Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Le tour de France... commence par le dopage !

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Flux RSS 348 messages · 22.247 lectures · Premier message par rcsmick · Dernier message par niko67

  • niko67 a écrit, le 2009-04-06 21:30:30 :
    En meme est ce que quelqu'un pense encore que amstrong est blanc comme neige?


    Est ce que quelqu'un pense encore que les sportifs de haut niveau sont blancs comme neige ?
  • L'UCI révèle cinq noms

    L'Union Cycliste Internationale vient de révéler des sanctions disciplinaires à l'attention de cinq coureurs après avoir découvert des anomalies dans leur passeport biologique. «Après en avoir informé les intéressés, l'UCI annonce qu'une procédure disciplinaire a été lancée à l'encontre de cinq coureurs pour une violation du code antidopage après vérification des analyses de sang présentes dans leur passeport biologique : Igor Astarloa Ascasibar, Pietro Caucchioli, Francesco De Bonis, Ruben Lobato Elvira, Ricardo Serrano Gonzalez». Depuis janvier 2008, l'UCI a collecté des échantillons sanguins sur les coureurs professionnels afin d'établir un passeport biologique permettant d'appuyer les contrôles antidopage.

    lequipe.fr
  • Cette liste me fait penser à la liste des mechants paradis fiscaux, c'est à dire à une blague pas drole. On pointe du doigt des coureurs insignifiants et on laisse tranquille les chaudières, lamentable.
  • Enfin, insignifiant...

    Astarloa a quand même quelques courses, a notamment été champion du monde en 2003 et a gagné l'Amstel Gold Race... :-B
  • 2003 soit y'a plus de 5ans, il n'a rien fait depuis son titre (gaulé pour dopage d'ailleurs juste après le titre...) aujourd'hui il est plus l'insignifiant, il ne court pas dans une équipe pro-tour et d'ailleurs il n'est même pas dans une équipe continentale du type de celle qui ont une chance d'être invitée sur les courses pro-tour.
  • Gress est un entraîneur encore plus insignifiant en y pensant bien alors :D
  • Une carrière cyclisme ne peut en rien se comparer avec une carrière d'entraineur.
  • Astana favorisée

    Astana a été privilégiée durant le Tour 2009 par les officiels de l'UCI lors des contrôles antidopage. Selon Le Monde, l'Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) a ainsi rédigé un document basé sur les rapports de deux médecins durant la Grande Boucle.

    Un document de dix pages, rédigée par l'Agence française de lutte contre le dopage, a été envoyé ce lundi à l'UCI et à l'Agence mondiale antidopage, au Ministère de la santé et des sports, ainsi qu'à ASO, la société propriétaire du Tour de France. A l'intérieur, deux médecins ont relevé plusieurs faits troublants comme le fait que l'équipe Astana bénéficiait des «contrôles les plus tardifs le matin et de délais anormaux pour se présenter au préleveur». De plus, le 26 juillet, alors que des prélèvements sanguins avaient été prévus sur les coureurs de la formation kazakhe, dont Lance Armstrong et Alberto Contador, le contrôle a été purement et simplement supprimé car le temps de transport jusqu'à leur hôtel avait été sous-estimé par les inspecteurs de l'UCI.

    La liste ne s'arrête pas là puisque, concernant le champion américain, le rapport révèle que le 24 juillet, un photographe était présent sans autorisation lors du contrôle du septuple vainqueur de la Grande Boucle, «au risque d'invalider la procédure».

    Les manquements de l'UCI

    Sur les contrôles inopinés, l'AFLD regrette le manque de confidentialité des contrôles dans les hôtels, avec des inspecteurs «qui échangent à (très) haute voix sur ces sujets dans une salle de restauration où sont présents des coureurs, notamment la veille d'un contrôle comme ce fut le cas le 7 juillet au soir», explique le rapport. Les contrôles après la course sont également visés puisque les noms des coureurs ont souvent été publiés trente minutes avant la fin de l'étape, un laps de temps trop important pour l'AFLD.

    Autre grief pour l'UCI, celui de ne pas avoir mis à disposition des médecins un matériel adéquat pour conserver et transporter les échantillons prélevés, ce qui impliquera des difficultés évidentes dans l'analyse postérieure de ces derniers. Enfin, le rapport accuse l'UCI de qualifier, à tort, les contrôles effectués le matin et le soir dans les hôtels comme «hors compétition». La liste des produits recherchés est en effet beaucoup plus restreinte que lors d'un contrôle «en compétition», puisqu'elle exclut par exemple la recherche des stimulants ou des corticoïdes.

    lequipe.fr
  • Nan mais alors quelle surprise ?!?!? I-)


    Cyclisme/dopage: Contador suspendu

    L'Espagnol Alberto Contador a été suspendu aujourd'hui à titre provisoire après la révélation d'un résultat "anormal", des traces très minimes d'un produit interdit, lors d'un contrôle antidopage du Tour de France qu'il a remporté en juillet dernier.
    Contador a expliqué par "une contamination alimentaire" ce résultat anormal.
    Comme le prévoit le règlement, l'Espagnol, qui avait déjà mis un terme à sa saison, a été suspendu à titre provisoire par l'Union cycliste internationale (UCI).


    L'UCI a confirmé la présence de traces "extrêmement faibles" de clenbutérol, une substance interdite quel que soit le seuil.
    Si ce contrôle devait être déclaré "positif" par les autorités, une procédure disciplinaire serait ouverte afin de déterminer une éventuelle sanction et, peut-être, la perte du Tour pour Contador.
    Pour l'heure, la fédération internationale a déclaré devoir mener, en concertation avec l'Agence mondiale antidopage (AMA), "des investigations scientifiques complémentaires avant qu'une quelconque conclusion puisse être tirée".
    "Ces investigations complémentaires prendront encore quelque temps", a souligné l'UCI.
    Contador plaide la contamination
    Le contrôle en cause date du 21 juillet, lors de la seconde journée de repos du Tour de France à Pau. Son résultat a été confirmé par l'analyse de l'échantillon "B", a précisé l'UCI.
    Contador, qui a enlevé pour la troisième fois la Grande Boucle, a devancé en juillet dernier le Luxembourgeois Andy Schleck.
    Selon son agent, il a été informé du résultat par l'UCI le 24 août.
    "Les experts consultés jusqu'à présent sont d'accord pour considérer que c'est un cas de contamination alimentaire, particulièrement au regard du nombre de tests passés par Contador durant le Tour de France", a déclaré l'agent du coureur en soulignant ce qu'il a qualifié d'absence d'intentionnalité.
    Contador, absent du Championnat du monde dimanche en Australie, a annoncé qu'il tiendrait une conférence de presse, jeudi en milieu de journée (12h00 locale), dans sa ville de Pinto, près de Madrid.
    Le Castillan n'a plus disputé de course importante depuis la fin du Tour de France. En partance de l'équipe Astana à la fin de l'année, il a signé un contrat de deux ans en faveur de l'équipe Saxo Bank, celle pour laquelle courait jusqu'à présent Andy Schleck.
    Le "Pistolero" de Pinto, qui est âgé de 27 ans, a gagné à trois reprises le Tour de France (2007, 2009, 2010). Il a aussi remporté en 2008 le Tour d'Italie (Giro) et le Tour d'Espagne (Vuelta).
    Une substance interdite
    Le clenbutérol est la substance, interdite en et hors compétition, relevée dans le contrôle positif du coureur chinois Li Fuyu, le 23 mars dernier.
    Li Fuyu avait déjà expliqué son cas par une contamination et reçu l'appui d'un biochimiste néerlandais, Douwe de Boer, lequel avait déclaré que "les contaminations au clenbuterol existent dans les suppléments alimentaires et dans la viande".
    De la classe des bêta-2 agonistes, ce produit est notamment utilisé en médecine pour traiter l'asthme. Administré de façon systématique, il favorise la dilatation des bronches et peut avoir de puissants effets anabolisants.
    Le clenbutérol est loin d'être un inconnu pour les spécialistes de la lutte antidopage. L'ancienne championne d'athlétisme Kathryn Krabbe (ex-RDA) a vu sa carrière tourner court dans les années 1990 après un contrôle positif dû au clenbutérol.
    Dans le cas de Contador, la concentration trouvée dans ses urines par le laboratoire allemand de Cologne a été estimée "à 50 picogrammes (ou 0,000 000 000 05 grammes par ml), soit 400 fois moins que la concentration que les laboratoires antidopage accrédités par l'AMA doivent pouvoir détecter", selon les précisions de l'UCI.

    Le Figaro
  • Vu que quasi 95% des coureurs sont chargés comme des mules, ils ne voudraient pas accepter le dopage? Parce-que tous les ans ils reviennent 6 mois après pour dénoncer des coureurs qui ont réalisé des perfs' et leur enlève leur classement et ainsi de suite... C'est lassant, le cyclisme est vraiment dans un cercle continu, plus lassant qu'intéressant, putain mais laissez-les prendre leurs produits, de toute façon ils le feront quand même!
  • samh a écrit, le 2010-09-30 06:22:57 :
    Dans le cas de Contador, la concentration trouvée dans ses urines par le laboratoire allemand de Cologne a été estimée "à 50 picogrammes (ou 0,000 000 000 05 grammes par ml), soit 400 fois moins que la concentration que les laboratoires antidopage accrédités par l'AMA doivent pouvoir détecter", selon les précisions de l'UCI.

    Rien que pour ça, c'est du blabla.
    Vu la dose, il ne pourront pas prouver si c'est lié à un produit dopant où lié à une contamination alimentaire.

    Tempête dans un verre d'eau ...
  • Cyclisme
    05/10/2010 - 17:40 - Mis à jour le 05/10/2010 - 18:00
    Kohl: "C'est impossible"

    Kohl: "C'est impossible" - CYCLISME
    Eurosport


    Pour Bernhard Kohl, il n'est pas imaginable qu'un coureur puisse aujourd'hui remporter le Tour de France sans avoir recours au dopage. L'Autrichien, contrôlé positif à l'EPO Cera en juillet 2008 sur la Grande Boucle, dresse un constat pour le moins alarmant.

    Présent à Leesburg, en Virginie, Bernhard Kohl était ces derniers jours l'invité de l'Agence américaine antidopage, qui organisait son congrès annuel. Invité à commenter l'actualité, l'Autrichien a refusé de spéculer sur la possible culpabilité d'Alberto Contador, soupçonné de s'être dopé lors du dernier Tour de France suite à deux contrôles suspects. Mais, sans être affirmatif, Kohl a confié que, de son point de vue, il était difficile d'imaginer que Contador ne soit pas dopé.

    Pour l'éphémère maillot à pois du Tour 2008, suspendu deux ans pour dopage suite à un contrôle positif à l'EPO troisième génération lors du Tour de France 2008, il est tout simplement impossible aujourd'hui de ramener le maillot jaune à Paris sans tricher. Comme Contador a remporté trois des quatre dernières éditions... "C'est absolument impossible de gagner le Tour sans dopage", assure Kohl. Il suffit de voir la vitesse moyenne de la course pour le comprendre. Tous les ans, on est au-dessus de 40 km/h. C'était le cas quand Landis a gagné en 2006, c'était encore le cas cette année, quatre ans après cette affaire. Selon moi, cela montre que les coureurs continuent de se doper."

    "Je ne pourrais jamais revenir"

    Bernhard Kohl balaie par ailleurs l'argument récurrent utilisé par les coureurs pour affirmer leur "propreté", sur la fiabilité des contrôles. "Ils vous disent qu'ils ont été contrôlés des dizaines et des dizaines de fois et qu'ils n'ont pas été testé positif. Mais ça ne prouve absolument rien, estime l'ancien coureur de la Gerolsteiner. Moi, j'ai été contrôlé environ 200 fois dans ma carrière. Sur ces 200 contrôles, j'en ai effectué 100 en étant dopé. J'ai été pris une fois, mais les 99 autres, je suis passé au travers. Les coureurs se dopent parce qu'ils ont l'impression qu'ils ne seront pas pris et, dans la très grande majorité des cas, ils ont raison de le croire. Je ne suis même pas sûr qu'un nouveau test de dopage sanguin suffirait à leur faire peur. Le problème est aussi profond que ça."

    S'il est venu à Leesburg, c'est aussi pour essayer de faire avancer les choses. A sa façon, en parlant, en expliquant. Kohl a ainsi décrit en détail son programme de dopage lorsqu'il était encore coureur, la fréquence à laquelle il prenait des hormones de croissance et l'EPO, comment et surtout quand il se dopait afin d'avoir le maximum de chances d'échapper à un contrôle positif. "Son témoignage nous apporte beaucoup, explique Richard Budgett, responsable médical du comité d'organisation des Jeux Olympiques de Londres en2012. Cela nous permet d'avoir des détails que nous n'avions pas et de comprendre quel degré de sophistication nous devons atteindre pour protéger les athlètes qui ne veulent pas tricher et confondre ceux qui se dopent."

    Aujourd'hui, Bernhard Kohl a purgé sa suspension. A seulement 28 ans, il pourrait choisir de reprendre sa carrière. D'autres ont repris bien plus tard, comme Ivan Basso ou Alexandre Vinokourov, après des suspensions d'une durée proche ou égale. Mais l'Autrichien a décidé de tourner définitivement la page, pour ne pas replonger. "Je ne pourrai jamais revenir, dit-il. J'ai compris qu'il n'était pas possible d'être compétitif en étant honnête et en disant la vérité. Et je ne veux plus me cacher," a-t-il conclu. Un discours qui fait presque froid dans le dos par son pessimism
  • Quelle lucidité et surtout quelle honnêteté. (+)
    =D
  • J'ai hâte d'entendre les indignations hypocrites suite à cette "révélation"! (+)
  • On peut gagner le tour de France sans être dopé .
    Pour les moyennes , tout évolue, le matériel, la condition physique des mecs, les routes , etc...
    Faut pas généraliser car je pense qu'il y a des coureurs honnêtes .
  • Kohl ne dit pas le contraire. Il y a vraisemblablement des coureurs honnêtes, comme il y en a toujours eu. Etant d'un naturel un peu naïf, je pense même qu'il est possible qu'il y en ait plus que dans les années 90.

    Par contre, de là à ce qu'ils puissent gagner le Tour devant les mobylettes...
  • Bin si personne ne se dope, un non dopé peut gagner .
    Kohl justifie son dopage par "je l'ai fait car tout le monde le fait" .
    Peut être , mais tant qu'il n'y a pas de preuves .
  • C'est normal que tes trois lignes n'aient aucun lien entre elles ? (ni avec les derniers messages)
  • Il est évident qu'il y a toujours du dopage, mais il est moindre que dans les années 90. Déjà, on ne voit plus de coureurs obligés de devoir freiner dans les montées, ce qui était le cas auparavant. De même, on ne voit plus ces démarrages foudroyants, ou ces montées de mecs super puissant qui grimpaient mieux que les sveltes grimpeurs.

    Autrement dit, le dopage a reculé, c'est net. Cela ne signifie pas qu'il ai disparu.

    On remarquera aussi que les français ont été les premiers à faire le ménage, et cela s'est vu dans les résultats. Les italiens l'ont fait aussi dernièrement, et bizarrement, eux aussi ont d'un coup régressé. Les Espagnols se font piquer les uns après les autres. Ne reste plus que les américains qui ne se font pas prendre, voire les luxembourgeois.

    Mais bizarrement, du coup, les français regagnent des courses depuis que d'autres pays ont fait le ménage ...
  • Les Américains ne se font pas prendre? Armstrong certainement, mais sur les dernières années, il y a eu notamment Landis et Hamilton pour ne citer qu'eux qui ont été contrôlés positifs.
    Après Contador, j'attends maintenant de voir quand ce sera le tour d'Andy Schleck de se faire prendre. Car là où je suis d'accord avec Kohl, c'est que pour l'instant, tant qu'il restera du dopage au sein du peloton, ganger le Tour ou faire un podium en étant clean me semble impossible.
  • Clair, gagner le tour pour un non dopé relève de la gageure. Les Tours de France avec des coureurs de la trempe de Luis Ocana, Raymond Poulidor, Joop Zoetemelk et Bernard Hinault entre autres, cela c'était du sport :x Sur les dernières années, lorsque je voyais Lance Armstrong démarrer, cela me donnait juste envie de :-& , tellement c'était flagrant que ce mec était shooté a tous les produits étant ingurgitables ou possible de s'administrer par toutes les voies possibles...
  • Et tu penses qu'ils n'étaient pas dopés les mecs des époques dont tu parles?
    Pas avec des produits aussi modernes que maintenant mais dopés quand même.
    Comme par exemple Tom simpson qui trouva la mort sur les pentes du Mont Ventoux et qui avait pris des amphétamines ou quelque chose dans le genre. Et ça, ça date de 1967 :-B
  • superdou a écrit, le 2010-10-06 19:34:52 :
    Il est évident qu'il y a toujours du dopage, mais il est moindre que dans les années 90. Déjà, on ne voit plus de coureurs obligés de devoir freiner dans les montées, ce qui était le cas auparavant. De même, on ne voit plus ces démarrages foudroyants, ou ces montées de mecs super puissant qui grimpaient mieux que les sveltes grimpeurs.
    ...



    Y avait pas des histoires de dopage "mécanique" (un moteur) :D ?

    Autrement, est-ce que les moyennes ont changé - je sais que ça dépend aussi du parcours, mais est-ce qu'on voit une tendance ? Parce que bon, la disparition des démarrages foudroyants, c'est un peu du ressenti au pouce mouillé.
  • Mouais, sans doute qu'ils l' étaient, mais à des proportions "raisonnables" et beaucoup moins flagrantes qu'actuellement, ce qui laissait encore un peu de suspense quant au déroulement d'une étape de montagne, par exemple. Les dernières années, lorsque je voyais pour ne citer que Lance Armstrong entrain de crever dans les premières ascensions de certains cols, puis finir par l'emporter de tout un boulevard, cela me faisais honte et pitié pour ce noble sport.
  • Qu'ils étaient moins dopés que dans les années 1990-2000, c'est certain.
    Qu'ils l'étaient moins que ceux d'aujourd'hui, je ne parierais pas.
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