[2010-2011] RCS - Bastia | Avant-match
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rcsforeverLe Racing qui relève tout doucement la tête dans ce championnat va essayer de confirmer à la Meinau face au leader corse qui reste sur une série de 7 victoires à l'extérieur:
14/08/10 Rodez - Bastia 0-0 (N) 28/08/10 Bayonne - Bastia 1-2 (V) 10/09/10 Cannes - Bastia 2-1 (D) 18/09/10 Niort - Bastia 2-0 (D) 03/10/10 Paris FC - Bastia 1-2 (V) 13/10/10 Gueugnon - Bastia 1-4 (V) 05/11/10 Beauvais - Bastia 1-4 (V) 13/11/10 Pacy-sur-Eure - Bastia 1-2 (V) 22/12/10 Orléans - Bastia 0-2 (V) 12/01/11 Créteil - Bastia 1-2 (V) 22/01/11 Rouen - Bastia 0-1 (V)
Et pour l'occasion j'espère que le public de la Meinau répondra présent car le Racing en aura besoin après s'être relancé dans la course à la montée ces dernières semaines. -
Impressionnante série des bastiais !
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Bastia qui ne s'est plus incliné en championnat depuis 14 rencontres (12 V/2 N),la dernière défaite du club corse en National datant du mois de septembre.
Un gros test pour le Racing en conclusion. -
Il va falloir un énorme soutien du public présent pour aider à faire la différence ! Grosse équipe de Bastia, qui se ballade en National, et qui remontera surement...
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Oui... Gros match en perspective !
J'espère que le Racing l'emportera, ceci au moins pour 2 raisons:
1. Confirmer le début de redressement et commencer à espérer de tenter de croire à l'éventualité d'une potentielle remontée... (j'dis ça pour conjurer le mauvais sort; je rêve déjà mais chut ! Motus et bouche cousue !).
2. Gâche, ne serait-ce qu'un peu, la joie des nombreux parasites qui gravitent autour du club insulaire.
A ce titre, je crois me souvenir qu'au match aller, les supporters bastiais étaient interdits de stade mais avaient caillassé le bus de nos joueurs, posé une bombe artisanale à proximité de leur hôtel et étaient montés sur une butte surplombant Furiani pour les insulter 90 minutes durant.
Et les seuls locaux autorisés à être présents dans l'enceinte du stade (staff, ramasseurs...) avaient trouvé le moyen de menacer et d'insulter nos joueurs.
Aussi, pour ces raisons et bien d'autres encore, un seul leitmotiv: ALLEZ RACING ! -
Ils ne sont pas plus fort qu'Evian. L'enjeu de cette rencontre sera se savoir si le Racing est capable de régularité et de faire 2 mi-temps au moins correctes dans le match. Si ils gagnent y'aura un gros cap de passé car pour l'instant, il n'ont fait que rattraper en janvier quelques-uns de multiples points bêtement perdu à l'automne.
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rico a écrit, le 2011-01-30 01:33:09 : Il va falloir un énorme soutien du public présent pour aider à faire la différence ! Grosse équipe de Bastia, qui se ballade en National, et qui remontera surement...
C'est match de gala, "on" peut augmenter les tarifs
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17 points séparent les deux équipes, c'est tout simplement ahurissant...surtout que les corses n'ont pas un effectif beaucoup plus fort que le nôtre, sauf qu'ils n'ont pas eu un environnement et une direction désastreuse....idem pour GUINGAMP qui n'est "qu'a" 11points mais franchement, j'ai les boules car ces clubs ne sont vraiment pas supérieur au Racing.
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Voila ci-dessous les tarifs de e-ticket pour le match Strasbourg - Bastia, Samedi 5 Février 2011 à 18h00 :
Lien Tarifs e-ticket pour le match Strasbourg - Bastia
Tous au match !!!! Le Racing a besoins de ses supporters pour la montée en Ligue 2 !!!! -
9.50€ encore en populaire, excusez moi mais c'est vraiment
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Je n'arrive pas à aller sur la page, mais si c'est vraiment le cas, ce blaireau d'Hilali n'as encore rien compris
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apparemment "majoration en faveur de la croix rouge" pour la venue de bastia et guingamp
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Delenda Carthago!!!
Caton-le-Grand fait partie des philosophes de l'Antiquité. Au Temps dits Modernes du XXIe siècle, quoique les temps soient toujours modernes sur le moment, l'on vit débarquer en Alsace un drôle de petit bonhomme dont le nom avait une consonnace pour le moins bizarre, rien à voir avec les Schmitt, les Meyer, et autres Muller. Notre langue il ne parlait point, il s'exprimait dans un salgimondis de "français" issu de je ne sais quelle infâme bouillie industrielle, mélange de déchets de vaches folles, viscères de porc malades de la peste, plumes de poules grippées et autres oeufs à la dioxine.
Autant, l'on pouvait encore relativement comprendre ce "Moi Je" à l'oral, autant sa prose dès lors qu'il tentait de la coucher sur le papier via son Blackberry devenait, absconse, opaque et indigeste. La syntaxe y était massacrée, des verbes allègrement oubliés, on eut dit un jeu du mercredi des DNA "Toi aussi complète la phrase du philosophe".
Lassé par l'hostile environnement alsacien, terrorisé par un groupuscule terroriste "mainte fois condamné", il fut illuminé par Footsie et CAC 40 et prononça cette phrase fatale et définitive:
Il faut vider la Meinau
Mais comment?
C'est alors que son éminence grise, un sombre Polonais du Sud, ben ouais, y a pas que des Südelsasser, il y a aussi des Südpolaka lui souffla: "Ô Toi, le Magnifique, sublime Puissance qui règne sur ce pays de ploucs, décuple les prix", ce que notre philosophe s'empressa de faire.
Et alors la Meinau fut vidée. -
15ème rencontre consécutive sans la moindre défaite en championnat pour Bastia qui s'est imposé 4-2 face à Bayonne.
Un beau challenge pour les hommes de Fournier qui vont tenter de mettre fin à cette belle série et par la même occasion de poursuivre la leur. -
Je ne serai pas dans les tribunes de la Meinau samedi, mais je sens que ça va être dur...gagner semble ambitieux, mais bon si on veux "monter en puissance" et poursuivre notre folle remontée, il le faudra! CQFD
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Ce message est une brève publiée par katzo68.
Les Bastiais Yannick Cahuzac (genou) et David Suarez (dos) sont incertains pour le match face au Racing.
Source: Site officiel Bastia -
L'équipe est prête à faire un bon coup :
Elle sort d'une série de match de coupe contre des équipes de l2.
Elle dispose de nouvelles recrues qui s'adaptent bien.
Et en plus, président neuneu saura trouver les arguments auprès du corps arbitral.
Par conséquent, je vois bien une victoire 2-1. -
« Frapper un grand coup »
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Jocelin Ahoueya (poursuivi ici par l'Angevin Loris Arnaud) avait reçu plusieurs coups avant-hier, notamment sur la cheville, et été remplacé avant la fin. Hier, le Béninois avait récupéré. Photo Philippe Le Brech
L'élimination d'avant-hier à Angers en 8 es de Coupe de France (2-0) à peine digérée, les Strasbourgeois ont déjà en tête leurs deux sommets en National à la Meinau, ce samedi (18 h) contre le leader Bastia, puis mardi (19 h) face à son dauphin Guingamp.
« Pour vivre heureux, vivons cachés », dit le proverbe. Après leur élimination en 8 es de Coupe de France mardi soir à Angers (2-0), la fenêtre médiatique qui s'était ouverte devant les Strasbourgeois s'est refermée et ces derniers vont donc retrouver l'anonymat du National. Un anonymat tout relatif, c'est vrai, puisque leurs deux prochains rendez-vous trois même si l'on y ajoute le derby très attendu et télévisé à Colmar le dimanche 13 février offriront aux spectateurs de la Meinau deux morceaux de premier choix : le leader Bastia, qui a déjà deux pieds en Ligue 2, samedi (18 h) et son dauphin Guingamp, qui en a un et demi, mardi (19 h) en match en retard de la 23 e journée.
Les deux relégués de L 2 sont en passe de remonter dans l'ascenseur, vers le haut cette fois. Le troisième, le Racing, a, lui, effectué un premier pas. Mais après un début de saison très perturbé on ne reviendra pas ici sur les raisons de cette agitation -, il n'a pas vraiment retrouvé son calme. Faut-il rappeler qu'il y a douze jours seulement, le président Jafar Hilali annonçait à l'agent de Laurent Fournier, Franck Belhassen, le limogeage du coach et son remplacement par l'Allemand Peter Zeidler ?
« Personne ne nous voit à l'arrivée »
A quelques heures des sommets du National face aux deux ex-rivaux de L 2, l'ancien international est toujours là. Il s'efforce de relativiser l'élimination à Angers. Sans y parvenir totalement. « Je suis déçu, parce que j'espérais vraiment passer. La compétition, c'est toujours intéressant, surtout dans les derniers tours. S'il n'y a pas ces trois petites fautes qui amènent le premier but le ballon perdu au milieu, la danse de Jocelin (Ahoueya) qui oublie de dégager le ballon et le corner direct -, je suis persuadé que nous pouvons aller en prolongation, aux tirs au but et passer. Voire marquer. Mais bon, il faut se remobiliser. C'est ce qui fait le charme du foot. »
Aux yeux du technicien, cette petite épopée en Coupe, facilitée par un tirage au sort clément lors des cinq premiers tours, a au moins permis aux Bleus de s'étalonner. « Notre assise défensive est toujours aussi solide et ne dépareillerait pas au niveau du dessus. Nous avons été performants contre le leader de la L 2, Evian, et soutenu la comparaison avec Angers. Ça doit nous servir pour les deux prochains matches, d'autant qu'à la maison, nous avons toujours rivalisé avec les meilleurs. »
Encore une fois impeccable, le défenseur axial Julien Outrebon ne cache pas lui non plus une certaine déception. « Angers ne nous a rien montré. Nous n'avons pas été mis en danger, jusqu'à ce coup de pied arrêté malheureux. Nous avons fait jeu égal. C'est pour cela qu'il est frustrant de ne pas avoir fait mieux. D'un autre côté, ça prouve que nous avons un effectif de qualité, puisque le onze de départ n'était pas le même. »
Bon gré, mal gré, les Bleus s'efforcent d'évacuer leur frustration pour bien préparer Bastia et Guingamp. « Le plus important, c'est le championnat », répète inlassablement Laurent Fournier, « Pour la confiance, ces deux matches sont importants. Nous avons fait le plus dur en redressant la barre et en revenant dans la course. Maintenant, il ne faut pas lâcher. »
J. Outrebon voit carrément dans les deux chocs de ces prochains jours l'occasion rêvée d'afficher de nouvelles ambitions. « Ces deux matches vont conditionner la suite. Nous avons hâte de jouer Bastia et Guingamp pour savoir où nous nous situons vraiment. Si nous battions le leader et le dauphin, nous mettrions la pression sur les autres. Pour l'instant, nous nous sommes rapprochés, mais je crois que personne ne nous voit à l'arrivée. D'un côté, ce n'est pas plus mal d'avancer masqués. Mais de l'autre, c'est le moment de frapper un grand coup. »
Les Bleus vivent cachés depuis peut-être suffisamment longtemps. Un peu de lumière ne pourrait pas leur faire de mal.
L'Alsace -
U populu corsu uff Strossburi
« Portrait satirique du club adverse. Le "cassage gratuit" n'est pas le bienvenu. Humour et second degré obligatoire ! »
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18 rencontres restent à jouer...combien de points seront nécessaires??
6 sur les deux prochains matchs semblent utopiques à mon avis -
4 seraient déjà très bien.
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Je sais pas, mais j'ai peur que l'on paie quelque part le contre coup de tous ces derniers déplacements successifs
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jakesully a écrit, le 2011-02-03 12:21:17 : 4 seraient déjà très bien.
Oui ça me satisferais également: samedi soir Rouen accueille le PFC & Fréjus va à Créteil, ce qui veut dire que même avec un nul y'a moyen de gagner la 6° place au classement... -
tonywollek a écrit, le 2011-02-03 12:33:27 : jakesully a écrit, le 2011-02-03 12:21:17 : 4 seraient déjà très bien.
Oui ça me satisferais également: samedi soir Rouen accueille le PFC & Fréjus va à Créteil, ce qui veut dire que même avec un nul y'a moyen de gagner la 6° place au classement...
On s'en fou du classement, le nécessaire, c'est de réduire le plus vite l'écart sur le 3ème ! -
Même si j'espère qu'on fera un bon résultat ce samedi,par contre je suis bien content de voir Bastia dans le haut du tableau car c'est un club qui comme Le Racing a une histoire et n'a rien à faire en National,même si c'est vrai qu'ils n'y sont pas par hasard non plus.
La Corse tout comme l'Alsace a eu une grande équipe à une époque et le fait de voir une telle affiche au troisième échelon du football français donne le sentiment d'un gros gâchis pour les nostalgiques.
Deux clubs qui d'ailleurs ont connu leurs plus belles heures à la fin des années 70 avec une finale de coupe d'Europe pour Bastia et le sacre du Racing dans l'hexagone.
Enfin puisse cette situation s'améliorer à l'avenir pour que ce championnat ne se transforme pas en cimetière des anciennes gloires du football français.
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