- Note
- 5.0 / 5 (5 notes)
- Date
- Catégorie
- Après-match
- Lectures
- Lu 1.397 fois
- Auteur(s)
- Par azzu
- Commentaires
- 3 comm.
La tarification n’a pas eu raison de la ferveur des supporters du Racing pour ce match amical à Colmar face au SK Sturm Graz.
La rue Ampère de Colmar a tournée au bleu en cet après-midi d’été pour le troisième match amical du Racing. Sous le capitanat de Frédéric Guilbert, c’est une victoire par trois buts à zéro que les Strasbourgeois continuent de se préparer.
La préparation, parlons-en, car comme souvent, ce sont deux équipes différentes qui ont joué chaque mi-temps. Une première qui tend à se rapprocher d’un 11 de titulaires, et une seconde globalement plus jeune et moins habile.
Changement : Saettel pour Sahi Dion à la 24’
Buts : Diallo (5’, 10’) ; Scherpen (CSC 37’)
Pour cette première mi-temps, les Bleus ont su compter sur l’efficacité de Habib Diallo combinée aux automatismes bâtis depuis le début de l’année. Guilbert, Diarra puis Bellegarde n’ont eu aucun de mal à le trouver pour l’aider à construire son doublé, presque triplé. Les offensives du côté gauche de Delaine étaient quant à elles moins abouties.
En face, les anciens coéquipiers d'Emmanuel Emegha ont eu plus de difficultés. Le Racing presse assez haut et il n’y a que sur leur côté gauche qu’ils ont occasionnellement construit à l’image d’une frappe non cadrée à la 9’ par le numéro 9 Szymon Wlodarczyk, ou d’un cafouillage à la 28’ qui termine au-dessus.
Même s’il n’a pas été trop mis en danger grâce à une défense solide, Alaa Bellaarouch sort une bonne mi-temps. A l’affut des ballons, à disposition de ses collègues et prêt à monter, il n’a pas fait la moindre erreur et montre qu’il est un sérieux prétendant au poste de numéro 2, à minima. Il a aussi montré que son jeu au pied n'était pas en reste.
Changement : Sebas pour Fila à la 62’
La seconde mi-temps est typique d’un match de préparation où les plus jeunes ont la main. On a vu un Racing avec peu d’automatismes et du déchet, ce qui peut être alarmant pour certains joueurs.
Si l’axe était gardé par la patrouille de dissuasion Prcic – Aholou, les ailes, elles, étaient moins expérimentées. C’est là où l’adversaire a le plus cherché de solution pour remonter le terrain. On a eu très peur à la 54’ sur un corner remis en retrait par l’adversaire qu’on a eu ensuite du mal à dégager ou sur un centre à la 66’ sauvé par Steven Baseya. Sur le plan de l’attaque, Lebo Mothiba a été servi par peu de ballons utilisables. On a senti un peu de frustration dans sa frappe lointaine à la 77’ qui a réveillé les abords du stade. On attendra ensuite une percé d’Emegha la 87’ pour avoir un peu d’action et deux corners peu dangereux pour Luka Maric, le gardien adverse.
La jeunesse a encore un peu de chemin à parcourir. Les plus anciens Fila, Prcic, Ahoulou et Mothiba auraient dû se trouver un peu plus pour gratter des points.
Abakar Sylla : Peu sollicité sur son côté gauche, il a choisi de ne prendre aucun risque sur ses relances avec des passes en retrait ou sur ses coéquipiers les mieux placés. Propre.
Emmanuel Emegha : Le jeune Néerlandais affrontait son ancienne équipe. Venant à peine de rejoindre le Racing, il ne pouvait pas trop s’exprimer ni trouver ses coéquipiers. Il a néanmoins montré une habile tenu de balle qu’on continuera de surveiller.
La préparation, parlons-en, car comme souvent, ce sont deux équipes différentes qui ont joué chaque mi-temps. Une première qui tend à se rapprocher d’un 11 de titulaires, et une seconde globalement plus jeune et moins habile.
Première mi-temps : solide et efficace
Changement : Saettel pour Sahi Dion à la 24’
Buts : Diallo (5’, 10’) ; Scherpen (CSC 37’)
Pour cette première mi-temps, les Bleus ont su compter sur l’efficacité de Habib Diallo combinée aux automatismes bâtis depuis le début de l’année. Guilbert, Diarra puis Bellegarde n’ont eu aucun de mal à le trouver pour l’aider à construire son doublé, presque triplé. Les offensives du côté gauche de Delaine étaient quant à elles moins abouties.
En face, les anciens coéquipiers d'Emmanuel Emegha ont eu plus de difficultés. Le Racing presse assez haut et il n’y a que sur leur côté gauche qu’ils ont occasionnellement construit à l’image d’une frappe non cadrée à la 9’ par le numéro 9 Szymon Wlodarczyk, ou d’un cafouillage à la 28’ qui termine au-dessus.
Même s’il n’a pas été trop mis en danger grâce à une défense solide, Alaa Bellaarouch sort une bonne mi-temps. A l’affut des ballons, à disposition de ses collègues et prêt à monter, il n’a pas fait la moindre erreur et montre qu’il est un sérieux prétendant au poste de numéro 2, à minima. Il a aussi montré que son jeu au pied n'était pas en reste.
Seconde mi-temps : le match des remplaçants ?
Changement : Sebas pour Fila à la 62’
La seconde mi-temps est typique d’un match de préparation où les plus jeunes ont la main. On a vu un Racing avec peu d’automatismes et du déchet, ce qui peut être alarmant pour certains joueurs.
Si l’axe était gardé par la patrouille de dissuasion Prcic – Aholou, les ailes, elles, étaient moins expérimentées. C’est là où l’adversaire a le plus cherché de solution pour remonter le terrain. On a eu très peur à la 54’ sur un corner remis en retrait par l’adversaire qu’on a eu ensuite du mal à dégager ou sur un centre à la 66’ sauvé par Steven Baseya. Sur le plan de l’attaque, Lebo Mothiba a été servi par peu de ballons utilisables. On a senti un peu de frustration dans sa frappe lointaine à la 77’ qui a réveillé les abords du stade. On attendra ensuite une percé d’Emegha la 87’ pour avoir un peu d’action et deux corners peu dangereux pour Luka Maric, le gardien adverse.
La jeunesse a encore un peu de chemin à parcourir. Les plus anciens Fila, Prcic, Ahoulou et Mothiba auraient dû se trouver un peu plus pour gratter des points.
Le point sur les recrues
Jessy Deminguet : il a étonnamment trouvé sa place au sein de l’équipe. Si les amateurs du multiplex Ligue 2 ne sont pas forcément étonnés de sa qualité de jeu, c’est surtout dans la relation avec ses coéquipiers qu’il a surpris.Abakar Sylla : Peu sollicité sur son côté gauche, il a choisi de ne prendre aucun risque sur ses relances avec des passes en retrait ou sur ses coéquipiers les mieux placés. Propre.
Emmanuel Emegha : Le jeune Néerlandais affrontait son ancienne équipe. Venant à peine de rejoindre le Racing, il ne pouvait pas trop s’exprimer ni trouver ses coéquipiers. Il a néanmoins montré une habile tenu de balle qu’on continuera de surveiller.
