux autres fonctionnaires ont reçu des coups sur la tête et le corps. Deux fans ont été interpellés et seront présentés devant la justice. -
que 13 millions d'euros de bugdet?? je pensais qu'ils avaient au moins le budget du racing
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match nul hier entre le ksc et le hsv,le pere noel etait de passage au wildparkstadium pour le hsv car le ksc a offert le nul dans les arrets de jeu...rageant
bonne ambiance surtout en 2 eme mi-temps,à noter que jeff a fait un de ses meilleurs matches meme si sur le but il est peut etre juste
allez on va pas faire les difficiles en esperant que l'année 2008 commencera aussi bien
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apres le match direction le fan projekt pour le moser rock..........
bonne soirée
bon noel à tous nos amis du ksc
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l'equipe reserve du ksc jouera contre la reserve du racingle 13.02.2008à 18h à Truchtersheim..............avis aux amateurs :-B
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Kennedy à Karslruhe
L'attaquant international australien de Nuremberg Joshua Kennedy a rejoint le club allemand de Karlsruhe, ont annoncé vendredi les deux clubs. Il a signé un contrat de trois ans et demi avec le promu, actuellement 6e du Championnat d'Allemagne.
Source €URO$PORT!!!!! -
mise à jour du calendrier jusqu'a fin mars
18. Spieltag: Sa., 02.02.2008, 15.30 Uhr: KSC - 1. FC Nürnberg
19. Spieltag: Sa., 09.02.2008, 15.30 Uhr: Hannover 96 - KSC
20. Spieltag: Sa., 16.02.2008, 15.30 Uhr: KSC - Bayer 04 Leverkusen
21. Spieltag: Sa., 23.02.2008, 15.30 Uhr: VfB Stuttgart - KSC
22. Spieltag: Sa., 01.03.2008, 15.30 Uhr: KSC- VfL Wolfsburg
23. Spieltag: Sa., 08.03.2008, 15.30 Uhr: FC Bayern München - KSC
24. Spieltag: Sa., 15.03.2008, 15.30 Uhr: KSC - Eintracht Frankfurt
25. Spieltag: Sa., 22.03.2008, 15.30 Uhr: Borussia Dortmund - KSC
26. Spieltag: Sa., 29.03.2008, 15.30 Uhr: KSC - FC Schalke 04 -
Karlsruhe s'impose en amical à Reutlingen sur le score de 5-2. Les buts Badois sont l'oeuvre de Hajnal (2), Kennedy, Staffeldt et Brosinski.
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Selon la presse allemande, l'attaquant hongrois de Karlsruhe, Tamas Hajnal, 26 ans, va s'engager avec le Borussia Dortmund pour la saison prochaine. Le montant du transfert s'éléverait à environ 1,3 millions d'Euros.
Mercato365 -
c'est fait il partira cet ete .........son contrat sera de 4 ans
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malheureusement il ne sera que venu au KSC pour se relancé :(
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en meme temps le ksc fait une belle affaire financiere mais surement pas sportive..........
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Quoique pour quelque 1,3 millions d'euros, tu n'as plus grand chose... :(
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Ca fait quand même 10% de leur budget de leur budget
Discussion verrouillée.
