musique


D'art-d'art

Petit cliché volé sur la route du travail, du chandelier géant en bronze de Dali, exposé pour quelques semaines devant la Synagogue, à Strasbourg, avenue de la Paix.

Dans un autre registre, selon Max Jacob, "ce qu'on appelle une oeuvre sincère, est celle qui est douée d'assez de force pour donner de la réalité à une illusion". Ah, l'illusion...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/05.04.06-002-6...

"De la vie je ne prends
Que la dolce vita c'est tout
M'en voulez-vous ?
De l'amour je n'attends
Qu'une main sans la bague au doigt
Comprenez-vous
Ouh, oh...

{Refrain:}
Des garçons je ne prends
Que les plumes d'indiens, c'est tout
M'en voulez-vous ?
Des empereurs de Rome
Les lauriers et le vin, pas l'or
Ni les bijoux
Ouh, oh...

De mon enfance
Je n'ai gardé dans mon coeur
Que l'insouciance
De ses crayons de couleur
Ca me suffit
Pour dessiner qui je suis
Ca me suffit
Pour m'inventer d'autres vies

{au Refrain}

De mes histoires
Je n'ai pris que le meilleur
Les mots d'un soir
Les promesses des voyageurs
Ca me suffit
Pour décider qui je suis
Ca me suffit
Pour m'inventer d'autres vies

Du marin je ne prends
Que les retours pas les adieux
M'en voulez-vous
Des milles et une nuit
Celles où près d'un cracheur de feu
J'ai rendez-vous
Ouh , oh...

{au Refrain}" (source)

Pauline Croze, M'en voulez-vous ?

Univers cité...

04/04/2006 00:01
510 lectures
C'est le printemps !
Fuck...
A part ça, RAS...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/02.04.06-008-e...

"On avait les cheveux longs
Des dents de lait et pourtant
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On chassait les papillons
On posait plein de questions
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On collectionnait les billes
On sentait bon la vanille
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On était toujours jaloux
Et on attrapait des poux
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

{Refrain:}
Qui aurait pu nous le dire
Qui aurait su nous l'écrire
Qui avait la solution
Pour ne jamais devenir grand

On partait dans les nuages
Cueillir des pensées sauvages
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On courait jusqu'à plus soif
On se faisait des grimaces
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

{au Refrain}

Devenir grand...

On voulait toujours faire vite
Avant de prendre la fuite
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer

On avait la varicelle
On était bien trop cruel
On savait, on savait, que ça n'allait pas durer" (source)

La Grande Sophie, On savait

Sous les pavés, la page...

01/04/2006 00:01
758 lectures
Des sièges étroits au lieu des dossiers... Des bouteilles au lieu du sommeil... Du bruit au lieu du silence... Du foot au lieu des doutes... Des chants au lieu de déchanter...

Asphyxié... Mon souffle, où es-tu... Prendre l'air... S'oxygéner l'esprit... Respirer...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/30.03.06-1a34b.jpg

"Approche-toi petit, écoute-moi gamin,
Je vais te raconter l'histoire de l'être humain
Au début y avait rien au début c'était bien
La nature avançait y avait pas de chemin
Puis l'homme a débarqué avec ses gros souliers
Des coups d'pieds dans la gueule pour se faire respecter
Des routes à sens unique il s'est mis à tracer
Les flèches dans la plaine se sont multipliées
Et tous les éléments se sont vus maîtrisés
En 2 temps 3 mouvements l'histoire était pliée
C'est pas demain la veille qu'on fera marche arrière
On a même commencé à polluer le désert

Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire

D'ici quelques années on aura bouffé la feuille
Et tes petits-enfants ils n'auront plus qu'un oeil
En plein milieu du front ils te demanderont
Pourquoi toi t'en as 2 tu passeras pour un con
Ils te diront comment t'as pu laisser faire ça
T'auras beau te défendre leur expliquer tout bas
C'est pas ma faute à moi, c'est la faute aux anciens
Mais y aura plus personne pour te laver les mains
Tu leur raconteras l'époque où tu pouvais
Manger des fruits dans l'herbe allongé dans les prés
Y avait des animaux partout dans la forêt,
Au début du printemps, les oiseaux revenaient

Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire
Il faut que tu respires, c'est demain que tout empire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire

Le pire dans cette histoire c'est qu'on est des esclaves
Quelque part assassin, ici bien incapable
De regarder les arbres sans se sentir coupable
A moitié défroqués, 100 pour cent misérables
Alors voilà petit, l'histoire de l'être humain
C'est pas joli joli, et j'connais pas la fin
T'es pas né dans un chou mais plutôt dans un trou
Qu'on remplit tous les jours comme une fosse à purin" (source)

Mickey 3D, Respire

Aime et nems

28/03/2006 00:08
1.506 lectures
Dans un bus rempli de petits vieux en tournée spéciale pour le troisième âge à Lourdes, une mamie tapote l'épaule du chauffeur et lui tend une bonne poignée de cacahuètes.

Le chauffeur un peu étonné la remercie et avale d'un trait les arachides. Ca tombe bien, il avait justement un petit creux.

Cinq minutes plus tard, la mamie remet ça.

Le chauffeur la remercie à nouveau et gobe les cacahuètes.

Cinq minutes plus tard, le même cirque recommence.

Au bout de dix poignées, le chauffeur en a plein les ratiches et demande à la mémère :
- Dites donc, Mamie, c'est bien gentil de me gaver de cacahuètes, mais vos quarante collègues, ils n'en veulent pas un peu ?
- Bah non.. Voyez-vous, avec nos dents, on ne peut pas les mâcher. Y'a que le chocolat autour qu'on aime...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/colmar06.11.20...

"Les femmes c'est du chinois
Le comprenez-vous ? Moi pas

Celle-ci est une gamine
Qui tient tellement à sa peau
Qu'elle baisse ses yeux encre de Chine
Mais jamais son kimono

Celle-là est une acrobate
Qui la nuit fait du jiu-jit-su
Il faut vous accrocher à ses nattes
Sinon c'est elle qui prend le dessus

Celle-ci est une fillette
Qu'on ne mange pas avec les doigts
Il faut la prendre avec des baguettes
Sinon elle ne veut pas

Telle autre quand elle se couche
Est avide de sensations
Vous riez jaune, la fine mouche
Comptent les autres au plafond

Celle-là quand elle perd la bataille
Pour ne pas se donner à l'ennemi
De votre sabre de samouraï
Elle se fait hara-kiri

A genoux vous demandez grâce
Mais celle-ci rien ne l'attendrit
Il vous faut mourir par contumace
Au treizième coup de minuit

Les femmes c'est du chinois
Le comprenez-vous? Moi pas." (source)

Serge Gainsbourg, Les femmes c'est du chinois

Lille est en vue, le naufrage aussi...

25/03/2006 08:10
509 lectures
L'île... "Il n'y a qu'une seule chose à faire... Trouver quelque chose qui est à soi... Se fabriquer une île..." (...) La croisière ne s'amuse plus... Mauvais itinéraire, erreur de casting à la barre, joueurs mal coordonnées, écueils, naufrage... Panique, Titanic, fuite... Homme à la mer ? My heart will go on...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/photo-122-08cfe.jpg

Petit bilan de fin de rencontre...

"Pas bien" :
- pas de maintien, verdict connu à l'avance mais tout de même difficile à avaler sur le coup
- perdre n'est jamais agréable, surtout quand c'est votre coéquipier qui vous plante
- la défaite peut parfois être élégante... Mais parfois pas du tout...
- on aurait apprécié de pouvoir discuter de la stratégie développée et des méthodes employées, mais les commentaires d'après match, c'est pas donné à tout le monde
- on avait prévu d'autres attaques, mais on regrette toujours après coup de ne pas avoir pu tout donner
- quand on joue, on voudrait toujours que la partie dure plus longtemps
- une fois le match fini, retour au quotidien et à l'incertitude...

"Bien" :
- on savait qu'on allait perdre, donc autant positiver
- on savait que le fair play n'est pas une valeur toujours partagée, ça nous a permis de lever le pied pour prendre moins de coups
- balles au fond, but : même si ça n'a pas suffi, on s'est battu
- au moins, on a joué, et on a pris du plaisir, et on espère en avoir donné
- il y aura d'autres matches intéressants, la partie en appellera d'autres
- la soirée ne s'arrête pas au coup de sifflet final
- la rencontre terminée, on aura de nouveau beaucoup plus de temps pour le reste...


"I've paid my dues
Time after time
I've done my sentence
But committed no crime
And bad mistakes
I've made a few
I've had my share of sand
Kicked in my face
But I've come through
And I need to go on and on and on and on

We are the champions - my friends
And we'll keep on fighting till the end
We are the champions
We are the champions
No time for losers
'Cause we are the champions of the world

I've taken my bows
And my curtain calls
You've brought me fame and fortune
And everything that goes with it
I thank you all
But it's been no bed of roses no pleasure cruise
I consider it a challenge before the whole human race
And I ain't gonna lose
And I need to go on and on and on and on

We are the champions - my friends
And we'll keep on fighting till the end
We are the champions
We are the champions
No time for losers
'Cause we are the champions of the world

We are the champions - my friends
And we'll keep on fighting till the end
We are the champions
We are the champions
No time for losers
'Cause we are the champions" (source)

Queen, We are the champions

Ou pas...

Faire play

16/03/2006 23:04
1.399 lectures
On aimerait bien... pouvoir continuer à jouer. Mais là, c'est game over... Fair plaie, oui...
Bref, on n'a pas perdu, mais on n'a pas gagné et on ne s'est pas qualifié. Sinon... Des dossiers à craquer, des mecs qui se tapent, des jeunes futurs chômeurs, des Iraniens, des pyromanes, l'actu quoi !

"Une raya de bambins livre aux flammes leurs landaux
Une ribambelle de nains foutent le feu dans l'métro
Une armée de gamins qui brûle les magasins
Trois millions de lycéens carbonisent leurs bouquins
Une concierge allumée fout le feu au quartier
Le président fêlé enflamme l'Elysée
Trois secrétaires en chaleur calcinent leur directeur
Une tribu de bonnes soeurs incendie l'Sacré-Coeur !

Laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï...

Un trio d'grands brûlés fait exploser l'hosto
Et 5000 chimpanzés dynamitent le zoo
Des rastas éclatés, c'est chaud dans le ghetto
Les feux dans la cité brûlent pour Géronimo
Des soldats cannibales rôtissent leur général
300 patrons qui craquent font sauter la baraque
Et un vieux bonze chinois se pétrole le minois
Le froid tue la fillette qui n'a plus d'allumettes

Laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï...

Les hooligans des stades préparent les jerrycans
Les jeunes chômeurs s'la donnent aux cocktails molotov
Des Iraniens enflamment le corps de l'oncle Sam
Des squatters s'tapent un boeuf autour d'un grand feu d'keufs
Un gang de pyromanes se croit au paradis
Les pompiers en ont marre c'est la grève aujourd'hui
Il y a le feu partout c'est la fête des fous
Il y a le feu partout viv' le feu viv' les fous!"

Laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï-laï...

Un gang de pyromanes se croit au paradis
Les pompiers en ont marre c'est la grève aujourd'hui
Il y a le feu partout c'est la fête des fous
Il y a le feu partout viv' le feu viv' les fous!"

Bérurier Noir, Vive le feu

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/rcs-basel-008-...

Sinon, pour la première fois depuis une bonne dizaine d'années, je me suis acheté une merguez au stade. A 4 euros les quatre petites saucisses dans un bout de pain, je sais pourquoi j'avais attendu aussi longtemps. En plus je n'étais même pas ivre, je n'ai aucune excuse...

Le nous vaut monde

20/02/2006 20:00
1.671 lectures
Intriguant film, que ce Nouveau Monde ! M'étant précipité au ciné pour recevoir une claque comme pour La ligne rouge, force est de confesser que ma première impression fut plutôt mitigée, pour ne pas dire plus...
Le temps est omniprésent. D'abord sur la durée, comme dans La ligne rouge : le film est lent ou long, selon les avis. Puis sur la météo, avec l'étrange impression qu'il fait toujours gris. Le terne l'emporterait donc ?
On retrouve certains éléments de La Ligne rouge (l'omniprésence de la nature, l'eau, le questionnement sur l'homme et son environnement, le choc des cultures avec en fond de toile l'immersion chaotique des arrivants opposée à l'harmonie du monde "sauvage"), certains clichés aussi, évidemment... Le scénario ? Pas une grande fresque historique, des critiques, quelques clins d'oeil, des invitations à la réflexion, une trame semblant se réduire à une banale (?) relation amoureuse... Un grand fourre-tout et à la fois une grande simplicité, voulue...
En effet, malgré une certaine frustration, on sent que tout est délibéré, pour n'attirer l'attention que sur elle. Incarnant la femme et la nature, la beauté, elle est le film et le résume en quelque sorte. Le nouveau monde est un prétexte, une métaphore, c'est un film d'amour, sur l'amour, avec en fond de toile quelques incantations humanistes. La ligne rouge insistait sur la violence et la saleté des hommes pour leur opposer la beauté de la nature, de la paix. Le Nouveau Monde rappelle ce lien à la terre, mais l'épure. De ce vide fait autour du personnage, renforcé par la rareté et la simplicité des dialogues, émerge la force des sentiments laissés à la contemplation. Ce n'est pas la psychologie des personnages qui importe, mais leur présence... Via la femme, c'est un film sur l'Homme...
Lisant ça et là quelques critiques, je suis un peu étonné : on reproche beaucoup au film sa longueur, en lui reconnaissant la beauté de ses images. Soupçonnant le génie du réalisateur quant au choix des paysages et des couleurs (La ligne rouge...), on ne peut que penser que cette beauté suggérée mais voilée est délibérée, tout comme le rythme du film... J'en attendais sans doute l'inverse, mais peut-être n'est-ce pas spécialement un beau film, mais un bon film ? Ou un beau film sur le fond, pas forcément sur la forme... D'où ce sentiment de perplexité teinté de frustration, mélangé à une impression de toucher la grâce et le génie...

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"...cruzaron por primera vez el oceano y vieron el alba del nuevo mundo"
El descubrimiento... El otro... Un nuevo territorio, una nueva vida...


"These mist covered mountains
Are a home now for me
But my home is the lowlands
And always will be
Some day you'll return to
Your valleys and your farms
And you'll no longer burn
To be brothers in arms

Through these fields of destruction
Baptisms of fire
I've watched all your suffering
As the battles raged higher
And though they did hurt me so bad
In the fear and alarm
You did not desert me
My brothers in arms

There's so many different worlds
So many differents suns
And we have just one world
But we live in different ones

Now the sun's gone to hell
And the moon's riding high
Let me bid you farewell
Every man has to die
But it's written in the starlight
And every line on your palm
We're fools to make war
On our brothers in arms" (source)

Dire Straits, Brothers in arms

Tel aphone

05/02/2006 19:53
422 lectures
Le jour s'est levé... Réveillé avec un drôle de goût dans la bouche... La tarte flambée peut-être, voire le vin ou la bière ? Le snake bite ? Non, non, autre chose... Un coup de spleen dominical... La peur d'un lendemain qui déchante ? Un vide en tout cas... La tête ailleurs peut-être... Les Côtes du Rhône de midi et le sourire de la serveuse n'y changeront rien...

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Le jour s'est levé
Sur une étrange idée
Je crois que j'ai rêvé
Que ce soir je mourrais
Le jour s'est levé
Plein de perplexité
Si ce n'était pas un rêve
Qu'il faille s'en aller
S 'en aller

Comme le jour avançait
En moi je pensais
Si ce n'était pas un rêve
J'ai tout à aimer
Quand le jour s'est couché
J'ai réalisé
Que ce n'était qu'une trêve
Dans ma réalité
Nous sommes ici pour croire
Rien d'autre à laisser croire
Croire que l'on meurt ce soir
Pour qui veut bien voir

Le voile est levé
Sur ma pauvreté
Qu'ai-je donc à garder
Qui ne sera soufflé
Oui, le voile est levé
Tout est si coloré
Qu'ai-je donc à donner
Que la nuit n'm'a soufflé
Nous sommes ici pour croire
Rien d'autre à laisser croire
Croire que l'on meurt ce soir
Pour qui veut bien voir
Et qu'il est déjà tard
Déjà tard, mais pas trop tard
A toi de voir, à toi de croire

Le jour s'est levé
Sur cette étrange idée
La vie n'est qu'une journée
Et la mort qu'une nuit
La vie n'est ajournée
Que si la mort lui nuit

(Téléphone, "Le jour s'est levé")

Beaux dégâts...

De la Lanterne à La Grotte... Bouteilles, décibels et belles... Où est ma lumière ?

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" Aie, bodeg', bodega
Chante nos joies et nos folies
Aie, bodeg', bodega
Tu es l'étoile de nos nuits

Si tu as la cucaracha
Sacrées bestioles, cancrelas
Fais un pactole, ligotes-la
Au gré du vent, du haut du mât
C'est un raz-de-marée que voilà
N'hésitons pas hissons-la

Elle se noiera, quel débarras
Car un vent d'fête nous fait savoir
Qu'une tempête va déferler
Sur la mer boire de Bodega
Tonnerre de Dieu c'est Dyonisos
Bénis ma chair, bénis mes os
Tonnerre de Dieu, toi Dyonisos
Bénis ma chair, bénis mes os

Aie bodeg', bodega
Chante nos joies et nos folies
Aie, bodeg', bodega
Tu es l'étoile de nos nuits
Aie, bodeg', bodega
Brûle mon coeur et mes soucis
Il sera toujours midi
Sous le soleil de bodega

Fou de bagou le plus beau des gars
Est à genoux au pastaga
J'entends hurler le mellino
Sans picador ni corrida
Lorsque tangua la sangria
Succomba l'capitaine Tracas

Aie, bodeg', bodega
Chante nos joies et nos folies
Aie, bodeg', bodega
Tu es l'étoile de nos nuits
Aie, bodeg's, bodega
Brûle mon coeur et mes soucis
Il sera toujours midi
Sous le soleil de bodega

A la bodega"

Les Négresses Vertes, Sous le soleil de bodega (Source)

Dream her

17/02/2007 00:01
656 lectures
Nan mais franchement, une enseigne comme ça avec un nom et un slogan comme ça à deux pas de chez moi, ils auraient voulu le faire exprès qu'ils n'auraient pas réussi, si ?

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"On vous souhaite tout le bonheur du monde
Et que quelqu'un vous tende la main
Que votre chemin évite les bombes
Qu'il mène vers de calmes jardins.

On vous souhaite tout le bonheur du monde
Pour aujourd'hui comme pour demain
Que votre soleil éclaircisse l'ombre
Qu'il brille d'amour au quotidien.

Puisque l'avenir vous appartient
Puisqu'on n'contrôle pas votre destin
Que votre envol est pour demain
Comme tout c'qu'on a à vous offrir
Ne saurait toujours vous suffir
Dans cette liberté à venir
Puisque on sera pas toujours là
Comme on le fut aux premiers pas.

{Refrain}

Toute une vie s'offre devant vous
Tant de rêves a vivre jusqu'au bout
Surement plein de joie au rendez-vous
Libre de faire vos propres choix
De choisir qu'elle sera votre voie
Et où celle-ci vous emmenera
J'espère juste que vous prendrez le temps
De profiter de chaque instant.

{Refrain}

Ché pas quel monde on vous laissera
On fait d'notre mieux, seulement parfois,
J'ose espérer que c'la suffira
Pas à sauver votre insoucience
Mais à apaiser notre conscience
Aurais-je le droit de vous faire confiance...

{Refrain}" (source)

Petit clin d'oeil pour chris, entres autres...

Starbourg...

25/11/2006 01:03
810 lectures
Le temps d'un mois, la ville des rues devient celle de la lumière et des étoiles filantes...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/24.11.2006-012...

"Sous la lumière en plein
et dans l'ombre en silence
si tu cherches un abri
Inaccessible
Dis toi qu'il n'est pas loin et qu'on y brille

A ton étoile

Petite soeur de mes nuits
ça m'a manqué tout ça
quand tu sauvais la face
à bien d'autre que moi
sache que je n'oublie rien mais qu'on efface

A ton étoile

Toujours à l'horizon
Des soleils qui s'inclinent
comme on a pas le choix il nous reste le coeur
tu peux cracher même rire, et tu le dois

A ton étoile

A Marcos
A la joie
A la beauté des rêves
A la mélancolie
A l'espoir qui nous tient
A la santé du feu
Et de la flamme
A ton étoile" (source)

Noir Désir, A ton étoile

Cours, âge

06/11/2006 00:01
632 lectures
Fuite effrénée du temps ou malgré le temps qui passe ?

"Le temps passe. Et chaque fois qu'il y a du temps qui passe, il y a quelque chose qui s'efface."

"Ce qui est passé a fui ; ce que tu espères est absent ; mais le présent est à toi."

"Le temps qui passe arrange parfois les choses mais pas les gens !"

"On passe notre temps à chercher ce qui nous manque, sans vraiment savoir ce que c'est..."

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/colmar17.09.05...

"Sur la plage, elle se fige,
Les yeux à l'horizon :
Un point flou se dirige
Vers de lointains bastions ;
Dès ce matin – que dis-je,
Dès l'aube – elle comprit qu'on
Pouvait perdre courage
Comme on perd la raison.
Ce que la mer érige
Interdit toute action :
Parades et haute voltige
Contre lames de fond...
D'un regard, elle fustige
Avec appréhension
La forme qui voyage
Dans l'autre direction...
Quand l'avenir incertain charge,
La peur des lendemains la ronge
Et son courage atteint le large ;
Sans lui
Comment veux-tu qu'elle plonge ?
En nage, panique oblige,
Jusqu'à l'ébullition,
Elle court comme on s'inflige
D'inutiles ambitions ;
Elle cherche, et elle exige
Qu'on rende à sa raison
Le beau, le doux visage
Du courage en question ;
Et alors qu'elle néglige
Simplement l'abandon,
Arrivent le vertige,
Bientôt l'imploration :
Elle revit le prodige
D'anciennes insoumissions
Et elle longe le rivage,
Son courage en amont...
Quand l'avenir incertain charge,
La peur des lendemains la ronge
Et son courage atteint le large ;
Sans lui
Comment veux-tu qu'elle plonge ?
Quand l'avenir incertain charge,
La peur des lendemains la ronge
Et son courage atteint le large...
Sur la plage, elle se fige,
Les yeux à l'horizon :
Un point flou se dirige
Vers de lointains bastions ;
Dès ce matin – que dis-je,
Dès l'aube – elle comprit qu'on
Pouvait perdre courage
Comme on perd la raison
Quand l'avenir invertain charge,
La peur des lendemains la ronge
Et son courage atteint le large ;
Sans lui
Comment veux-tu qu'elle plonge ?
Quand l'avenir invertain charge,
La peur des lendemains la ronge
Et son courage atteint le large...
Sur le sable humide, elle s'allonge."

Elista, Courage

Racing carré

22/10/2006 11:19
623 lectures
Robert dit :

"Equation : relation conditionnelle existant entre deux quantités et dépendant de certaines variables (ou inconnues)"

Exemple : marquer un but et ne pas en encaisser, ou marquer un but de plus que l'autre = victoire.

J'ai toujours aimé les maths... les matchs !

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/28.07.2006-050...

"No more carefree laughter
Silence ever after
Walking through an empty house, tears in my eyes
Here is where the story ends, this is goodbye

Knowing me, knowing you (ah-haa)
There is nothing we can do
Knowing me, knowing you (ah-haa)
We just have to face it, this time we're through
(This time we're through, this time we're through
This time we're through, we're really through)
Breaking up is never easy, I know but I have to go
(I have to go this time I have to go, this time I know)
Knowing me, knowing you
It's the best I can do

Mem'ries (mem'ries), good days (good days), bad days (bad days)
They'll be (they'll be), with me (with me) always (always)
In these old familiar rooms children would play
Now there's only emptiness, nothing to say

Knowing me, knowing you (ah-haa)
There is nothing we can do
Knowing me, knowing you (ah-haa)
We just have to face it, this time we're through
(This time we're through, this time we're through
This time we're through, we're really through)
Breaking up is never easy, I know but I have to go
(I have to go this time I have to go, this time I know)
Knowing me, knowing you
It's the best I can do" (source)

ABBA, Knowing me, knowing you

Métro goulot dodo

11/10/2006 00:15
578 lectures
"L'humanité est comme un paysan ivre à cheval : quand on la relève d'un côté, elle tombe de l'autre"

Tchin tchin...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/24.04.06-002-6...

"Sous le pont Mirabeau coule la Seine
Et nos amours
Faut-il qu'il m'en souvienne
La joie venait toujours après la peine.
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Les mains dans les mains restons face à face
Tandis que sous
Le pont de nos bras passe
Des éternels regards l'onde si lasse
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
L'amour s'en va comme cette eau courante
L'amour s'en va
Comme la vie est lente
Et comme l'Espérance est violente
Vienne la nuit sonne l'heure
Les jours s'en vont je demeure
Passent les jours et passent les semaines
Ni temps passé
Ni les amours reviennent
Sous le pont Mirabeau coule la Seine" (source)

Apollinaire, Le pont Mirabeau (Alcools)

Hope là ?

26/09/2006 00:02
691 lectures
"La vie n'est pas mesurée par les respirations que l'on prend mais par les moments qui vous coupent le souffle"

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/26.08.2006-021...

"I will try not breathe
I can hold my head still with my hands at my knees
These are the eyes of the old
Shiver and fold

I will try not to breathe
This decision is mine
I have lived a full life And these are the eyes that I want you to remember

I need something to fly over my grave again
I need something to breathe

I will try not to burden you
I can hold these inside
I will hold my breath
Until all these shivers subside
Just look in my eyes

I will try not to worry you
I have seen things that you will never see
Leave it to memory me
I shudder to breathe

I want you to remember (You will never see)
I need something to fly (Something to fly)
Over my grave again (You will never see)
I need something to breathe (Something to breathe)
Baby don't shiver now
Why do you shiver now? (I will see things you will never see)
I need something to fly (Something to fly)
Over my grave again (I will see things you will never see)
I need something to breathe

I will try not to worry you.
I have seen things you will never see
Leave it to memory me
Don't dare me to breathe

I want you to remember (You will never see)
I need something to fly (Something to fly)
Over my grave again (You will never see)
I need something to breathe (Something to breathe)
Baby don't shiver now
Why do you shiver now? (I will see things you will never see)
I need something to fly (Something to fly)
Over my grave again (I will see things you will never see)
I need something to breathe (Something to breathe - I have seen things you will never see)
I want you to remember" (source)

REM, Try not to breathe

La femme s'entête

09/06/2006 00:00
416 lectures
Ou sans tête ? Ou avec beaucoup trop de tête...
Esthète... Es tête...
En latin, caput, la tête. Kaput, la tête ?
Tête... Têtue... T'es tue, tais toi ?
Mots de tête...
Tête... Téter... Tâter ?
Téton, tétons...
Céphalique... C'est phallique ?
Tête à queue... Tête à nique... Titanic...
Tête à tête... Tête à claques...
Entêtée... En-tête... En tête ?
Pas tête, hic... Pathétique...
Head... Aide...

« Ce que l'on nomme fermeté chez un roi s'appelle entêtement chez un âne. »

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/30.04.06-022-9...

"Derrière des barreaux
Pour quelques mots
Qu'il pensait si fort
Dehors il fait chaud
Des milliers d'oiseaux
S'envolent sans effort

Quel est ce pays
Où frappe la nuit
La loi du plus fort ?

Diego, libre dans sa tête
Derrière sa fenêtre
S'endort peut-etre...

Et moi qui danse ma vie
Qui chante et qui rit
Je pense à lui

Diego, libre dans sa tête
Derrière sa fenêtre
Déjà mort peut-être..." (source)

Michel Berger, Diego, libre dans sa tête

SIG ! Sieg !

26/05/2006 05:15
498 lectures
En cette période de disette de défaites du Racing, c'est à la SIG qu'on trouve le plus de monde pour assister à un match. Des mecs qui tapent dans leurs mains pour encourager d'autres mecs qui se battent pour un ballon, voilà une occupation intelligente pour échapper deux heures durant au reste...
Les locaux démarrent le match en trombe, enfilant les paniers avec une réussite insolente et tuant le match dès les premières minutes. Les Gravelinois (la trouvaille terminologique de la soirée) ne peuvent pas réagir, malgré les encouragements de leurs supporters. Tiens au fait, Gravelines, c'est où ?
Située dans la région Nord-Pas de Calais, à mi-distance entre Dunkerque et Calais, Gravelines fait partie de l'agglomération dunkerquoise appelée « Dunkerque Grand Littoral » et appartient au groupement de sept communes qui forment les « Rives de l'Aa ». (souce) Tu avais donc bien raison dolores pour la situation géographique de cette petite ville de 12 000 habitants...
Bref, il n'y a pas de match. Un peu comme si au Racing on claquait trois buts en 20 minutes et que les autres ne réagissaient pas. A cela près que ça n'arrive pas...
Le dernier intérêt de la rencontre se focalise donc sur la capacité des locaux à atteindre les 100 points, et celle des visiteurs à dépasser les 60... Echec des uns, succès des autres...

A un moment, on peut s'interroger... Qu'est-ce qu'une victoire ? Faut-il être dans le coeur des gens ou avoir des résultats concrets ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/rcs-psg-007-a9...

"In one single moment your whole life can turn 'round
I stand there for a minute starin' straight into the ground
Lookin' to the left slightly, then lookin' back down
World feels like it's caved in - proper sorry frown
Please let me show you where we could only just be, for us
I can change and I can grow or we could adjust
The wicked thing about us is we always have trust
We can even have an open relationship, if you must
I look at her she stares almost straight back at me
But her eyes glaze over like she's lookin' straight through me
Then her eyes must have closed for what seems an eternity
When they open up she's lookin' down at her feet

Dry your eyes mate
I know it's hard to take but her mind has been made up
There's plenty more fish in the sea
Dry your eyes mate
I know you want to make her see how much this pain hurts
But you've got to walk away now
It's over

So then I move my hand up from down by my side
It's shakin', my life is crashin' before my eyes
Turn the palm of my hand up to face the skies
Touch the bottom of her chin and let out a sigh
'Cause I can't imagine my life without you and me
There's things I can't imagine doin', things I can't imagine seein'
It weren't supposed to be easy, surely
Please, please, I beg you please
She brings her hands up towards where my hands rested
She wraps her fingers round mine with the softness she's blessed with
She peels away my fingers, looks at me and then gestures
By pushin' my hand away to my chest, from hers

Dry your eyes mate
I know it's hard to take but her mind has been made up
There's plenty more fish in the sea
Dry your eyes mate
I know you want to make her see how much this pain hurts
But you've got to walk away now
It's over

And I'm just standin' there, I can't say a word
'Cause everythin's just gone
I've got nothin'
Absolutely nothin'

Tryin' to pull her close out of bare desperation
Put my arms around her tryin' to change what she's sayin'
Pull my head level with hers so she might engage in
Look into her eyes to make her listen again
I'm not gonna fuckin', just fuckin' leave it all now
'Cause you said it'd be forever and that was your vow
And you're gonna let our things simply crash and fall down
You're well out of order now, this is well out of town
She pulls away, my arms are tightly clamped round her waist
Gently pushes me back and she looks at me straight
Turns around so she's now got her back to my face
Takes one step forward, looks back, and then walks away

Dry your eyes mate
I know it's hard to take but her mind has been made up
There's plenty more fish in the sea
Dry your eyes mate
I know you want to make her see how much this pain hurts
But you've got to walk away now
It's over

I know in the past I've found it hard to say
Tellin' you things, but not tellin' straight
But the more I pull on your hand and say
The more you pull away

Dry your eyes mate
I know it's hard to take but her mind has been made up
There's plenty more fish in the sea
Dry your eyes mate
I know you want to make her see how much this pain hurts
But you've got to walk away now." (source)

The Streets, Dry your eyes

Perle à rebours

23/05/2006 06:34
441 lectures
Faites pas l'amour, faites la guerre... Et courrez...
Certaines personnes ne peuvent pas s'en empêcher, dans une pathétique quête de destruction, faute de pouvoir vivre en paix sans avoir peur...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/20.05.2006-009...

"I can't believe the news today
Oh, I can't close my eyes
And make it go away
How long...
How long must we sing this song
How long, how long...
'cause tonight...we can be as one
Tonight...

Broken bottles under children's feet
Bodies strewn across the dead end street
But I won't heed the battle call
It puts my back up
Puts my back up against the wall

Sunday, Bloody Sunday
Sunday, Bloody Sunday

And the battle's just begun
There's many lost, but tell me who has won
The trench is dug within our hearts
And mothers, children, brothers, sisters
Torn apart

Sunday, Bloody Sunday
Sunday, Bloody Sunday

How long...
How long must we sing this song
How long, how long...
'cause tonight...we can be as one
Tonight...tonight...

Sunday, Bloody Sunday
Sunday, Bloody Sunday

Wipe the tears from your eyes
Wipe your tears away
Oh, wipe your tears away
Oh, wipe your tears away
(Sunday, Bloody Sunday)
Oh, wipe your blood shot eyes
(Sunday, Bloody Sunday)

Sunday, Bloody Sunday
Sunday, Bloody Sunday

And it's true we are immune
When fact is fiction and TV reality
And today the millions cry
We eat and drink while tomorrow they die
The real battle just begun
To claim the victory Jesus won
On...

Sunday Bloody Sunday
Sunday Bloody Sunday..." (source)

U2, Sunday, Bloody Sunday

Anesthésié...

07/02/2006 18:45
402 lectures
I'm sick and tired...
Gasp, malgré la fatigue, impossible de trouver le sommeil... Le lit et ma conscience deviennent une prison. J'ai beau attendre, espérer, me tourner et me retourner dans tous les sens, me relever plusieurs fois, arpenter la pièce dans l'obscurité, je fulmine contre moi-même... incapable de sombrer dans un repos aussi mérité que libérateur. Le réveil n'en est donc pas un, et la journée est longue, mais longue, à masquer la lassitude physique et psychique, à rendre les sourires hypocritement et m'efforcer de rester calme... J'aimerais hurler, mais est-ce que ça me soulagerait vraiment ? Pas ça, pas comme ça...
Bref, au moins, je suis arrivé tôt au boulot...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/17.10.2005-030...

"Je n'ai pas peur de la route
Faudrait voir, faut qu'on y goûte
Des méandres au creux des reins
Et tout ira bien

Le vent l'emportera

Ton message à la grande ourse
Et la trajectoire de la course
A l'instantané de velours
Même s'il ne sert à rien

Le vent l'emportera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera

La caresse et la mitraille
Cette plaie qui nous tiraille
Le palais des autres jours
D'hier et demain

Le vent les portera

Génétique en bandoulière
Des chromosomes dans l'atmosphère
Des taxis pour les galaxies
Et mon tapis volant lui

Le vent l'emportera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera

Ce parfum de nos années mortes
Ceux qui peuvent frapper à ta porte
Infinité de destin
On en pose un, qu'est-ce qu'on en retient?

Le vent l'emportera

Pendant que la marée monte
Et que chacun refait ses comptes
J'emmène au creux de mon ombre
Des poussières de toi

Le vent les portera
Tout disparaîtra
Le vent nous portera"

Noir Désir, Le vent l'emportera

(P)rose ?

12/08/2008 22:54
398 lectures
Vivez si m'en croyez, n'attendez à demain.
Cueillez dès aujourd'hui les roses de la vie.


http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/strasbourgg-76...

"Te faire mourir de rire
Aspirer tes soupirs
M'enfermer tout le jour
Ecrire des mots d'amour
Boire mon café noir
Me lever en retard
Pleurer sur un trottoir
Me serrer sur ton coeur
Pardonner tes erreurs
Jouer de la guitare
Danser sur un comptoir..."

Blues au tel

02/12/2007 22:11
418 lectures
Manque, n.m : fait de manquer, absence ou grave insuffisance d'une chose rare

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/01.12.2007-011...

"Blue Hotel, on a lonely highway,
Blue Hotel, life don't work out my way.

Blue Hotel, on a lonely highway,
Blue Hotel, life don't work out my way.
I wait alone in a lonely night,
Blue Hotel. Blue Hotel.

Blue Hotel, every room is lonely,
Blue Hotel, I was waitin' only.
The man in the light had a lonely dream,
Blue Hotel. Blue Hotel.

Blue Hotel, on a lonely highway,
Blue Hotel, life don't work out my way.

Blue Hotel, on a lonely highway,
Blue Hotel, life don't work out my way.
I wait alone in a lonely night,
Blue Hotel. Blue Hotel." (source)

Chris Isaac, Blue Hotel

Stan-islas bonitas

29/09/2007 09:39
507 lectures
Sans avoir (de loin) le charme ancien de l'île strasbourgeoise, le Canal de la Marne au Rhin et les bras de la Meurthe annoncent des sites en plein boom immobilier où il est parfois agréable de se promener le soir, même si les tours modernes n'atteindront jamais le charme historique... On ne peut s'empêcher de penser à l'aménagement des quais de la Place de l'Etoile...

Non loin de là, la "nouvelle" ville et l'ancienne. C'est le gros avantage de Nancy : finalement, rien n'est loin et c'est bien agréable. Comme le sont d'ailleurs la jeunesse et le dynamisme de la ville, avec grand nombre d'offres culturelles et de lieux de sortie. Nancy serait la 5e ville universitaire en terme de densité étudiante, et ça se sent...

Et pour la peine, une vue en direct via webcam de la très connue place Stanislas avec son jardin éphémère...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/26.09.2007-014...

"Last night I dreamt of San Pedro
Just like I'd never gone, I knew the song
A young girl with eyes like the desert
It all seems like yesterday, not far away

Tropical the island breeze
All of nature wild and free
This is where I long to be
La isla bonita
And when the samba played
The sun would set so high
Ring through my ears and sting my eyes
Your Spanish lullaby..."

Madonna, La isla bonita

(bon n'exagérons rien, hein...)

L'arme à l'oeil

24/09/2007 00:01
434 lectures
L'ignorer, c'est donc avoir la paix ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/19.08.2007-012...

"Savoir que la plus belle de vous deux
savoir que la plus belle de moi
elle est amoureuse
savoir, là j'en perds la mémoire
Savoir lequel de moi
étant deux
est amoureux de toi
la plus belle des deux
savoir si la plus belle de vous deux
et là j'en perds la mémoire
Savoir être capable de toi
sur moi
savoir si après tout tu m'aimeras
et l'a j'en perds la mémoire
Tout l'temps gentil
tu dis que j'suis
tout l'temps gentil
tu disparais réapparais
putain faudrait savoir
et là j'en perds la mémoire." (source)

Louise Attaque, Savoir

Foot loose

21/08/2007 00:01
422 lectures
Nan mais ça va pas la tête ?!

Il paraît que le football serait la poursuite de la guerre par d'autres moyens remarque...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/18.08.2007-010...

"Where have all the good men gone
And where are all the gods?
Where's the street-wise Hercules
To fight the rising odds?
Isn't there a white knight upon a fiery steed?
Late at night I toss and turn and dream
of what I need

{Chorus:}
I need a hero
I'm holding out for a hero 'til the end of the night
He's gotta be strong
And he's gotta be fast
And he's gotta be fresh from the fight
I need a hero
I'm holding out for a hero 'til the morning light
He's gotta be sure
And it's gotta be soon
And he's gotta be larger than life

Somewhere after midnight
In my wildest fantasy
Somewhere just beyond my reach
There's someone reaching back for me
Racing on the thunder end rising with the heat
It's gonna take a superman to sweep me off my feet

{repeat Chorus}

Up where the mountains meet the heavens above
Out where the lightning splits the sea
I would swear that there's someone somewhere
Watching me

Through the wind end the chill and the rain
And the storm and the flood
I can feel his approach
Like the fire in my blood" (source)

Footloose - Holding out for a hero (Bonnie Tyler)

L'art mateur

28/05/2007 00:24
1.167 lectures
Ou comment passer d'une manifestation culturelle avec des oeuvres d'art exposées sur les berges d'un canal au naufrage du Titanic...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/27.05.2007-050...

"J'aurais voulu être un artiste
Pour pouvoir faire mon numéro
Quand l'avion se pose sur la piste
A Rotterdam ou à Rio
J'aurais voulu être un chanteur
Pour pouvoir crier qui je suis
J'aurais voulu être un auteur
Pour pouvoir inventer ma vie
Pour pouvoir inventer ma vie

J'aurais voulu être un acteur
Pour tous les jours changer de peau
Et pour pouvoir me trouver beau
Sur un grand écran en couleur
Sur un grand écran en couleur

J'aurais voulu être un artiste
Pour avoir le monde à refaire
Pour pouvoir être un anarchiste
Et vivre comme un millionnaire
Et vivre comme un millionnaire

J'aurais voulu être un artiste....
Pour pouvoir dire pourquoi j'existe"

Sous rire, le retour

15/04/2007 11:26
719 lectures
Il y a un an, une photo illustrait un billet, suite à la découverte d'un message à la craie sur un mur : "il y a ton sourire"

Un an après, des messages identiques refleurissent, preuve que rien n'a changé...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/04.03.2007-013...

D'autres l'ont d'ailleurs remarqué, puisqu'un dialogue s'installe, avec notamment un "mais quel sourire ?!" limite excédé, entraînant la réponse de notre amoureux, ou d'un troisième intervenant, compréhensif :

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/04.03.2007-012...

"Ce matin au réveil
Quand j'me suis retournée
Quelle fut pas ma surprise !
C'est sur toi que je suis tombée
Moi qui voulais pas sortir
Y a des jours comme ça
Moi qui voulais juste dormir
Et maintenant, t'es là !

Chut ! Ne dis rien
Reste encore mystérieux
Chut ! Ne bouge pas
Je suis si bien dans tes yeux

Quelle heure et quel jour on est ?
J'oublie toujours
Est-ce l'hiver ? Est-ce l'été ?
Je m'en rappelle jamais
Comment on s'est r'trouvés là ?
Laisse-moi deviner
Pour une fois qu'j't'attendais pas
Et maintenant, ça y est !

Chut ! Ne dis rien
Dans tes yeux, je vois l'jour
Chut ! Ne bouge pas
Reste encore mon amour

Je suis une femme dangereuse
Vraiment infréquentable
Je suis une femme amoureuse
Vraiment incontrôlable

Chut ! Ne dis rien
Reste encore dans mon lit
Chut ! Ne bouge pas
Tu t'appelles chéri et
Dans tes bras je suis bien

Oui ! Ne dis rien
Laisse-moi me réveiller
Chut ! Ne bouge pas
Laisse-moi encore rêver
Chut !" (source)

Adrienne Pauly, Chut

Po(hér)ésie du matin

04/03/2007 10:54
1.205 lectures
Retur des promenades matinales et déjà printanières...

"On se demande parfois si la vie a un sens... et puis on rencontre des êtres qui donnent un sens à la vie"

https://racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/04.03.2007-003-17cd0.jpg

"C'était sur une grande route, j'marchais là d'puis des jours
Voire des s'maines ou des mois, j'marchais là d'puis toujours
Une route pleine de virages, des trajectoires qui dévient
Un ch'min un peu bizarre, un peu tordu comme la vie
Evidemment j'étais pas tout seul, j'avais envie d'faire connaissance
Y'avait un tas d'personnes et personne marchait dans l'même sens
Alors j'continuais tout droit mais un doute s'est installé
Je savais pas c'que j'foutais là, encore moins où j'devais aller
Mais en ch'min au fil du temps j'ai fait des sacrées rencontres
Des trucs impressionants, faut absolument qu'j'vous raconte
Ces personnages que j'ai croisé c'est pas vraiment des êtres humains
Tu peux parler avec eux mais jamais leur serrer la main
Tout d'abord sur mon parcours j'ai rencontré l'innocence
Un être doux, très gentil mais qui manque un peu d'expérience
On a marché un p'tit moment, moins longtemps que c'que j'aurais cru
J'ai rencontré d'autres éléments et l'innocence a disparue
Un moment sur mon ch'min, j'ai rencontré le sport
Un mec physique, un peu grande gueule mais auprès d'qui tu d'viens fort
Pour des raisons techniques on a du s'quitter c'était dur
Mais finalement c'est bien comme ça, puis l'sport ça donne des courbatures
J'ai rencontré la poésie, elle avait un air bien prétentieux
Elle prétendait qu'avec les mots on pouvait traverser les cieux
J'lui ai dit j't'ai d'jà croisée et franchement tu vaux pas l'coup
On m'a parlé d'toi à l'école et t'avais l'air vraiment relou
Mais la poésie a insisté et m'a rattrapé sous d'autres formes
J'ai compris qu'elle était cool et qu'on pouvait braver ses normes
J'lui ai d'mandé tu penses qu'on peux vivre ensemble ? J'crois qu'j'suis accroc
Elle m'a dit t'inquiêtes le monde appartient à ceux qui rêvent trop
Puis j'ai rencontré la détresse et franchement elle m'a saoulé
On a discuté vite fait mais rapidement je l'ai r'foulée
Elle a plein d'certitudes sous ses grands airs plein d'tension
Mais vous savez quoi ? La détresse, elle a pas d'conversations
Un moment sur ma route j'ai rencontré l'amour
J'lui ai dit tient tu tombes bien, j'veux t'parler d'puis toujours
Dans l'absolu t'es une bonne idée mais dans les faits c'est un peu nul
Tu pars en couille une fois sur deux faudrait qu'tu r'travaille ta formule
L'amour m'a dit écoute petit ça fait des siècles que j'fais mon taff
Alors tu m'parles sur un autre ton si tu veux pas t'manger des baffes
Moi j'veux bien être gentille mais faut qu'chacun y mette du sien
Les humains n'font aucun effort et moi j'suis pas un magicien
On s'est embrouillé un p'tit moment et c'est là qu'j'me suis rendu compte
Que l'amour était sympa mais que quand même il s'la raconte
Puis il m'a dit qu'il d'vait partir, il avait des rendez-vous par centaine
Que ce soir il d'vait diner chez sa d'mi-soeur : la haine
Avant d'partir j'ai pas bien compris, il m'a conseillé d'y croire toujours
Puis s'est éloigné sans s'retourner, c'était mes derniers mots d'amour
J'suis content d'l'avoir connu, ça j'l'ai bien réalisé
Et je sais qu'un d'ces quatre on s'ra amené à s'recroiser
Un peu plu stard sur mon ch'min j'ai rencontré la tendresse
Ce qui reste de l'amour derrière les barrières que le temps dresse
Un peu plus tard sur mon ch'min j'ai rencontré la nostalgie
La fiancée des bons souvenirs qu'on éclaire à la bougie
Assez tôt sur mon parcours j'avais rencontré l'amitié
Et jusqu'à c'jour, elle marche toujours à mes côtés
Avec elle j'ma tape des barres et on connait pas la routine
Maintenant c'est sûr, l'amitié, c'est vraiment ma meilleure copine
J'ai rencontré l'avenir mais il est resté très mystérieux
Il avait la voix déformée et un masque sur les yeux
Pas moyen d'mieux l'connaitre, il m'a laissé aucune piste
Je sais pas à quoi il r'semble mais au moins j'sais qu'il existe
J'ai rencontré quelques peines, j'ai rencontré beaucoup d'joie
C'est parfois une question d'chance, souvent une histoire de choix
J'suis pas au bout d'mes surprises, là d'sus y'a aucun doute
Et tous les jours je continue d'apprendre les codes de ma route

C'était sur une grande route, j'marchais là d'puis des jours
Voire des s'maines ou des mois, j'marchais là d'puis toujours
Une route pleine de virage, des trajectoires qui dévient
Un ch'min un peu bizarre, un peu tordu, un peu comme la vie." (source)

Grand Corps Malade, Rencontres

Clip... clap

23/02/2007 00:01
515 lectures
Clope ?

"Le Temps n'a d'autre fonction que de se consumer : il brûle sans laisser de cendres."

Clopin-clopant... Surtout le clip d'ailleurs...



"Si je m'arrête un instant
Pour te parler de ma vie
Juste comme ça tranquillement
Dans un bar rue St-Denis
J'te raconterai les souv'nirs
Bien gravés dans ma mémoire
De cette époque où vieillir
Était encore bien illusoire
Quand j'agaçais des p'tites filles
Pas loin des balançoires
Et que mon sac de billes
Devenait un vrai trésor
Ces hivers enneigés
A construire des igloos
Et rentrer les pieds g'lés
Juste à temps pour Passe-Partout
Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester
De la p'tit'école et d'la cour de récré ?
Quand les avions en papier ne partent plus au vent
On se dit que l'bon temps passe final'ment
Comme une étoile filante

Si je m'arrête un instant
Pour te parler de la vie
Je constate que bien souvent
On choisit pas mais on subit
Et que les rêves des ti-culs
S'évanouissent ou se refoulent
Dans cette réalité crue
Qui nous embarque dans le moule
La trentaine, la bedaine
Les morveux, l'hypothèque
Les bonheurs et les peines
Les bons coups et les échecs
Travailler, faire d'son mieux
N'arracher, s'en sortir ("n'arracher" c'est une contraction de "en arracher", avoir de la difficulté)
Et espérer être heureux
Un peu avant de mourir
Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester
De not' p'tit passage dans ce monde effréné
Après avoir existé pour gagner du temps
On s'dira que l'on était final'ment
Des étoiles filantes

Si je m'arrête un instant
Pour te parler de la vie
Juste comme ça, tranquillement
Pas loin du Carré Saint Louis
C'est qu'avec toi je suis bien
Et qu'j'ai pu l'goût d'm'en faire
Parce que tsé voir trop loin
C'pas mieux qu'd'regarder en arrière
Malgré les vieilles amertumes
Et les amours qui passent
Les chums qu'on perd dans brume
Et les idéaux qui se cassent
La vie s'accroche et renaît
Comme les printemps reviennent
Dans une bouffée d'air frais
Qui apaise les coeurs en peine
Ça fait que si à soir t'as envie de rester
Avec moi la nuit est douce on peut marcher
Et même si on sait ben que tout dure rien qu'un temps
J'aimerais çà que tu sois pour un moment
Mon étoile filante

Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester

Mais au bout du ch'min dis-moi c'qui va rester

Que des étoiles filantes" (source)

Les Cowboys Fringants, Les étoiles filantes

Tours niqué

11/02/2007 12:06
378 lectures
Ou ce à quoi vous avez échappé...

Tours nan, merci
2-1 : à double Tours
Un petit Tours et puis s'en va
Tours nage... clap
Tours noyé... glouglou !
Tour de rein, Tours de rien
A chacun son Tours
A Tours de drôle

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/11.06.2006-009...

"J'ai pas un rond, pis à vrai dire, chu pomal paumé
C'est vrai qu'j'ai pas travaillé bin bin fort c't'année
J'fais d'la musique a'ec des chums dans un vieux logement
Pis entre tout ça, j'pense à toi d'temps en temps

Viens donc faire un p'tit tour dans mon appartement frette
On s'gèle le cul, mais c'pas grave, on s'collera en d'ssous des couvertes
Viens donc faire un p'tit tour dans mon appartement frette
Pis si d'main tu m'aimes encore j'frai p't'être réparer la chauffrette

Chez nous c'pas propre: c't'à limite du taudis
Les murs sont en cartons a'ec d'la vieille tapisserie
Fait attention en entrant pour pas faire de bruit
Parce que mon coloc travaille sul chiffre de nuit

Viens donc faire un p'tit tour dans mon appartement frette
On s'gèle le cul, mais c'pas grave, on s'collera en d'ssous des couvertes
Viens donc faire un p'tit tour dans mon appartement frette
Pis si d'main tu m'aimes encore j'frai p't'être réparer la chauffrette

Si dans soirée tu t'es pas déjà poussée
Y me reste du pain, j'te f'rai des toats pis du café
C'est tout c'que j'peux t'offrir, y a rien dans le garde-manger
J'espère qu'un de ces quatre que j'puisse te redemander

Viens donc faire un p'tit tour dans mon appartement frette
On s'gèle le cul, mais c'pas grave, on s'collera en d'ssous des couvertes
Viens donc faire un p'tit tour dans mon appartement frette
Pis si d'main tu m'aimes encore j'frai p't'être réparer la chauffrette

Viens donc faire un p'tit tour dans mon appartement frette
On s'gèle le cul, mais c'pas grave, on s'collera en d'ssous des couvertes
Viens donc faire un p'tit tour dans mon appartement frette
Pis si d'main tu m'aimes encore j'frai p't'être réparer la chauffrette" (source)

Les Cowboys Fringants, "un p'tit tour"

Tu rêves Herbert !

09/02/2007 00:01
380 lectures
"Soyons raisonnable, demandons l'impossible"

Oui bah prendre une jolie photo c'est possible...
Regarder les flocons danser sur la lumière dans la nuit aussi...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/p1040876-35b73.jpg

"Sans en attendre rien
Mais pour le plaisir
Regarder une fille dans la rue et se dire
Qu'elle est belle
Sans même aller plus loin
Mais pour le plaisir
En passant simplement lui sourire

Pour le plaisir
Il faut savoir prendre le temps
De refaire d'un homme un enfant
Et s'éblouir

Pour le plaisir
S'offrir ce qui n'a pas de prix
Un peu de rêve à notre vie
Et faire plaisir
Pour le plaisir

Ne plus courber le dos
Même pour réussir
Préférer être bien dans sa peau que sourire
Sur commande
Avoir pendant des mois
Trimé comme un fou
Et un soir tout claquer d'un seul coup ...

Pour le plaisir ne plus courir, ne plus compter
Prendre la vie du bon cote
Pour le plaisir

Pour le plaisir
On peut aussi tout foutre en l'air
Faire souffrir comme on a souffert
Et revenir

Pour le plaisir
Oublier qu'on a dit un jour
Ça sert à rien les mots d'amour
Et te les dire
Pour le plaisir" (source)

Herbert Léonard, Pour le plaisir

Smile, eh !

08/02/2007 00:01
405 lectures
"Un sourire ne coûte rien, mais il rapporte beaucoup ; il enrichit celui qui le reçoit sans appauvrir celui qui le donne"

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/p1040854-2809b.jpg

"When you're smilin'....keep on smilin'
The whole world smiles with you
And when you're laughin'....keep on laughin'
The sun comes shinin' through

But when you're cryin'.... you bring on the rain
So stop your frownin'....be happy again
Cause when you're smilin'....keep on smilin'
The whole world smiles with you

(instrumental break)
Oh when you're smilin'....keep on smilin'
The whole world smiles with you
Ah when you're laughin'....keep on laughin'
The sun comes shinin' through

Now when you're cryin'.... you bring on the rain
So stop that sighin'....be happy again
Cause when you're smilin'....just keep on smilin'
And the whole world gonna smile with

The great big world will smile with

The whole wide world will smile with you" (source)

Louis Armstrong, When your smiling

Snow bord

05/02/2007 00:01
526 lectures
Y paraît que plus on a de toits, plus on a de neige...
Boah...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/p1040865-c734b.jpg

"Marilou repose sous la neige
Et je me dis et je me redis
De tous ces dessins d'enfant que n'ai-je
Pu préserver la fraîcheur de l'inédit

De ma Lou en bandes dessinées je
Parcourais les bulles arrondies
Lorsque je me vis exclu de ses jeux
Erotiques j'en fis une maladie

Marilou se sentait pris au piège
Tous droits d'reproduction interdits
Moi naïf j'pensais que me protégeaient
Les droits du copyright opéra mundi

Oh ma Lou il fallait que j'abrège
Ton existence c'est ainsi
Que Marilou s'endort sous la neige
Carbonique de l'extincteur d'incendie" (source)

Serge Gainsbourg, Marilou sous la neige

Fée d'hiver

02/02/2007 00:01
394 lectures
"Fées répandez partout la rosée sacrée des champs..."

"LOS ANGELES (AFP) - Cinq personnes arrêtées en flagrant délit de cambriolage en Californie (ouest) risquent en outre des poursuites pour cruauté envers animal, le chihuahua de la maison dans laquelle ils s'étaient introduits ayant été retrouvé dans un congélateur, a annoncé jeudi la police.
L'incident s'est produit à Lancaster, à 80 km au nord de Los Angeles. Appelée mercredi matin sur les lieux d'un cambriolage, la police a arrêté un adulte et quatre adolescents, pris sur le fait.

Mais l'occupante de la maison a signalé que son petit chien avait disparu. L'animal a finalement été retrouvé dans un congélateur. Il devrait survivre, selon le vétérinaire qui l'a examiné.

Le code pénal californien prévoit un an de prison et jusqu'à 20.000 dollars d'amende pour les personnes reconnues coupables de cruauté envers animal."

Oh, chiwawa !

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/p1040952-ad581.jpg

"... Chiwawa here
Chiwawa there
Everybody wants it
everywhere
Sing it loud
And life can be so easy

What can make you
move, Chiwawa
Can you feel the groove Chiwawa
What can make you dance
Chiwawa
Oh Chiwawa!
What can make you sing Chiwawa
Take it and you win
Chiwawa
What can bring you joy Chiwawa
Oh Chihuahua !"

Terre... horizon...

01/02/2007 00:01
385 lectures
Terrorisons ? Un peu visiblement...
Terreur ? Taire, heurt, oui...
Petite mise au point, réglage des objectifs et... clic. Claque, work goes on

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/p1040936-b7ea1.jpg

"Dans les ténèbres j'ai contre-plongé,
J'ai du mal viser ou bien mal cadrer
J'ai pourtant le bonheur dans l'objectif,
J'ai brûlé tous les négatifs,

Malgré les mises au point,
Je suis floue.
Malgré les mises au point,
Je suis floue.

Le temps des rêves passe comme un bolide,
Dans l'instantané d'un polaroïd,
J'ai l'impression d'une vie de cliché,
Montrant mon coeur surexposé.

Malgré les mises au point,
Je suis floue.
Malgré les mises au point,
Je suis floue." (source)

Pauline Croze, Je suis floue

Rabais-joie

11/01/2007 00:01
392 lectures
Avec tout ça, on en aurait presque oublié que c'est le retour des soldes. Avec tout le bordel que ça implique...

Et quand Brad rit...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/18.01.06-001-3...

"There you come again, I see you're having your everlasting smile on your
face, like now n' then.
I cannot hide, I cannot fight, I cannot go, you know, you know, you
know,
hey, do you know
that you do not have to entertain anybody, that you do not have to
entertain my cat,
if you don't want that, yeah.
It seems that you don't know that you're twisted by your nature n'
that's the reason
I hate ya.

I'm gone, I can't stay another day.
Roll my mind, hold my hands up in the air.

So here it comes now - a couple of hard words, yah, yah, I know this
hurts but I'm so, so happy.
'cos you, oh yes, yes, you do really deserve this. Shed a tear when you
want me to stop.
So many times you have made people cry. So many lies, why I'm asking.
I'm the one who will say, hey get out of my way, because you're twisted.
Oh yes you are." (source)

The Rasmus, Sold

Qui en voeux ?

09/01/2007 00:01
430 lectures
J'ai du me taper au moins 300 cartes de voeux et quand 20 personnes de la même boîte envoient la même, force est de constater que c'est pas toujours très original. C'est pourtant pas compliqué de choisir une jolie photo, si ?

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/22.11.2005-079...

"You a go tired fe see me face
Can't get me out of the race
Oh man you said I'm in your place
A make you draw bad card
And then you draw bad card (repeat)

Propaganda spreading over my name
Say you want to bring another life to shame
Oh man you just playing a game
And then you draw bad card, draw bad card
A make you draw bad card, draw bad card
A make you draw bad card

I want to disturb my neighbor
Cause I'm feeling so right
I want to turn up my disco
Blow them to full Watts tonight
In a rub-a-dub style, in a rub-a-dub style
In a rub-a-dub style, in a rub-a-dub style

Cause we guarding the palace so majestic
Guarding the palace so realistic
Them a go tired fe see we face, oh yeah
Me say them can't get we out of the race
Oh man it's just a big disgrace

The way you draw bad card, draw bad card
The way you make wrong moves, make wrong moves
The way you draw bad card, draw bad card
A make you draw bad card, draw bad card
A make you draw bad card
In a rub-a-dub style, in a rub-a-dub style" (source)

Bob Marley, Bad card

Lampe d'achevé

07/01/2007 00:01
1.061 lectures
Il paraît qu'il en faut pour tous les goûts...
Ote ta lampe, que je guette, comme dirait l'autre (amis du contrepet, lâchez-vous...)

L'occasion, en cherchant une idée stupide pour agrémenter un jeu de mot tout aussi débile, de tomber sur cette petite perle de... heu... comment ils disent ? Ah oui, bon goût, avec une page d'accueil ma foi fort alléchante...

Le monde est fou, et c'est pas près de s'arranger...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/expo-centenair...

"Oh I wish I was a punk rocker with flowers in my hair
In '77 and '69 revolution was in the air
I was born too late into a world that doesn't care
Oh I wish I was a punk rocker with flowers in my hair

When the head of state didn't play guitar
Not everybody drove a car
When music really mattered and when radio was king
When accountants didn't have control
And the media couldn't buy your soul
And computers were still scary and we didn't know everything

[Chorus]

When pop stars still remained a myth
And ignorance could still be bliss
And when god saved the queen she turned a whiter shade of pale
My mom and dad were in their teens
And anarchy was still a dream
And the only way to stay in touch was a letter in the mail

[Chorus]

When record shops were still on top
And vinyl was all that they stocked
And the super info highway was still drifting out in space
Kids were wearing hand me downs
And playing games meant kick arounds
And footballers still had long hair and dirt across their face

[Chorus]

I was born too late into a world that doesn't care
Oh I wish I was a punk rocker with flowers in my hair" (source)

Sandi Thom, I wish I was a punk rocker

Le bâti ment

05/01/2007 00:01
384 lectures
Ou pas...

Certains bâtiments font partie de notre quotidien. Familiers, ils deviennent pourtant mystérieux quand on s'arrête un beau jour pour les regarder et découvrir qu'on ne sait rien d'eux finalement. Comme pour les gens...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/06.08.05-004-5...

"An old man, turned 98
He won the lottery, and died the next day
It's a black fly in your chardonnay
It's a death row pardon, two minutes too late
And isn't it ironic?
Don't you think?

It's like rain, on your wedding day
It's a free ride, when you've already paid
It's the good advice, that you just didn't take
And who would've thought? It figures

Mr. Play-It-Safe, was afraid to fly
He packed his suitcase, and kissed his kids goodbye
He waited his whole damn life, to take that flight
And as the plane crashed down he thought, "Well isn't this nice?"
And isn't it ironic?
Don't you think?

It's like rain, on your wedding day
It's a free ride, when you've already paid
It's the good advice, that you just didn't take
And who would've thought? It figures

Well life has a funny way of sneaking up on you
When you think everything's okay and everything's going right
And life has a funny way of helping you out
When you think everything's gone wrong and everything blows up in your face

A traffic jam, when you're already late
A "No smoking" sign, on your cigarette break
It's like ten thousand spoons, when all you need is a knife
It's meeting the man of my dreams, and then meeting his beautiful wife
And isn't it ironic?
Don't you think?
A little too ironic?
Yeah I really do think

It's like rain, on your wedding day
It's a free ride, when you've already paid
It's the good advice, that you just didn't take
And who would've thought?
It figures

Life has a funny way of sneaking up on you
And life has a funny, funny way, of helping you out
Helping you out" (source)

Alanis Morissette, Ironic

Rrrr'âge

19/12/2006 06:18
443 lectures
"Ces douleurs ne sont pas calmées par le repos mais au contraire sont plus importantes la nuit et le matin au réveil." Merci Doctissimo...

"Ce sera ça la vieillesse. Des douleurs partout dans le corps et une maison vide autour."

Putain de corps, putain de coeur. Putain de prisons...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/31.08.2006-016...

"Lève toi c'est décidé
Laisse-moi te remplacer
Je vais prendre ta douleur

Doucement sans faire de bruit
Comme on réveille la pluie
Je vais prendre ta douleur

Elle lutte elle se débat
Mais ne résistera pas
Je vais bloquer l'ascenseur...
Saboter l'interrupteur

Mais c'est qui cette incrustée
Cet orage avant l'été
Sale chipie de petite soeur ?

Je vais tout lui confisquer
Ses fléchettes et son sifflet
Je vais lui donner la fessée...
La virer de la récrée

Mais c'est qui cette héritière
Qui se baigne qui se terre
Dans l'eau tiède de tes reins ?

Je vais la priver de dessert
Lui faire mordre la poussière
De tous ceux qui n'ont plus rien...
De tous ceux qui n'ont plus faim

Dites moi que fout la science
A quand ce pont entre nos panses ?
Si tu as mal là où t'as peur
Tu n'as pas mal là où je pense !

Qu'est-ce qu´elle veut cette conasse
Le beurre ou l'argent du beurre
Que tu vives ou que tu meurs ?

Faut qu'elle crève de bonheur
Ou qu'elle change de godasses
Faut qu'elle croule sous les fleurs
Change de couleur...
Je vais jouer au docteur

Dites moi que fout la science
A quand ce pont entre nos panses ?
Si tu as mal là où t'as peur
Tu n'as pas mal là où je chante !" (source)

Camille, Ta douleur

Le loco motive...

03/12/2006 09:54
523 lectures
Ou pas ! Así es la vida loca, loca, loca...

"Quand vous verrez la lumière au bout du tunnel, priez pour que ce ne soit pas le train"

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/01.09.2006-200...

"J'crois que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare,
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard.

Les trains démarrent souvent au moment où l'on s'y attend le moins,
Et l'histoire d'amour t'emporte sous l'oeil impuissant des témoins,
Les témoins c'est tes potes qui te disent au revoir sur le quai,
Ils regardent le train s'éloigner avec un sourire inquiet,
Toi aussi tu leur fais signe et tu imagines leurs commentaires,
Certains pensent que tu te plantes et que t'as pas les pieds sur terre,
Chacun y va de son pronostic sur la durée du voyage,
Pour la plupart le train va derailler dès le premier orage.

Le grand amour change forcément ton comportement,
Dès le premier jour faut bien choisir ton compartiment,
Siège couloir ou contre la vitre il faut trouver la bonne place,
Tu choisis quoi une love story de première ou d'seconde classe.

Dans les premiers kilomètres tu n'as d'yeux que pour son visage,
Tu calcules pas derrière la fenêtre le défilé des paysages,
Tu te sens vivant tu te sens léger tu ne vois pas passer l'heure,
T'es tellement bien que t'as presque envie d'embrasser le controleur.

Mais la magie ne dure qu'un temps et ton histoire bât de l'aile,
Toi tu te dis que tu n'y est pour rien et que c'est sa faute à elle,
Le ronronement du train te saoule et chaque virage t'écoeure,
Faut que tu te lèves que tu marches tu vas te dégourdir le coeur.

Et le train ralentit et c'est déjà la fin de ton histoire,
En plus t'es comme un con tes potes sont restés à l'autre gare,
Tu dis au revoir à celle que tu appelleras désormais ton ex,
Dans son agenda sur ton nom elle va passer un coup de tipex.

C'est vrai que les histoires d'amour c'est comme les voyages en train,
Et quand je vois tous ces voyageurs parfois j'aimerais en être un,
Pourquoi tu crois que tant de gens attendent sur le quai de la gare,
Pourquoi tu crois qu'on flippe autant d'arriver en retard.

Pour beaucoup la vie se résume à essayer de monter dans le train,
A connaitre ce qu'est l'amour et se découvrir plein d'entrain,
Pour beaucoup l'objectif est d'arriver à la bonne heure,
Pour réussir son voyage et avoir accès au bonheur.

Il est facile de prendre un train encore faut il prendre le bon,
Moi je suis monté dans deux trois rames mais c'était pas le bon vagon,
Car les trains sont crapricieux et certains sont innaccessibles,
Et je ne crois pas tout le temps qu'avec la SNCF c'est possible.

Il y a ceux pour qui les trains sont toujours en grèves,
Et leurs histoires d'amour n'existent que dans leurs rêves,
Et y'a ceux qui foncent dans le premier train sans faire attention,
Mais forcément ils descendront dessus à la prochaine station,
Y'a celles qui flippent de s'engager parce qu'elles sont trop émotives,
Pour elles c'est trop risqué de s'accrocher à la locomotive,
Et y'a les aventuriers qu'enchainent voyages sur voyages,
Dès qu'une histoire est terminée ils attaquent une autre page.

Moi après mon seul vrai voyage j'ai souffert pendant des mois,
On s'est quitté d'un commun accord mais elle était plus d'accord que moi,
Depuis je traine sur les quais je regarde les trains au départ,
Y'a des portes qui s'ouvrent mais dans une gare je me sent à part.

Il parait que les voyages en train finissent mal en général,
Si pour toi c'est le cas accroche toi et garde le moral,
Car une chose est certaine y'aura toujours un terminus,
Maintenant tu es prévenu la prochaine fois tu prendras le bus." (source)

Grand Corps Malade, Les voyages en train

Coule, heure...

28/11/2006 00:07
555 lectures
"La vie est comme un arc-en-ciel : il faut de la pluie et du soleil pour en voir les couleurs" Glou, glou...

Robert dit :
"Couleur : qualité de la lumière renvoyée par la surface des objets, perçue par le sens de la vue et permettant de distinguer des surfaces indépendamment des formes ; propriété que l'on attribue à la lumière, aux objets de produire une telle impression"

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/25.11.2006-009...

"Colore le monde, sans feutre, sans épreuves ni bombes
Indolore les murs, et coule dans le fleuve la facture
En monnaie de singe, fraîche blanche comme le linge
A jamais répand du fard sur les hommes comme le temps

Colore la foule , colore mes veines
Chaque jour il me révèle
En chair de poule, en dieu du ciel
Et la foule sort de mes veines
Oui comme le temps est un ami
Il colore mon pays

Des dieux, mes soeurs j'en vois de toutes les couleurs
Pour des cieux, mes frères s'engagent sur des routes à l'envers
Mais là haut décide, fait le ménage fait le vide
Sur la peau répand du fard sur les hommes comme le temps" (source)

Les Innocents, Colore

Ange en jeu en je ?

23/11/2006 00:01
462 lectures
« Dors avec les anges et rêve de moi car un jour tu pourras dormir avec moi et rêver des anges. »

Entendu en zappant :
« Si je suis le premier, ça va faire mal...
Tu essaies d'être drôle ?
Je ne parle pas de sexe.
Alors de quoi parles-tu ?
Je veux faire l'amour avec toi. »

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/22.11.2006-011...

"I sit and wait
Does an angel contemplate my fate
And do they know
The places where we go
When we're grey and old
'cos I've been told
That salvation lets their wings unfold
So when I'm lying in my bed
Thoughts running through my head
And I feel that love is dead
I'm loving angels instead

Chorus

And through it all she offers me protection
A lot of love and affection
Whether I'm right or wrong
And down the waterfall

Wherever it may take me
I know that life won't break me
When I come to call she won't forsake me
I'm loving angels instead

When I'm feeling weak
And my pain walks down a one way street
I look above
And I know I'll always be blessed with love
And as the feeling grows
She breathes flesh to my bones
And when love is dead
I'm loving angels instead

Chorus

And through it all she offers me protection
A lot of love and affection
Whether I'm right or wrong
And down the waterfall
Wherever it may take me
I know that life won't break me
When I come to call she won't forsake me
I'm loving angels instead" (source)

Robbie Williams, Angels

Bulle... gare !

17/11/2006 00:01
419 lectures
"Les mots c'est comme des bulles d'air. C'est brillant, c'est doux quand ça passe et après, vous cherchez et y a rien"

Par contre, il y a des claques qui restent. Le 17 novembre 1993, le Bulgare rit. Et notamment Kostadinov et ses deux buts qui éliminent la France du Mondial 1994 lors des arrêts de jeu. Et préparent sans doute aussi le renouveau français par la suite...

Je me souviens n'avoir réalisé que le lendemain matin, dans la cuisine, mal réveillé, face au journal...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/11.11.2006-054...

"Soleil écorché,
Vestiges éventrés,
Corps décapités,
Squelettes éclatés,
Fragments de silence
Dans la transparence
Ouatée des écrans
De contrôle assistance,
Bruits de bulles,
Bruits de bulles,
Bruits de bulles.

Le rouge de ses lèvres
Et le bleu de ses yeux
Sur le blanc crayeux
De son visage laiteux,
Charme ténébreux
Des ruines sur les lieux
Du crash où se cache
La bête à sept têtes,
Bruits de bulles,
Bruits de bulles,
Bruits de bulles.

Le temps se coagule,
Lueurs des rayons
Rouges filtrés des néons,
Lasers et lézards,
Démons de mon hasard,
Bruits de bulles,
Bruits de bulles,
Bruits de bulles.

L'instant se coagule,
Aurore et rosée,
Légère et vaporeuse,
Parfums orangés
De ces nuits orageuses,
Je m'engouffre en fumée
Dans la fissure,
Cliché désintégré,
Faille obscure,
Bruits de bulles,
Bruits de bulles,
Bruits de bulles,
Le temps se coagule..." (source)

Hubert-Félix Thiéfaine, Bruits de bulles

Bleu âtre...

16/11/2006 00:01
369 lectures
"Quand la cheminée flambe, c'est signe que le poêle tire bien"

Ah... oué...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/09.11.2006-047...

"Comme te dire qui je suis
J'ai pas écrit d'une autobiographie
Je viens d'un pays étrange où les gens s'aiment et se déchirent
Et sont capables du meilleur comme du pire
Je suis né sur une petite orange bleue
Au milieu d'un monde immense et silencieux
Et elle tourne et elle tourne, petite orange bleue
Entourée d'étoiles et d'un ciel mystérieux

Et elle m'attire
J'aime bien son genre d'atmosphère
Faut que je respire
Si elle étouffe je manque d'air
Je veux pas qu'elle tourne mal
C'est ma terre
Ma place dans l'univers
C'est ma terre
Moi son grain de poussière

C'est pas l'Eden, cette petite orange bleue
Mais c'est pas l'enfer, c'est peut être un peu des deux
Mais moi je l'aime, ma petite orange bleue
C'est là où je vis
C'est là que je respire le mieux

C'est ma terre
Mon histoire, mon mystère
C'est ma terre
Moi son grain de poussière

Qu'on m'enterre par devant sa lumière
Revoir mon frère, redevenir poussière" (source)

Michel Berger, L'orange bleue

Blanche heure

12/11/2006 00:01
381 lectures
"Dans la symbolique occidentale, le blanc est généralement associé à la pureté, à l'innocence, à la chasteté, à la paix (drapeau blanc), à la virginité, au mariage, à la spiritualité (couleur de la papauté), à la sainteté et à la vie. L'origine de cette symbolique réside dans le caratère immaculé, sans présence de noir, et absolu de la lumière blanche, et dans le fait que le blanc est aussi la couleur de la neige et du lait maternel. La couleur souvent opposée au blanc est le noir.

[...]

Cependant le blanc est aussi associé à une symbolique contraire : la vieillesse (cheveux blancs), la mauvaise santé (hôpital) et finalement la mort (linceul, os), mais aussi l'angoisse devant la fameuse « feuille blanche » des étudiants lors des examens, de l'écrivain lorsqu'il débute son oeuvre ou celle de l'artiste devant son tableau blanc à peindre.

En effet, éthymologiquement le mot blanc vient du germanique blank, ce qui signifiait vide. C´est à partir de cette racine que se sont batît les mots dans les langues latines : blanco (espagnol), branco (portugais), bianco (italien). Dans les langues germaniques par contre les mots weiss (allemand) ou white (anglais) sont à rapprocher de la racine wis signifiant la sagesse qu'on retrouve dans wisdom (anglais), weisheit (allemand). Il est donc probable que le mot blank avait originellement un sens négatif : le vide, l´absence, la pâleur." (source)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/11.11.2006-052...

"Il y a tant de vagues et de fumée
Qu'on arrive plus à distinguer
Le blanc du noir
Et l'énergie du désespoir
Le téléphone pourra sonner
Il n'y aura plus d'abonné
Et plus d'idée
Que le silence pour respirer
Recommencer là où le monde a commencé

Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où les nuits sont si longues qu'on en oublie le temps
Tout seul avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant
Je m'en irai courir dans le paradis blanc
Loin des regards de haine
Et des combats de sang
Retrouver les baleines
Parler aux poissons d'argent
Comme, comme, comme avant

Y a tant de vagues, et tant d'idées
Qu'on arrive plus à décider
Le faux du vrai
Et qui aimer ou condamner
Le jour où j'aurai tout donné
Que mes claviers seront usés
D'avoir osé
Toujours vouloir tout essayer
Et recommencer là où le monde a commencé

Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où les manchots s'amusent dès le soleil levant
Et jouent en nous montrant
Ce que c'est d'être vivant
Je m'en irai dormir dans le paradis blanc
Où l'air reste si pur
Qu'on se baigne dedans
A jouer avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant
Comme, comme, comme avant
Parler aux poissons
Et jouer avec le vent
Comme dans mes rêves d'enfant
Comme avant" (source)

Michel Berger, Le paradis blanc

11 novembre...

11/11/2006 12:28
462 lectures
Jour de la Saint-Martin ?

A "5h05 du 11 novembre 1918, la France et le nouveau gouvernement de la toute jeune république allemande sont d'accord sur le texte définitif de l'armistice. Au terme de cet accord du 11 novembre 1918, il est décidé d'arrêter les hostilités le plus tôt possible. Un télégramme , qui a été immédiatement envoyé sur tout le front par radio et par message téléphoné aux commandants en chef à la date du 11 novembre 1918 stipule que :
"Les hostilités seront arrêtées sur tout le front à partir du 11 novembre à 11 heures, heure française" Dans le courant de la matinée du 11 novembre 1918, les différents documents sont remis aux plénipotentiaires allemands. Leur train quitte, le jour même le garage de Rethondes à 11h30 pour Tergnier, où ils retrouveront leurs automobiles. Sur leur demande, toutes facilités ont été données au capitaine allemand Geyer pour se rendre, le même jour (11 novembre 1918) en avion au grand-quartier-général allemand, porteur des textes et de la carte.

Voici ce qu'écrira Foch à propos du 11 novembre : "le 11 novembre à 11 heures, le feu était arrêté sur tout le front des armées alliées. Un silence impressionnant succédait à cinquante-trois semaines de bataille. Les peuples pouvaient entrevoir le rétablissement de la paix dans le monde. Le lendemain [du 11 novembre], j'adressais un ordre du jour de félicitations aux armées alliées". (source)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/11.11.2006-023...

"Martin, est-ce que tu viens demain ?
J'aimerais bien savoir
Ce qui peut être possible entre nous
Martin, les lignes de ta main
Me laissent apercevoir
Des choses...et nos rendez-vous

Ta ligne de vie est très jolie
Ta ligne de coeur ne m'fait pas peur
Et le destin...il est pour nous Martin

Ne fais pas le malin
Les envies les espoirs
Ca veut dire que ça vaut le coup
Martin, si j'ai eu du chagrin
Aujourd'hui la victoire
Serait de te voir pendu à mon cou

Pont :
Ta ligne de coeur ne m'fait pas peur
Ta ligne de vie est très jolie
Et le destin...il est pour nous Martin
La lala lala...
La lala lala...

Martin, un geste de ta main
Ou une petite histoire
L'histoire d'un soir
C'est tout c'que j'veux Martin
Martin, tu es sur mon chemin
Et rien n'est dérisoire
Rien que toi et moi

Pont :
Ta ligne de coeur ne m'fait pas peur
Ta ligne de vie est très jolie
Et le destin...il est pour nous Martin

Est-ce que tu viens demain ?
J'aimerais bien savoir
Ce qui peut être possible entre nous
Martin, si tu ne me dis rien
Je crois qu'il va falloir
Que je choisisse plutôt Benjamin

La lala lala..." (source)

La Grande Sophie, Martin

Occis Jane

05/11/2006 12:04
353 lectures
On dit toujours qu'il faut tuer le père. Et la mère ?
Chassez le naturel, il revient au galop...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/27.10.2005-020...

"Approche-toi petit, écoute-moi gamin,
Je vais te raconter l'histoire de l'être humain
Au début y avait rien au début c'était bien
La nature avançait y avait pas de chemin
Puis l'homme a débarqué avec ses gros souliers
Des coups d'pieds dans la gueule pour se faire respecter
Des routes à sens unique il s'est mis à tracer
Les flèches dans la plaine se sont multipliées
Et tous les éléments se sont vus maîtrisés
En 2 temps 3 mouvements l'histoire était pliée
C'est pas demain la veille qu'on fera marche arrière
On a même commencé à polluer le désert

Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire

D'ici quelques années on aura bouffé la feuille
Et tes petits-enfants ils n'auront plus qu'un oeil
En plein milieu du front ils te demanderont
Pourquoi toi t'en as 2 tu passeras pour un con
Ils te diront comment t'as pu laisser faire ça
T'auras beau te défendre leur expliquer tout bas
C'est pas ma faute à moi, c'est la faute aux anciens
Mais y aura plus personne pour te laver les mains
Tu leur raconteras l'époque où tu pouvais
Manger des fruits dans l'herbe allongé dans les prés
Y avait des animaux partout dans la forêt,
Au début du printemps, les oiseaux revenaient

Il faut que tu respires, et ça c'est rien de le dire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire
Il faut que tu respires, c'est demain que tout empire
Tu vas pas mourir de rire, et c'est pas rien de le dire

Le pire dans cette histoire c'est qu'on est des esclaves
Quelque part assassin, ici bien incapable
De regarder les arbres sans se sentir coupable
A moitié défroqués, 100 pour cent misérables
Alors voilà petit, l'histoire de l'être humain
C'est pas joli joli, et j'connais pas la fin
T'es pas né dans un chou mais plutôt dans un trou
Qu'on remplit tous les jours comme une fosse à purin" (source)

Mickey 3D, Respire

France Galerie, ou pas...

04/11/2006 09:40
351 lectures
On a beau passer devant presque tous les jours, ça reste toujours un mystère. Comme d'autres bâtiments du quotidien, familiers et si méconnus... Imposant...

"Théophile Bader est né a Dambach-la-Ville en Alsace en 1864 et mort en 1942.
Théophile Bader est l'un des fondateurs de Kahn & Bader qui deviendra les Galeries Lafayette en 1896.
Durant les années 20, Théophile Bader tentera d'étendre son activité à d'autres pays mais il rencontrera toutefois un succès limité.
Il investira personnellement dans plusieurs entreprises, dont notamment Vionnet & Cie.
Il sera l'un des premiers à vendre dans son grand magasin du prêt-à-porter, copie de modèles haute couture." (source)

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/30.09.05-040-1...

"Tous mes amis sont partis
Mon coeur a déménagé
Mes vacances c'est toujours Paris
Mes projets c'est continuer
Mes amours c'est inventer

Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon coeur aussi

Et le temps défile comme un train
Et moi je suis à la fenêtre
Je suis si peu habile que demain
Le bonheur passera peut-être
Sans que je sache le reconnaître

Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon coeur aussi

Mon coeur est confortable, bien au chaud
Et je lasse passer le vent
Mes envies s'éteignent, je leur tourne le dos
Et je m'endors doucement
Sans chaos ni sentiment

Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon coeur aussi

Si, maman, si
Si, maman, si
Maman, si tu voyais ma vie
Je pleure comme je ris
Si, maman, si
Mais mon avenir reste gris
Et mon coeur aussi" (source)

France Gall, Si maman si

Froide heure...

03/11/2006 00:01
332 lectures
Et non froide her... Froid heurt ?

Après la b(a)ise estivale, il est temps d'embrasser l'hiver, et zapper l'automne monotone...
La douceur a laissé place à la fraicheur... Paraît même qu'une tempête se prépare... Glaciale...
Peut-être le prix à payer pour hiberner en paix. Y berner ?
Hystrion pour Istres ? Strions-y, ouais...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/27.12.05-025-9...

"Tout est ta propriété,
Tout ce que mon être a été.
La foi m'a lâché, lâcheté,
Je t'ai laissée m'acheter ;
Et tu m'as laissé m'endetter
Quand j'aurais pu me racheter –
Tu m'as regardé regretter,
Le temps de vivre était passé.
Tu vivras mes journées d'été,
Tous les jours une éternité,
Maladie mal identifiée,
Fais à ma vie mes amitiés.
Salue le Mal et la Bonté,
Fais à ma vie mes amitiés,
Salue mes quatre volontés.
Tant pourtant ne t'ont pas cédé
J'ignore encore le procédé
Mon manque de témérité
Me voue-t-il à te mériter ?
Tu vis sous mon identité,
Mes beaux jours en priorité,
Toujours en toute impunité :
Fais à ma vie mes amitiés.
Bonjour à toute adversité,
Fais à ma vie mes amitiés.
Salue le Mal et la Bonté,
Très bon séjour et bons baisers,
Fais à ma vie mes amitiés."

Elista, Lâcheté

Rock and roule

02/11/2006 00:01
343 lectures
On dit que la musique adoucit les moeurs. Quel est le conard qui a bien pu inventer ça ?
Puisqu'on parle de beau parleur, les baffles crachent haut la haine et la rage...
Pierre qui roule, qui roule, qui roule... Sauf que c'est pas Pierre...

http://kibitz.racingstub.com/blogs/k/kibitz/photos/31.08.2006-031...

"Once upon a time you dressed so fine
You threw the bums a dime in your prime, didnt you?
Peopled call, say, beware doll, youre bound to fall
You thought they were all kiddin you
You used to laugh about
Everybody that was hangin out
Now you dont talk so loud
Now you dont seem so proud
About having to be scrounging for your next meal.

How does it feel
How does it feel
To be without a home
Like a complete unknown
Like a rolling stone ?

Youve gone to the finest school all right, miss lonely
But you know you only used to get juiced in it
And nobody has ever taught you how to live on the street
And now you find out youre gonna have to get used to it
You said youd never compromise
With the mystery tramp, but now you realize
Hes not selling any alibis
As you stare into the vacuum of his eyes
And ask him do you want to make a deal?

How does it feel
How does it feel
To be on your own
With no direction home
Like a complete unknown
Like a rolling stone ?

You never turned around to see the frowns on the jugglers and the clowns
When they all come down and did tricks for you
You never understood that it aint no good
You shouldnt let other people get your kicks for you
You used to ride on the chrome horse with your diplomat
Who carried on his shoulder a siamese cat
Aint it hard when you discover that
He really wasnt where its at
After he took from you everything he could steal.

How does it feel
How does it feel
To be on your own
With no direction home
Like a complete unknown
Like a rolling stone ?

Princess on the steeple and all the pretty people
Theyre drinkin, thinkin that they got it made
Exchanging all kinds of precious gifts and things
But youd better lift your diamond ring, youd better pawn it babe
You used to be so amused
At napoleon in rags and the language that he used
Go to him now, he calls you, you cant refuse
When you got nothing, you got nothing to lose
Youre invisible now, you got no secrets to conceal.

How does it feel
How does it feel
To be on your own
With no direction home
Like a complete unknown
Like a rolling stone ?"

Bob Dylan / The Rolling Stones, Like a rolling stone
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kibitz

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