Yvon Pouliquen
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maxime67000J'ouvre ce topic pour parler d'un ancien joueur du racing que j'aime beaucoup.
Yvon pouliquen,l'homme aux trois poumons,l'homme qui a marqué un but qui restera dans la légende de notre club,en coupe de France contre Metz,aprés un coup de tonnerre mémorable dans le ciel Strasbourgeois,pour nous propulser en finale,dans une Meinau en fusion.
Celui qui avait le droit à son propre chant,et qui le méritait,celui qui était un élément essentiel du racing à l'époque.
Un joueur de grand talent et surtout quelqu'un qui donnait toujours le maximum pour notre maillot.
Et bien sur je n'oublie pas qu'en prime,il a remporté la coupe de France 2001 en tant qu'entraineur de notre club.
Un personnage qui aura marqué l'histoire du racing,aussi bien humainement que sportivement. (+) (+) -
Yvon Pouliquen en haut de l'affiche
Strasbourgeois de 1991 à 2001, l'ex-capitaine et coach du Racing a signé cet été pour deux saisons (plus une en option) comme entraîneur du Grenoble Foot 38. Trois mois plus tard, le club isérois, visiteur de la Meinau demain (20h30), est installé dans le trio de tête de la Ligue 2.
C'est la grosse cote de ce début de saison. Même si l'arrivée d'investisseurs japonais fin 2004 en dit long sur les ambitions, à moyen terme, du Grenoble Foot 38, le club isérois se plaît déjà à jouer les trouble-fête en Ligue 2. Sous la patte d'Yvon Pouliquen, qui connaît Strasbourg comme sa poche pour y avoir passé dix ans (joueur et capitaine de 1991 à 1996, coach-adjoint de Jacky Duguépéroux de 1996 à décembre 1997, coach de la réserve de janvier 1998 à novembre 2000, puis de l'équipe première de novembre 2000 à juin 2001, avant de retourner à la tête du CFA de juin à décembre 2001), Grenoble s'est invité à la table des grands. Pour un Pouliquen qui y vit sa quatrième expérience d'entraîneur (après Strasbourg donc, puis Lorient de janvier 2002 à juin 2003 et Guingamp de juillet 2004 à septembre 2005), cette flatteuse troisième place n'est pas usurpée.
Yvon, êtes-vous surpris de voir votre équipe s'inviter à la table d'honneur de la L 2 ?
D'un côté, oui. De l'autre, non, parce que sur ce que nous avons montré sur le terrain, ce n'est pas immérité.
Pourtant, lors du premier match, vous étiez menés 2-0 à une demi-heure de la fin, avant de vous imposer dans les arrêts de jeu contre Montpellier. La saison aurait-elle tourné autrement si vous vous étiez inclinés ?
Sans doute, oui. Je ne dis pas que nous serions aujourd'hui dans les trois derniers. Mais ce renversement de situation contre un Montpellier qui nous a baladés pendant une heure a lancé la saison sur les meilleures bases possibles. Nous sommes revenus au caractère, à l'envie. En début de saison, je craignais le manque de caractère de mon équipe. Je me suis trompé.
La présence d'un groupe japonais à la tête du club vous met-elle une pression supplémentaire ?
Les dirigeants ne m'ont pas fixé d'objectifs en termes de résultats
. Mais comme tout entraîneur, je me les fixe moi-même. Ils savent qu'il y a beaucoup à faire, à améliorer dans les infrastructures, pour faire avancer le club. Ils ont des ambitions, mais veulent gravir les marches une à une. Le projet, cette année, c'est de mettre en place une identité de jeu, de bâtir une équipe joueuse tournée vers l'offensive.
Après dix journées, Grenoble est troisième. Peut-il l'être encore en fin de saison ?
Je ne me pose pas la question. Mais je vois bien que les joueurs pensent plus que moi à la montée. Je ne veux surtout pas que le résultat prime le jeu. Et nous ne viendrons pas à Strasbourg pour défendre. Nous n'avons de toute façon pas l'équipe pour ça.
Ne redoutez-vous pas que votre équipe subisse un vilain contrecoup quand elle sera dans le dur ?
Elle passera sans doute par des moments difficiles, mais je suis persuadé qu'elle saura rebondir. En fait, cette saison s'annonce dure pour tout le monde. Une dizaine d'équipes affichent leurs ambitions de montée et en ont les moyens. La vraie difficulté en L 2, c'est que tu peux gagner partout, mais aussi perdre partout.
Depuis votre départ en décembre 2001, c'est votre premier retour à Strasbourg. Dans quel état d'esprit êtes-vous ?
Je n'éprouve pas de sentiment particulier. Car je n'aime pas me retourner sur le passé. Mais j'aurais du plaisir à retrouver des gens que j'ai côtoyés au Racing, comme Jean-Marc Kuentz et Jacky Canosi - que je vois régulièrement chez nous, puisqu'il vient nous voir jouer - ou des joueurs comme Abdessadki, Devaux, Lacour ou Vergerolle.
La relégation en L 2 que vous avez connue comme coach du RCS en 2000-2001 reste-t-elle l'une des grandes frustrations de votre carrière ?
Je vous l'ai dit : je ne m'apitoie pas sur le passé et je n'y pense plus. Cette année-là, nous avons aussi gagné la Coupe de France. Je l'ai conservée l'année suivante avec Lorient et je ne songe pas tous les jours à ces deux sacres. Car le passé n'a pas d'avenir.
source : l'Alsace -
Me souvient d'un entraînement auquel j'avais assisté dans les années 95 comme ça, j'avais été sidéré par l'odeur de cloppe qui enveloppait l'homme aux trois poumons :))
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Ben à la limite s'il en 3 il peut se le permettre vu qu'il en a un d'avance. B-)
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Moi je me souviens d'un accident de circulation qu'il avait eu avec mon ex..... Il s'est trompé en remplissant le constat et finalement a du payer la totalité, alors que c'etait du 50/50..
Ai adoré !!!! Heureusement qu'il était meilleur joueur... -
Pouliquen déçu
L'ancien capitaine et entraîneur du Racing ne sera plus l'entraîneur de Grenoble en 2007-2008, alors qu'il lui restait pourtant un an de contrat.
L'information n'est sortie que vendredi après la victoire de Grenoble à Caen (1-0). Arrivé l'été dernier pour deux saisons, Yvon Pouliquen n'entraînera plus Grenoble Foot 38 l'an prochain. L'ex-capitaine et entraîneur du RCS (de 1991 à 2001) le savait dès mercredi, mais avait choisi de cacher la nouvelle à ses joueurs jusqu'au déplacement en Normandie. Il ne masque pas sa déception alors que son équipe peut espérer se hisser à la 6e place ce soir.
Yvon, avez-vous digéré l'annonce, par les dirigeants japonais du GF 38, de votre éviction en fin de saison ?
Je suis déçu. D'autant que nous avions commencé quelque chose qui me semblait intéressant. Mais je l'ai senti venir. J'ai pris les devants en allant évoquer mon avenir avec le nouveau manager général, Idetaka Ubagaï (Ndlr : nommé début mars). Il m'a expliqué que sa venue était conditionnée au fait qu'il puisse travailler avec sa propre équipe. Autrement dit, mon sort était scellé dès qu'il a signé.
Y avait-il eu des signes avant-coureurs ?
Oui, comme le fait que le club ait refusé de se renforcer à la trêve hivernale, alors que je le souhaitais et que - chose plus rare - les joueurs le souhaitaient aussi, parce qu'ils sentaient qu'il y avait un coup à jouer pour la montée. En fait, j'ai coupé l'herbe sous le pied de mes dirigeants en provoquant la discussion mercredi. Ils ont été contraints de communiquer leur décision à partir du moment où ils m'en avaient informé. Aujourd'hui, ils sont plus gênés qu'autre chose.
Vous allez devoir négocier une indemnité pour votre dernière année de contrat...
Ce ne sera pas le plus difficile. Tous les objectifs fixés en début de saison sont en passe d'être atteints, voire pulvérisés pour certains.
« Libérés de toute pression »
Comment vos joueurs ont-ils réagi ?
Disons que lorsque je leur ai annoncé mon départ après la victoire à Caen, ce n'était pas très joyeux dans le vestiaire.
Ne redoutez-vous pas une certaine démobilisation ?
Pas du tout. Au contraire même. Les joueurs ont envie de finir en boulet de canon, d'accrocher la 6e place. Nous sommes dans une dynamique positive qui, à mon sens, ne peut que s'améliorer, parce que nous sommes libérés de toute pression. Ce n'est pas bon signe pour Strasbourg (rires). Mon éviction annoncée ne change rien à ma motivation. À celle de l'équipe non plus. Je répétais aux joueurs depuis quinze jours qu'il n'était pas question de finir en roue libre, mais bien pied au plancher. Pas question non plus qu'on puisse nous taxer de laisser tomber la fin de saison alors que nous devions encore rencontrer Caen, Strasbourg et Metz
. Nous avons prouvé à d'Ornano que nous étions plus que jamais concernés.
source : l'Alsace -
Sans prendre parti pour Yvon qui est un joueur /entraineur / personnage que je respecte ; ça sent pas très bon pour Grenoble ce mode de fonctionnement je viens avec mon équipe, je fais n'importe quoi ... ça me rappelle des américains en Alsace.
En tout cas il y'a un entraineur pas mal du tout de libre sur le marché
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Moi je le trouve un peu léger pour la L1.
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Je pense avant tout que c'est un entraineur avec une mentalité formidable et qui a réussi en bien des occasions à tirer beaucoup d'équipe en situation difficile. Si il n'a pas l'expérience, ni la renommée des cadors de la D1, il se situe parmi les bons entraineurs de D2. A mon avis avec un bon groupe, il peut faire du bon travail en D1.
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C'est exactement ça : un bon entraîneur de L2 (+)
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Pourquoi vous parlez d'entraineur? on en a 1 à ce que je sache!!!
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De un parce qu'il est entraîneur.
De deux parce que c'est le sujet de la discussion. -
allezz-racingg a écrit : Pourquoi vous parlez d'entraineur? on en a 1 à ce que je sache!!!
On en a même 2 à ce qui parait -
papin pouliquen entraineur du racing ca aurait de la gueule lannee prochaine en ligue 1
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Ben si Papin quitte le club cet été (tout à fait possible), Yvon fait surement partie de la short-list des coachs gratos qui seraient susceptible de venir au Racing.....
Ancien capitaine emblématique du Racing, il a une chouette mentalité. En ce qui concerne sa qualité de coach en soi, j'ai du mal à le juger..... -
pour un coach qui a cru en Jacques Rémy y a pas à hésiter.
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A la fin de la première mi-temps, le stade Lesdiguières scande le nom de... Pouliquen. Un hommage plus qu'appuyé à l'entraîneur de leur équipe, qui a appris cette semaine qu'il ne sera plus à la tête du GF 38 l'an prochain. Malgré, comme l'annonce une banderole grenobloise, « la meilleure saison de Grenoble depuis 24 ans ».
Un Yvon Pouliquen aussi applaudi par la centaine d'Ultra boys strasbourgeois présents hier soir à Grenoble.
(source : DNA)
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Yvon c'est un gars comme on aimerait en voir plus, point barre!
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A noter qu'il devrait être remplacé par Mehmet Bazdarevic, lequel a été recommandé aux dirigeants grenoblois par Ivica Osim, ancien Strasbourgeois et actuel sélectionneur du Japon...
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C'est celui qui avait fait monter Istres en L1 nan? :)
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Exact, c'est bien lui, le jumeau de Christophe Dechavanne :
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Tu as déjà vu Dechavanne ?
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Oué faut le voir de loin, le jumeau, de très loin même...
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Des cheveux gris et un autre nez, mais moi ça me saute aux yeux :D
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mouais y a ptêtre un p'tit quelque chose ...
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