Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Les actionnaires du Racing

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Flux RSS 7545 messages · 588.524 lectures · Premier message par superdou · Dernier message par clutch

  • bibi57 a écrit, le 2009-12-26 20:26:11 :
    Le fait que plusieurs projets locaux ( deux à ma connaissance, Kientz et Sitterlé ) aient existé ne peut en aucun cas préjuger de leur capacité à s'entendre.

    Les deux anciens présidents auraient eu beaucoup de mal à rester près du pouvoir, dans la mesure où il font partie du groupe d'actionnaires ultra-minoritaires qui détient 2% de la SASP.

    D'ailleurs, en quatre ans de présidence Ginestet on ne les a jamais entendus si ce n'est ces derniers temps.


    Kientz, ce sont "des amis suisses et allemands". A ce compte là, Isenegger est un local aussi. Sitterlé, c'est tout récent (trop tard pour racheter fin novembre). Herzog, pareil.
  • a cote de fontenla mackormak et proisy c'etaient des petits joueurs :)
  • Si personne comble le félicite le racing se trouvera en CFA et tout le monde partira ( joueurs , staff...)
  • Pour moi le navire coule et tout le monde s en fou. Que font les petits actionnaires? Pourquoi se doit êtres une personne extérieurs ( Roland Ries) qui sonne l alarme. Personne a de couille au racing pour le faire.
  • Je te cite quelqu'un qui semble avoir la réponse :

    sirius67 a écrit, le 2009-12-28 20:20:36 :
    Cette fois ci avec Fontenla on peut rien faire c est lui qui a le destin du racing en mains
  • sirius67 a écrit, le 2009-12-28 20:15:22 :
    Pour moi le navire coule et tout le monde s en fou. Que font les petits actionnaires? Pourquoi se doit êtres une personne extérieurs ( Roland Ries) qui sonne l alarme. Personne a de couille au racing pour le faire.


    La Mairie essaye de sauver ce qui peut l'être, se retrouver avec un stade sur le dos sans pouvoir rentrer les loyers est considérable...
  • Les locaux s'affairent

    Henri Ancel a entamé les consultations individuelles pour élaborer un plan de reprise du Racing avec des investisseurs régionaux.
    Missionné par les élus pour tenter d'offrir une alternative au bazar actuel, Henri Ancel avait réuni des hommes de bonne volonté la semaine dernière. Il a commencé à prendre contact avec les uns et les autres pour connaître leurs capacités et volontés d'investir.
    « Je n'ai pas été contacté par Ralph Isenegger et Alain Fontenla, souligne l'entrepreneur spécialisé dans la levée de fonds. Mais ils savent que le projet existe et comment me joindre. » Le porte-parole de la solution régionale se heurte à quelques écueils et procède à de nombreux calculs pour élaborer un projet cohérent.
    « La question de la volonté de vendre de Monsieur Fontenla se pose, poursuit Henri Ancel. La deuxième a trait au montant de ce qu'il attend. Des chiffres circulent ». Le prix du Racing ne s'élèverait jamais à plus d'1,6 millions. Dans son esprit et celui des investisseurs qu'il désire fédérer, il vaut sans doute beaucoup moins.
    Un projet prend forme. « Certains sont prêts à se lancer rapidement, explique le proche de Roland Ries et Jacques Bigot. On peut envisager un noyau dur de trois à cinq actionnaires et d'autres leur emboiteraient le pas ensuite. »
    Le degré de motivation pourrait très bien être mesuré très rapidement. Le passage du Racing devant la DNCG, programmé le 6 janvier, constituera un révélateur. Et la situation financière du club est limpide. « Il faut cinq millions d'euros pour boucler la saison », conclut Henri Ancel.

    DNA
  • Quand on voit qu'ils sont à 8-9 pour rassembler les 5 M€ entre le rachat, les garanties pour la fin de saison... ça semble quand même compliqué.
    De l'aveu d'un proche qui est concerné par le dossier, ce n'est pas encore fait... Sous-entendu, c'est loin d'être fait.

    Je pense que ce serait une mouture très bancale en terme de gestion, avec très peu de moyens financiers...

    Pour moi, j'espère que ce sera une gouvernance plus réduite (1 ou 2 associés) avec une organisation claire. Plus un dossier à la Ciup ou l'entrée au capital d'un associé avec Fontenla, dont la connaissance du milieu permettrait d'assurer la présidence, comme Dayan.

    Mais ce Saint-Graal tant espéré d'investisseurs alsaciens, pour moi ce serait pas forcément la plus viable en matière d'organisation et de moyens. Puis je trouve ça un peu nauséabond, cette idée que le Racing ne peut être bien dirigé et compris que par des alsaciens...
  • Ca n'apportera strictement rien au debat, mais j'approuve la vision de father-tom sur le sujet (+) Pas certain que l'initiative (louable certes) du conglomerat alsacien puisse apporter la stabilite tant recherchee, sauf si Ancel arrive a convaincre certains des investisseurs de n'injecter que de l'argent et laisser leur velleites de pouvoir de cote pendant quelques temps pour ne pas nuire au fonctionnement quotidien du bateau ivre... Trop d'acteurs sur scene tuerait la scene...
  • C'est sûr qu'avec Fontenla, Isenegger, Dayan, Rousseau ont est bien mieux lotis.

    On assisetra, non pas à des vélléités de pouvoir, mais à quatre pouvoirs concomitants dont le seul but est de faire du profit le plus rapidement possible sur le dos du club.

    Il n'y a pas à douter, ces quatre-là s'entendront comme larrons en foire.
  • Ah... tu penses que les actionnaires alsaciens ont pour but de perdre de l'argent avec le club, de s'impliquer en mécènes par pure charité ?

    Ce sont souvent les premiers à réclamer leur dû quand il y a un peu d'argent à récupérer, notamment à l'époque du rachat de Ginestet, suite à des saisons où l'on avait vendu nos meilleurs joueurs après une coupe de la ligue, une participation UEFA, etc... sans qu'ils ne s'offusquent de cet état de fait.

    Bref, on n'a pas attendu Fontenla pour miser sur la revente des meilleurs joueurs afin de se faire du beurre, le Racing a dû toujours composer avec cette nécessité, et la revente d'un joueur à valeur n'est possible que si le joueur prouve des qualités sur le terrain. C'est donc conditionné par la réussite sportive le fait de se faire du blé dans un club de foot.

    A n'en pas douter les motivations des actionnaires minoritaires comme celle de n'importe quel investisseur, ne sont pas si éloignées que ça de celles de Fontenla... Et elles sont liées à un même objectif de réussite sportive au final.
  • Personnellement je ne crois pas a des investisseurs Alsacien !! Si investisseurs Alsacien il y a
    pourquoi avoir attendu ??? et cela déjà avant que Ginestet ne prend le pouvoir
  • Ben non justement Fontenla peut vendre tout les joueurs potable (il y en a), prendre le frics et se casser a Londres et refaire des coups fumants ailleurs, alors que des Alsaciens ne pourrait pas le faire sinon plus d'affaires en Alsace, et bonjours la réputation dans leurs régions.
    En étant un homme d'affaire, j'en aurais rien a foutre d'être grillé en Gironde, en Lettonie ou autre, mais pas en Alsace.
    Bref nous verront et nous pleureront (sûrement)
  • father-tom a écrit, le 2009-12-29 11:08:24 :
    Ah... tu penses que les actionnaires alsaciens ont pour but de perdre de l'argent avec le club, de s'impliquer en mécènes par pure charité ?

    Ce sont souvent les premiers à réclamer leur dû quand il y a un peu d'argent à récupérer, notamment à l'époque du rachat de Ginestet, suite à des saisons où l'on avait vendu nos meilleurs joueurs après une coupe de la ligue, une participation UEFA, etc... sans qu'ils ne s'offusquent de cet état de fait.

    Bref, on n'a pas attendu Fontenla pour miser sur la revente des meilleurs joueurs afin de se faire du beurre, le Racing a dû toujours composer avec cette nécessité, et la revente d'un joueur à valeur n'est possible que si le joueur prouve des qualités sur le terrain. C'est donc conditionné par la réussite sportive le fait de se faire du blé dans un club de foot.

    A n'en pas douter les motivations des actionnaires minoritaires comme celle de n'importe quel investisseur, ne sont pas si éloignées que ça de celles de Fontenla... Et elles sont liées à un même objectif de réussite sportive au final.


    Tu devrais réviser tes classiques.

    Sous l'ère Ginestet, aucun actionnaire minoritaire n'a exigé quoi que ce soit, alors que tous ont régulièrement, à proportion de leur participation, répondu favorablement aux demandes de renflouement exigées par Ginestet malgré la vente de joueurs.

    A l'époque du rachat de Ginestet, c'est ce dernier qui a proposé de rembourser aux autres actionnaires la valeur de ce qu'ils avaient investis en 2003, pour rafler la mise à Afflelou.
    A aucun moment, une telle démarche a été à leur initiative.

    A l'heure actuelle, Lohr et Pignatelli, pour ne citer qu'eux, perdent beaucoup d'argent ( 4,1 M; 2,6 pour Lohr, 1,5 pour Pigna ), dont ils ne reverront peut-être jamais la couleur.

    Pour l'instant, ces deux-là au moins, sans oublier Gindorf, ont largement démontré que leur préoccupation principale n'était à coup sûr pas de faire des bénéfices.

    En revanche, les gens que tu encences maintenant avec la même verve que celle manifestée à l'arrivée de Loban, Cornelie, Isenegger et Fontenla, ne sont pas des enfants de coeur, et n'ont qu'un but, celui de faire des profits, fût-ce au détriment de l'existence même du club.

    Dayan est un mercenaire, passé par de nombreux clubs sans résultats concluants.
    Rien que d'entendre qu'il compte Bietry dans ses relations suffit à me faire une opinion quant à ses connaissances en matière de football.

    Quand on apprend que Gueye est sur les tablettes d'un club espagnol, il est permis de penser qu'il fera bientôt ses valises, en attendant les prochains départs de Bah, Damour et peut-être JAF.

    La différence, que tu feins d'ignorer, est qu'avant Ginestet on ne vendait pas les jeunes joueurs prometteurs sous contrat qui représentaient l'avenir du club.
  • on peut deja etre content que des investisseurs s'interessent et veulent racheter le racing 19e de L2, et veulent investir dans le club
    apres une fois que le club est vendu a un estonien ou a quelqu'un qui n'a pas d'attache en alsace, ces petits actionnaires sont les premiers a critiquer, alors qu'ils savaient depuis juin que ginestet voulait vendre. pourquoi ils ne se sont pas reunis cet ete avec des investisseurs locaux pour tenter de racheter le club s'ils aiment tant le club ?
    il faut que le club soit vendu et que le maire appelle les actionnaires minoritaires et les investisseurs locaux a se reunir pour essayer de faire une proposition, c'est quand meme honteux, ils sont là pour foutre la mer** et mettre des batons dans les roues
  • Je te rappelle, on est 18ème ;) :))
  • DESOLE MAIS JE CRIE, J AI JAMAIS VU AUTANT DE BORDEL, SINCEREMENT CA PUE GRAVE...
  • father-tom a écrit, le 2009-12-29 11:08:24 :
    A n'en pas douter les motivations des actionnaires minoritaires comme celle de n'importe quel investisseur, ne sont pas si éloignées que ça de celles de Fontenla... Et elles sont liées à un même objectif de réussite sportive au final.


    On y vient. Dans l'immédiat, pour que le Racing vive, il faut des résultats.
    Après, que sur le terrain il y ai 2 moldaves et 3 lettons que Fontenla vendra 5 fois plus cher que ce qu'il ne les a acheté, pour le moment, je m'en fout royalement.
    Pour faire du fric, il faut que la boite tourne, là, on est très loin du compte.

    Le vrai problème, c'est que si pour acheter ces 2 moldaves et 3 lettons, Fontenla vend les dernières forces vives du club, ça risque de coincer.




    bibi57 a écrit, le 2009-12-29 11:44:36 :
    Quand on apprend que Gueye est sur les tablettes d'un club espagnol, il est permis de penser qu'il fera bientôt ses valises, en attendant les prochains départs de Bah, Damour et peut-être JAF.

    La différence, que tu feins d'ignorer, est qu'avant Ginestet on ne vendait pas les jeunes joueurs prometteurs sous contrat qui représentaient l'avenir du club.



    La différence, c'est surtout qu'avant Ginestet on ne vendait pas les jeunes, parce qu'il y' avait encore des joueurs confirmés et d'une valeur marchande plus intéressante.

    Maintenant, on a lu nulle part que Gueye et consorts étaient en partance, les rumeurs ne restent après tout que des rumeurs. Et comme je l'ai dit plus haut, Fontenla n'a aucun intérêt à vendre les seuls actifs qui restent au club, pas maintenant.
    A moins de d'espérer se rembourser et lâcher le club juste après.


    Quoi qu'il en soit, 6 janvier! C'est tout ce qui doit nous intéresser dans l'immédiat.
  • dolores a écrit, le 2009-12-29 14:10:52 :

    On y vient. Dans l'immédiat, pour que le Racing vive, il faut des résultats.
    Après, que sur le terrain il y ai 2 moldaves et 3 lettons que Fontenla vendra 5 fois plus cher que ce qu'il ne les a acheté, pour le moment, je m'en fout royalement.
    Pour faire du fric, il faut que la boite tourne, là, on est très loin du compte.


    Tout à fait d'accord. Certains ici en sont encore à choisir la couleur des tapisseries alors que la maison est sur le point de s'effondrer..... :-' :))
  • Vous êtes très nombreux à dire que pour faire du fric il faut que le club tourne bien mais je rappellerai que ça peut aussi ECHOUER, les derniers qui ont voulu faire du fric avec le Racing, ils l'ont revendu pour un euro symbolique.
    Alors les ambitions c'est une chose, aucun actionnaire ne vient dans un club pour qu'il coule, sportivement comme financièrement, en revanche, en fonction de ses priorités, ça marche plus ou moins, et j'ai une certaine tendance à penser que quand on vient juste pour l'argent, ça ne marche pas...
  • + 1 (+)
  • Mais est ce vraiment si impossible a imaginer que FONTENLA ne soit pas le réel investisseur du club ?
    Que derriére lui il y a une ou plusieurs autres personnes ?
    Que FONTENLA a fait la conférence de presse un peu contraint et forcé car il fallait mettre un visage sur un nom ?
    Pour ma part tout cela ne ne surprendrait pas et ce qui expliquerait le coté trés mal a l'aise du bonhomme lors de la conférence, de ses revirements succéssifs explicités par les informations et directives qu'il prendrait de ses donneurs d'ordres mais pas en temps réels ce qui pourrait expliquer les décallages et changements d'attitudes ...
    J'ai franchement l'impression qu'on a voulu personnaliser au plus vite voir même en catastrophe, le repreneur et que maintenant il est trop tard pour changer le personnage, ce qui ne change rien fondamentalement dans la rachat du club mais qui expliquerait quand même tout ces couacs de com' et qui se transforme en un silence radio beaucoup plus pratique pour le véritable actionnaire.
    Certe cela reste de la fiction mais devant la tournure des événements on peut aussi chercher des explications a tout cet imbroglio.
    Finalement cette hypothése en vaut bien d'autres.... [-(
  • Si un autre nom sort d'un chapeau je me tire une balle, les Dna peuvent faire trois page rien qu'en citant le nom de tout les intervenants depuis l'été.
  • 7 millions d'euros à trouver

    À l'époque où il communiquait encore, l'actionnaire majoritaire du Racing Alain Fontenla l'avait déjà affirmé : « le club a un déficit structurel net de 7 millions d'euros par an. » Un chiffre qu'a confirmé hier Luc Dayan, après avoir posé un premier regard sur la surface financière du RCS. « La situation au Racing me fait penser à celle de Nice à l'époque (en 2002, NDLR), affirme le nouvel homme fort de Fontenla. En rachetant les parts de Philippe Ginestet pour 1,5 million d'euros, Alain Fontenla a cru faire une bonne affaire. Moi, je n'en suis pas si sûr. »

    Luc Dayan n'y va pas par quatre chemins : la partie immergée de l'iceberg n'est pas rassurante. « Sur l'exercice en cours, du 1er juillet 2009 au 30 juin 2010, le RCS est en perte nette de 7 millions d'euros (12,5 millions de recettes contre 19,3 millions de dépenses, NDLR). On retrouve ce genre de budget dans tous les clubs en France, les pertes étant généralement compensées par la vente de joueurs. Au Racing, il est inscrit au budget que 4,5 millions d'euros doivent être comblés par ces fameuses ventes de joueurs, ce qui n'est pas gagné d'avance. Les 2,5 millions d'euros restant doivent venir d'un apport en compte courant de l'actionnaire majoritaire. »

    Une promesse que semble avoir faite Alain Fontenla à son nouveau salarié. L'échéance de la DNCG le 6 janvier prochain à Paris dira si c'est réellement le cas. En plein mercato hivernal, une décision négative de la part du gendarme financier de la Ligue de football professionnel serait en tous les cas désastreuse, et priverait sans doute le Racing de toute possibilité de recrutement. :|s

    L'Alsace
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