Jean-Jacques Marx
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strohteamIl est mis à l'honneur aujourd'hui dans la traditionnelle photo d'archive en dernière page de l'Equipe Mag.
Il me semble que c'est la demi-finale retour contre Auxerre en 1979. -
2 nouvelle(s) photo(s) et/ou vidéo(s) sur racingstub.com :
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Auteur d'une belle carrière toulousaine (1982-87). Tiens je me demande de quoi les supporters du TFC parlent quand la nostalgie guette. L'élimination de Naples en 1986 sans doute.
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Du triplé de Gerald Passi contre le Spartak Moscou du monstrueux Dasaev (+)
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Vu hier sur le banc du SV Nesselried, en Kreisliga B Offenburg (équivalent de la 10ème division), où il doit entraîner pour la 2ème saison.
Article de juin 2017 sur le SO du club :
Nach dem Abstieg aus der Fußbball-Kreisliga A hat der SV Nesselried mit Jean Jacques Marx einen neuen Trainer verpflichtet.
Der Ex-Profi bei Racing Straßburg ist in der Ortenau kein Unbekannter. Er war Trainer bei der Spvgg. Sundheim, dem TuS Durbach, danach beim SV Weier und SV Bodersweier. "Der SV Nesselried freut sich über die Verpflichtung und möchte in der neuen Saison eine gute Rolle in der Kreisliga B spielen", heißt es in der Pressemittteilung des Vereins. -
Superbe, j’adore ces vieilles photos en noir et blanc, elles sont intemporelles!
Un bel hommage, ça m’a permis de me remémorer les discussions des grands à table sur le titre, le match dont me parlait toujours mon père contre le Dukla. :)
Une autre époque, un autre monde ! -
Sa carrière me rappelle un peu celle de Liénard, à un plus haut niveau.
Pas prédestiné à être pro, l'entraîneur du Racing de l'époque habitait Fegersheim et allait voir des matches, il convie Marx pour le tester et l'histoire démarre.
Et puis perso c'est ma jeunesse je commençais à aller à la Meinau en mob avec les copains, on passait 2-3 heures quel que soit le temps, sous les intempéries (pas de tribune couverte pour nous), avec une équipe qui se battait en 2e partie de tableau, voire maintien, voire relégation.
Et après Gress est arrivé.
Et concernant ce dernier et le jeu qu'il mettait en place, je me rappelle encore les vieux qui gueulaient derrière nous parce qu'il fallait balancer de grands parpaings devant pour bien jouer au foot.
Mais comme Gress avait un sacré caractère, dans la presse il disait qu'il n'en avait rien à faire des sifflets et des gens qui ne comprenaient rien au foot, et puis tout s'est calmé:D
Et puis autre chose qui me vient en tête très souvent quand je pense à cette équipe, c'est le dépassement de fonction permanent des défenseurs : Specht Marx Domenech partaient à l'assaut dès qu'ils le pouvaient (c'est à dire souvent) et c'était une défense à 4, il n'y avait que Novi qui ne faisait pas de grandes courses vers l'avant, lui c'était relance technique (Specht faisait les deux lui).
Pareil d'ailleurs dans l'EDF 98.
Aujourd'hui quand on joue à 4 derrière, on a l'impression que c'est impossible pour un défenseur de participer aux offensives, ça m'interpelle toujours. -
Pas plus tard que notre première année de ligue 1, on avait un défenseur qui participait aux offensives via de belles chevauchées que tu décris. Seka
Son but contre Metz, incroyable, mythique. Un des buts à mes yeux uniquement les plus marquants depuis notre remontée mais derrière Liénard contre Lyon.
Depuis, ça s'est un peu calmé mais je suis d'accord avec toi pour dire qu'un défenseur qui monte apporter le surnombre c'est très agréable et ça se fait encore dans certaines équipes. Abdelhamid le fait souvent avec Reims même dans une défense à 4. -
Et Doukouré et Nyamsi l'an dernier
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clutch a écrit, le 29/08/2023 11:23 :
Aujourd'hui quand on joue à 4 derrière, on a l'impression que c'est impossible pour un défenseur de participer aux offensives, ça m'interpelle toujours.
Moi aussi. C'est pour ça que le Racing fut champion en jouant le football dit "total" et que, depuis, il ne l'a plus été.
Mais il paraît qu'aujourd'hui, c'est le "foot moderne" et que les méthodes de Gress sont dépassées... Encore que, j'ai bien entendu Vieira qui veut construire le jeu en partant de l'arrière... Sur ce, j'ai été agréablement surpris par la progression de Jean-Jacques Marx, jusqu'à sa sélection en EDF mais, si mes souvenirs sont bons
, il n'y en a eu qu'une et il n'a pas joué.
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Oui techniquement il était trop juste pour le niveau international, mais pour ce qui était de l’engagement physique total, il était nettement au-dessus de la moyenne.
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