Incidents dans les stades
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rachmaninov2000, tu t'emballes un peu :p -
c'est pas le 2000 qui est choquant, c'est plutôt les "fous furieux" (ou alors on parle pas du même quart de virage) :D :D :D
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Mets les UB en dehors de leur 1/4 de virage et tu verras si ils ne deviennent pas fou furieux :p Mais c'est tout à fait normal... :)
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Tu y va un peu fort avec 2000 :))
Sur les 1000 personnes du kop il y en aurait peut être de 200 a 300 qui réagiraient..le reste accepterait sans broncher je pense :( -
rachmaninov a écrit, le 2009-04-01 12:05:20 : 2000, tu t'emballes un peu :p
Il y a me semble t-il, exactement 1008 places en 1/4 de virage.
Les soirs de tres gros matchs, comme contre metz il y a deux ans, on devait peut etre, avec le bon vouloir des stadiers, etre 1100... -
Je croyais que c'était 1009 places :-B
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maxxub90 a écrit, le 2009-04-01 16:58:12 : rachmaninov a écrit, le 2009-04-01 12:05:20 : 2000, tu t'emballes un peu :p
Il y a me semble t-il, exactement 1008 places en 1/4 de virage.
Les soirs de tres gros matchs, comme contre metz il y a deux ans, on devait peut etre, avec le bon vouloir des stadiers, etre 1100...
Je suis nul pour ce genre d'estimation mais contre Metz pour la remontée le quart était bourrés de sans les bons billets : 1500 serait plus juste.
La tribune était tellement bondée que j'ai du passer par la nord pour rejoindre la partie basse après le tifo (vous vous en foutez
:p ).
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1009 places ? Seulement ?
Combien faut les Sud/ Nord et les Oues/Est ? -
C'est pas vraiment dans un stade mais :
L'attaque du train version hooligans
La police polonaise a mis fin samedi à une attaque contre un train transportant des supporters se rendant à un match de première division dans le sud du pays. Un policier a raconté la tactique employée par les agresseurs. «Le train qui transportait environ 300 supporters a été arrêté en pleine forêt par un passager qui a actionné le frein d'urgence. Dans la forêt attendaient quelque 200 hooligans qui sont passés à l'attaque.» Mettre fin à la bagarre qui s'en est suivi a demandé la mobilisation de quelque 300 membres de force de l'ordre. Vingt-cinq personnes ont été blessés. Cent-trois agresseurs ont été interpellés. Il risquent trois ans de prison.
:))
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Des supporters en garde à vue.
Une dizaine de supporters a été placée en garde à vue dimanche soir à Saint-Etienne, après la défaite contre l'OM (0-3) comptant pour la 30e journée de L1. Certains ont été interpellés pour des jets de projectile à l'extérieur du stade, d'autres pour des fumigènes.
France Football -
Cinq supporters condamnés.
Cinq supporters stéphanois ont été condamnés à des peines de prisons avec sursis, des amendes et des interdictions de stade, après des affrontemements avec leurs homologues marseillais, en marge du match Saint-Etienne-OM, de dimanche soir (0-3).
Eurosport -
En marge du derby de Belgrade entre l'Etoile Rouge et le Partizan, des incidents ont eu lieu dans la capitale serbe. La police locale a dû procéder à pas moins de 51 arrestations.
Des supporters de l'équipe de l'Etoile Rouge ont semé le désordre dans le stade de Partizan à l'occasion du derby de Belgrade, l'un des plus chauds d'Europe. La police a procédé à 51 arrestations mais aucun blessé n'est à déplorer. Sur le terrain, le Partizan s'est imposé 2-0.
foot365 -
Bagarre générale sur la pelouse à Reims.
Une bagarre générale a opposé les joueurs et l'encadrement des équipes de Reims et Nîmes à l'issue de la rencontre d'hier soir de L2. L'empoignade s'est produite dans le temps additionnel, après que les Nîmois ont contesté aux hommes de Luis Fernandez le but de la victoire, inscrit à la 94e par le défenseur Ibrahim Thiam, auteur selon eux, d'une faute non sanctionnée. De vifs échanges ont opposé le banc des deux équipes et une bagarre générale s'en est suivie entre joueurs, encadrement et stadiers qui tentaient de s'interposer. L'altercation a duré quelques minutes sans faire, apparemment de blessés.
L'Alsace -
Nuits de violences à Anvers
Quatre personnes ont été blessées dans la nuit de vendredi à samedi à Anvers lors d'affrontements qui ont opposé des groupes de supporters du club local à des jeunes d'origine étrangère après le match de Championnat entre Anvers et Bruges (2-0). Une personne qui a reçu un pavé sur le crâne a dû être hospitalisée. La police a procédé à sept interpellations. Au total, plusieurs centaines de personnes ont été impliquées dans cette rixe qui a débuté peu après minuit pour ne s'achever que peu avant trois heures du matin. Les dégâts matériels sont conséquents, entre mobilier urbain détruit, véhicules de police endommagés et vitres de maisons brisées.
L'Equipe.fr -
Incidents à Ajaccio
Le derby corse de cette 35e journée de L2 entre Ajaccio et Bastia a dû être interrompu peu avant la mi-temps, des supporters bastiais ayant lancés des fumigènes en direction des tribunes ajacciennes. Le match a été interrompu plusieurs minutes avant que les CRS, intervenant à l'aide de bombes lacrymogènes ne parviennent à rétablir l'ordre et permettent à la rencontre de reprendre son cours.
Eurosport -
Bagarre entre supporters messins et angevins, boulevard Foch
Alors que le match de football d'Angers Sco contre le FC Metz doit avoir lieu, ce vendredi, à 20 h 30 au stade Jean-Bouin, une violente bagarre a opposé des supporters des deux camps, vers 17 h 30, en plein centre-ville d'Angers. Les supporters messins étaient à la terrasse du bar "les Variétés" lorsque l'altercation a eu lieu. Des chaises ont d'abord volé, puis les invectives et les coups sont partis. Deux supporters de Metz ont été légèrement blessés. Un seul a été pris en charge par les pompiers, qui l'ont transporté au CHU. Les policiers sont ensuite intervenus pour calmer les esprits et ont escorté les Messins jusqu'au stade. -
J'aime bien l'ordre des événements.
D'abord on se balance les chaises à la gueule, ensuite seulement on s'insulte et on en finit aux mains.
Bizarres ces gens, vraiment rien dans la tête. Ils n'arrivent même plus à retenir le déroulement chronologique "normal" d'une baston.
Ils sont vraiment perdus pour la société.
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fuchsi a écrit, le 2009-05-09 00:36:58 :
Bizarres ces gens, vraiment rien dans la tête. Ils n'arrivent même plus à retenir le déroulement chronologique "normal" d'une baston. Ils sont vraiment perdus pour la société.
En même temps, ca m'a l'air plus d'une brève type AFP que d'un CR de Mouvement Ultra posté par un participant à la rixe. Donc ce n'est pas très gentil pour le journaliste ce que tu dis... O:) -
A la suite de leur victoire au Stade du Ray face à Nice (2-0), les Olympiens ont connu un retour en bus sur Marseille plutôt mouvementé. Alors qu'ils étaient escortés par deux gendarmes sur l'autoroute, les Marseillais ont entendu un choc à l'arrière de leur car. Une vitre venait alors d'exploser non loin de Charles Kaboré et Hatem Ben Arfa.
Plus de peur que de mal pour les hommes d'Eric Gerets puisque cet incident n'a fait aucun blessé. Le chauffeur, toujours sous escorte policière, est sorti de l'autoroute à hauteur de Mougins (Alpes Maritimes) où les gendarmes ont constaté un impact, sans doute de pierre, sur la carrosserie, en dessous de la vitre qui avait été brisée par un projectile.
lequipe.fr
Si le Barça a fait le spectacle, mercredi en finale de la Coupe du Roi face à l'Athletic Bilbao (4-1), l'avant-match a également été animé. L'hymne espagnol a en effet été copieusement sifflé (de même que l'arrivée du roi Juan Carlos et de la reine Sofia dans les tribunes) par les supporters catalans et basques présents au stade Mestalla. TVE, la chaîne de télévision qui retransmettait la finale, n'a pas diffusé ces images en direct, déclenchant une vive polémique.
« Des milliers de personnes sifflent le roi et l'hymne, et TVE le dissimule », titrait le quotidien El Mundo au lendemain de cet incident. La chaîne de télévision publique a présenté ses excuses, jeudi, invoquant « une erreur humaine ».
Des indépendantistes catalans ont également déployé une banderole (retirée avant le coup d'envoi) placée au dessus des photos du chef du gouvernement José Luis Rodriguez Zapatero et du leader de l'opposition Mariano Rajoy, et indiquant, en anglais : « Nous sommes les nations de l'Europe, au revoir l'Espagne ».
lequipe.fr
Les célébrations suivant la victoire du FC Barcelone en Coupe d'Espagne se sont terminées de bien triste manière, mercredi soir. Alors que des heurts ont éclaté dans la nuit entre supporters catalans et forces de l'ordre, un homme d'environ 35 ans s'est tué en tombant dans la rivière Onyar, à Gérone.
Selon un porte-parole de la police catalane, « environ 300 personnes ont commencé à lancer des bouteilles, des canettes et d'autres objets contondants » sur les véhicules de police, alors que la fête se déroulait jusqu'alors pour le mieux. Environ 40 000 personnes s'étaient réunies à Barcelone après la victoire du Barça face à l'Athletic Bilbao (4-1), mercredi soir, en finale de la Coupe d'Espagne. Après les affrontements avec la police, quarante-cinq ont été arrêtées.
lequipe.fr -
Cinq supporters de l'OM, dont deux présidents de clubs, mis en examen pour des violences
Deux présidents de clubs de supporters de l'OM, le président des Winners, Rachid Zeroual, et le président de Cosa Ultra, David Poggi, ont été mis en examen par la juge d'instruction Laetitia Ugolini dans la nuit de jeudi à vendredi pour "violences en réunion commises dans une enceinte sportive", a-t-on appris vendredi de source judiciaire.
Ces mises en examen font suite aux incidents graves survenus entre supporters à l'occasion du match de quart de finale de Coupe de l'UEFA du 16 avril dernier, qui s'était déroulé au Stade Vélodrome. Les deux auteurs présumés ont été remis en liberté, mais placés sous contrôle judiciaire et interdits de stade. Trois autres supporters de l'OM ont subi le même sort dans la nuit. L'un d'eux, présenté comme le plus violent, a toutefois été écroué. Les mis en cause sont tous âgés de 23 à 36 ans.
Le parquet de Marseille avait ouvert jeudi une information judiciaire afin de faire la lumière sur ces violences. La voie d'une comparution immédiate devant le tribunal correctionnel au terme de leur garde à vue a été abandonnée dans l'après-midi. Le leader du club des Ultras avait, pour sa part, été remis en liberté mercredi soir.
Il leur est reproché d'avoir "voulu régler leurs comptes" dans les tribunes du stade Vélodrome dans le cadre de "différends parfois anciens et régulièrement réactivés", précise-t-on de source judiciaire.
Au-delà, la justice va s'efforcer de comprendre le fonctionnement des clubs de supporters marseillais et la nature des querelles, sur fond de "guerre de territoire", qui animent leurs affrontements. Déjà condamnés, les mis en cause pourraient être définitivement interdits de stade à l'issue de leur procès, dont la date n'est pas encore fixée.
La vidéo des incidents relevée dans le stade le 16 avril a permis de remonter, au moins en partie, jusqu'aux auteurs présumés, note-t-on de source policière. Près de 130 supporters avaient envahi les tribunes le jour des faits, en l'absence des principaux responsables de la sécurité de l'OM, et une bagarre générale, qui avait duré 14 minutes, avait éclaté entre supporters marseillais, faisant deux blessés au visage, avec des incapacités temporaires totales (ITT) supérieures à vingt jours. Les six supporters avaient été placés en garde à vue mercredi. AP
nouvelobs.com -
L'auteur d'une fusillade qui a fait deux blessés mercredi soir dans un bar de Fréjus (Var) a été tué par un policier qui a tiré pour protéger un de ses collègues à terre, blessé après avoir été heurté par la voiture du fuyard, a affirmé jeudi une source judiciaire.
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L'auteur d'une fusillade qui a fait deux blessés mercredi soir dans un bar de Fréjus (Var) a été tué par un policier qui a tiré pour protéger un de ses collègues à terre, blessé après avoir été heurté par la voiture du fuyard, a affirmé jeudi une source judiciaire.
Selon la même source, c'est au moment où les policiers de la Brigade anti-criminalité (BAC) ont tenté de l'interpeller que l'auteur de la fusillade qui avait pris la fuite en voiture a reculé et heurté un policier, le blessant à une jambe.
Se sentant pris, il aurait alors tenté une nouvelle manoeuvre pour se dégager en fonçant à nouveau sur le policier à terre. C'est là qu'un autre policier aurait tiré atteignant de face et à la gorge l'auteur de la fusillade qui était porteur à la ceinture d'un revolver de calibre 7,65.
Dans son véhicule, les policiers ont saisi des armes et des munitions.
Dans un premier temps les autorités avaient pensé que le policier avait été blessé par balle.
L'Inspection Générale de la Police Nationale a été saisie.
L'affaire a débuté mercredi aux environs de 21H00, dans un bar de Fréjus, à la suite d'un différend entre deux clients qui regardaient le match de football opposant l'Olympique de Marseille à l'OGC Nice. Un des protagonistes aurait alors braqué un revolver sur la tempe de son contradicteur.
Le serveur de l'établissement, qui intervenait pour séparer les deux hommes, avait été grièvement blessé par plusieurs balles au thorax et à l'abdomen. Il avait été évacué dans un état jugé sérieux par les sapeurs-pompiers sur l'hôpital de Fréjus-Saint-Raphaël.
Une deuxième personne, blessée par balle à un pied, avait également été transportée au centre hospitalier, de même que le policier blessé à la jambe et dont les jours ne sont pas en danger.
L'autopsie de l'auteur de la fusillade, âgé de 46 ans, connu pour des faits de violence et de conduite en état d'ivresse, aura lieu jeudi soir au centre hospitalier de Toulon.
ça me rappelle le supporteur de l'om qui avait tué son voisin après le match face à Strasbourg l'an dernier (c'était ce match je crois ?). -
Citation: «Supporters insupportables»
Deux supporters de Sochaux, membres des Joyriders, ont été condamnés hier à la suite de troubles survenus en octobre aux abords du stade Bonal avant le match contre Le Havre.
Trois mois de prison avec sursis et 200 € d'amende pour l'un, 300 € d'amende pour l'autre : le tribunal correctionnel de Montbéliard a condamné hier deux supporters du FCSM pour des incidents survenus le 18 octobre 2008 avant un match de championnat contre Le Havre, au stade Bonal. Le premier, âgé de 21 ans, habite dans le Territoire de Belfort et travaille chez Peugeot. Trois condamnations figurent à son casier judiciaire, dont une pour des incidents au stade Nungesser, à Valenciennes, lors d'un déplacement de Sochaux. Le second prévenu, d'Arbouans, est âgé de 20 ans. Le casier judiciaire de ce technicien de maintenance est vierge.
Trop soûl pour être un meneur ?
Les policiers qui ont interpellé les deux jeunes hommes sont unanimes : en octobre dernier, ils faisaient partie des meneurs du groupe d'une trentaine de supporters qui avaient semé le trouble avant Sochaux-Le Havre. Ils s'en étaient pris à un bus de visiteurs tombé en panne rue de la Combe aux Biches, à proximité du stade Bonal et à deux pas de leur quartier général, le bar « Le Terminus ». Très vite, la situation s'était envenimée. Les ultras sochaliens venus de l'avenue Joffre souhaitaient en découdre avec leurs homologues havrais. Les insultes avaient fusé, suivies de gestes obscènes et de jets de cannettes... Les policiers arrivés sur place s'étaient interposés et avaient dû faire usage de leurs flash-ball puis de bombes lacrymogènes pour faire reculer les Sochaliens. Ils étaient finalement parvenus à repousser le groupe au-delà du Terminus, tandis que les hommes de la brigade anti-criminalité procédaient à l'arrestation des deux prévenus.
Le principal point à éclaircir hier : peuvent-ils être considérés comme des meneurs lors de ces événements d'avant-match ? Pour les policiers, pas de doute : « deux individus particulièrement vigoureux haranguaient » les autres supporters. La version des intéressés est toute différente. Le premier, du Territoire, aurait été trop soûl ce jour-là pour jouer un tel rôle. « Il avait avalé 15 bières et près de 10 Ricard depuis 11 h du matin, raconte Gérard Roller, son avocat. Comment voulez-vous qu'il harangue quoi que ce soit ? » Son ami, lui, n'aurait pas quitté les abords du Terminus durant les échauffourées. Quand les supporters impliqués ont été repoussés, il se serait retrouvé derrière les policiers et aurait alors été interpellé, selon M e Jean-Charles Darey.
À la barre, hier, les deux supporters n'ont néanmoins pas nié qu'ils voulaient en découdre avec les Havrais. Et, étrangement, avec les Messins. « Ils sont amis avec les Havrais et ce sont nos ennemis, explique l'un des prévenus. On se doutait que certains étaient venus. » Le second complète : « On est allé à l'assaut. » Consternation chez le juge Alain Troilo, qui mène les débats : « Je supporte Sochaux, je vais aux matches, mais je ne peux pas cautionner ça. Si je vois des supporters havrais, je leur serre la main et je discute avec eux. Les familles doivent pouvoir aller au stade avec leurs enfants sans croiser des gens comme vous. » Le président du tribunal, Olivier Kirchner, demande : « Vous êtes supporter depuis combien de temps ? Et insupportable depuis quand ? »
Le procureur de la République, Jean-Marc Gervason, a requis une amende contre le prévenu dont le casier était vierge, en guise d'avertissement. À l'encontre du deuxième, il a demandé de la prison avec sursis, qui se transformerait en prison ferme en cas de récidive. Le tribunal a suivi cette logique.
G.M.
source : le pays -
Citation: Consternation chez le juge Alain Troilo, qui mène les débats : « Je supporte Sochaux, je vais aux matches, mais je ne peux pas cautionner ça. Si je vois des supporters havrais, je leur serre la main et je discute avec eux. Les familles doivent pouvoir aller au stade avec leurs enfants sans croiser des gens comme vous. » Le président du tribunal, Olivier Kirchner, demande : « Vous êtes supporter depuis combien de temps ? Et insupportable depuis quand ?
Pourquoi le juge se sent toujours obligé de placer une petite phrase lors de son sermon, à croire que Ruquier donne un cours à l'école de la magistrature.
D'ailleurs comment juger lorsque l'on est le plus souvent plein de mépris pour les accusés ?
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