Incidents dans les stades
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spidermanLorsque les Marseillais montent à Paris, et que leurs bus sont contrôlés et fouillés aux péages des entrées de Paris, de belles découvertes sont faites systématiquement. On y trouve à chaque fois des couteaux de cuisine, des manches de pioche, hache ou autre outil utile pour un matche de foot. certains vont jusqu'à confectionner des manches en bois avec des clous......
Lorsque d'autres groupes de Marseillais prennent le métro, les rames sont souvent fortement dégradées!
Les Parisiens font certainement de même à Marseille, j'en sais rien je n'y travaille pas.....
Mais tout ça pour dire, que ces évènements se produisent à chaque "classico" sans qu'on ne les médiatise à ce point, surtout que cette rivalité a été orchestrée de toute pièce par Canal Plus il y a de ça 15 ans.
Cette fois ci, les images chocs servent simplement à mettre en avant la décision foireuse de Thiriez, preuve une fois de plus de l'utilisation des médias à des fins subjectives. -
Citation: OM-PSG : les quartiers nord de Marseille ravagent la ville
26/10/2009 14h30
MARSEILLE (NOVOpress) L'annulation du match Marseille-Paris-Saint-Germain, prévu le 25 octobre pour la 10ème journée de la Ligue, a provoqué de graves violences dans le centre-ville de Marseille, faisant une dizaine de blessés dans la soirée. Des bouteilles et des fusées traçantes ont été lancées à destination des supporteurs parisiens, également pris pour cible par les habitants des immeubles en dessous desquels ils s'étaient réfugiés. Un supporteur du PSG a été également fauché par une voiture.
Maire des Ier et VIIème arrondissements de Marseille, Patrick Menucci a une lecture des évènements peu en phase avec la réalité. « Quand il y a dans la ville 2 000 supporteurs dont on connaît les habitudes, dont 500 ultraviolents, avinés et, pour certains, fascistes, on réfléchit un peu », s'est emporté l'élu. Pourtant, les hordes de voyous descendus des quartiers nord de la cité phocéenne pour en découdre avec les supporteurs du PSG n'avaient pas franchement un look « fasciste » mais plutôt multiethnique, comme on peut le constater sur les nombreuses photos prises lors des échauffourées (à gauche de la photo, l'un des voyous se promène avec... une arbalète).
Une habitude locale.
En marge du match Angleterre-Tunisie du Mondial 1998, de nombreuses bandes d'origine maghrébine avaient entamé une chasse aux Anglais dans les rues marseillaises. Depuis, ce mal s'est étendu à tout le territoire puisque des matchs internationaux à Saint-Denis, opposant la France à l'Algérie le 6 octobre 2001, au Maroc le 17 novembre 2007 et à la Tunisie le 14 octobre 2008, ont également dégénéré suite aux provocations et violences perpétrées par des individus issus de la communauté nord-africaine.
Novopress.info, 2009, Dépêches libres de copie et diffusion sous réserve de mention de la source d'origine
http://fr.novopress.info -
Sans vouloir remettre en cause les faits, Novopress n'a pas été discréditée par le part pris et le ton disons 'suspect' de certains de ses articles ?
Parce que celui là, franchement, est peut être trop à charges pour me paraître inoffensif.
Sinon, pour pas trop taper dans le HS, c'était pas mal prévisible ses batailles dispersées, imaginer la même chose si ç'eut été Lyon et Sainté ne me paraît pas improbable. -
OM-PSG en questions
26 octobre 2009
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Les médias ont-ils pris conscience de la gravité de ces incidents ?
Pas tous. Certes, ces événements ont fait la une des journaux. Mais les analyses se sont d'abord focalisées sur le report du match, perçu comme la cause directe des violences. Celles-ci n'ont pour l'instant pas reçu une couverture médiatique plus importante que les jets de fumigènes à Grenoble en septembre ou la fameuse banderole ant-Ch'tis alors que les incidents de Marseille sont autrement plus graves et auraient pu avoir des conséquences dramatiques.
La LFP est-elle responsable ?
La LFP s'est trompée de priorité. Le timing de la décision, qui n'aurait pas posé problème pour un match classique, s'est avéré désastreux avant la rencontre la plus à risques du championnat français. Le principe de précaution aurait dû s'appliquer à la gestion des milliers de supporters et non à celle des 22 joueurs et des quelques membres de l'encadrement. Il aurait fallu annuler le match dès le samedi avant que les supporters parisiens ne commencent à partir de la capitale.
Nicolas Hourcade est sociologue.
null
Une justice pour les parisiens et une justice pour les autres ..... -
Citation: M-PSG : Report ou pas, il y aurait eu des incidents - 26/10/2009
Source : L'express
Par Philippe Broussard
Les incidents de Marseille se sont pas seulement dûs au report du match. Selon nos informations, certains supporters parisiens avaient en effet décidé, depuis plusieurs semaines, de se rendre sur place pour se livrer à une sorte de "démonstration de force".
Les "indépendants" de la tribune Boulogne du Parc des Princes la frange la plus radicale des fans parisiens voulaient depuis longtemps marquer les esprits lors de ce déplacement considéré comme le moment phare du début de saison.
De fait, 100 à 150 d'entre eux, arrivés dans la région par leurs propres moyens et par petits groupes dès le samedi, avaient prévu d'en découdre dimanche avec leurs homologues marseillais, que ce soit en ville ou à l'extérieur. Des incidents étaient également redoutés dans le stade avec d'autres fans parisiens, membres d'associations (Lutèce Falco, Supras...) reconnues par le club.
Dans la journée de dimanche, les Indépendants qui avaient séjourné la veille dans les environs de Marseille (notamment à Aix-en-Provence) ont réussi à se regrouper dans le quartier du Vieux Port, où leur présence a entraîné une série d'échauffourées.
Dans le même temps, un train arrivait à la gare Saint-Charles en provenance de Paris avec environ 350 personnes, en majorité des habitués du virage Auteuil, beaucoup moins dangereux que les "Indépendants" de Boulogne. Cette arrivée massive et l'annonce du report du match allaient tout de même entraîner d'autres incidents, finalement plus graves que ceux du Vieux-Port, impliquant certains visiteurs parisiens et de nombreux jeunes des quartiers nord de Marseille.
Au total, en comptant les centaines d'ultras venus par cars et repartis sans incidents majeurs, 2000 Parisiens étaient attendus pour ce match. Ce contingent, bien plus important que ceux des années précédentes (environ 800), avait étonné les spécialistes du milieu des supporters.
Bref, tout indiquait que cette rencontre se jouerait dans un contexte plus tendu encore que d'ordinaire. Il reste maintenant à savoir si toutes les dispositions avaient été prises, côté policier, pour prévenir la venue des Indépendants, et du train des supporters du virage Auteuil.
Tiens je mets Broussard puisque la parole est donnée à des spécialistes de la question. -
La vidéo du parisien renversé par une voiture:
http://www.laprovence.com/Video-Detail.php?sig=iLyROoafI3Zh&t=Incidents+OM-PSG+%3A+un+supporter+parisien+fauch%E9+par+une+voiture&user=laprovence&cat=om
Video des violences:
http://www.dailymotion.com/video/xaxihi_incidents-om-psg-jt-france-2_sport -
guigues a écrit, le 2009-10-27 09:15:52 : Bah c'est une tradition à Marseille :
Citation: 12.10.2009, 07h37
La victoire de l'Algérie en match de qualification pour le Mondial 2010 (3-1, face au Rwanda, à Blida) a déclenché des scènes de liesse dans diverses villes de France mais aussi quelques incidents. A Marseille,sept personnes ont été interpellées et six policiers blessés dans la nuit de dimanche à lundi, après que plusieurs milliers de supporteurs sont descendus dans la rue.
Ces derniers ont envahi le quartier du Vieux-Port à partir de 22 heures, à pied, en voiture ou en scooter, arborant des drapeaux algériens et manifestant leur joie à coup de klaxons. Mais elon la police, des vitrines de magasins et des abribus ont été saccagés dans le centre-ville. Les incidents se sont terminés vers 00H30. Un service d'ordre exceptionnel avait été mis en place, avec plus de 150 hommes mobilisés, dont une compagnie de CRS.
Sinon il y a un gars qui est jugé pour le "nettoyage" de 100 000 personnes, malheureusement aucun rapport avec le foot.
En lisant les messages, je croyais que Marseille est un autre pays...
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Hourcade dit en gros ce que j'aurais voulu répondre à moulougoal hier sur le sujet. Analyse pertinente de sa part :p
Citation: Nicolas Hourcade : "Personne ne s'interroge de manière approfondie sur les violences des supporters"
LEMONDE.FR | 27.10.09 | 16h28 Mis à jour le 27.10.09 | 17h08
Deux jours après le report d'OM-PSG et les affrontements entre Parisiens et Marseillais qui ont touché plusieurs quartiers de la cité phocéenne, Nicolas Hourcade, sociologue à l'Ecole centrale de Lyon et spécialiste des "ultras", revient sur le traitement médiatique et politique de l'affaire.
Une nouvelle fois le foot est stigmatisé à cause de débordements de supporters...
Depuis le Heysel en 1985, le hooliganisme est considéré comme un phénomène abject. Ce drame et la régularité des incidents autour du football depuis interpellent. La question qui revient est toujours la même : comment peut-on se battre pour un simple match de foot ? Pour le grand public et également les politiques, ces supporters violents sont la débilité à l'état pur, le symbole d'une violence incompréhensible et sans cause. A partir de ce postulat de départ, il devient difficile d'interpréter ce phénomène.
Le football, dans l'esprit de la majorité des gens, c'est l'opium du peuple, le foot-business et le règne des supporters fachos. A l'inverse des émeutes urbaines qui suscitent des réflexions, personne ne s'interroge de manière approfondie sur les violences des supporters.
Il ne s'agit pas du tout d'excuser ces violences mais simplement d'essayer de comprendre ce qu'elles sont pour tenter de mieux traiter les problèmes. Je suis peut-être optimiste mais je pense que l'on pourrait y apporter une réponse plus efficace si on s'efforçait de les analyser. Contrairement à ce qui est souvent affirmé, il y a bien un enjeu intellectuel à comprendre ces violences.
Y a-t-il eu selon vous un emballement médiatique après le report du match OM-PSG et les violences qui s'en sont suivies ?
J'isole trois niveaux de réactions. La première réaction consiste à lier directement le report du match et les violences. On est dans la dénonciation basique et concrète des événements. Or, ce n'est pas parce que le match a été reporté qu'il y a eu des violences mais bien parce que des antagonismes préexistent.
Ensuite, vient le stade de la recherche de responsabilités. On entre alors dans un débat surréaliste comme s'il n'était pas possible d'avoir plusieurs responsabilités. La Ligue de football professionnel (LFP) est pointée comme l'unique responsable. Même si elle doit endosser une partie de la responsabilité, puisque le report du match au dernier moment a incontestablement aggravé la situation en ville, certains événements auraient eu lieu dimanche, que le match ait été maintenu ou qu'il ait été annulé la veille... Des hooligans du PSG avaient en effet prévu de faire un coup d'éclat à Marseille. Les policiers les ont relativement bien encadrés sur le Vieux Port. Ce sont les ultras d'Auteuil qui se sont retrouvés gare Saint-Charles en plein centre qui ont posé les plus gros problèmes. Ceux-là ne seraient pas venus en ville si le match avait été annulé la veille.
Le troisième temps de réaction apparaît avec la tentative d'interprétation du phénomène par les journalistes. Qui sont ces supporters violents ? Et là, les amalgames ne manquent pas dans les analyses.
Quels amalgames identifiez-vous ?
Il y a une confusion entre des formes de violences très différentes et également entre des supporters très différents, par exemple entre les hooligans et les ultras : les hooligans forment des bandes informelles centrées sur la violence, alors que les ultras se constituent en associations s'investissant dans le soutien au club et acceptant occasionnellement le recours à la violence.
Je prends l'exemple du JT de 20h sur France 2 lundi soir. Les journalistes sont partis des événements de Marseille. Dans un premier temps, ils ont interrogé un supporter parisien présent sur place dimanche. Et ensuite, la chaîne montre un reportage sur des "fights", ces affrontements entre des groupes de supporters rivaux organisés un peu partout en Europe.
Dimanche, ce sont plus à des émeutes urbaines qu'à des combats entre hooligans partageant les mêmes codes et les mêmes valeurs auxquelles nous avons assisté. C'est parti dans tous les sens, avec beaucoup de jets de projectiles, y compris des fenêtres des immeubles. Une partie de la population marseillaise a voulu défendre sa ville face aux Parisiens.
Globalement, j'ai l'impression que la couverture médiatique est la même que l'on parle de l'affaire de la banderole lors de Lens-PSG en 2008, des fumigènes en septembre 2009 ou de ces scènes d'émeutes. Pour moi, les événements de Marseille sont beaucoup plus graves et auraient pu se terminer dramatiquement. Cette hiérarchisation dans la gravité des incidents ne me paraît pas toujours effectuée.
Comment percevez-vous les réactions politiques ?
Le personnel politique marseillais focalise ses critiques sur les instances sportives. La décision tardive de la LFP a eu des conséquences directes sur la gestion de la sécurité publique dans leur quartier. Le principe de précaution aurait dû s'appliquer à la sécurité des milliers de supporters et aux habitants plutôt qu'aux 22 joueurs menacés par la grippe A. La Ligue s'est trompée de priorité.
Au niveau national et en particulier gouvernemental, il faut replacer les événements dans le contexte. En septembre, Brice Hortefeux a déjà annoncé des mesures pour lutter contre la violence dans les stades. Le gouvernement se retrouve pris entre deux logiques : comment gère-t-on la pandémie de grippe A et comment gère-t-on le problème des supporters ? Et il est peut-être plus délicat pour lui de communiquer sur un sujet qui concerne la sécurité publique et où sa gestion pourrait être mise en cause. Alors les membres du gouvernement concernés font globalement profil bas même si Rama Yade a tenté de défendre Frédéric Thiriez. -
De très violents incidents en marge de Metz-RCS...
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"FC Metz ce club de juif" si j'ai bien entendu sur cette video (qu'il aurait mieux fallu ne pas publier) ?
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La débilité de pseudos supporters mêmes... (-)
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Les "Meinau Army" célèbrent remplaçant des Meinau Boys, pas besoin de chercher plus loin.
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Arrêtons de parler de "faux-supporter", comme si le supporter était gentil, et un méchant ne pouvait être que "pseudo-supporter".
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Y'a des vrais connards qui sont de vrais supporter et des gens très bien qui sont des pseudos supporter. -
Perso, je trouve ça minable de faire ça dans un magasin....
Les gens sont vraiment trop cons, si tu veux chanter à la gloire du racing fait le dans le stade...parce que là, mis à par chercher la baston, je ne vois pas.... Et la je vous l'accorde, le symbole du racing la cygone: petite tête et grand bec....et là ça vole pas haut!!
J'espère vraiment que nos supporters pourront se tenir la prochaine fois...quitte à créer un tollé, j'assume! -
Vidéo minable, le mec est encore fier de filmer ça. Le pire c'est qu'ils ont l'air de s'amuser wahoo
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Putain, mais qui sont ces connards ?
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zack a écrit, le 2009-11-01 23:31:29 : Perso, je trouve ça minable de faire ça dans un magasin....
Autant le faire devant la synagogue, hein !
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Ils vendent de la kro dans les synagogues? O:)
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Il y a quelques photos "sympas" sur l'équipe.fr !
Le gars vient de lancer un couteau...
La preuve que le truc n'était pas prévu, le mec sort d'un match de foot... :)
Le supporter parisien fauché par une bagnole... son pied est orienté bizarrement non?
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C'était également chaud à Rostock hier soir pour la réception de St Pauli...
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L'Equipe Mag' de samedi dernier a fait un reportage sur le Parisien fauché par la bagnole... Ça fait froid dans le dos : le mec a été fauché, apparemment délibérément par une voiture (la vidéo est dispo dans le topic) puis il a été lynché au sol par des Marseillais. Aucun flics dans les parages, ce sont des Parisiens et des Marseillais qui sont intervenus pour éviter le drame (et une affaire Taton-bis ?).
Sinon, un virage du stadium de Toulouse va être renommé "Brice Taton". -
Citation: Angleterre : Des hooligans recherchés par la Police étaient en fait des acteurs...
* lun. 2 nov. 2009 10:05
Scotland Yard vient de reconnaître que des présumés hooligans recherchés par la Police Britannique étaient en fait des acteurs d'un film The Firm 84, sorti sur les écrans Londoniens en Septembre dernier...
La Police a présenté ses excuses après que certains acteurs de ce film aient été identifiés de manière erronée sur la base de photos comme des hooligans ayant participé aux violents affrontements survenus le 25 août 2009, lors de West Ham Millwall
La Police avait publié 66 photos de personnes recherchées pour avoir pris part aux affrontements d'Upton Park entre hooligans de West Ham et ceux de Millwall, mais certaines d'entre elles concernaient en fait six acteurs d'un film récent, The Firm 84, dont le thème est en rapport avec le hooliganisme des années 80 et qui ont été incluses par erreur dans les avis de recherche de la Police Londonienne...
En fait, l'ensemble de ces portraits provenaient d'un reportage TV saisi par la Police et dont avaient été tirées les photos concernée, mais des images d'un film récent avaient été rajoutées pour « illustrer » le reportage, ce dont les policiers ne se sont pas aperçus dans un premier temps, le film saisi ne comportant ni commentaire, ni bande son...
Lors de ces affrontements un supporter de Millwall avait été poignardé et la police avait arrêté plus de 40 personnes...
The Firm 84, sorti sur les écrans le 19 Septembre dernier est un film de Nick Love (Outlaw, The Business, The Football Factory) qui est un remake tiré de The Firm, un téléfilm réalisé par Alan Clarke en 1988 et dont la nouvelle version se situe cinq ans avant le scénario original. Ce dernier s'était inspiré de l'histoire de l'Inter City Firm, le fameux groupe d'hooligans de West Ham United qui pendant les années 1970-80 fût à l'origine de nombreux affrontements dans toute l'Angleterre....
http://om1899.football.fr, source pas officielle mais ça vaut la tranche de rire :)) -
Une vingtaine de supporters Lillois auraient été agressés lorsqu'ils se rendaient au stade par des supporters gênois armés de bâtons...
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Une tribune du stade du Sporting Club de Bastia à Furiani a été détruite dans la nuit de vendredi à samedi par un incendie. La tribune sud, dont les travaux de reconstruction doivent démarrer en décembre, est inutilisable après cet incendie qui s'est produit vers 02H00. La cause du sinistre est indéterminée, selon les enquêteurs.
Un match est annulé.
Les sièges en plastique ont fondu sous l'effet de la chaleur et la structure de cette tribune en béton, métal et bois a été déformée. Une partie de la pelouse située au pied de la tribune a été endommagée par les flammes. En raison de sa vétusté, elle n'était plus utilisée en attendant le début des travaux de reconstruction du stade prévus pour le 5 décembre.
Un match opposant deux équipes amateurs, prévu samedi, a été annulé. Dernier du classement de Ligue 2, le SCB a essuyé une nouvelle défaite (2-0) vendredi à Angers. En raison de ses mauvais résultats, le club traverse actuellement une tourmente dont les derniers épisodes ont été la démission, il y a quinze jours, de son président Pierre-Paul Antonetti, et des rencontres entre la direction et deux clubs de supporteurs mécontents. (avec AFP)
Source: France Football.
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