Jean-Marc Furlan
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athorExtrait de son interview aux DNA, où il parle du Racing:
Citation: – Le prochain adversaire doit vous rappeler des souvenirs, pas nécessairement très bons. Quel regard portez-vous sur le Racing d’aujourd’hui ?
– Un regard positif. Cela fait plaisir de voir un club comme le Racing revenir dans le professionnalisme. En tant que promu, il peut s’appuyer sur de belles saisons derrière lui. Il y a de l’engouement, il y a de la légitimité aussi parce que le recrutement a été bien fait. Par rapport à son début de saison, je ne suis ni surpris par ce club, ni inquiet pour lui.
– Et quand vous pensez aux souvenirs que vous y avez laissés ?
– C’est clair que le public de la Meinau ne risque pas de m’applaudir. Mais j’ai appris énormément avec ce club. J’étais un jeune entraîneur, je n’avais que trois ans de professionnalisme derrière moi. Alors, j’étais dans le conflit, dans le débat pour m’affirmer et c’était un peu idiot. Je considère aussi que j’ai souffert d’un manque d’expérience en ne voyant pas mon groupe exploser en mars 2007 par la faute d’un ou deux joueurs dont je souhaitais d’aillleurs le départ en début de saison. Après, la seconde saison, c’était une très belle saison de Ligue 2. Et je pense que c’était la seule fois qu’une équipe n’est pas montée avec 66 points. C’est comme ça, c’est le foot, c’est cruel. Et je n’oublie pas tous les gens de qualité avec qui j’ai pu travailler dans ce club les François Keller, les Fichaux, les Kuentz ou encore Robert Lohr qui m’a toujours soutenu. Je me souviens aussi que le vin blanc était très bon et que Strasbourg, depuis que je suis entraîneur, c’est la seule ville où j’ai pu me balader avec plaisir. Ahh, les balades à Strasbourg -
Comme quoi...
Cette interview suffira-t-elle toutefois à faire changer d'avis les supporters à son encontre ?
J'en doute. -
Et pour ses (nombreuses) autres relégations au deuxième échelon, quelles excuses ? Il a voulu mourir avec ses idées en emmenant tout un club dans sa chute, à l'aide de ses gars, avant d'échouer dans l'opération remontée à cause de (son/leur) incapacité à trouver la solution loin de la Meinau. Jouer la montée à Montpellier dans un stade pour une fois en feu n'était pas l'idée du siècle, surtout après le traumatisme de la saison passée qui aurait du servir de leçon sur la nécessité d'atteindre ses objectifs le plus tôt possible, en ne se reposant jamais sur ses acquis. Pas besoin de diriger le Racing pour apprécier Stras, il aurait pu se contenter de faire du tourisme...
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On va finir par l'apprécier le fufu.. 3e visite à la Meinau en tant qu'adversaire, avec un 3e club différent et une 3e défaite au final pour lui.
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mouai... j'ai quand même la défaite imméritée de l'aller qui me reste au travers de la gorge.
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Punaise, ce sourire un peu "bêbête" après une défaite 4-1, cette façon de féliciter les "garçons" malgré tout et ces réponses évasives qui ne veulent rien dire... il n'a vraiment pas changé le Fufu.
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Je ne l'aime décidément pas ce fufu...
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oui enfin il a quand même fait quelque chose de cohérent à brest où c'était pas gagné au départ avec 11 nouvelles arrivées
on peut ne pas l'aimer mais il a quand même des qualités pour manager ses equipes -
Il a des qualités indéniables, mais sa manière d'aborder son métier trouve ses limites en ligue 1 ou les marges de manoeuvre sont bien plus faibles. Il peut dire ce qu'il veut, mais s'il est catalogué bon entraineur de L2 et burne en L1 ce n'est pas pour rien, ni uniquement pour des raisons de moyens. C'est quand même hallucinant qu'après avoir pris un 4-1 il ne soit pas dépité...
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spiterman67 a écrit, le 12/03/2017 13:19 : Il . C'est quand même hallucinant qu'après avoir pris un 4-1 il ne soit pas dépité...
après je ne suis pas sur que ca soit le même discours à l’intérieur du vestiaire -
spiterman67 a écrit, le 12/03/2017 13:19 : Il . C'est quand même hallucinant qu'après avoir pris un 4-1 il ne soit pas dépité...
après je ne suis pas sur que ca soit le même discours à l’intérieur du vestiaire -
J'ai adoré le billet d'humeur de Sébastien Keller hier dans les DNA. Il ne se prive pas pour tailler des croupières au discours lénifiant de Furlan (dont les Brestois commencent d'ailleurs à douter).
Ça m'a directement fait penser à Coquis qui suivait avec délectation les déboires judiciaires de Proisy et Le Roy alors qu'il ne suit plus le Racing depuis plus de dix ans. -
Il y a comme un air de déjà vu pour lui.. En 2008 le maintien en Ligue 1 était quasi assuré, en 2009 la montée était tout proche et cette année Brest aura passé de nombreuses journées sur le podium.. Mine de rien c'est symbolique de voir le Racing retrouver l'élite alors que Furlan échoue au pied du podium, histoire de tirer definitivement un trait sur le passé. Stras de retour au plus haut niveau après l'avoir quitté avec JMF il y a 9 ans.
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Change pas, Jean-Marc
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Les Brestois auront pu tester la frustration que nous avons connu avec Furlan...
Je ne me réjoui pas de cela mais l'histoire est quand même incroyable parfois ! -
les 11 défaites de 2008 sont effacées....brest reste à quai...tout un symbole !
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J'avoue ressentir un certain plaisir dans la chute de furgland, il faut dégonfler le mythe comme quoi cet entraîneur pourrait être un cador. L'essentiel étant qu'on soit devant lui
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L'entraineur pipo par excellence. Que de belles promesses comme d'habitude. Tout l'inverse d'un Laurey, qui cultive l'humilité, mais qui est compétant.. oui comme beaucoup de supporters du racing qui n'oublient pas ses promesses non tenues, le fait qu'il reste à quai est une petite cerise supplémentaire sur le gâteau qui est déjà bien chargé.
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Pour renaître, il faut mourrir. Ceux qui pensent que le Racing était mort en parti à cause de Furlan, vous devriez lui dire merci, sans lui cette soirée n'aurait jamais existée.
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Furlose n'a pas renié ses gènes.
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Fidèle à lui-même, on peut dire qu'il ne renie pas ses gènes...
Edit : on a pensé la même chose :D -
@geiss67, pas question ! Jamais je ne remercierai qui que ce soit d'avoir fait mourir le Racing, que ce soir Furlan, Gress, Ginestet ou Hilali, et j'en passe.
Je remercie ceux qui l'ont fait renaître : les frères Keller, Dugué, les nombreux joueurs qui sont passés sans rester et ont contribué, le temps d'un match ou plus, à apporter les points nécessaires, et bien sur les supporters, qui n'ont rien lâché !
On a fait table rase du passé, et on lui a bien fait comprendre en leur mettant une volée à la Meinau (4-1).
Qu'il reste en L2 et qu'il ne s'approche plus du Racing, exception du banc de touche adverse un soir de Coupe pour une nouvelle gifle... -
lawknight a écrit, le 20/05/2017 11:17 : .....Jamais je ne remercierai qui que ce soit d'avoir fait mourir le Racing, que ce soit....... Gress......
N'importe quoi !!! Quand on sait ce qu'on lui doit !!! -
Quand le nom de Gress est mêlé à ceux des tristes sires mentionnés par @lawknight, c'est forcément pour nous avoir offert cette pantalonnade de l'été 2009, pas pour le reste de son œuvre passée.
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hihihi fufu
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