Philippe Ginestet
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thelakPunaise mais c'est hallucinant tout de même
Keller fait un putch alors qu'il n'a même pas 8% des parts et maintenant il sera président du club d'ici cet hiver, moi je dis chapeau bas pour réussir un retournement de cet envergure (+)
Car les chiffres sont éloquents Ginestet était à 51% des parts, Gindorf à 40%, il ne reste donc plus que 9% que se partagent Keller, Adler, Schmitt et Wendling soit équitablement 2,25% chacun. -
Pensez vous que le futur president du Racing doivent avoir plus de % des parts ?
A t il injecté beaucoup d argents depuis son arrivée? ou le merite t il pour le travail accompli et qui le sera encore?
Car dans la plupart des autres clubs le president est toujours l actionnaire principale!
Rachetera t il des parts apres le depart de Gindorf ? ou alors egon restera l actionnaire principale? -
Pour moi, le futur président ne doit pas avoir obligatoirement le plus de % (même si celui qui a le plus fort pourcentage est en position de force et donc quelqu'un de poids dans les décisions)! Marc sera président puisque les actionnaires l'auront choisi par rapport au poids de leur vote (ce poids étant proportionnel au % de parts)!
Par contre, je ne crois pas que Marc met beaucoup beaucoup d'argent dans le club mais il est pas riche tel que les actionnaires principaux des clubs de L1 ! Il est riche mais pas au point de mettre tout son argent au racing (enfin je pense... Il était un joueur, certes bon, mais pas Zinédine Zidane alors son salaire était confortable mais pas de 1M€ par jour !) -
boogie a écrit :
.... sa présidence, l'ami Egon, puisque dès le départ, il ne l'avait accepté qu'à contre-coeur, pour rendre service... Et il me semble que la moralité de Gindorf n'a jamais été remise en cause dans ce topic...
En effet. contrairement à celle de Ginestet (si l'on peut parler de moralité en ce cas). C'était bien le but du détour
boogie a écrit :
Ben tout dépend de la clause qui prévoit cet éventuel droit de préemption. Elle peut tout à fait prévoir les conditions pour fixer la valeur nominale des parts au moment d'une éventuelle revente... :-B Qui a un peu de temps à perdre pour récupérer le statut social de Sportinvest au TGI de Strasbourg ?
La clause elle est comme l'eau ferrugineuse du regretté Bourvil : salutaire. Elle est salutaire la clause :))
De toutes façons elle ne prévoierait pas de plus-value de 50% et n'enlèverait rien au désintéressement de Gindorf dont l'argent serait bien plus en sécurité et profitable, ailleurs qu'au Racing... -
father-tom a écrit : magellan a écrit : "la différence entre la loterie et investir son argent dans le foot, c'est qu'à la loterie tu peux gagner".
Pardonne-moi, mais ça c'est une vraie de vraie connerie...
Si les mecs mettent de l'argent dans le foot, du temps, du stress, c'est bien parce qu'ils en tirent quelque chose et pas que de la notorioté.
Un PDG d'entreprise comme Aulas qui gère la CEGID et pas mal d'affaires, ne s'occupe pas de l'OL pour la postérité ou que pour sa pub personnelle. Il n'aurait pas que ça à foutre, vraiment pas.
J'ai de la peine à considérer que les dirigeants de club - à de rares exceptions près (Glazer à MU ? et encore rien ne dit qu'il en tirera un bénéfice durable) - mettent leur pieds dans le football spécialement pour les thunes.
D'abord, les dirigeants du foot, sont en général des gens déjà très occupés et relativement fortunés. La logique "rationnelle" voudrait certainement qu'ils consacrent le principal de leur énergie à leur dévorante profession et qu'ils se renseignent auprès de leur conseiller bancaire-fiscal-patrimonial et ès-placements pour trouver pour leurs réserves un hâvre de bien-être autrement accueillant qu'un club de football.
Mais les hommes sont aussi faits d'irrationnel (moins que les femmes toutefois :))) (ligues féministes et autres ) ; de là à les penser attirés par cet excitant cocktail de pouvoir, de lumière médiatique, de mener une affaire encore plus grisante que leur principale avec toutefois moins de risque, d'amour du sport, de volonté de servir leur région, etc, il n'y a qu'un pas que l'admirateur du crampon moulé que je suis, franchirait dans un élan quasi-sportif.
father-tom a écrit : Même si des clubs sont déficitaires (trop de transferts, la masse salariale ou autre), ils tirent quand même profit de tout ça. Ou parfois, ce sont des endettements pour des projets rentabilisés sur le long terme. L'OL, justement, a dû se saigner au début pour faire signer les Anderson, etc. mais c'était des investissements voulus et mesurés, qui aujourd'hui font du club lyonnais l'un des plus sains financièrement. Une vraie prospérité, de la croissance et des retours sur investissements.
Certains font ça par passion, sans compter, c'est clair: mais faut s'appeller Pinault, Abramovitch ou avoir des moyens hors-norme. Mais à notre échelle, celle de Lille, Auxerre, Nice, Saint-Etienne, et 95% des clubs, ça se gère comme des entreprises lucratives.
Que les clubs soient gérés comme des entreprises, bien d'accord avec toi ; comme des entreprises lucratives, c'est plus nuancé pour moi, car je ne crois pas que le lucre soit leur but premier ; la puissance financière est un moyen, d'acheter de bons joueurs, de gagner, de consolider le club pour les inévitables baisses de régime, etc...
En tous cas, je n'opposerai pas ceux qui ont des moyens hors-norme et les clubs gèrés comme des entreprises lucratives. Quant Pinault, à Rennes, a vu que sa débauche d'argent ne donnait pas de résultat, il a réagit en chef d'entreprise en se souciant davantage d'une bonne gestion au quotidien ; et si Abramovitch n'avait pas ces bons résultats, nul doute que malgré son immense fortune, il changerait de méthode. IMG peut aussi être un exemple dans le sens où le but profond d'IMG n'était pas la réussite du Racing, mais une prise de puissance sur le marché télé. On a vu ce que ça a donné.
Inversement, c'est bien vrai que quand on aime, on ne compte pas.. les sous pour certains, le temps pour Keller, la tranquillité de ses vieux jours et peut-être même sa santé, pour Gindorf, le risque pour Ginestet lorsqu'il a mis en compte courant, ...
father-tom a écrit : Quant à Ginestet, son départ a handicapé le Racing puisque les actionnaires ont dû racheter ses parts et vendre Niang pour y parvenir (c'est bien à cause de lui qu'on a du vendre des joueurs: c'est son premier mensonge avant même d'être président). Mais on aurait été encore plus handicapé si il avait été là avec ses bifetons et des idées farfelues. On aurait gardé Camadini et peut-être jamais pris P. Farnerud, Hosni ou les deux.
Entièrement d'accord.
(désolé, réponse tardive
)
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Je laisse ça à votre sagacité : une brève réaction de Jacky Duguépéroux à l'"affaire" , la seule réaction connue, sauf erreur.
Question de Stéphane Godin (l'Alsace du 27/06/05) :
Jacky Duguépéroux, comment avez-vous vécu la tempête qui a secoué le Racing début juin, avec l'éviction de l'ex-futur président Philippe Ginestet, alors que tous les voyants sportifs étaient au vert ?
"Je n'ai guère envie de revenir là-dessus.Je suis surtout heureux et satisfait du dénouement. L'intérêt et l'amour du club ont été la priorité de tous les acteurs. Ils ont fait preuve d'intelligence, contrairement à ce qui avait pu se passer lors de précédents épisodes de l'histoire du club qui avaient mal tourné. Mais pour moi, c'est déjà du passé." -
magellan a écrit :
En effet. contrairement à celle de Ginestet (si l'on peut parler de moralité en ce cas). C'était bien le but du détour
Ben là, j'ai vraiment du mal à te suivre... Moi, c'st plus la moralité de Marc "gendre idéal" Keller que je remettais en question... Si affrontement il y a eu, c'est entre Ginestet et Keller, et l'ami Gindorf n'était pas concerné... -
father-tom a écrit : Quant à Ginestet, son départ a handicapé le Racing puisque les actionnaires ont dû racheter ses parts et vendre Niang pour y parvenir (c'est bien à cause de lui qu'on a du vendre des joueurs: c'est son premier mensonge avant même d'être président). Mais on aurait été encore plus handicapé si il avait été là avec ses bifetons et des idées farfelues. On aurait gardé Camadini et peut-être jamais pris P. Farnerud, Hosni ou les deux.
Ben pas du tout d'accord avec toi. le programme de Ginestet était très clair dès le départ : recruter Pontus et surtout garder Niang... C'est d'ailleurs Ginestet qui a remis Keller à sa place quant à son estimation de la valeur de Mamadou... Quant à Hosni, je ne voit pas en quoi l'arrivée au pouvoir de Ginestet aurait pu empêcher sa venue, faite pour compenser le départ d'Abde depuis belle lurette... Et puis en quoi le fait de garder Camadini, pour un salaire dérisoire, aurait été une mauavise idée... Il a toujours rendu service au Racing ces 6 dernières années. Il n'y a donc pas de raison que son expérience aurait pu être profitabe au club lors de la prochaine saison...
Enfin bon bref, Keller et dans la place et il parait que c'est super... O:) Sauf que Niang n'y est plus pour bien longtemps, dans la place... :( -
Ginestet a régularisé
Annoncée, la revente de l'essentiel des actions de Philippe Ginestet a été réalisée hier.
Cette fois, tout s'est fait sans tapage ni soubresaut. Sans rebondissement de dernière minute non plus. Ce qui est suffisamment rare pour être relevé.
Comme prévu par contrat début juin, Philippe Ginestet a donc cédé 31 % des actions qu'il détenait et qui devaient le porter à la présidence. Avant l'épisode que l'on sait : les velléités de départ de Marc Keller pour divergences de vues a priori profondes et son renoncement final.
Suite de l'article
Source: DNA -
vous voulez savoir a quoi on a echappe avec la non-presidence de ginestet ?
figurez-vous qu'il voulait virer 14 salaries du racing (qui en compte 28).
il avait fait faire des audits et les gens qui devaient partir etaient au courant de leur statut fragile...
d'apres pierre brochet, tout le staff etait au courant que le fameux article de coquis, qui a tout declenche, allait sortir.
d'ou la fameuse phrase de ginestet "j'ai failli m'etouffer avec mon croissant" qui a du mal a passer chez certains. -
Source: DNA du jour
" Le fait que vous ne veniez plus à la Meinau est à interpréter comment ?
- J'ai pris du recul, mais on va m'y revoir, soyez en sûr. Mais malgré mes deux places en tribune protocolaire, vous aurez d'ailleurs plus de chances de m'apercevoir en tribune nord, là où j'étais déjà il y a 20 ans. Pour l'instant, c'est un sentiment de tristesse qui prédomine encore, mais je reste dans tous les cas un actionnaire important du club et à ce titre, je suivrai naturellement son évolution de près... avec ou sans lunettes (référence à l'arrivée d'Afflelou, semble-t-il, NDLR).
Cela étant, les choses évoluent vite dans ce milieu comme j'ai pu l'apprendre. J'ai d'ailleurs constaté que l'idée que j'avais émise à l'automne d'un nouveau barème de points pour favoriser l'offensive et qui semblait trop novatrice a été évoquée dans certains médias, comme quoi... Dans le football, le court terme, c'est une semaine et le long terme trois mois. Alors, se projeter au-delà serait prendre le risque d'un effet d'optique..."
(En fait d'aprés moi il y a double référence à Afflelou :-B ) -
Ginestet : « La bonne étoile, ça se mérite »
Muet depuis le psychodrame de l'été dernier, Philippe Ginestet a choisi de sortir du silence juste avant le match retour de coupe de l'UEFA. Une date soigneusement choisie pour livrer quelques unes de ses vérités. Entretien.
- Où en êtes-vous depuis votre désengagement ?
- Vous savez, mes activités ne me permettent pas de me retourner sur le passé. A titre d'exemple, sur les quatre derniers mois, notre groupe a investi plus de 23 M€ en acquisition de bâtiments dans des villes aussi diverses que Liège, Dax, Troyes ou encore Mulhouse où nous venons d'acquérir majoritairement le prestigieux immeuble du Globe, soit 14 000 m2 au coeur de la rue du Sauvage.
Je dois également partir au Canada où nous allons créer une filiale. Comme vous le voyez, je n'ai pas le loisir de me lamenter ou de ressasser. Mon domaine, c'est l'action.
- Avec le recul, ne pensez-vous pas qu'avec cet emploi du temps il vous aurait été difficile d'être président du Racing ?
- Mais bien au contraire ! Pensez-vous que des présidents comme Jean-Michel Aulas, Olivier Sadran ou Gervais Martel par exemple ne soient pas très occupés ? Par contre, quand ils prennent une décision, elle est appliquée ! Tout l'art consiste à déléguer dans le cadre d'une hiérarchie clairement établie et à trancher sur les points importants.
« La collégialité, c'est l'art de diluer les responsabilités »
- En clair ?
- Ce que je veux dire, c'est que je ne crois pas à des entreprises de taille moyenne comme le Racing par exemple sans un actionnaire fort, capable d'être à l'écoute des différentes composantes de l'entreprise, mais aussi de trancher et d'imposer ses vues quand il estime que c'est nécessaire. La collégialité, pour moi, c'est l'art de diluer les responsabilités.
- Ça ressemble assez à une pique contre le Racing tel qu'il est dirigé aujourd'hui, on se trompe ?
- Ce n'est pas une critique, c'est une constatation. Je ne veux pas polémiquer, je parle au sens large, c'est tout.
- Comment voyez-vous le début de saison du club ?
- En tant qu'actionnaire, et comme tous les supporters, je trouve le classement actuel préoccupant. Maintenant, je suis bien placé pour savoir que la saison est encore longue et que le staff technique et l'entraîneur font le maximum avec les joueurs qui ont été mis à leur disposition.
Dans tous les cas, il faut faire confiance au groupe en place qui fait preuve de combativité dans l'adversité. Quand le bateau est au beau milieu d'une mer agitée, il faut garder son calme et éviter toute perte d'énergie inutile à l'équipage, en espérant naturellement que le capitaine ne quitte pas le navire.
« Encore faut-il qu'il y ait de l'audace »
- Vous devez tout de même avoir votre idée sur les raisons de la situation actuelle...
- Vous connaissiez ma position clairement affichée sur Mamadou Niang et les conséquences que vous savez de son départ. Mais je regrette également le départ d'un garçon comme Abdessadki que je souhaitais conserver pour son jeu vers l'avant et son attachement au club. « On ne change pas une équipe qui gagne », dit le dicton. J'y ajouterais « et surtout pas l'année où le club retrouve l'Europe et ou les droits télé liés au classement explosent ».
Il est en effet paradoxal que l'année où les recettes augmentent on vende environ deux fois plus qu'on n'achète, tout en indiquant quelques mois auparavant que le club n'est justement plus obligé de vendre.
- Visiblement, vos divergences avec l'équipe dirigeante sont toujours profondes...
- Quand vous êtes chef d'entreprise, vous avez le sens de la mesure et la mesure de la prise de risque indispensable à toute progression. Nous aurions pu, comme je l'envisageais, avoir un recrutement plus conforme aux ambitions du club avec la perspective de trois saisons de droits TV majorés. Mais c'est déjà du passé.
- A quoi attribuez-vous le manque de réussite actuelle du Racing ?
- On dit que la chance sourit aux audacieux. Encore faut-il qu'il y ait de l'audace. Or, avec le départ de Niang d'un côté et l'arrivée par exemple d'un Santos à Toulouse, la chance a choisi son camp samedi. La bonne étoile, ça se mérite. Maintenant, j'espère que la roue va enfin tourner en faveur du Racing.
« Je m'investirai à nouveau »
- On dit que vous avez reçu des offres d'autres clubs, c'est vrai ? Etes-vous prêt à replonger ?
- J'ai effectivement été surpris de recevoir des propositions diverses en France, mais aussi en Belgique et certaines offres amicales dans la région que j'ai déclinées. Le stress et l'ambiance des matches me manquent bien sûr et je pense qu'effectivement, je m'investirai certainement à nouveau dans un projet sportif. Et dans tous les cas au niveau du sponsoring de certaines équipes régionales.
- Le fait que vous ne veniez plus à la Meinau est à interpréter comment ?
- J'ai pris du recul, mais on va m'y revoir, soyez en sûr. Mais malgré mes deux places en tribune protocolaire, vous aurez d'ailleurs plus de chances de m'apercevoir en tribune nord, là où j'étais déjà il y a 20 ans. Pour l'instant, c'est un sentiment de tristesse qui prédomine encore, mais je reste dans tous les cas un actionnaire important du club et à ce titre, je suivrai naturellement son évolution de près... avec ou sans lunettes (référence à l'arrivée d'Afflelou, semble-t-il, NDLR).
Cela étant, les choses évoluent vite dans ce milieu comme j'ai pu l'apprendre. J'ai d'ailleurs constaté que l'idée que j'avais émise à l'automne d'un nouveau barème de points pour favoriser l'offensive et qui semblait trop novatrice a été évoquée dans certains médias, comme quoi... Dans le football, le court terme, c'est une semaine et le long terme trois mois. Alors, se projeter au-delà serait prendre le risque d'un effet d'optique...
(Source: DNA) -
Vous pouvez toujours placer mon post derriere celui de superdou ce sera plus logique :))
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Celà dit, si on peut vaguement mesurer ce à quoi on a échappé avec Ginestet (selon moi on ne saura jamais), j'apréhende de plus en plus le rôle futur de Afflelou au sein du club...
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Et bien moi, plus je l'entends s'exprimer, et plus j'adhère aux idées de Ginestet...
C'est vrai que cette idée de collégialité, ça peut marcher sur une certain période donnée, mais ça ne peut pas être viable sur le long terme. C'est d'une logique implacable. -
samh a écrit : vous voulez savoir a quoi on a echappe avec la non-presidence de ginestet ?
figurez-vous qu'il voulait virer 14 salaries du racing (qui en compte 28).
il avait fait faire des audits et les gens qui devaient partir etaient au courant de leur statut fragile...
d'apres pierre brochet, tout le staff etait au courant que le fameux article de coquis, qui a tout declenche, allait sortir.
d'ou la fameuse phrase de ginestet "j'ai failli m'etouffer avec mon croissant" qui a du mal a passer chez certains.
En même temps entre les incompétentes de la boutique et le concepteur des écharpes qui fanfaronnent avec ses horreurs
quand on lui parle de sortir une écharpe à bandes (ce qu'a compris la plupart des clubs français cette saison...), je me dis qu'il y a peut-être effectivement un ménage à faire au club 
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Moi, cette phrase me fait vraiment peur: "Nous aurions pu, comme je l'envisageais, avoir un recrutement plus conforme aux ambitions du club avec la perspective de trois saisons de droits TV majorés."
En gros, miser tous les droits TV, sans se demander si par la suite ils ne vont pas s'effondrer .... c'est le meilleur moyen pour déposer le bilan dans 5 saisons ça 
C'est même ce qui a été vivement déconseillé tant par les dirigeants du football (inflation des salaires et des transferts) que par les observateurs externes
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samh a écrit : vous voulez savoir a quoi on a echappe avec la non-presidence de ginestet ?
figurez-vous qu'il voulait virer 14 salaries du racing (qui en compte 28).
il avait fait faire des audits et les gens qui devaient partir etaient au courant de leur statut fragile...
d'apres pierre brochet, tout le staff etait au courant que le fameux article de coquis, qui a tout declenche, allait sortir.
d'ou la fameuse phrase de ginestet "j'ai failli m'etouffer avec mon croissant" qui a du mal a passer chez certains.
Et bien figure-toi que malgré le "départ" de Ginestet, les licenciements continuent au Racing, et notamment à la boutique...
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Ils ont viré Cigofoot?
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superdou a écrit : Moi, cette phrase me fait vraiment peur: "Nous aurions pu, comme je l'envisageais, avoir un recrutement plus conforme aux ambitions du club avec la perspective de trois saisons de droits TV majorés."
En gros, miser tous les droits TV, sans se demander si par la suite ils ne vont pas s'effondrer .... c'est le meilleur moyen pour déposer le bilan dans 5 saisons ça
C'est même ce qui a été vivement déconseillé tant par les dirigeants du football (inflation des salaires et des transferts) que par les observateurs externes
Pas d'accord avec toi là.
C'était justement le moyen d'enchaîner derrière la belle fin de saison. Améliorer l'équipe en recrutant des valeurs sûres sur le marché Français et étranger qui étaient dans les cordes financières du Racing et dieu sait qu'il y en avait et surtout garder Niang c'était un très petit risque financier a prendre mais on avait pas grand chose a perdre sur ce coup là.
Ensuite tout s'enchaîne, bonne équipe = bon classement = stade plein = marchandising = sponsors ( entrée d'argent ) = diffusion télé etc etc
Au lieu de ça on a eu droit a une mascarade de recrutement avec l'affaire Hosni, des semaines de palabres pour un gars qui a joué 2 matchs et s'en est pris 3 de suspension (-) et des gars qui sont pas au niveau des belles paroles de Keller ni du championnat de France.
Résultat on va jouer le maintien comme tout les ans, je dirais même plus que tout les ans et ça ça commence a me gaver, 25 ans que j'entends le même discours et qu'on est pas foutu d'enchaîner 2 saisons correctes
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Si l'augmentation des droits TV pouvait être le moment de faire des paris, il faut savoir que le retour à la normal sera difficile...
Regarder les clubs italiens qui ont fait des paris sur l'avenir, dans 3 ans il faudra tjs payer les salaires faramineux que certaines clubs accordent aux joueurs alors que les droits vont dégonfler,
et là, le moindre petit grain de poussière (comme notre debut de saison, contre lequel on ne peut rien faire même si on avait 11 stars) peut enrayer la machine et provoquer la disparition du club.
Keller a misé sur la diversification des ressources (hymnes, partenariats Addidas, afflelou, retour du public), solution qui est proné par l'ensemble des observateurs du football.
Ginestet a un langage séduisant, de l'homme qui réussi dans son domaine, mais je maintiens qu'il n'y connait pas gd chose au foot ( abdessaki l'amou du maillot
) , et surtout qu'il assene des vérités dans le vent (j'aurais garder niang, moi aussi mais ça ne fait pas tout).
Bref ça ne nous mène à rien. -
Plus le temps passe et plus je me dis qu'un ticket Gineset-Keller, dans de meilleures conditions bien entendu, aurait pu tres bien fonctionner.
L'un a une vraie experience en matiere de presidence, l'autre est un fin connaisseur du monde du football. Les deux partagent une passion commune : le Racing. Dommage...
Mais pour le moment, le moins que l'on puisse dire, c'est que les propos de Ginestet sont mechamment d'actualite et qu'ils sont pas loin d'une certaine realite... -
D'accord avec holicool. Là ou je suis amer, c'est pas du fait que l'un a fait ecarter l'autre (d'une manière fort peu élégante), mais c'est que les deux n'ont pas reussit à trouver un terrain d'entente...
En plus virer Ginestet pour ensuite se gargariser d'avoir fait venir Afflelou, ca me laisse dubitatif. -
conan a écrit :
En plus virer Ginestet pour ensuite se gargariser d'avoir fait venir Afflelou, ca me laisse dubitatif.
Oui mais on va te dire qu'Afflelou est là en tant que sponsor alors que tout le monde le voit ariver gros comme une baraque dans le staff dirigeant a plus ou moins long terme
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100% d'accord avec guigues
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