Didier Monczuk
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duduJe crois que tu dois confondre effectivement avec P.CUBAYNES.
Pour en revenir a MONCZUK, il est vrai que GRESS n'a jamais apprécié ce genre d'avant centre chasseur de buts et pas trés mobile et c'est bien pour la même raison qu'il avait des problémes également avec BIANCHI. -
En recherchant, j'ai effectivement retrouvé trace de ce match en 89-90 et de ce triplé contre AVIGNON.
Désolé d'avoir douté de ta mémoire
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Lors de la saison qui avait précédé le retour de Gress et la montée dans l'élite donc,sachant que l'arrivée du coach alsacien et le retour en 1 ère division avait eu lieu lors de la saison 91-92.
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rcsforever a écrit, le 2009-07-21 12:29:32 : [citation=fuperman|
Tu dois confondre car le Racing n'avait pas joué contre Avignon durant le saison 91-92.
Sinon Monczuk avait disputé 31 matchs sur 34 durant ce championnat.
Il était néanmoins régulièrement remplacement. Gress le faisant rentrer en fin de matchpour débloquer le score.
Je me souviens notemment de banderoles du style " Un bon numéro 9 vaut mieux qu'un mauvais entraineur"
Il était également remplaçant lors du mythique RCS- Rennes à la fin duquel il faisiat clairement la tronche. -
D'où l'expression: Et Monczuk, c'est du poulet ?
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Le fameux Strasbourg-Rennes durant lequel le Racing avait gagné 4-1 avec un Monczuk qui était rentré alors que le score était déjà de 3-1,ce qu'il n'a en effet pas digéré.
Ce même Racing qui avait terminé meilleure attaque avec 75 buts marqués en 34 rencontres donc les choix de Gress étaient bons au final.
Le problème de Didier comme je l'ai dit et en exagérant la chose c'est qu'il était du genre à attendre le ballon dans le surface sans le chercher.
Gress de son côté voulait un attaquant plus mobile qui dépassait le cadre des 25 derniers mètres et qui apportait un + dans la construction du jeu. -
Question mobilité, il va être servi avec Marcos ! :D
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il a une societé actuellement de conseils ou de trucs avec le we
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Tu l'as vu, Monczuk ?
A quelques semaines de la désintégration définitive et à quelques jours d'affronter Rouen, aucun article n'avait encore été consacré au légendaire et ombrageux goléador. Pourtant, une chose est sûre : Monczuk, c'est pas du poulet.
Cliquez ici pour lire la suite de cet article -
Merci pour cet article, de bons souvenirs ce Monczuk, en vrac :
- les buts bien sûr
- "va te faire couper les cheveux Monczuk" entendu dans les tribunes à l'occasion d'un mauvais contrôle
- la légende qui veut que Schilles allait le chercher au Chalet où il festoyait tard dans la nuit ! -
Article très intéressant même si j'ai trouvé ce passage un peu sévère:
Remplaçant, il l'est également en ce soir du 13 mai 1992 alors que la victoire sur Rennes en barrages embrase l'Alsace et permet à Gress de donner l'aspect d'un triomphe éclatant à ce qui est de fait un semi-échec : la non-accession directe.
Car pour rappel Bordeaux qui avait terminé en tête du groupe avait été relégué la saison précédente pour des raisons financières et s'était donné les moyens de remonter de suite.
Et en parlant des girondins je garde un très bon souvenir du match aller avec une victoire du Racing dans les derniers instants de la rencontre grâce à un pénalty provoqué par Hasek et transformé par "Francky" dans une Meinau pleine.
Putain c'était une belle saison lorsqu'on y repense et pourtant le Racing n'évoluait qu'en division 2.. -
Judicieux rappel en effet et il y avait encore Philippe Fargeon qui jouait à Bordeaux en plus ;-)
J'avais vu le match aller à Bordeaux, 0-0, avec un pénalty non sifflé sur une faute sur Keshi de mémoire, la fiche http://www.racingstub.com/page.php?page=match&id=2087 -
Il y avait aussi 2 futurs champions du Monde côté Bordelais (Dugarry et Lizarazu), contre un seul côté Strasbourgeois (Leboeuf). C'est vous dire le niveau de ces équipes en D2 O:)
Quelle saison c'était, un truc de folie
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esca4ever a écrit, le 2011-05-16 04:11:59 : J'avais vu le match aller à Bordeaux, 0-0, avec un pénalty non sifflé sur une faute sur Keshi de mémoire
Cétait le match retour avec un accueil inoubliable pour les supporters du Racing "Bienvenue en France"..
D'ailleurs c'est lors de cette saison qu'une rivalité longue de plusieurs années entre les fans des deux clubs avait vu le jour. -
Vous parlez de ces matchs là ? :)
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Exact,cette fameuse saison 91-92 riche en souvenirs.
Putain ça fait du bien d'entendre à nouveau Eric Sold... -
superdou a écrit, le 2011-05-16 08:42:23 : Il y avait aussi 2 futurs champions du Monde côté Bordelais (Dugarry et Lizarazu), contre un seul côté Strasbourgeois (Leboeuf). C'est vous dire le niveau de ces équipes en D2 O:)
Quelle saison c'était, un truc de folie
A noter que dans l'équipe Bordelaise, évoluaient deux futurs Strasbourgeois en la personne de RASCHKE et DOGON.... -
Pour ses fans, il est annoncé en laïve de la Meinau dans le journal de 19h de la 3.
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Les souvenirs de Monczuk
Didier Monczuk (photo) était de la partie le 19 janvier 1992, lorsque le Racing et le FC Mulhouse se sont croisés pour la dernière fois en match officiel. A l'occasion des 20 ans de cette rencontre, l'ex-gâchette strasbourgeoise se remémore ses « meilleures années de foot ».
Les supporters du Racing ne l'ont pas oublié. Pendant 3 saisons, il a nourri leurs espoirs de montée en L1, jusqu'à ce que le rêve devienne réalité, en 1992. Lui, c'est Didier Monczuk, triple meilleur buteur de L2 sous les couleurs strasbourgeoises, à une époque où le football prè-arrêt Bosman vit ses dernières années. Véritable renard des surfaces, le natif d'Aulnay-sous-Bois (93) arrive sur les bords du Krimmeri en 1989 après une saison à Auxerre et un statut d'international A' en poche. Il a alors 28 ans.
Sous les ordres de Gilbert Gress, il mène l'attaque strasbourgeoise de fort belle manière : « Je me suis parfaitement adapté au club. Nous étions une équipe solidaire, avec des jeunes talents comme Marc Keller et Franck Leboeuf. Il y a avait aussi beaucoup d'engouement car nous jouions la montée en L1, que nous avons manqué de peu en 1990 et 1991. Bref, je me suis éclaté au Racing », affirme Didier Monczuk. En L2, les Strasbourgeois croisent leur meilleur ennemi : le FC Mulhouse. « C'était souvent des matchs accrochés, sur fond de suprématie régionale. Nous voulions montrer à toute l'Alsace que le Racing était au dessus. Je me souviens de notre victoire 2-0 à la Meinau lors de la saison 1991-1992. Le stade était plein à craquer », se souvient l'avant-centre de l'époque.
Seul regret pour Didier Monczuk, ne pas avoir terminé sa carrière sous les couleurs du club strasbourgeois : « J'ai eu des soucis avec Gilbert Gress et j'ai dû quitter le club en 1992, une fois la montée acquise. J'aurais aimé passer les 100 buts avec le Racing mais le sort en a décidé autrement ». Ce départ sonnera comme le début de la fin pour le joueur formé à Angers. Après plusieurs piges aux quatre coins de la France et une saison en troisième division allemande, il revient en Alsace en 1998 et signe... au FC Mulhouse. Un tout autre souvenir : « Le club venait de descendre en National et beaucoup de joueurs avaient été retenus contre leur gré. Ҫa a vite tourné au vinaigre. Je suis parti en cours de saison car à 38 ans, je ne voulais plus me prendre la tête ».
A l'image de cette dernière saison en tant que joueur, sa reconversion est loin d'être simple : « Je rêvais d'intégrer un staff, notamment celui du Racing. Mais je suis arrivé au mauvais moment et je n'avais pas d'appuis ». De retour dans sa région natale, Didier Monczuk travaille aujourd'hui pour Ecasport, une société de création et de refonte de site Internet au service des clubs de sport. Installé à Courbevoie (92), l'ex-buteur du Racing n'exclut pas d'étendre ses activités professionnelles à sa région de coeur. L'histoire d'amour entre l'Alsace et Monczuk n'est peut-être pas finie.
LAFA -
Monczuck a écrit, le 2012-01-19 22:14:15 : En L2, les Strasbourgeois croisent leur meilleur ennemi : le FC Mulhouse. « C'était souvent des matchs accrochés, sur fond de suprématie régionale. Nous voulions montrer à toute l'Alsace que le Racing était au dessus. Je me souviens de notre victoire 2-0 à la Meinau lors de la saison 1991-1992. Le stade était plein à craquer », se souvient l'avant-centre de l'époque.
Pour le plaisir si jamais Didier devait passer sur le forum un jour:
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On ne rajeunit pas en revoyant ces séquences (+)
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Une merveille avec la plus belle des voix pour commenter les matchs du RCS celle de Monsieur Eric Sold ! Tres belle époque !!
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katzo68 a écrit, le 2012-01-20 23:03:31 : On ne rajeunit pas en revoyant ces séquences (+)
Si seulement, on pouvait ... En plus que de redevenir jeune, dans 5 mois, on vivrait le fabuleux, l'inégalé Racing-Rennes. :) -
35000 spectateurs pour un match de Division 2. La Nostalgie n'est plus ce qu'elle était. Et de voir le Schilles gesticuler devant son banc... hein... les plus jeunes... je vous souhaite de connaître des émotions pareilles. Tiens, ça doit être un canal lacrymale déréglé : ah la vieillesse et la larme facile... Aux laaaarmes... Euh... Aux armeuuuh....
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