Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

La SIG

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Flux RSS 8483 messages · 1.366.608 lectures · Premier message par rcsmick · Dernier message par chrisneudorf

  • Match au Rhénus le samedi, au Colisée le lundi, et l'éventuel match 3 à Strasbourg le mercredi.
  • Au Rhenus samedi (20h00) puis à Chalon lundi (21h00). Je me répète mais la grande différence par rapport aux saisons précédentes c'est que la SIG sait voyager à présent.
  • Collet, Lauriane Dolt, Labanca : la razzia de la SIG

    Cinq nommés, trois trophées. La SIG a réussi un score exceptionnel, ce soir à Paris, lors de la remise des Trophées LNB 2015. Vincent Collet a été nommé coach de l’année en ProA, Lauriane Dolt, meilleur coach espoirs et Antony Labanca, meilleur espoir. Antoine Diot a été devancé pour le titre de MVP de l’année par Adrien Moerman (Limoges). De quoi provoquer une légitime fierté chez le président Bellon, présent à Paris.

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    C’est dans le cadre prestigieux de L’Elysée Biarritz, à deux pas des Champs-Elysées, qu’a eu lieu en début de soirée, la traditionnelle cérémonie de remise des Trophées 2015 de la LNB. Avec quelques nouveautés puisque pour la première fois, il n’y avait plus, par exemple, de distinction entre les joueurs français et les joueurs étrangers pour le titre de MVP.

    Lauriane Dolt : « Le fruit du travail »

    La soirée avait très bien débuté pour la SIG puisque coup sur coup, Lauriane Dolt avait été nommée entraîneur de l’année chez les espoirs, tandis que son joueur fétiche, Antony Labanca décrochait le trophée de meilleur espoir. Il faut dire que l’équipe de la SIG a écrasé son championnat, avec 30 victoires en 34 rencontres, tout comme les pros, s’offrant même une série invraisemblable de 23 victoires d’affilée. « C’est magnifique, gratifiant et cela représente beaucoup de fierté. Pour le club, pour les copains avec qui on a beaucoup travaillé. Ce trophée en est le fruit. J’ai beaucoup évolué grâce à tout cela et j’espère que ça ne s’arrêtera pas… », se réjouissait Lauriane Dolt, très émue dans sa belle robe blanche. Antony Labanca était lui aussi très heureux de sa récompense : « Je ne m’y attendais pas. C’est énorme ! J’étais très stressé et lorsqu’on m’a appelé sur scène, ce fut un grand soulagement. Je pense à plein de monde : mes parents, mes grands-parents qui me soutiendront toujours, toute ma famille, mais aussi Lauriane avec qui je travaille depuis huit ans, la SIG et mon équipe, une bande de copains avec un super ambiance qui nous a permis de décrocher le titre de champion de France ».

    La soirée s’est poursuivie avec une série d’hommages, aux anciens de Berck 1973, à la JSF Nanterre 2015, avant de passer en revue les lauréats des différentes catégories. Flo Pietrus (Nancy), reçut ainsi le trophée de meilleur défenseur devant Axel Toupane et Charles Kahudi, Petr Cornelie (Le Mans) celui de meilleur jeune, Benjamin Sene (Nancy) celui de la meilleure progression.

    Vincent Collet : « Je n’y croyais pas trop… »

    Parmi les titres les plus attendus, ceux d’entraîneur de l’année et de MVP. Fort logiquement, même si d’aucuns voyaient un autre lauréat, Vincent Collet a été désigné coach de l’année. Pour la troisième fois de sa carrière après 2001 et 2004, avec Le Mans. « Le premier avait été celui de la prime à la jeunesse, se souvient le coach de la SIG. Le deuxième ressemblait un peu à celui-là avec d’excellents résultats. Je n’y croyais pas trop car je considère qu’Eric Bartecheky faisait une saison magnifique avec Le Havre et présentait une plus-value plus évidente. Les deux trophées déjà remportés et le petit nombre de défaites dans la saison m’ont permis de décrocher ce trophée. Je le dédie à mes parents, à mon père en particulier qui à 87 ans suit encore de très près les affaires du basket. Et je suis aussi très heureux de l’avoir eu des mains de Jean Galle qui avec l’AS Berck m’avait fait découvrir le basket quand j’avais 10 ans. Je savoure mais mon évaluation se fera bientôt, avec les play-offs et avec l’équipe de France… »

    Enfin, si l’on connaissait déjà le cinq majeur (Diot, Walker, Payne, Moerman et Pietrus), il restait à désigner le joueur n°1 de la saison de ProA. Antoine Diot, MVP français en titre, se classait deuxième derrière Adrien Moerman (CSP Limoges).

    Place maintenant aux play-offs et au Trophée du Futur dans lesquels la plupart des joueurs présents à Paris auront l’occasion de prouver que leurs récompenses n’étaient pas usurpées…

    (Site officiel)
  • rcsforever a écrit, le 17/05/2015 12:04 :
    Au Rhenus samedi (20h00) puis à Chalon lundi (21h00). Je me répète mais la grande différence par rapport aux saisons précédentes c'est que la SIG sait voyager à présent.


    Lors des deux échecs précédents, ce sont des revers au Rhenus qui ont plombé la SIG :(
  • Justement, une éventuelle défaite au Rhenus durant les PO ne serait pas rédhibitoire cette année selon moi. Même si c'était en saison régulière, on ne s'impose pas à 16 reprises en 17 déplacements.. par hasard.
  • C'est officiel, Diot a définitivement craqué.. :)

    http://s.lnb.fr/lnb/image/article/une/g/22/4283.jpg


    SIG – Chalon : un T-shirt pour chaque spectateur !

    La course au titre est lancée ! Et pour les play-offs qui débutent samedi (20h) au Rhenus contre Chalon, la SIG aura besoin d’une salle… toute rouge, à fond derrière elle. C’est pourquoi le club offrira à chacun des 6200 spectateurs un T-shirt « Play-offs 2015 » qu’ils pourront arborer fièrement lors des prochaines rencontres, toutes décisives.

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/05/T-shirt-playoffs-2...

    (Site officiel)
  • Chambrage en vue sur la twittosphère d'Ali Traoré, sûr et certain... Sinon, effectivement, il a craqué.
  • Un soutien supplémentaire (dans les tribunes) pour la SIG... ;)

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/05/P1150919.jpg?935d64
  • Et peut-être sur le terrain la saison prochaine ?????

    Citation du message précédent supprimé
  • Même en cas de qualif pour l'Euroligue, Aujourd'hui Ajinça est inaccessible financièrement pour un club de Pro A, sa visite en Alsace ayant pour but principal de se maintenir en forme physiquement avant l'Euro. Enfin pour ceux qui souhaiteraient assister au match 1 des PO samedi, dépêchez-vous car il reste peu de places et que le guichet fermé est à la mode actuellement à Stras...
  • L’heure de vérité

    La SIG a la pancarte dans le dos. Archi-favorite des play-offs qui débutent pour elle ce samedi à 20h au Rhenus (live score sur sigbasket.fr), elle a un premier obstacle de choix à franchir : l’Élan Chalon. Mais les Strasbourgeois, confortés par une saison pleine de conviction, sont déterminés à le franchir pour viser, dix ans après le premier sacre, le titre de champion de France.

    http://www.google.fr/url?source=imglanding&ct=img&q=http://www.fr...

    Vincent Collet a eu une journée bien chargée. Invité aux demi-finales des Internationaux féminins de tennis par leur directeur, Denis Naegelen, il va également donner, en début de soirée à la Meinau, le coup d’envoi du match décisif de National entre le Racing et Colomiers. Le coach de la SIG a néanmoins pris le temps de diriger un dernier entraînement très intense et de livrer ses impressions : « Les joueurs sont motivés et concentrés. Il ne faut pas s’écarter de ce qu’on veut faire », dit-il.

    Une impatience légitime

    L’objectif de la SIG est très clair. Confirmer lors du mois qui vient, la domination qu’elle a exercé sur la saison régulière et qui lui a permis de mettre le deuxième, Nanterre, à cinq victoires et le panier-average, le quatrième à… 11 victoires ! « Il faudra tout simplement être nous-mêmes mais c’est plus facile à dire qu’à faire. Car les matches qui commencent vont être chargés en émotion. Et on aura la pression. Surtout dans une série en trois matches » poursuit-il.

    Assurés de disputer ces quarts de finale depuis fort longtemps, les joueurs de la SIG ne cachent pas qu’une certaine impatience a commencé à se faire ressentir. « Nos adversaires ont fait un vrai match la semaine dernière. Nous, depuis le match contre Nanterre, on n’a pas vraiment joué… Et on a envie que ça commence », ajoute Collet.

    Jean-Denys Choulet, son alter ego bourguignon, le confirme : « On est passé par un trou de souris avec un joli 4 sur 4 dans les derniers matches. On a aussi récupéré une partie de notre effectif, même si Michineau était encore absent, et réalisé notre objectif de début de saison. On va essayer maintenant d’avoir du bonus avec les play-offs… Et les joueurs sont très motivés. Il faut plutôt les freiner que les pousser en ce moment ». Partisan d’un quart de finale en cinq manches, le coach de l’Elan ajoute : « Jouer le premier match là-bas, c’est presque un avantage pour nous. C’est l’équipe la mieux placée qui, dans une série en trois manches, devrait jouer d’abord à l’extérieur. La pression est vraiment sur eux. S’ils passent à travers samedi, le match au Colisée sera très difficile pour Strasbourg ».

    Choulet : « On est un peu leur poil à gratter »

    Tout de même conscient de la difficulté de la tâche qui attend sa formation, Choulet y croit malgré tout, et c’est dans l’histoire récente des confrontations entre les deux formations, qu’il va puiser ses raisons d’espérer : « Strasbourg est beaucoup plus fort que nous. Ils ont fait une très belle saison mais on est un peu leur poil à gratter. On n’a perdu que de quatre points chez nous (NDLR : 52-56) avec deux joueurs en moins et on perd d’un point (NDLR : 85-84) chez eux, on sait de quelle façon. On arrive à jouer contre eux, on l’a prouvé l’an dernier déjà. Mais on peut aussi en prendre 20. On va essayer de faire un coup, mais ce sera très difficile. Strasbourg, c’est la meilleure équipe et c’est elle qui devrait passer si la logique est respectée. Mais où est la logique ? »

    La SIG n’avait probablement pas besoin de ces déclarations pour être avertie du danger… « Depuis le retour d’Eric Dawson, Chalon est devenu une équipe exceptionnelle au rebond avec 40 prises par match, dont 12 pour cet Américain, et 15 offensifs lors des quatre derniers matches ! Son association avec Marcus Dove leur donne une dimension supplémentaire », redoute Collet. Et à la vue des dernières rencontres de son adversaire en quarts, le coach de la SIG ajoute : « Jason Rich, leur meilleur joueur de la saison, est encore monté d’un cran avec 23 d’évaluation lors des cinq dernières rencontres. Et comme on savait déjà qu’Evtimov peut mettre des séries de paniers à trois points, que Gradit est souvent bon dans ce genre de match, on sait ce qui nous attend ».

    L’entraîneur strasbourgeois ne veut cependant pas tomber dans le piège de l’affrontement répétitif et chargé d’adrénaline contre l’Élan que certains agitent comme un chiffon rouge : « Du 5e au 8e, les adversaires potentiels des quarts étaient tous dangereux. Mais aussi tous dans nos cordes… » Il sait que ses joueurs devront, comme ils l’ont fait tout au long de la saison, en ProA ou en Coupe d’Europe, aller au combat sans sourciller, de la première à la dernière minute. Samedi, puis lundi à Chalon – coup d’envoi à 19h30 si la SIG s’impose lors de la première manche, à 21h et devant les caméras de télé si les Bourguignons créent l’exploit au Rhenus – et le cas échéant mercredi pour une belle. C’est la règle des play-offs et le prix à payer, un mois durant, pour aller décrocher ce troisième trophée de la saison, le plus important. Celui qu’ils veulent tous, joueurs, dirigeants et supporteurs, chercher ensemble pour signer un triplé historique.

    (Jean-Claude Frey / site officiel)
  • Par un trou de souris

    Tétanisée par l’enjeu, méconnaissable, la SIG a été dominée par Chalon pendant… 38 minutes ! Avant de passer par un trou de souris pour remporter un succès (65-62) qui lance les play-offs. Mais que ce fut dur !

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/05/SIG-CHALON-PLAYOFF...

    Dans ce quart de finale censé être le plus ‘’déséquilibré’’, entre le premier et le huitième, la SIG n’avait pas eu le meilleur « tirage » en tombant sur Chalon. Car les hommes de Choulet étaient depuis un moment et en dépit de trois défaites sur les trois derniers matches, un authentique poil à gratter pour les Strasbourgeois. Et cette entrée en matière pour des play-offs à hauts risques pour la SIG, ne dérogeait pas à la règle.

    Chalon domine au rebond et profite de la maladresse strasbourgeoise

    Chalon cherchait à imposer sa puissance avec Dove et Dawson mais la SIG tenait encore tête : 6-4 (5e’). Le combat était physique, sans concession, et à ce jeu-là, Dove était plus en vue que Howard… Chalon prit la tête en gênant énormément le jeu de passes des Alsaciens (6-11, 8e’) chez qui la crispation était palpable. Collet multipliait les changements mais Chalon faisait la loi sous les paniers (12 rebonds dont 4 pour le seul Dove à 4) et l’écart à l’évaluation était terrible (0 à 15).

    La SIG se rapprochera tout de même (12-13) avant que Campbell n’égalise sur le seul panier primé de la première mi-temps : 15-15. Mais Dove provoquera la 6e faute strasbourgeois contre une seule à Chalon et transformait ses deux lancers-francs. Le cercle se refusait à Campbell alors que Suggs scorait du milieu du terrain : 15-20 !

    On ne reconnaissait pas le visage de la SIG, impatiente en attaque, mais il faut reconnaître que Chalon avait su varier des défenses très gênantes. La maladresse (29% à la pause avec notamment un triste 1 sur 12 à trois points) fera le reste. Dove (11pts, 7 rebonds, 18 d’évaluation en 13 minutes) était dominateur et les Bourguignons faisaient la course en tête : 18-24 (14e’). La SIG se rapprochera, grâce aux lancers-francs, car cette fois c’est l’Elan qui sera rapidement dans la pénalité (26-30, 18e’), mais Rich, discret jusque là, se faufilait deux fois jusqu’au cercle et Gradit marquait derrière l’arc : 30-37 et 32-39 à la mi-temps. Le Rhenus, pourtant très chaud et tout de rouge vêtu, tremblait !

    La défense retrouvée

    C’est avec d’autres intentions que la SIG reviendra du vestiaire. Le jeu d’attaque n’était toujours pas aussi fluide qu’on l’espérait, mais la défense était revenue à son meilleur niveau. Six minutes durant, Chalon ne marquera pas le moindre point. Mais si Strasbourg était rapidement revenu à 38-39 (22e’), grâce à un Matt Howard enfin guerrier, le tableau d’affichage restera figé pendant trois minutes. Deux lancers de Paul Lacombe inversaient le score (40-39) mais Rich débloquait enfin le compteur chalonnais. Comme une libération car malgré la blessure de Dove au cuir chevelu, Chalon avait repris des couleurs, à l’image de Gradit qui scorait sept points d’affilée : 46-53 à la fin de la période !

    Et le Rhenus se mit à rugir…

    La crispation était de plus en plus pesante, car si la défense tenait toujours bon (aucun point chalonnais en 4’20’’), l’attaque était totalement paralysée (24,5% de réussite à cinq minutes de la fin et un 2 sur 24 à 6,75m qui en disait long). Peur de l’enjeu ? Toujours est-il qu’après quatre minutes, le score de la période était de… 2-0. De 48-53, l’Elan filera à 48-58 (36e’) et Collet dut prendre un nouveau temps mort. Toupane tremblait même aux lancers-francs après la faute anti-sportive sifflée contre Rich.

    Soudain, le Rhenus se mit à rugir. Défense tout terrain, retour à 52-58 par Howard, puis… panier à trois points de Campbell, comme un symbole. Le Général ne voulait rien lâcher. Traoré pour un ‘’2+1’’ égalisait, Diot sur un ballon volé plaçait la SIG en tête ! Jusqu’au… 16-0 qui libérait enfin tout cette énorme pression. Dommage que Rich se soit sérieusement blessé (traumatisme du coude et de l’avant-bras). Chalon n’avait sans doute pas mérité cela et l’accueil au Colisée promet, lundi à 19h30. Mais qu’importe. Pour l’heure, la SIG mène 1-0 mais elle s’est fait très peur…

    Les réactions

    Vincent Collet : « On a été rattrapé par nos vieux démons. On a joué à contre-rythme, hors sujet, au lieu de construire. Il fallait être patient et on l’a zappé ! On n’a pas corrigé le tir dans le 3e quart temps. Il a fallu attendre le quatrième quart temps pour enfin développer notre jeu. Sans réussite tout d’abord, jusqu’à cette fin de match… On s’est mis tout seul dans ce doute, dans cette hésitation. Notre mérite a été de s’accrocher pour ne pas sombrer totalement. On se disait que ça pouvait revenir mais tout a été compliqué. Le panier à trois points de Louis Campbell a été le vrai déclencheur de notre retour et après les paniers près du cercle nous ont fait gagner. La défense de Chalon nous avait beaucoup compliqué les choses jusque là. Je voudrais dire aussi que le speaker et la salle ont été déterminants ce soir. La façon dont ils ont poussé l’équipe a été décisive. Nous avons enfin eu le 6e homme dont je rêve depuis un moment ».

    Louis Campbell : « C’était difficile. Tout était difficile. Ils ont été très agressifs. On n’a pas bien joué mais on a réussi à inverser le score grâce à deux ou trois actions. Au temps mort, le coach nous a demandé de nous battre jusqu’au bout et que, même si nous devions perdre ce match, il fallait tomber les armes à la main. C’était la réplique de Saint-Pétersbourg : l’ambiance, notre anxiété, notre jeu, tous les ingrédients étaient les mêmes. Mais peut-être que nous avons tout de même appris de ce match. Pour lundi, nous savons que Chalon va être affamé. Ce ne sera pas plus facile, même plus compliqué. Il faudra être prêt à affronter tout cela ».

    Jean-Denys Choulet : « Ce soir, c’est surtout l’entame du 3e quart temps, où on est largement dominé au rebond et où ils élèvent l’intensité défensive qui nous coûte cher. On avait été très bien jusque là, mais malgré tout, on est repassé devant, de 10 points, mais la fatigue s’est fait sentir. Rich fait des erreurs qu’il ne fait pas d’habitude et Ireland n’était pas dans un bon jour. C’est frustrant car on a fait une belle prestation mais on revient avec une défaite. Je tiens à féliciter Strasbourg pour sa victoire. Ils ont utilisé leurs armes, c’est-à-dire leur longueur de banc. Ils ont défendu fort et très dur par moments. J’aurais fait pareil si j’avais eu les mêmes armes mais malheureusement je ne les ai pas. Je tiens à féliciter mes gars, ils peuvent sortir la tête haute ».

    William Gradit : « On a manqué de lucidité sur la fin au rebond défensif et on l’a payé cash. Ça leur a donné des paniers faciles. On a aussi très mal commencé la deuxième mi-temps. on les a mis dans le rythme. Strasbourg est cependant une bonne équipe et ils ont fait un bon match. On a bien coupé les lignes de passes, c’était notre plan. Mais on n’a pas le même banc que Strasbourg. De plus, on perd Jason (Rich) et ça va être difficile pour le deuxi !ème match. Il faudra garder la même intensité défensive sur 40 minutes, croire en nous.

    (Jean-Claude Frey / site officiel)
  • Je ne pensais vraiment pas qu'on allait gagner ce match ! A -10 a 5min de la fin et vu la prestation globale au tir (20/70, 29% de réussite...) ca sentait très mauvais. Mais cette SIG là est mentalement très très forte cette année, plus que les années passées ! Chalon a très bien joué le jeu aussi, et nous a bien bloqué (10 passes décisives seulement, alors qu'on tourne à 20 de moyenne), mais a encore une fois chié sa fin de match, heureusement pour nous !
  • Notons également que le public a été nul jusqu a 4 minutes de la fin
    A ce moment on a découvert que les spectateurs au delà de tapoter un carton sur leur main avaient une voix et ça change tout
    Comme le dit COLLET la SIG a découvert hier un public qui a contribué à gagner le match.....
  • Loin du Rhenus hier soir, je me reconnais néanmoins parfaitement dans le jugement abrupt de @schilles1979. C'est inutile de comparer avec le Racing, mais si on reste en ProA l'ambiance fait partie des plus pourries.

    Je pensais d'ailleurs que Collet finirait par se lasser de l'autosatisfait kop La Wantzenau et des speakers ineptes.
  • schilles1979 a écrit, le 24/05/2015 10:58 :
    Notons également que le public a été nul jusqu a 4 minutes de la fin
    A ce moment on a découvert que les spectateurs au delà de tapoter un carton sur leur main avaient une voix et ça change tout
    Comme le dit COLLET la SIG a découvert hier un public qui a contribué à gagner le match.....


    On est tout a fait d'accord ! Et ce qui moi m'énerve encore plus, c'est que la SIG fait tout pour essayer d'avoir une bonne ambiance, pour que tout le monde soit en rouge en offrant des tee shirts, et y a encore des clampins (coté VIP surtout...) qui sont même pas foutu de les mettre ! Ca leur coute quoi de mettre un tee shirt, surtout qu'il est offert ?

    Mais c'est vrai que ceci dit, hormis les 4 dernières minutes, il s'est pas passé grand chose dans le public... Et je pense qu'il faut aussi arrêter de faire la compo avec les spectateurs, car de toute manière ils ne connaissent pas le nom des joueurs ! Le public c'est vraiment un des gros chantiers auquel le club doit s'atteler
  • Le public du Rhenus est fidèle mais a tendance à réserver sa voix pour les moments décisifs, a besoin de sentir son équipe en danger pour devenir acteur de la rencontre. Finalement le scénario d'hier soir fut une bonne chose, permettant aux supporters de jouer véritablement leur rôle de 6e homme et servant de bonne piqûre de rappel aux joueurs, chaque match de PO étant un combat avec une intensité incomparable à une rencontre de saison régulière. Bref, on retiendra la victoire et l'ambiance des dernières minutes qui m'a donné l'impression de retourner plus de 20 ans en arrière, à l'époque du Tivoli..
  • Le speaker était complètement à chier hier. C'est en lançant des "applaudissements sportifs" pour Chalon que les gens vont vouloir les siffler par la suite du match. C'est cool on a encore eu droit à une ola a -10 grâce à la wantzenau ...

    Le public est beaucoup plus bourgeois au rhenus, il n'y a pas de honte à le dire. Le prix des places y est pour beaucoup.

    Dernier point, canal est une vaste blague en ne diffusant pas le match de demain. Depuis aune on ne diffuse aucun match du 1er de la saison régulière au 1er tour de playoffs ? Pourquoi écaler le match a 19h30 si ce n'est pour ne pas le diffuser ?
  • Le speaker était complètement à chier hier. C'est en lançant des "applaudissements sportifs" pour Chalon que les gens vont vouloir les siffler par la suite du match. C'est cool on a encore eu droit à une ola a -10 grâce à la wantzenau ...

    Le public est beaucoup plus bourgeois au rhenus, il n'y a pas de honte à le dire. Le prix des places y est pour beaucoup.

    Dernier point, canal est une vaste blague en ne diffusant pas le match de demain. Depuis aune on ne diffuse aucun match du 1er de la saison régulière au 1er tour de playoffs ? Pourquoi écaler le match a 19h30 si ce n'est pour ne pas le diffuser ?
  • Pour moi le speaker était simplement excellent
    Il aorte le public et l a force a suivre
    Au final comme COLLET le souligne il a été determinant
  • g0lddiggaa a écrit, le 25/05/2015 02:49 :
    Le public est beaucoup plus bourgeois au rhenus, il n'y a pas de honte à le dire. Le prix des places y est pour beaucoup.

    Dernier point, canal est une vaste blague en ne diffusant pas le match de demain. Depuis aune on ne diffuse aucun match du 1er de la saison régulière au 1er tour de playoffs ? Pourquoi écaler le match a 19h30 si ce n'est pour ne pas le diffuser ?


    Je ne suis pas de cet avis, pour avoir déjà fréquenté les différentes tribunes du Rhenus je peux te dire que le public n'est pas plus "bourgeois" qu'ailleurs, de nombreux supporters de la SIG étant également fans du Racing, je suis bien placé pour en parler. Et concernant les tarifs, on peut assister à une rencontre de PO pour une dizaine d'euros comme à la Meinau, ce qui n'a rien d'excessif pour voir évoluer le meilleur club de l'hexagone en saison régulière. Alors OK c'est plus cher dans les deux tribunes principales mais c'était aussi le cas lorsque le Racing évoluait dans l'élite, les tarifs ayant logiquement baissé avec la chute du club. En conclusion c'est très abordable et en prime ça gagne.

    Canal a décidé de mettre en avant les deux séries qui (sur le papier) avaient le plus de chances de durer, à savoir Villeurbanne - Le Mans et Nanterre - Nancy, même si le SLUC a plié l'affaire hier soir, comme Limoges face au Havre d'ailleurs.


    Une leçon à retenir

    Passée entre les gouttes lors de la première manche, la SIG peut plier le quart en deux manches, ce lundi à 19h30 au Colisée (live score en direct sur sigbasket.fr). A condition d’avoir retenu la leçon des 36 premières minutes du match arraché à Strasbourg (65-62).

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/05/SIG-CHALON-PLAYOFF...

    Les murs du Rhenus en tremblent encore. Dans un final à couper le souffle, avec l’appui d’un public brûlant comme jamais, la SIG a renversé samedi le cours d’un match bien mal engagé ! Il faudra se souvenir, dans la manche 2 au Colisée de Chalon, qui promet aussi de ressembler à un chaudron, de ce qui avait provoqué le décrochement à 48-58 avec quelques minutes à jouer, sans renier bien sûr les valeurs de combat, la constance défensive qui avaient permis de ne pas sombrer. Et de soulever ensuite ces montagnes qui ont enlevé une certaine pression sur le match à venir.

    « On a oublié de construire pendant très longtemps, se rappelle Collet. Il a fallu attendre le quatrième quart temps pour retrouver un peu de qualité d’exécution. Sans réussite dans un premier temps, car quand tu as tout raté pendant un moment, même quand tu te mets à mieux jouer, tu ne finis pas le dernier geste. Tout ce qu’on n’a pas fait au début en terme de patience offensive, a provoqué l’hésitation quand les tirs sont devenus ouverts ».

    Ne pas refaire les mêmes erreurs

    La recette pour passer en deux manches, les joueurs la connaissent désormais. La vidéo de lundi matin leur rafraîchira encore la mémoire. Mais ils avaient déjà le mode d’emploi samedi. « Ne pas vouloir se rassurer individuellement, mais collectivement, être patient », insiste le coach strasbourgeois. Retrouver l’alternance intérieur-extérieur qui a fait la force de cette équipe depuis l’automne. Et sans miser sur l’absence de la force offensive numéro 1 des Chalonnais, Jason Rich. « C’est un concours de circonstances malheureux et c’est terrible pour lui », regrette Vincent Collet, tout en revoyant la partie sur son ordinateur, dans le TGV qui ralliait l’Alsace à la Bourgogne dans l’après-midi.

    Sans Jason Rich, cubitus fracturé, coude luxé

    Car la vidéo est effectivement formelle. En retard sur Campbell, Jason Rich sort le bras vers la droite et commet sa cinquième faute. Gradit arrive en face, avance vers son coéquipier et retourne, en porte-à-faux, l’avant-bras bloqué par le corps du meneur strasbourgeois. Les dégâts sont terribles et l’Américain de l’Élan, opéré tard dans la soirée à Strasbourg, sera immobilisé 45 jours ! Coup dur pour les Chalonnais, qui avaient déjà pris un coup au moral en laissant filer entre les doigts une victoire qui leur tendait les bras. « On ne va lui mettre une prothèse », lançait Choulet après le match, dépité. Mais tout de même convaincu que son équipe se battra jusqu’au bout, pour réaliser un exploit qui lui permettrait de disputer une belle mercredi. « La première fois qu’on a joué Strasbourg, nous étions six. Là, on sera un peu plus… » Si Choulet joue parfois la dérision, son équipe a prouvé à plusieurs reprises qu’elle savait faire déjouer la SIG. Puisque le cumul des trois défaites se solde par un déficit de huit points seulement (4, puis 1, puis 3). Même si la frustration reste grande de sortir vaincu à chaque fois, l’événement le plus malheureux restant la blessure de Rich.

    La SIG ne devra pas se tromper de combat. Le trio Dove-Dawson-Gradit (23 rebonds samedi sur les… 47 de l’équipe) sera toujours aussi vaillant, Evtimov et Ireland seront peut-être plus à l’aise à domicile qu’ils ne l’étaient au Rhenus. La méfiance reste de rigueur. Mais cette fois encore, c’est la gestion de la balle – 7 balles perdues contre… 20 à l’Élan – qui pourrait faire la différence.

    Et Collet ne xx pas de passer en demie en deux manches. Pour économiser des forces et se préparer dès mercredi à affronter le vainqueur du quart entre Le Mans et l’ASVEL qui promet d’être sacrément serré. A condition bien sûr, que son équipe ait retenu la leçon de samedi.

    Des chiffres qui parlent

    Tout au long de cette saison d’exception, la SIG a tourné à 58 tirs par match et près de 20 passes. Dans le match 1 de samedi, elle a tenté… 70 fois sa chance dont 22 dans le premier quart. Et délivré… deux passes en première mi-temps. « Notre impatience a failli nous coûter cher. Les joueurs bougeaient, mais pas du tout dans les timings et les espaces prévus », dit Collet. Et s’ils culminaient à… 24% après trois périodes (14 sur 54 dont 2 sur 19 à trois points), les Strasbourgeois ont enfin déroulé le jeu qu’on leur connaît dans le money-time. 5 sur 8 à deux points, quatre des 10 passes décisives, pour une évaluation de 23 à 2 dans la période.

    Car à l’inverse, Chalon, à 50% et plus dans les trois premiers quarts malgré la pression défensive alsacienne, s’est heurté alors à un mur solide comme jamais. Sanction : 3 sur 16 dans la période et un triste 0 sur 4 aux lancers sous la bronca du Rhenus. « On s’est mis à jouer, enfin, et on a trouvé les solutions pour des paniers faciles… », conclut Collet.

    http://sigbasket.fr/wp-content/uploads/2015/05/bracket-playoffs-2...

    (Jean-Claude Frey / site officiel)
  • schilles1979 a écrit, le 25/05/2015 09:00 :
    Pour moi le speaker était simplement excellent
    Il aorte le public et l a force a suivre
    Au final comme COLLET le souligne il a été determinant


    Sauf qu'il a fait un nombre incalculable d'erreurs. Les plus énervantes ? Les "Bam bam bam" pour des 2+1 imaginaires, où la faute est sifflée bien avant que le joueur de la SIG drive. En début de match il s'est trompeé un nombre incalculable de fois sur les joueurs, notamment côté Chalon. Le gros problème est qu'il marque beaucoup trop de distance avec le club. Au Racing c'est complètement l'opposé. Tu n'entendras jamais des "Allez supporters du club de la SIG", mais plus des "Allez Racing". C'est plus le vocabulaire utilisé qui est gênant. C'est plein de petites choses qui font que le public ne se sente pas mis en avant, attaché à l'équipe pendant les 3/4 du match. Moi j'y suis habitué à force, je rapporte plus les paroles d'amis que j'emmène au Rhenus occasionnellement.


    L'autre speaker, un "ambianceur" professionnel de ce que jai compris, qu'on avait en Eurocup, est trois fois meilleur.

    Concernant les tarifs, je parle surtout lors de la saison régulière où l'on avait 2 voire 3 matchs par semaine. Si tu y vas en couple, tu en as vite pour 100euros la semaine. Evidemment moi-même je suis abonné au racing et prend mes billets à quais chaque match de la Sig.

    Evidemment Canal diffuse les matchs en fonction du nombre de téléspectateurs, un peu le contraire de MCS.

    Sinon concernant le match de ce soir, cela devrait passer sans souci si l'on ne refait pas du 30% d'adresse...
  • Je ne sais pas si c'est la pression qui est trop forte mais la SIG est méconnaissable depuis le début des PO, aussi bien défensivement avec 79 points encaissés ce soir face à un adversaire pourtant diminué, que sur le plan offensif avec un 8/48 à 3 points... Il va falloir vite se réveiller, la belle c'est pour mercredi et l'erreur n'est plus permise à présent.
  • g0lddiggaa a écrit, le 25/05/2015 15:22 :

    L'autre speaker, un "ambianceur" professionnel de ce que jai compris, qu'on avait en Eurocup, est trois fois meilleur.


    Pour info, le speaker qui était là en Eurocup et samedi pour les playoffs, c'est le même ;) ! Et moi je le trouve également plutôt bon (même s'il a fait effectivement des erreurs au début) et qu'il a crié sur des and-ones inexistants, mais bon dans le public y en a aussi plein qui ont cru que les paniers étaient accordés !
    Et preuve que ce speaker est assez bon : c'est quand même le speaker officiel, entre autres, du Paris Levallois, du PSG handball, de l'équipe de France de basket et de handball ! C'est pas rien ;)
    Il est en tout cas bien meilleur ambianceur que celui présent depuis quelques années (le monsieur chauve, je ne sais pas comment il s'appelle) que je trouve vraiment mou du genou !

    Pour revenir sur le match d'hier, la SIG perd à 3 points (5/22 c'est beaucoup trop faible, quand eux sont à 8/16) et aux lancers francs, 10/20... On a également perdu la défense, sur le résumé LNB on le voit bien sur certaines séquences, et on fait également trop de fautes... Ce qui est néanmoins positif, c'est qu'on a retrouvé un jeu collectif (19 passes décs contre 10 samedi), que la SIG n'a jamais perdu 2 fois de suite en France cette saison et n'a jamais perdu 2 fois contre la même équipe ! Des statistiques un peu rassurantes avant demain soir, même sil il faudra absolument se reconcentrer pour éviter les vacances anticipées !
  • guialsace a écrit, le 26/05/2015 08:12 :

    ...........pour éviter les vacances anticipées !


    et accessoirement éviter une gigantesque déception.......
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