Jeux Olympiques
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stevenisIl devait y avoir Paris dans l'histoire (déjà) -
Villes Pays Tour1 Tour2 Pékin Chine 44 56 Toronto Canada 20 22 Paris France 15 18 Istanbul Turquie 17 9 Osaka Japon 6 - -
Il y'a eu une histoire avec un type qui a fait gagné 20 voix à la Chine qui étaient destinées à la France pour des commissions jamais versés par le comité olympique français. Faites le calcul.
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Les sites qui ont servi aux JO 2004.
Et à part ça, l'argent investi pour les JO, c'est pas de l'argent public foutu en l'air pour rien ? -
C'est affolant mais le cas grec est bien spécifique, disons que pendant 20-25 ans ils n'ont pas pris spécialement de précaution avec "leur" argent public.
L'enjeu est de réutiliser les sites majeurs comme le stade, le bassin ou le vélodrome. L'athlétisme ira à Pékin en 2015, Londres accueillera les Mondiaux de natation... Bon certes c'est difficile de réutiliser les infrastructures de beach-volley ou soft-ball...
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Heu ouais, c'est bien pire.
Ils ont volontairement masqué leurs dettes et falsifié leur compta. -
Jeux olympiques Candidature JO 2024 : Hidalgo a ses conditions
Dans une missive adressée au président de la République, François Hollande, Anne Hidalgo a posé ses conditions pour une candidature aux Jeux olympiques 2024.
La maire de Paris, Anne Hidalgo a écrit, le 11 mars, au président de la République François Hollande pour lui soumettre les «conditions et les garanties» qu’il importe de réunir pour une «candidature réussie» de Paris à l’organisation des Jeux olympiques.
Dans le document de deux pages, révélé ce lundi par Le Parisien, Hidalgo souhaite d’abord un changement de gouvernance. «Je vous l'ai déjà exprimé, je reste convaincue que nous ne pouvons pas reproduire le fonctionnement en collégialité permanente tel que conçu dans les précédentes candidatures de Paris. C'est la raison pour laquelle je souhaite votre soutien pour élaborer une gouvernance simple mouvement sportif-Ville de Paris, Paris entraînant les autres collectivités regroupées dans un comité des territoires que j'aurais à coeur de présider», écrit-elle.
Hidalgo compte également sur l’État pour financer le projet. «Cette responsabilité nouvelle d’une candidature de Paris aux Jeux de 2024 n’était pas inscrite dans mon programme municipal. Son impact financier sur la collectivité ne doit pas menacer la mise en œuvre des réalisations de la mandature», ajoute-t-elle dans la missive.La maire a aussi indiqué que la candidature sera soumise «au lancement rapide des travaux d’extension de Roland-Garros sur le jardin des Serres d’Auteuil (XVIe)», rapporte le quotidien.
Equipe -
Olympisme Pékin organisera les jeux d’hiver 2022
Pékin va entrer dans l’Histoire en devenant la première ville à avoir accueilli à la fois des jeux Olympiques d’hiver et d’été: la capitale chinoise a été choisie vendredi pour organiser les JO d’hiver 2022, après ceux d’été en 2008.
Le vote des 85 membres du CIO (Comité international olympique), qui a eu lieu à Kuala Lumpur, a été plus serré que prévu: la capitale chinoise n’a battu que de quatre voix la seule autre candidate, l’ex-capitale du Kazakhstan Almaty (44 voix contre 40, 1 abstention).
«Avec la grande expérience de la Chine, c’est vraiment un choix sûr», a réagi le président du CIO Thomas Bach. «Nous savons que la Chine s’acquittera de ses engagements et tiendra ses promesses».
Le maire de Pékin Wang Anhsun a évoqué lui «une journée qui fera date dans l’Histoire», expliquant qu’à la lumière des 120 ans d’histoire olympique, il n’était pas étonnant qu’un pays «de 1,3 milliard d’habitants, soit le quart de la population mondiale, organise ses deuxièmes Jeux».
Diffusée en direct par les médias officiels chinois, cette annonce a été accueillie à Pékin par des démonstrations de joie localisées et très orchestrées, mais peu d’enthousiasme spontané dans les rues.
Si le choix de Pékin ne représente pas une surprise, peu s’attendaient en revanche à un vote aussi serré. «Moi aussi j’étais partagé, a réagi Tony Estanguet, l’un des deux membres français du CIO. Cela montre que le CIO est partagé entre des membres qui ont privilégié l’expérience et d’autres qui voulaient se porter vers un pays nouveau dans le giron olympique».
Droits de l’Homme
Le choix du CIO a plongé dans la consternation les organisations de défense des Droits de l’Homme.
«La devise de l’olympisme "Plus haut, plus vite, plus fort" décrit parfaitement l’action du gouvernement chinois contre la société civile: davantage de militants pacifistes détenus, sur des périodes plus longues, et soumis à des traitements plus éprouvants», a estimé Sophie Richardson, directrice pour la Chine de l’ONG Human Rights Watch (HRW).
Selon l’organisation de défense des Tibétains Free Tibet, le CIO «a envoyé un mauvais signal» en choisissant la capitale chinoise, avec le «message entendu haut et fort à Pékin que les droits de l’homme et le Tibet comptent pour du beurre».
Le dossier chinois, au budget très bas (3,06 mds USD, 2,76 mds EUR), par rapport à celui des Jeux de 2008 (environ 30 mds USD), présente un projet éclaté et propose un concept régional, qui vise à développer un marché des sports d’hiver «au profit de plus de 300 millions de personnes», a rappelé le maire de Pékin.
Installations à construire
Mais si la capitale chinoise peut recycler une partie des sites des JO de 2008, elle ne possède en revanche pas d’installations de haut niveau pour les compétitions à l’air libre.
En dehors de Pékin où se tiendront les épreuves de hockey, patinage artistique et de vitesse, il lui faut donc construire des installations sur deux sites dont le plus éloigné se trouve à environ 200 km au nord: à Yanqing (ski alpin, bobsleigh et luge) et à Zhangjiakou (biathlon, ski de fond, saut à ski...), relié par une future voie de TGV, dont le coût évalué à 5 mds USD n’a pas été intégré dans le budget des Jeux.
La commission d’évaluation du CIO avait soulevé un principal point noir dans la candidature chinoise, le manque de neige naturelle, nécessitant un recours massif à la neige artificielle, gourmande en eau dans une région où cette ressource est précieuse.
La capitale chinoise accueillera les 24es jeux Olympiques d’hiver de l’histoire. La première édition avait été organisée en 1924 à Chamonix (France), la prochaine en 2018 se tenant en Corée du Sud à Pyeongchang
Juste avant la désignation de Pékin pour 2022, Lausanne a été choisie par le CIO pour organiser les jeux Olympiques d’hiver de la Jeunesse 2020. La ville suisse a été préférée à Brasov (Roumanie).
Alsacce -
Curieux de voir la différence entre le budget annoncé par Pékin et le budget réel...
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L'expo universelle a 100 fois plus de "valeurs" que ces jeux du fric, qui ne trouvent jamais autant leur place que dans des dictatures.
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Le CIO se retrouve piégé à son propre jeu : à force d'avoir privilégié des candidatures frics sans "esprit", cela a dissuadé pas mal de villes de mener leur dossier à bout pour les jeux d'hiver 2022. Du coup, il n'y avait plus que Pékin et Almaty en lice. La première n'a pas de neige (!) et des soucis récurrents de droits de l'homme. La deuxième a de la neige mais le pays n'est pas un modèle de démocratie... Bref, j'espère que cela va changer pour les prochaines éditions. J'ai toujours la nostalgie des jeux de Lillehammer en 1994 (mais peut-être que j'idéalise cette édition ?), j'espère qu'on reverra des jeux de cette trempe.
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rachmaninov a écrit, le 03/08/2015 11:58 : Curieux de voir la différence entre le budget annoncé par Pékin et le budget réel...
Je me demande à combien de milliards ils ont évalué le budget neige
L'Europe, berceau des sports d'hiver, aura de plus en plus de mal à organiser les JO. Heureusement que la Coupe du monde de ski demeure à 80% européenne. -
Premier jour et première médaille, d'argent, en biathlon, sur le relais mixte. (+)
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Apres la coupe du monde 2018 dans une dictature, voici les Jeux Olympiques d'hiver dans une dictature, en attendant la CdM 2022 dans... une dictature...
C'est bôôô les valeurs du sport (ou du fric ?) -
Vivement les JO 2024 alors dans une autre dictature.
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Vivement les JO au Groenland pour éviter tous les pays corrompus par quoi que ce soit.
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Autant j'avais toujours suivi les jeux jusqu'à présent, autant ceux ci me font basculer dans le camp du boycott (neige en zone aride, ouighours, Peng Shuai, Hong Kong et j'en passe)
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On peut manier l'ironie mais comment peut on défendre ces JO totalement pétés.
La prochaine étape? Les JO d'hivers au Quatar dans des hangars à neige?
Entre les JO en Russie, Chine et la CdM dans le désert, je dois bien avouer que les JO à Paris me font plaisir. -
mediasoc a écrit, le 05/02/2022 13:41 : Vivement les JO au Groenland pour éviter tous les pays corrompus par quoi que ce soit.
Il n'y a pas de corruption au Danemark ? -
C'était Pékin ou le Kazakhstan, la steppe ou la steppe, entre la peste et le choléra, on a choisi le fameux "marché de 300 millions de Chinois" (et moi, et moi, et moi) qui mettront les pieds dans la neige artificielle une fois les athlètes partis.
Je me souviens qu'à Vancouver 2010 il fallait également transporter des camions de neige pour alimenter les pistes.
Dans 4 ans, retour dans les Alpes à Milan/Cortina. En attendant une future candidature française à moyen terme. -
De toute façon les JO d'hiver ont un non sens d'universalisme et d'olympisme dans leurs gènes.
Ils auraient donc toute leur place au Qatar.
Rien à voir avec les jeux nordiques par exemple. -
Tout à fait d'accord. Les JO d'hiver n'ont jamais eu de JO que le nom et le non-sens est plus présent chaque année, entre absurdité écologique et absurdité sportive (2e jour de compet et déjà un scandale d'abitrage sur les notations aux bosses... et le patinage artistique n'a pas encore commencé).
Cela dit, le relai mixte de biathlon d'hier a eu un scénario assez exceptionnel (faisant presque oublier l'absence de public, et le choix incongru d'un lieu sans neige et notoirement venteux). -
Médaille d'argent de la descente pour Clarey, à 41 ans (+)
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En tête à tous les intermédiaires, il bute à un dixième du maître horloger Feuz.
Déception pour Worley en géant, pas dans le rythme et qui finit par chuter. -
3ème médaille d'argent, en biathlon féminin (15 km individuel) avec Anaïs Chevalier-Bouchet. Dommage pour sa faute au 4ème tir. Tout comme Julia Simon d'ailleurs qui était dans les temps pour le podium avant le 4ème tir et fait 3 fautes, alors que c'est une bonne tireuse debout. En tout cas avec une telle densité chez les Françaises ça promet pour le relais.
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