Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Les Compagnons du Devoir

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Flux RSS 39 messages · 15.308 lectures · Premier message par spawn671 · Dernier message par triangle

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  • C'est parce qu'il avait été fait allusion à l'ésotérisme, un sujet qui me passionne plutôt trois fois qu'une.

    Malheureusement, y a rien à gagner sinon un dialogue intéressant si d'autres personnes s'intéressent également à ce thème.

    Y a pas que le foot dans la vie (+)
  • iuliu68 a écrit, le 2010-03-28 18:50:31 :
    y a des trucs à gagner sur ce topic? :-/


    Oui bien sur: des bretzels.
  • Bof, c'est pas de l'ésotérime mais celà contribuera peut être à ton enrichissement intellectuel :

    Histoire du bretzel

    L'histoire du bretzel est bien davantage que celle d'une pâtisserie populaire; elle fait partie des mythes de la civilisation européenne. Servi tout d'abord en guise de pain pour le souper, le bretzel fut consommé au Moyen Age dans les monastères pendant la période du Carême. Il s'est ainsi largement répandu dans toute l'Europe. Plus tard, ses formes sucrées ou salées étaient préparées à l'occasion de certaines fêtes et commémorations, puis finiront par trouver leur place dans les pratiques alimentaires quotidiennes. C'est probablement la raison pour laquelle l'ancienne habitude de manger le bretzel au repas du soir a progressivement disparu de la conscience collective.

    Fiction et vérité - légendes autour de l'origine de la forme du bretzel

    Le fait qu'il existe nombre d'anecdotes sur l'origine du bretzel témoigne de sa très grande popularité et de l'engouement qu'il suscite. Aucun autre produit de boulangerie n'a jamais donné cours à tant de récits!
    La forme du bretzel évoque sans aucun doute des «bras croisés». D'où la légende perpétuée jusqu'à aujourd'hui, selon laquelle, en l'an 610, un moine serait l'instigateur de son dessin spécifique. Inspiré par les bras croisés de ses condisciples à l'heure de la prière, il aurait travaillé en forme de bras croisés des restes de pâte.
    L'histoire suivante est toutefois plus connue: en 1477, un boulanger de la cour aurait si mal cuit son pain qu'il fut jeté au cachot. Pour un tel crime, le verdict était l'exécution publique. Mais on accorda au boulanger la possibilité d'échapper à la sentence s'il inventait, sous 3 jours, un pain «au travers duquel le soleil brillerait trois fois». En fâcheuse posture, le boulanger imagina alors ce qu'on désigne dans la profession comme un «pain décoré», c'est-à-dire réalisé à la main sans moule. En croisant les deux extrémités d'un ruban de pâte, il forma trois trous – et sauva ainsi sa tête!
    La saumure qui recouvre le bretzel est également née de manière fortuite: assoupi près du four chaud, le chat du boulanger se serait brusquement levé en renversant une plaque contenant des bretzels prêts à être enfournés. Ces derniers auraient alors atterri dans une bassine remplie de saumure bouillante, préparée en réalité pour assaisonner les plats. Le temps manquait au boulanger pour repétrir une pâte, aussi décida-t-il de passer au four les bretzels saumurés. Quant au résultat, seul lui s'en étonna, puisque ensuite...
    Une autre source raconte qu'un jour, un ministre du roi prenait son petit déjeuner dans une auberge. Les bretzels qui lui furent servis avaient un goût fort différent des bretzels sucrés du carnaval, car le boulanger s'était trompé de bol et au lieu d'enduire ses bretzels d'un glaçage au sucre, il les avait badigeonnés avec une solution de bicarbonate de soude, normalement utilisée pour nettoyer les plaques du four! De cette erreur serait né le bretzel saumuré.
  • triangle a écrit, le 2010-03-28 20:14:33 :
    C'est parce qu'il avait été fait allusion à l'ésotérisme, un sujet qui me passionne plutôt trois fois qu'une.



    D'ou le pseudo. O:)
  • Exact ;)
  • Néammoins, le bretzel mériterait son propre topic :

  • pas mal de compagnons lors de mon service militaire dans la branche que j'avais choisi
    il y a de tout, des bons et des moins bon
    les moins bons feront de bons ouvriers, les meilleurs... des artistes
    je me souviens d'un charpentier ébéniste qui faisait un travail énorme !
    un caractère de con avec de l'or dans les mains
    le mec était tellement sur du boulot qu'il faisait... et il avait raison
  • J'ai été compagnon jadis puis, à force de travail et de persévérance, je suis devenu maître.
  • triangle a écrit, le 2010-03-28 21:08:41 :
    Bof, c'est pas de l'ésotérime mais celà contribuera peut être à ton enrichissement intellectuel :

    Histoire du bretzel

    L'histoire du bretzel est bien davantage que celle d'une pâtisserie populaire; elle fait partie des mythes de la civilisation européenne. Servi tout d'abord en guise de pain pour le souper, le bretzel fut consommé au Moyen Age dans les monastères pendant la période du Carême. Il s'est ainsi largement répandu dans toute l'Europe. Plus tard, ses formes sucrées ou salées étaient préparées à l'occasion de certaines fêtes et commémorations, puis finiront par trouver leur place dans les pratiques alimentaires quotidiennes. C'est probablement la raison pour laquelle l'ancienne habitude de manger le bretzel au repas du soir a progressivement disparu de la conscience collective.

    Fiction et vérité - légendes autour de l'origine de la forme du bretzel

    Le fait qu'il existe nombre d'anecdotes sur l'origine du bretzel témoigne de sa très grande popularité et de l'engouement qu'il suscite. Aucun autre produit de boulangerie n'a jamais donné cours à tant de récits!
    La forme du bretzel évoque sans aucun doute des «bras croisés». D'où la légende perpétuée jusqu'à aujourd'hui, selon laquelle, en l'an 610, un moine serait l'instigateur de son dessin spécifique. Inspiré par les bras croisés de ses condisciples à l'heure de la prière, il aurait travaillé en forme de bras croisés des restes de pâte.
    L'histoire suivante est toutefois plus connue: en 1477, un boulanger de la cour aurait si mal cuit son pain qu'il fut jeté au cachot. Pour un tel crime, le verdict était l'exécution publique. Mais on accorda au boulanger la possibilité d'échapper à la sentence s'il inventait, sous 3 jours, un pain «au travers duquel le soleil brillerait trois fois». En fâcheuse posture, le boulanger imagina alors ce qu'on désigne dans la profession comme un «pain décoré», c'est-à-dire réalisé à la main sans moule. En croisant les deux extrémités d'un ruban de pâte, il forma trois trous – et sauva ainsi sa tête!
    La saumure qui recouvre le bretzel est également née de manière fortuite: assoupi près du four chaud, le chat du boulanger se serait brusquement levé en renversant une plaque contenant des bretzels prêts à être enfournés. Ces derniers auraient alors atterri dans une bassine remplie de saumure bouillante, préparée en réalité pour assaisonner les plats. Le temps manquait au boulanger pour repétrir une pâte, aussi décida-t-il de passer au four les bretzels saumurés. Quant au résultat, seul lui s'en étonna, puisque ensuite...
    Une autre source raconte qu'un jour, un ministre du roi prenait son petit déjeuner dans une auberge. Les bretzels qui lui furent servis avaient un goût fort différent des bretzels sucrés du carnaval, car le boulanger s'était trompé de bol et au lieu d'enduire ses bretzels d'un glaçage au sucre, il les avait badigeonnés avec une solution de bicarbonate de soude, normalement utilisée pour nettoyer les plaques du four! De cette erreur serait né le bretzel saumuré.



    l'erreur de cette histoire c'est qu il n'y avait pas de sucre ou presque pas au XVème siècle
  • Tu as raison, mais chaque histoire comporte sa part d'ombre et de légende :

    Néarque, l'amiral Crétois d'Alexandre le Grand, apprend l'existence du sucre aux Occidentaux vers 325 avant Jésus-Christ.
    Lors de l'une de ses explorations en mer des Indes, il parle d'un "roseau donnant du miel sans le concours des abeilles", reprenant une expression des Perses.

    - Christophe Colomb introduit à Hispaniola (Saint-Dominigue) des plants de canne à sucre en provenance des Canaries en 1493.

    - Nostradamus ou Michel de Nostre Dame publie vers 1550 un livre sur l'utilisation du sucre en confiserie.

    - Olivier de Serres, agronome français, pressent la richesse en sucre de la betterave. Nous sommes en 1600.

    - Le frère carmélite Antonio Vasquez de Espinoza parle de la canne et des moulins à sucre présents au Chili, au Venezuela, en Equateur, en Colombie et au Paraguay dans l'un de ses récits de voyage en 1620.

    - Andreas Sigismund Marggraf, scientifique allemand, fait un mémoire en 1745 sur ses expériences chimiques permettant d'extraire du sucre de la betterave.

    - Frédéric Achard, disciple de Marggraf, construit une première fabrique expérimentale de sucre en 1802 à Kunern, en Basse-Silésie.

    - En 1808, Parmentier fait valoir la teneur en sucre du raisin : celui-ci contient entre 200 et 350 g de sucre par litre (selon le degré de maturité du fruit). Seul problème : le sucre de raisin, sirop assez épais, cristallise difficilement car il contient du saccharose, mais aussi du fructose et du glucose.
    Résultat : son extraction est hors de prix et non rentable !

    - Benjamin Delessert est le premier à réussir l'extraction du sucre de betterave en grande quantité en 1812.

    - En 1843, le tchèque Jacob Kristof Rad a produit les premiers morceaux de sucre, en plusieurs étapes quasi-artisanales : fondre du sucre, couler du sucre liquide sur un plateau, scier la plaque de sucre après solidification en bandes, puis casser en cubes.

    - Eugène François perfectionne son système de sciage et de cassage du sucre en 1875 et dépose le brevet de la "casseuse François".

    - Vers 1900, Théophile Adant développe en Belgique une série d'outils industrialisant le procédé de Jacob Rad : réalisation de plaques de sucre (cristallisation pendant 8 à 12 h), séchage, sciage en barres puis en morceaux symétriques.

    - Louis Chambon invente, en 1949, le process permettant de souder entre eux les cristaux de sucre humidifiés à chaud.

    - Louis de Vilmorin fut l'initiateur, dans les années 1850, de l'amélioration de la forme et de la teneur en sucre de la betterave.
  • je ne savais juste plus à partir de quand les anglais avaient "eux" du sucre, vu qu'il avait le monopole des colonies sous les tropiques
    sur le continent il y en avait très très peu, car personne ne voulait enrichir les anglais avec çaet donc il fallait se contenter du miel.
  • Le miel qui est beaucoup plus intéressant dans le cadre des jeux érotiques. B-)
  • tu en manques pas, toi
    Toujours le même et fidèle à toi même
  • conan a écrit, le 2010-03-29 12:27:04 :
    Le miel qui est beaucoup plus intéressant dans le cadre des jeux érotiques. B-)



    La chantilly c'est mieux. Enfin, question de goût ;)
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