- Note
- 0.0 / 5 (0 note)
- Date
- Catégorie
- Après-match
- Lectures
- Lu 1.012 fois
- Auteur(s)
- Par jo
- Commentaires
- 0 comm.
Pour la première fois depuis longtemps, le Racing a su gagner un match sans que cela ne soit mérité et dans la douleur face à des Ajacciens qui ont manqué un bon nombre d'occasions franches. Zoom sur les performances des protégés de Duguépéroux!
Stéphane Cassard : 6,5/10
Toujours aussi sûr et rassurant comme à l'accoutumé. Ses sorties se sont avérées très précieuses ( surtout en fin de match ) hormis celle ratée face à Lucas juste avant la fin du premier acte. Un match sobre, sans fioriture, pour un joueur toujours aussi régulier.
Guillaume Lacour : 6,5/10
Désormais bien installé sur le flanc droit de la défense, sa vision du jeu est toujours aussi précieuse offensivement. Défensivement, il a su répondre présent en sauvant deux ballons qui ne demandaient qu'à rentrer dans la but alsacien ( celui de Lucas et celui de Seck ). Repositionné à gauche de la défense après la sortie de Boka, il a su tant bien que mal contenir le virevoltant Demont.
Jean-Christophe Devaux : 7/10
S'il y a bien un joueur qui méritait de marquer un but pour l'ensemble de son abnégation, c'est bien lui. Sa joie fit d'ailleurs vraiment plaisir à voir. Sur le plan défensif, il a réalisé une performance dans la droite lignée de ses dernières : efficace, accrocheur et dur sur l'homme. Un bon match.
Cédric Kanté : 6,5/10
Sa seule erreur du match aurait pu coûter très cher au Racing juste avant la mi-temps où Lucas l'a pris de vitesse. Mis à part cela, il a, pour son grand retour, réalisé une performance correcte en s'efforçant au maximum de jouer juste. Sa prestance dans les duels et ses sorties rageuses auront fait du bien dans les moments chauds.
Arthur Boka : 4/10
Irrégulier est le mot qui le qualifie. Aucun reproche à lui faire au rayon de l'envie et du don de soi mais toujours des erreurs de placement récurrentes. Il a dû faire face à Demont (dont on se demande bien ce qu'il fait dans la galère corse ) et a souffert la plupart du temps. Remplacé vingt minutes avant le terme par un Deroff qui a sauvé le Racing sur son premier ballon en repoussant la tentative de Seck.
Yacine Abdessadki : 4/10
La déception de la soirée. Après des sorties flamboyantes lors des deux derniers matchs à la Meinau, il a peiné dans son poste de milieu offensif où on l'a trouvé perdu face à Martial. En l'absence de Farnerud, il aurait dû prendre le jeu à son compte mais s'est malheureusement contenté de défendre. Dommage...
Christian Bassila : 4,5/10
Certes, il a eu du déchet hier soir mais son poste doit sans doute être le plus ingrat. Il s'est beaucoup battu mais il a, comme Abdessadki, pâti de la réorganisation tactique due au forfait de Farnerud. On peut également lui reprocher son manque de présence dans le domaine aérien.
Pascal Johansen : 6,5/10
Il fut le seul à surnager dans l'entre jeu alsacien. Son activité tant offensive que défensive fait de lui la pierre angulaire du système Duguépéroux. Replacé aux côtés de Bassila, il s'est énormément dépensé et sa vision du jeu a fait beaucoup de bien.
Ulrich Le Pen : 6/10
Il s'est bien battu et a su percuter offensivement de manière plus efficace en perdant moins de ballon. Défensivement, il a étouffé Laurenti et a su venir prêter main forte à Boka. A son crédit, le coup franc qui a permis le but de Devaux. Une prestation correcte pour sa première titularisation à la Meinau depuis belle lurette. Camadini l'a remplacé à un quart d'heure du terme pour mettre le pied sur le ballon.
Eric Mouloungui : 5/10
Un match moyen pour sa première titularisation de la saison. Certes, il n'a pas manqué d'envie et c'est lui qui provoque le coup franc décisif mais que de déchets ! Son jeu était hier soir bien trop stéréotypé pour mettre à défaut la défense adverse. Il manque de rythme, c'est une évidence. Remplacé à la 61ème par Mphela que l'on avait pas vu depuis longtemps et qui a souffert face à la virilité des défenseurs corses.
Mamadou Niang : 6/10
Qu'il a dû se sentir seul hier soir ! Orphelin de Farnerud et Pagis, le seul rescapé du trio infernal n'a pas manqué de combativité. Malheureusement, il a été sevré de points de fixation et de ballons. A son crédit, la seule occasion strasbourgeoise de la seconde période quand il échoue face à Porato ( 51ème ).
Toujours aussi sûr et rassurant comme à l'accoutumé. Ses sorties se sont avérées très précieuses ( surtout en fin de match ) hormis celle ratée face à Lucas juste avant la fin du premier acte. Un match sobre, sans fioriture, pour un joueur toujours aussi régulier.
Guillaume Lacour : 6,5/10
Désormais bien installé sur le flanc droit de la défense, sa vision du jeu est toujours aussi précieuse offensivement. Défensivement, il a su répondre présent en sauvant deux ballons qui ne demandaient qu'à rentrer dans la but alsacien ( celui de Lucas et celui de Seck ). Repositionné à gauche de la défense après la sortie de Boka, il a su tant bien que mal contenir le virevoltant Demont.
Jean-Christophe Devaux : 7/10
S'il y a bien un joueur qui méritait de marquer un but pour l'ensemble de son abnégation, c'est bien lui. Sa joie fit d'ailleurs vraiment plaisir à voir. Sur le plan défensif, il a réalisé une performance dans la droite lignée de ses dernières : efficace, accrocheur et dur sur l'homme. Un bon match.
Cédric Kanté : 6,5/10
Sa seule erreur du match aurait pu coûter très cher au Racing juste avant la mi-temps où Lucas l'a pris de vitesse. Mis à part cela, il a, pour son grand retour, réalisé une performance correcte en s'efforçant au maximum de jouer juste. Sa prestance dans les duels et ses sorties rageuses auront fait du bien dans les moments chauds.
Arthur Boka : 4/10
Irrégulier est le mot qui le qualifie. Aucun reproche à lui faire au rayon de l'envie et du don de soi mais toujours des erreurs de placement récurrentes. Il a dû faire face à Demont (dont on se demande bien ce qu'il fait dans la galère corse ) et a souffert la plupart du temps. Remplacé vingt minutes avant le terme par un Deroff qui a sauvé le Racing sur son premier ballon en repoussant la tentative de Seck.
Yacine Abdessadki : 4/10
La déception de la soirée. Après des sorties flamboyantes lors des deux derniers matchs à la Meinau, il a peiné dans son poste de milieu offensif où on l'a trouvé perdu face à Martial. En l'absence de Farnerud, il aurait dû prendre le jeu à son compte mais s'est malheureusement contenté de défendre. Dommage...
Christian Bassila : 4,5/10
Certes, il a eu du déchet hier soir mais son poste doit sans doute être le plus ingrat. Il s'est beaucoup battu mais il a, comme Abdessadki, pâti de la réorganisation tactique due au forfait de Farnerud. On peut également lui reprocher son manque de présence dans le domaine aérien.
Pascal Johansen : 6,5/10
Il fut le seul à surnager dans l'entre jeu alsacien. Son activité tant offensive que défensive fait de lui la pierre angulaire du système Duguépéroux. Replacé aux côtés de Bassila, il s'est énormément dépensé et sa vision du jeu a fait beaucoup de bien.
Ulrich Le Pen : 6/10
Il s'est bien battu et a su percuter offensivement de manière plus efficace en perdant moins de ballon. Défensivement, il a étouffé Laurenti et a su venir prêter main forte à Boka. A son crédit, le coup franc qui a permis le but de Devaux. Une prestation correcte pour sa première titularisation à la Meinau depuis belle lurette. Camadini l'a remplacé à un quart d'heure du terme pour mettre le pied sur le ballon.
Eric Mouloungui : 5/10
Un match moyen pour sa première titularisation de la saison. Certes, il n'a pas manqué d'envie et c'est lui qui provoque le coup franc décisif mais que de déchets ! Son jeu était hier soir bien trop stéréotypé pour mettre à défaut la défense adverse. Il manque de rythme, c'est une évidence. Remplacé à la 61ème par Mphela que l'on avait pas vu depuis longtemps et qui a souffert face à la virilité des défenseurs corses.
Mamadou Niang : 6/10
Qu'il a dû se sentir seul hier soir ! Orphelin de Farnerud et Pagis, le seul rescapé du trio infernal n'a pas manqué de combativité. Malheureusement, il a été sevré de points de fixation et de ballons. A son crédit, la seule occasion strasbourgeoise de la seconde période quand il échoue face à Porato ( 51ème ).
