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- Après-match
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... s'appelle Chahir. Ou Giroud. Ou les deux, on ne sait plus guère, mais peu importe : l'essentiel, c'est les zéro points.
Le match de ce soir a été l'occasion d'inaugurer un nouveau dispositif « La vie sans Nico » ; même si le précédent, il y a quelques sept jours, est sorti vainqueur contre Brest et contre toute attente, David Ledy fait les frais d'un remaniement technique. Un destin pas trop cruel ; le jeune homme avait plus souffert sur le côté droit.
Il faut dire aussi que, pour le match de ce soir, le retour de Stéphane Pichot permettait de replacer Guillaume Lacour à sa place de prédilection, au centre ; à droite, c'est finalement le tout jeune Farez Brahmia qui démarre.
Ne décourageons pas trop vite les amateurs de compositions d'équipe et d'albums Panini, mais... ce bel inventaire n'a pas trop bien joué. C'était même mauvais.
Le match est extrêmement mou pendant toute la première mi-temps. La soirée nous renvoie à toutes celles passées ces dernières années en L2, contre des adversaires qui n'ont ni Coupe, ni Europe, ni maintien à jouer et qui attendent la fin de saison. Il s'en est même fallu de peu pour que le printemps du Cinéma ne nous consomme nos derniers régiments (que dis-je, bataillons !) de stubistes-rédacteurs.
Zenke, seul en pointe, a du mal à se débarrasser de la défense tourangelle. On se demande d'ailleurs depuis combien de temps les compos à une pointe n'ont plus donné satisfaction (celui qui le sait remporte un panier garni). Excepté avec Fauvergue évidemment.
Tours fait le « jeu », s'il l'on peut appeler ça ainsi, mais Sikimic demeure vigilant (16', 30', 43') et sauve à plusieurs reprises le Racing, sur des incursions de Doumeng, Atik, puis Giroud-Gakpé. Seul évènement notable de la mi-temps, Jean-Alain Fanchone se blesse (34') - et laisse la place à Basile De Carvalho. Espérons qu'Othon ne soit pas obligé de passer trop longtemps sur la gauche de la défense, lui qui peut être si convaincant au milieu.
En deuxième mi-temps, le Racing, encore plus mauvais que son adversaire, finit par craquer (51') sur un face-à-face de Giroud et Cassard. Pas de miracle cette fois, Stéph'... (1-0 pour Tours). Le petit Brahmia ne confirme pas la belle motivation qu'il avait affiché pour ses premières titularisations ; il est inutile et on le remplace par Magaye Gueye, pour son deuxième match depuis son retour.
Sans forcer, Tours enchaîne par Chahir Belghazouani, une connaissance ; ça fait 2-0 pour les ennemis (58'). Il suffit d'avoir joué même une seule minute sous le maillot du Racing pour avoir ensuite à vie le droit de lui coller un but par match. C'est ça l'esprit famille, monsieur.
Le Racing connaît ensuite son "temps fort", comme disent Jean-Marc Furlan et les rugbymen. Rodrigo (67') et Mamadou Bah (69', 72') tentent de loin, c'est désespéré mais ça avait marché contre Brest ; et puis, faute d'attaquant... Le Racing ne construit en fait pas grand-chose. Malgré encore l'entrée d'Emil Gargorov, qu'on aimerait pourtant voir plus souvent danser au milieu des miracles.
Et voilà ! That's all folks, c'est plié, le maintien n'est qu'à quelques points mais il faudra repasser, avant de pouvoir rêver comme des fous à la saison prochaine.
Il faut dire aussi que, pour le match de ce soir, le retour de Stéphane Pichot permettait de replacer Guillaume Lacour à sa place de prédilection, au centre ; à droite, c'est finalement le tout jeune Farez Brahmia qui démarre.
Ne décourageons pas trop vite les amateurs de compositions d'équipe et d'albums Panini, mais... ce bel inventaire n'a pas trop bien joué. C'était même mauvais.
Le match est extrêmement mou pendant toute la première mi-temps. La soirée nous renvoie à toutes celles passées ces dernières années en L2, contre des adversaires qui n'ont ni Coupe, ni Europe, ni maintien à jouer et qui attendent la fin de saison. Il s'en est même fallu de peu pour que le printemps du Cinéma ne nous consomme nos derniers régiments (que dis-je, bataillons !) de stubistes-rédacteurs.
Zenke, seul en pointe, a du mal à se débarrasser de la défense tourangelle. On se demande d'ailleurs depuis combien de temps les compos à une pointe n'ont plus donné satisfaction (celui qui le sait remporte un panier garni). Excepté avec Fauvergue évidemment.
Tours fait le « jeu », s'il l'on peut appeler ça ainsi, mais Sikimic demeure vigilant (16', 30', 43') et sauve à plusieurs reprises le Racing, sur des incursions de Doumeng, Atik, puis Giroud-Gakpé. Seul évènement notable de la mi-temps, Jean-Alain Fanchone se blesse (34') - et laisse la place à Basile De Carvalho. Espérons qu'Othon ne soit pas obligé de passer trop longtemps sur la gauche de la défense, lui qui peut être si convaincant au milieu.
En deuxième mi-temps, le Racing, encore plus mauvais que son adversaire, finit par craquer (51') sur un face-à-face de Giroud et Cassard. Pas de miracle cette fois, Stéph'... (1-0 pour Tours). Le petit Brahmia ne confirme pas la belle motivation qu'il avait affiché pour ses premières titularisations ; il est inutile et on le remplace par Magaye Gueye, pour son deuxième match depuis son retour.
Sans forcer, Tours enchaîne par Chahir Belghazouani, une connaissance ; ça fait 2-0 pour les ennemis (58'). Il suffit d'avoir joué même une seule minute sous le maillot du Racing pour avoir ensuite à vie le droit de lui coller un but par match. C'est ça l'esprit famille, monsieur.
Le Racing connaît ensuite son "temps fort", comme disent Jean-Marc Furlan et les rugbymen. Rodrigo (67') et Mamadou Bah (69', 72') tentent de loin, c'est désespéré mais ça avait marché contre Brest ; et puis, faute d'attaquant... Le Racing ne construit en fait pas grand-chose. Malgré encore l'entrée d'Emil Gargorov, qu'on aimerait pourtant voir plus souvent danser au milieu des miracles.
Et voilà ! That's all folks, c'est plié, le maintien n'est qu'à quelques points mais il faudra repasser, avant de pouvoir rêver comme des fous à la saison prochaine.
