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- Catégorie
- Après-match
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- Par athor
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Opposé aux Italiens de Guebwiller pour son entrée en lice en coupe de France, le Racing a fait respecter la différence de niveau entre les deux équipes.
Depuis sa chute en CFA2, le Racing débute ses saisons de coupe de France par des déplacements champêtres, rendant visite à des petits clubs alsaciens. Pour l'heureux élu du tirage au sort, c'est alors l'occasion d'une « grande fête du football » comme dirait Christian Jeanpierre, ou de remplir les caisses grâce à une belle affluence. Pour ce 5ème tour, ce sont les Italiens de Guebwiller, également appelés les Rosso Neri, qui accueillent l'ogre strasbourgeois, eux qui naviguent dans le zone rouge de leur groupe de Promotion d'Excellence.
Privé de Jérémy Grimm et d'Ernest Seka, suspendus plus ou moins volontairement, ainsi que de Marc Fachan et de Brian Amofa, Jacky Duguépéroux avait ici l'occasion de tester d'autres joueurs et d'autres configurations. Ainsi, on retrouve un dispositif en 4-4-2, avec les premières titularisations d'Oukidja et de Munch :
D'entrée de jeu, le Racing confirme sa supériorité technique en conservant le ballon dans la moitié de terrain adverse, alternant les débordements sur les deux côtés, même si le danger peine à se concrétiser. Dans cette véritable attaque-défense, Abdelhak Belahmeur tente d'allumer la mèche par des percées plein axe, que les locaux peinent à contrer. Au quart d'heure de jeu, sur l'une d'elles, le n°10 des Bleus dribble quatre adversaires avant de tromper le portier de l'USI. Le match n'est pas forcément emballant en raison de la différence criante de niveau, mais les Strasbourgeois sont plutôt appliqués, à l'exception du dernier geste, à l'image d'un Bahoken maladroit. A la 26ème minute, N'Diaye obtient un coup franc aux 20 mètres, que Belahmeur convertit d'un bel enroulé à la Michel Platini. 2-0 à la demi heure de jeu, on aurait alors pu s'attendre à une balade de santé, mais Guebwiller va réagir, piqués dans leur orgueil. Peu avant la pause, Alexandre Oukidja gère mal une sortie aux devants de l'attaquant adverse. Le ballon revient alors sur Kévin de Castro Azevedo qui marque dans le but vide. Le public, ainsi que les U9 du club, assis sur le bord de la pelouse, exultent, et constatent que leurs protégés ne sont menés que d'un seul but après 45 minutes.
Au retour des vestiaires, Yannick Aguemon, a priori touché, est remplacé par Dimitri Liénard. Croyants à l'exploit, les Rosso Neri tentent de pousser et mettent en difficulté la paire Camara-Sikimic. Mais fort heureusement, le Racing finit tout de même par faire respecter les cinq divisions d'écart. A l'heure de jeu, Liénard conclut un beau mouvement collectif par une belle frappe croisée dans le petit filet opposé, avant de récidiver dix minutes plus tard sur une passe de Sabo. Il n'y a alors plus de match, les locaux montrant leurs limites physiques. 77ème minute, Loris Ieraci, entré en jeu peu de temps avant, est retenu dans la surface et obtient un penalty. Comme face à Boulogne-sur-Mer, Liénard semble vouloir le tirer mais Stéphane Bahoken est déjà installé aux 11 mètres. Cette fois-ci, pas d'exploit du gardien, le score est porté à 5-1.
Une réalisation qui finit d'assommer Guebwiller puisque les visiteurs enchaînent. D'abord grâce au premier but de Loris Ieraci, dont les proches avaient réalisé une banderole en son honneur, sur une passe de Bahoken, puis avec deux nouveaux buts de Stéphane Bahoken, servis par Liénard et N'Diaye, d'un très joli centre. Le score final de 8 buts à 1 est évidemment logique sur le papier, mais plutôt sévère pour l'USI qui était certes loin d'être génial, mais qui n'était mené que 2-1 à l'heure de jeu et qui a parfois frôlé l'égalisation.
Côté Racing, il n'y aura pas vraiment d'enseignements à tirer, l'adversaire n'ayant rien à voir avec le quotidien en National. On ne retiendra donc que la qualification et les neufs matchs qui restent à gagner pour éventuellement affronter d'autres Rosso Neri...
Privé de Jérémy Grimm et d'Ernest Seka, suspendus plus ou moins volontairement, ainsi que de Marc Fachan et de Brian Amofa, Jacky Duguépéroux avait ici l'occasion de tester d'autres joueurs et d'autres configurations. Ainsi, on retrouve un dispositif en 4-4-2, avec les premières titularisations d'Oukidja et de Munch :
D'entrée de jeu, le Racing confirme sa supériorité technique en conservant le ballon dans la moitié de terrain adverse, alternant les débordements sur les deux côtés, même si le danger peine à se concrétiser. Dans cette véritable attaque-défense, Abdelhak Belahmeur tente d'allumer la mèche par des percées plein axe, que les locaux peinent à contrer. Au quart d'heure de jeu, sur l'une d'elles, le n°10 des Bleus dribble quatre adversaires avant de tromper le portier de l'USI. Le match n'est pas forcément emballant en raison de la différence criante de niveau, mais les Strasbourgeois sont plutôt appliqués, à l'exception du dernier geste, à l'image d'un Bahoken maladroit. A la 26ème minute, N'Diaye obtient un coup franc aux 20 mètres, que Belahmeur convertit d'un bel enroulé à la Michel Platini. 2-0 à la demi heure de jeu, on aurait alors pu s'attendre à une balade de santé, mais Guebwiller va réagir, piqués dans leur orgueil. Peu avant la pause, Alexandre Oukidja gère mal une sortie aux devants de l'attaquant adverse. Le ballon revient alors sur Kévin de Castro Azevedo qui marque dans le but vide. Le public, ainsi que les U9 du club, assis sur le bord de la pelouse, exultent, et constatent que leurs protégés ne sont menés que d'un seul but après 45 minutes.
Au retour des vestiaires, Yannick Aguemon, a priori touché, est remplacé par Dimitri Liénard. Croyants à l'exploit, les Rosso Neri tentent de pousser et mettent en difficulté la paire Camara-Sikimic. Mais fort heureusement, le Racing finit tout de même par faire respecter les cinq divisions d'écart. A l'heure de jeu, Liénard conclut un beau mouvement collectif par une belle frappe croisée dans le petit filet opposé, avant de récidiver dix minutes plus tard sur une passe de Sabo. Il n'y a alors plus de match, les locaux montrant leurs limites physiques. 77ème minute, Loris Ieraci, entré en jeu peu de temps avant, est retenu dans la surface et obtient un penalty. Comme face à Boulogne-sur-Mer, Liénard semble vouloir le tirer mais Stéphane Bahoken est déjà installé aux 11 mètres. Cette fois-ci, pas d'exploit du gardien, le score est porté à 5-1.
Une réalisation qui finit d'assommer Guebwiller puisque les visiteurs enchaînent. D'abord grâce au premier but de Loris Ieraci, dont les proches avaient réalisé une banderole en son honneur, sur une passe de Bahoken, puis avec deux nouveaux buts de Stéphane Bahoken, servis par Liénard et N'Diaye, d'un très joli centre. Le score final de 8 buts à 1 est évidemment logique sur le papier, mais plutôt sévère pour l'USI qui était certes loin d'être génial, mais qui n'était mené que 2-1 à l'heure de jeu et qui a parfois frôlé l'égalisation.
Côté Racing, il n'y aura pas vraiment d'enseignements à tirer, l'adversaire n'ayant rien à voir avec le quotidien en National. On ne retiendra donc que la qualification et les neufs matchs qui restent à gagner pour éventuellement affronter d'autres Rosso Neri...
