Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

[2006-2007] RCS-Bastia | Avant-match

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Flux RSS 69 messages · 4.253 lectures · Premier message par ljuboja67 · Dernier message par chris68

  • Oula... je donne largement plus ma confiance à Lacour à gauche qu'à Deroff. Ce dernier devrait déjà se préoccuper de son côté droit avant d'envisager de postuler autre part.

    Impossible (quoi que) mais bon :

    Equipe
  • et pourquoi Othon ne serait pas titulaire d'entrée en latéral gauche ?
    je l'avais vu en CFA contre Nancy2..... il est pas très physique le loustic..... mais assez rapide... et hargneux...
  • Deroff jouera bel et bien arrière gauche, Abdessadki prenant sa place sur le flanc droit
  • D'après l'Alsace on aurait droit à ça ce soir :

    Equipe




    Confiance à Johansen

    Ils ne seront que quatre. Quatre présents ce soir dans le onze titulaire qui figuraient déjà dans l'équipe de départ samedi à Vesoul. Si Mouloungui, Strasser et Lacour, hommes de base de Jean-Pierre Papin, font sans surprise le lien, le maintien de Pascal Johansen constitue un petit événement. Le Colmarien, auteur d'un but et deux passes décisives en Haute Saône et grand artisan de la qualification pour le 8e tour de Coupe de France (3-1), « mérite de continuer », selon JPP. « Pascal a agréablement surpris à Vesoul et un Pascal en forme est un vrai joueur de L 1. » Pour son retour de blessure après une absence de deux matches, le capitaine Yacine Abdessadki reculera donc sur le flanc droit de la défense, Yves Deroff, laissé au repos à Vesoul, coulissant sur le flanc gauche. Les latéraux habituels de ce couloir gauche, Abou et Ahmed Kantari, sont laissés à disposition du groupe CFA qui reçoit Epinal demain (16 h), tout comme Perbet, Loué, De Géa, Gasmi (« qui a besoin de temps de jeu », dit Papin) et Rangelov, 17e ce soir s'il n'y a pas de pépin de dernière minute. Pour relancer Tum, Gameiro, Cassard, Bellaïd, Deroff, Cohade et Abdessadki, l'entraîneur strasbourgeois a dû faire des choix. Dont certains très délicats. « Ça m'a posé problème de sortir Jean-Christophe Devaux de l'équipe, car il m'avait bien plu à Brest et a fait son job à Vesoul. Mais Habib (Bellaïd) a, à mon sens, davantage le type de jeu pour contrer André. » A Bastia, la suspension d'Arnaud Maire permettra à Florent Laville, absent deux mois après une opération des cervicales, de revenir directement dans l'axe de la défense. Eric Marester, Frédéric Mendy et Florent Ghisolfi retrouvent leur place.
  • « Passer le cap corse »

    Derrière la boutade de son entraîneur Jean-Pierre Papin, le Racing cache une farouche volonté de vaincre Bastia ce soir (20 h 30) à la Meinau et de rejeter le Sporting à 13 points.

    L'histoire retiendra que le jeune Quentin Othon, joueur polyvalent de l'équipe réserve, capitaine des 18 ans l'an passé et international des moins de 19, est apparu pour la première fois sur une feuille de match professionnel ce vendredi 1e r décembre à la Meinau. Pas franchement ravi du rendement de ses latéraux gauches, Jean-Pierre Papin a en effet choisi de donner sa chance ce soir — sur le banc dans un premier temps — à celui que Jacky Duguépéroux était allé recruter du côté de Compiègne, quand Othon y croisait la route de Rudy Carlier et Kevin Gameiro, tous deux aussi originaires du coin. « C'est un bon petit joueur pour l'avenir », dit JPP de son jeune (18 ans) joueur de poche qui traverse sa – déjà – quatrième saison au RCS. Natif du « 93 » (le 27 mars 1988 à Montreuil-sous-Bois), Q. Othon est évidemment ravi de la confiance de l'ex-Ballon d'Or, même s'il n'ignore pas que ce n'est qu'un premier pas. « À l'époque, quand j'ai choisi Strasbourg alors que j'étais très sollicité, j'avais vraiment aimé le discours des dirigeants, en particulier celui tenu à mes parents. » Au-delà de l'anecdote, l'histoire pourrait aussi retenir qu'en ce 1er décembre, le Racing a définitivement éliminé de la course à l'accession un Sporting bastiais présenté en début de saison comme l'un des épouvantails de la L 2. « Je suis surpris de retrouver les Corses 10 points derrière nous. Je m'attendais à ce qu'ils soient dans les cinq premiers, en embuscade comme nous l'avons nous-mêmes longtemps été », confie Papin qui retrouvera sur le banc d'en face son ex-coéquipier de l'OM, Bernard Casoni, partenaire de quelques parties de tarot endiablées lors des déplacements à l'époque olympienne. « Nous devrions assister à un bon match de L 2. Aura-t-il le parfum de la L 1 ? Seulement si nous le gagnons (sourire). On dit qu'il faut être deux pour faire un bon match. Jusqu'ici, nous avons souvent été seuls, face à des adversaires qui pensaient plus à fermer qu'à gagner. Bastia, qu'on présentait comme un candidat sérieux, doit, s'il veut le rester, venir s'imposer chez nous. Pour cela, les Corses vont devoir jouer. Mais pour moi, l'objectif est clair : prendre neuf points avant Noël, ce qui signifie gagner aussi à Metz dans une semaine et contre Amiens juste avant la trêve (Ndlr : ce premier match retour, initialement programmé le vendredi 22 décembre, a été avancé au jeudi 21 à 20 h 30 à la Meinau et sera retransmis sur Eurosport). Mais Bastia est une équipe très dangereuse. » Avec, notamment, un duo offensif Frédéric Née – Pierre-Yves André chevronné qui rappelle un bien vilain souvenir du côté de la Meinau. Le 9 septembre 2000, les insulaires, menés par leur infernal duo d'attaquants (un doublé chacun), étaient venus rosser le RCS de Claude Le Roy, débarqué deux mois plus tard (4-1).

    « En L 2, tu te fous d'être brillant »
    « Strasbourg n'est peut-être pas le meilleur endroit pour se relancer », juge six ans plus tard le plus Alsacien des Corses, Pascal Camadini, ancien de la maison bleue de 1999 à 2005, « J'ai vu jouer le Racing deux ou trois fois. C'est costaud, difficile à bouger. Pas toujours très brillant. Mais en L 2, tu te fous d'être brillant. Seuls les résultats comptent. » Le Bastiais est bien placé pour le savoir, puisque son équipe, première avec 10 points après quatre journées, n'en a engrangé que 13 lors des 13 suivantes. Après avoir bu la tasse à Reims (défaite 2-0), ramé contre Libourne (2-1 à la 95e) et failli rester à quai à Brest (1-1), le RCS espère, lui, reprendre son rythme de croisière et continuer à voguer vers les eaux calmes de la L 1. Gare toutefois : le cap corse n'est jamais facile à doubler.

    source : l'Alsace
  • canto6720 a écrit :
    JAI UNE INFO A PRENDRE TRES TRES AU SEIEUX JEAN PIERRE PAPIN AURAIT ETECONTACTER PAR PAPE DIOUF POUR PRENDRE LES REINES DE MARSEILLE LA SAISON PROCHAINE LA RUMEUR CIRCULE SUR LE VIEUX PORT


    D'un, ton topic n'a rien à faire là... c'est un topic de l'avant match contre Bastia!
    De deux, il parait que Pape Diouf a contacté aussi Laurent Blanc, Didier Deschamps, Sacchi, Abel Braga, ...
    Faut faire attention à ce qui se dit!
    Et puis JPP a promis de faire monter le Racing et de faire au moins une année en L1 avec ce club!
    Je pense que ce qu'il dit, on peut le croire sérieusement!
    Alors dire de Diouf l'a contacté, je le crois mais comme son ennemi Aulas, il a les même méthodes détestatbles!
  • samh a écrit :
    « Pas toujours très brillant. Mais en L 2, tu te fous d'être brillant. Seuls les résultats comptent. »

    Je ne comprendrai jamais cette remarque: parce qu'en L1 le plus important est d'amuser la galerie quitte à perdre des points ? Mais oui, bien sûr.
  • Je pense qu'il faut le comprendre dans le sens où il est plus dur de faire un "beau" match en L2 (plus physique) qu'en L1 (plus technique).
  • Voici les compositions des 2 Equipes pour la rencontre de ce soir:

    http://www.dna.fr/photos/x20061201_DNA020189.jpg
  • Ce message est une brève publiée sur le portail.
    Papin:"Ca m'a posé problème de sortir Jean Christophe Devaux de l'équipe, car il m'avait bien plu à Brest et a fait son job à Vesoul, mais Habib Bellaid a, à mon sens, davantage le type de jeu pour contrer André".
    Source: L'Alsace
  • Balcon ou tisons

    Le Racing entame, ce soir contre Bastia, la dernière ligne droite de l'année civile. D'ici la Noël, les Strasbourgeois peuvent se ménager une petite place au chaud. Ou trimer dans la froidure. C'est selon.
    Si ça se trouve, le Racing passera Noël au balcon. C'est du moins le souhait clairement formulé par Jean-Pierre Papin, homme à l'optimisme inaltérable. Encore largement épargné par les frimas de l'hiver, l'entraîneur strasbourgeois rêve de passer la fin d'année en bras de chemise, pectoraux en évidence, tout là haut, au sommet de la Ligue 2.
    « L'objectif pour les trois derniers matches de championnat, c'est de prendre les neuf points. » Voilà pour la déclaration d'intention, annoncée sans le moindre pli de cil, dans un sourire éclatant. JPP, on le sait, ne doute jamais. Même la perspective de défier Metz, leader jusque-là invaincu, ne l'effraie pas. Même pas peur, le père Papin.
    Le déplacement au-delà du col de Saverne, c'est l'actualité de la semaine prochaine. Là, présentement, il s'agit déjà de franchir « le cap de Bastia. » Enfin, plus exactement, le « cap Corse », comme le précise l'entraîneur alsacien dans une inspiration soudaine.


    « Il faut croire qu'ils
    ont des failles »


    Le problème, c'est que les insulaires n'aiment pas trop, de manière générale, les plaisanteries à leur endroit, encore moins que l'on empiète sur leurs plates-bandes. Dans ce cas précis, ils ont même une furieuse envie de culbuter le Racing en son antre.
    C'est qu'au soir de la quatrième journée, les hommes de Bernard Casoni étaient premiers. Malgré les avatars automnaux et la dépression de leurs actions sur le marché de la remontée, ils gardent une cote élevée. « Je m'attendais à les voir dans les cinq premiers, reconnaît Papin. Il faut croire qu'ils ont des failles. A nous de trouver les bonnes. »


    « Si on gagne, ça aura
    le parfum de la Ligue 1 »


    Plutôt emballant sur le papier, le Sporting peine à dégager une cohésion sur la durée. Capable du pire - 4-0 à Montpellier -, comme du meilleur - 4-2 à Libourne -, il avance à tâtons. Un état de fait dont le Racing doit impérativement profiter, lui qui pèche hors de la Meinau. Un parcours erratique à l'extérieur ne souffre aucune baisse de régime chez soi.
    La rentrée des « cadres », contraints ou laissés au repos samedi dernier en Coupe de France - Cassard, Bellaïd, Deroff, Abdessadki, Cohade, Gameiro et Tum -, permet au Racing d'avancer sous son plus beau jour. Malmené par Libourne et Brest, ces dernières semaines, il aspire à un peu plus de sérénité.
    De son balcon, Jean-Pierre Papin espère humer le doux air de la Ligue 1. « Si on gagne, ça en aura le parfum, conclut-il. Pour l'instant, ça n'est qu'un match de L 2. » La réalité est certainement là. Entre balcon et tisons, l'hiver sera chaud ou ne le sera pas.

    Source: DNA
  • captainflirt a écrit :


    Oui, sauf que les Strasbourgeois jouaient pour du beurre, et qu'une victoire aurait permis aux Bastiais de se sauver. Ce qui est par ailleurs vrai, c'est qu'ils ne le méritaient absolument pas sur ce match.



    On aurait mieux fait de le perdre ce match, Pascal Praud et ses canariss auraient été en L2... :)-
    Mais quel auf wiedersehen merveilleux à la fin du match...
  • Faut pas s'attendre à des "Salute e Pace" quand on ira jouer là-bas, c'est clair !
  • Pas mal la compo soit dit en passant. Comme contre Istres, elle nous donne un très bon côté droit. Mais voilà le problème: cela sous entend Deroff... arrière gauche. Déjà que Mounloungui est loin d'être impérial dans les tâches défensives voire est totalement absent... Bref, les trois points.
  • C'est quoi cette attaque Née-André ?
    Il est où Roger Milla ? :))

    captainflirt a écrit :
    Faut pas s'attendre à des "Salute e Pace" quand on ira jouer là-bas, c'est clair !


    Faut qu'ils arrêtent avec ça, ils avaient quand même eu 37 matches avant pour se sauver...


    A noter dans France-Football d'aujourd'hui un article (sans intérêt) sur l'amitié entre Papin et Casoni.
  • abdé arrière droit ! c'est cool !
  • Moi, j'en suis resté au Bastia qui nous avait bluffé en coupe UEFA (c'était en 1977/78). Je les avait vu jouer à la Meinau en février 78 pour un 1/16ème de finale aller de coupe de France et ils avaient gagné 3 à 0 dans un stade frigorifié, il était tombé plus de 30 cm de neige le week-end précédent et la pelouse avait été dégagée à la pelle (je crois que les joueurs du centre de formation y avaient participé). Depuis, à chaque fois que je les ait vu jouer, ils sont repartis avec des défaites. je me souviens de scores de 4-3 , 4-1 et plusieurs 2-0. Alors ce soir, il faudra faire pareil :
    GAGNER !
  • On va faire le plein de points ce soir a domicile et puis en route pour le derby la semaine prochaine!
    Je suis impatient d'etre au match ce soir!
  • chris681370350100.png
    Modifié par chris68 ·
    chris68
    Pour conclure cet avant match à H-1 à présent je dirais:

    Ne partons pas la fleur au fusil, comme si souvent par le passé.

    L'équipe est peut être encore dans une phase de baisse de régime (commencée à Reims) et Bastia, ce n'est pas Brest ou Libourne, équipes contre lesquels nous avons vraiment galéré. On peut donc espérer que cette rencontre marque le retour d'un Racing conquérant et sur de lui.

    C'est pour cela qu'il faut rester prudent, même si c'est à la Meinau, qui doit, et ce sera le mot de la fin, rester une CITADELLE IMPRENABLE.

    Allez Racing!
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