"Fautes graves. Un été d'enfer à la Meinau", le livre de Gilbert Gr
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guiguesJe m'imagine déjà soleil7 en combi latex devant la librairie Kleber.
En fait le Racing c'est des plaisirs simples
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Tellement simple que tu pourras aller en velo pour les voir jouer à l'esterieur !
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guigues a écrit, le 2009-11-06 10:00:21 : Je m'imagine déjà soleil7 en combi latex devant la librairie Kleber.
Avec une boule dans la bouche du Celtic de Glasgow?
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conan a écrit, le 2009-11-06 09:59:13 : Ben pour allez voir le Maître, patate! :p
C'est pas le Maitre, c'est l'ANGE BLEUE ! Patate :D -
L'ange Bleu, à priori c'est un garçon... O:)
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Le rapport avec le Celtic?
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J'ai acheté et lu le livre en question.
Quelques remarques pêle-mêle :
- Contrairement à ce que je craignais, c'est assez bien édité et correctement écrit.
- Ceux qui croient encore que Léonard Specht s'est fait hara-kiri par dépit de voir son mentor débarqué en seront pour leur frais. Specht en prend sérieusement pour son grade dans le bouquin. Janin aussi est égratiné.
- Ceux qui veulent des analyses de terrain, des explications technico-tactiques resteront sur leur famine. On ne parle que très peu de football, l'essentiel du corpus est consacré à du radotage de souvenirs - la technique de Gress étant toujours de convoquer des succès passés pour légitimer son comportement actuel - et à des diatribes contre les médias, principalement les DNA, L'Alsace et L'Equipe. A ce sujet, il est assez marrant de voir que Gress qualifie régulièrement ce dernier quotidien de "bible" alors que l'usage veut que ce soit plutôt France Foot qui soit désigné comme la "bible du football". Le passage "en Suisse je suis une star" est comique. Dans l'ensemble c'est inintéressant et ça transpire la frustration du vaniteux qui voudrait qu'on se branloute sur lui dans les journaux. Je passe sur le passage consacré à Zeller qui est honteux quand on connaît le comportement réel de Gress lors de la cérémonie à la cathédrale.
- En revanche, le truc sur la préparation physique est presque convaincant. J'ai légèrement révisé mon jugement sur ce propos après avoir lu Gress. Je pense toujours que sa préparation était à chier mais il y a peut-être, aussi, un gros problème avec Thiry comme il l'écrit.
- Gress défend deux idées en grande partie contradictoires sur son comportement. D'abord il affirme qu'il n'a pris le club que parce qu'il pensait que Jacky Kientz allait racheter. Ensuite il se plaint du fait que, très tôt, Ginestet n'a pas craché au bassinet pour les transferts. Mais pourquoi l'aurait-il fait s'il devait vendre ? Beurre, argent du beurre, tout ça...
- Les accusations les plus graves sont énoncées de façon vague et allusive, notamment l'emploi régulier du pronom impersonnel pour ne pas avoir à donner plus de précisions, par exemple le nom des gens. Le récit de l'affaire Paisley n'est absolument pas clair et ressemble très fortement à un passage corrigé par l'éditeur pour s'éviter des poursuites en diffamation.
Bref, ce n'est pas la bouse que j'imaginais mais ça ne convaincra que des convaincus (en un mot). Gress navigue trop dans son petit cercle d'admirateurs et sa vision des "supporters du Racing", par exemple, est très biaisée. -
strohteam a écrit, le 2009-11-06 11:23:34 : Le récit de l'affaire Paisley n'est absolument pas clair et ressemble très fortement à un passage corrigé par l'éditeur pour s'éviter des poursuites en diffamation.
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Gress ne s'est jamais gené d'en parler ouvertement de l'affaire Pausley, alors ta ta these de la peur des poursuites en diffamation ne tient pas ! -
Ça peut très bien être une préoccupation de l'éditeur (qui lui aussi aurait à en répondre) que ne partage pas Gress.
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soleil7 a écrit, le 2009-11-06 11:47:23 : strohteam a écrit, le 2009-11-06 11:23:34 : Le récit de l'affaire Paisley n'est absolument pas clair et ressemble très fortement à un passage corrigé par l'éditeur pour s'éviter des poursuites en diffamation.
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Gress ne s'est jamais gené d'en parler ouvertement de l'affaire Pausley, alors ta ta these de la peur des poursuites en diffamation ne tient pas !
Il ne s'est pas gêné pour l'évoquer publiquement mais il est d'une timidité rare quand il s'agit de préciser qui lui a dit que Ginestet avait demandé à Paisley de le pourrir et ce que Paisley a exactement dit lors de leur entrevue.
Sur ce dernier point le bouquin n'est pas clair et en retrait de ses précédentes sorties (p.75) :
Citation: J'en ai profité pour lui demander de venir dans mon bureau. Je l'ai regardé droit dans les yeux et je lui ai posé cette question : "Vous a-t-on demandé de me salir dans la presse ?" Sa réponse a été sans équivoque. Paisley est un homme honnête, intègre.
La réponse est "sans équivoque" mais Gress ne nous dit pas ce qu'a été cette réponse ! Il ne cite pas Paisley.
Maintenant, si tu reviens à l'époque de la video sur StrasTV (1er août) tu constateras qu'à l'époque Gress était bien plus explicite, puisqu'il dit texto que le joueur - qu'à l'époque il ne nomme pas - a reconnu qu'"on" lui avait bien demandé de le pourrir ("Oui, c'est vrai")
Sauf qu'entre temps Paisley a contesté cette version. D'après lui, il a seulement dit à Gress "l'ai-je fait ?". Ce qui ne signifie pas du tout la même chose.
Sur ce point, Gress a donc très sérieusement retropédalé. Il nomme désormais Ginestet et Paisley mais il est beaucoup plus vague sur l'épisode de la fameuse rencontre. A mon avis, parce qu'il sait que ça ne tient pas. Il ne peut pas juste l'enlever parce que ça serait perdre la face mais il évite d'appuyer dessus parce que l'argument est très fragile. D'ailleurs le chapitre - si on peut appeler ça comme ça - sur l'affaire qui est censé avoir tout précipité est le plus court du livre : seulement trois pages ! -
Il raconte quoi au juste sur Janin et Thiry ?
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Bon je viens de lire le bouquin également dans la salle d'attente de mon toubib. 86 pages écrit gros, ca se lit très vite. Et il faut le reconnaitre, le style littéraire de Gress se laisse lire (on reconnait bien là la gouaille verbale de l'Angle Bleu.) Je vous fais un petit CR le temps de vérifier un truc ou deux... O:)
En attendant je corrobore l'analyse de strohteam. -
Nan mais on était vraiment obligé d'ouvrir un topic pour ce nouveau Goncourt ?
J'y crois pas ! Au moins Gilbert a le mérite de laisser Guigues et Conan souffler un peu à propos de Ginestet, c'est déjà pas mal.
Et sinon, ce livre, il essuie bien ? Il arrache pas trop les poils ? -
A mon avis y aura un peu trop de piquant pour ton rectum tendre et fissuré.
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Là encore je plussoie l'analyse (très critique) de strohteam.
Pour le reste, comme cela a été dit, ca se lit très vite et très bien (il a une bonne plume le bougre). En vrac:
- Comme prévu, l'auteur met en avant la très haute opinion qu'il a de lui même. Il commence son ouvrage par son CV. Et tout au long de son ouvrage de 86 pages écrites très gros (pour 10 Euros ca fait un peu mal au cul pour la tranche de légende) on a droit à la lithanie de ses glorieux exploits à la tête de Neuchâtel et Aarrau ou de la manière dont les murs tremblaient quand il engueulait Stielike. Par fois la mauvaise foi flagrante enjolive ses exploits Helvétes, quand par exemple il nous explique qu'il y a une dizaine d'année, il a remporté à Belgrade une rencontre de Coupe d'Europe face à l'Etoile Rouge, ce que même le Bayern et le Milan AC n'a pas reussi. (Sauf que l'Etoile Rouge de 99 n'était peut être plus celle de 89-91...) On a même droit à un passage surréaliste "je suis aujourd'hui encore le seul entraineur à être devenu champion de France et champion de Suisse". J'ai du relire une deuxième fois tellement je n'y croyais pas. Rassurez moi, la Suisse, c'est bien ce pays dont le champion vient de se prendre 6-1 au Vélodrome?
- Il se présente comme étant l'homme du peuple soutenu par l'ensemble des supporters. Soit, ca va avec le ton global de l'ouvrage et les chevilles qui gonflent. Il n'a de cesse dans le premier et dernier chapitre de décrire son amour indéfectible pour le Racing. Puis les pages suivante, il nous explique comme une fleur qu'il n'a plus mit les pieds à la Meinau depuis 15 ans (et pourtant il y a eu de bons trucs durant 15 ans, 4 finales de Coupes dont 3 gagnés, des matchs de Coupe d'Europe...) et qu'il n'a regardé que les 6 dernières minutes de RCS-Montpellier, le match décisif que tout le monde attendait sur ce forum. C'est là qu'il nous sort "ce Racing là n'est plus le Racing de personne". C'est pourtant ce Racing là qui a fait déplacer plus de 500 personnes à plus de 1000 bornes pour ce match décisif...
- Il ne croit pas du tout en la théorie selon laquelle les joueurs l'ont lâché à Istres et ont fait exprès de se prendre une tôle (théorie pourtant à peu près admise par tout le monde, y compris à demi mots par certains joueurs). Pour lui, les joueurs sont tout simplement mauvais.
- Durant la plus grande partie de son livre, il défend bec et ongle sa préparation physique. Il prend comme exemple Magaye Gueye, le plus grand démentit selon lequel ses méthodes sont vieux jeux. Sa préparation n'a pas empêché Gueye de claquer plein de buts. Gress omet bien sur de préciser que Gueye a raté 3-4 semaines de préparation vu qu'il était en Ukraine pour le championnat d'Europe des - 19 ans... Il tacle en outre sévèrement Thiry (sans jamais le nommer) et explique implicitement que la préparation physique qui a été effectuée durant la trêve de 15 jours avant le match de Nantes a été bien plus néfaste que la sienne. ( O:) ). Enfin, il distribue les biscottes à la presse, Alsacienne et Parisienne ("la bible") qui a osée mettre en cause sa méthode de préparation.
- Le passage sur l'affaire Paisley est vraiment très confus, en tous cas de très loin le plus mal expliqué du bouquin. Truc qui m'a fait tiqué, dans mes souvenirs de ses interviews, il a rencontré Paisley par hasard dans un aéroport (il avait même dit un truc genre "le monde est petit"). Dans le livre la rencontre se déroule dans son bureau à la Meinau...
- Il explique que c'est Albert Gemmrich qui a glissé a Ginestet et Hertzog l'idée de Gress entraîneur. Il a même organisé plusieurs diners pour qu'ils se rencontrent. A la base, Ginestet et Hertzog ont plus ou moins rigolé à la gueule à Gemmrich. Ce qui a visiblement vexé l'Ange Bleu qui les taillent durant tout le bouquin.
- Gress confirme qu'il pensait que Kientz deviendrait Président et c'est la raison pour laquelle il est revenu. A priori, il y a eu un certains nombres de contact entre Kientz et Ginestet, mais les pourparlers n'ont pas aboutis. Gress a sa version des faits "Ginestet a mené Kientz en bateau depuis le début".
- Gress parle d'un rapport dont il a prit connaissance émanant du staff sur les joueurs de l'effectif 2008/2009. Sur les 33, 11 seulement avaient des mentions type "dur au mal", "jamais blessé" "très professionnel". Les 22 autres, c'était des appréciations du style "ne supporte pas qu'on lui dise quelque chose" "comportement peu professionnel".
- Au niveau des recrues, il dit qu'il n'était pas contre le retour de James Fanchone "le meilleur buteur et le joueur le plus talentueux de la saison dernière." mais que Hertzog l'a reçu comme une merde quand il est venu négocier un nouveau contrat, un truc du style "si tu crois que tu vas avoir le même salaire que la saison dernière...". Il voulait faire venir le Camerounais Feutchine (à l'essai) qui voulait s'installer en Alsace pour des raisons personnelles, mais refus d club sans explication. Il défend bec et ongle son choix et sa confiance en Sikimic. Par contre il dit que ca faisait des mois que le club était sur Pichot et refuse d'endosser la responsabilité de son recrutement (ce que Ginestet et Hertzog refusent aussi, sympa pour Pichot... :D ). Il dit qu'il voulait également le mec de Troyes aujourd'hui à Brest dont le nom m'échappe et Sartes, mais ils ne voulaient pas venir. Il voulait faire venir Biancalani de Nancy, mais Ginestet estimait qu'avec Othon, le poste était pourvu.
- Au niveau des joueurs, il taille particulièrement Pelé et Ducrocq (surtout le premier en fait), il dit que Gargorov a été manipulé par Ginestet et Hertzog pour qu'il refuse de lui adresser la parole, que JAF avait un sosie qui trainait dans les boites de nuit d'Erstein. Par contre Cassard et Lacour sont de grands pros, Gueye également (ce qui montre que sa méthode peut marcher avec les jeunes), Fauvergue et je ne sais plus qui étaient super contents de bosser avec lui.
- Au niveau des dirigeants Ginestet et Hertzog en prennent pour leur grade comme on peut se l'imaginer. "Ginestet, je n'ai rien contre lui à la base, mais moi je m'intéresse au foot et lui à l'argent." . Thiry s'en prend également dans la gueule sans être nommé. Janin se fait gentiment tacler aussi (je ne me souviens plus pourquoi, je vais retrouver). Quant a Specht, il est présenté comme un gentil benêt marionnette de Ginestet qui a conscience de l'être. "J'ai de la peine pour lui." . Gardent grâce à ses yeux, Lohr et Pignatelli deux intègres. Gress aurait dit à Lohr "Vous méritez un autre Racing" ce à quoi Lohr aurait répondu que Gress était "influencé par des personnes qui n'étaient pas à la hauteur" (??? passage assez énigmatique, je songe pour ma part à Kientz).
En résumer ce livre n'apporte pas grand chose de nouveau et confortera chacun dans ses positions pro ou anti Gress. Je ne résiste cependant pas à l'envie de spolier la conclusion du bouquin qui consitue en fait le pourquoi de toutes les intrigues, complots et manipulations de Ginestet:
"Le 1er juin dernier, trente ans après le titre de 1979, les DNA titraient en couverture "cruel clin d'oeil du destin" . J'étais en photo avec Ginestet tenant à la main un bouquet de fleurs qu'il m'avait offert. Belle métaphore! La plus belle réussite du club cotoyant son pire échec. Avec moi le Racing a été numéro un. Avec lui, il a atteint la 40e position juste devant Luzenac, Pacy sur Eure, Moulins et Plabennec.
Je pense qu'au mois de juin dernier, Ginestet a été profondément blessé par le "grand écart" entre les succès de la génération 1979 et ses débâcles. Si a pensé abandonner, il n'a pas pu supporter que Kientz, Specht et Gress puissent réussir à "sa" place. Alors Ginestet est revenu, loin d'imaginer qu'avec lui, une nouvelle fois, le club allait toucher le fond.
Peut il encore faire mieux? " -
Pour l'anecdote, Dedola m'a dit beaucoup du bien aussi de Gress alors qu'il n'était plus la déjà...
Je pense qu'il y a beaucoup de vérités dans ce que tu as résumé et en dit long sur la gestion de ce club.
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conan a écrit, le 2009-11-06 16:46:16 : Et tout au long de son ouvrage de 86 pages écrites très gros (pour 10 Euros ca fait un peu mal au cul pour la tranche de légende) on a droit à la lithanie de ses glorieux exploits à la tête de Neuchâtel et Aarrau ou de la manière dont les murs tremblaient quand il engueulait Stielike.
Notons aussi que l'auteur a toujours été d'une pudeur rare sur un épisode moins glorieux, son passage éclair au Sturm Graz, d'où il s'est fait dégager après 91 jours et 5 défaites en 7 matches. -
guigues a écrit, le 2009-11-06 10:00:21 : Je m'imagine déjà soleil7 en combi latex devant la librairie Kleber.
En fait le Racing c'est des plaisirs simples
Ma barre de rire du jour :)) -
cartman a écrit, le 2009-11-06 21:29:58 : guigues a écrit, le 2009-11-06 10:00:21 : Je m'imagine déjà soleil7 en combi latex devant la librairie Kleber.
En fait le Racing c'est des plaisirs simples
Ma barre de rire du jour :))
J'avoue que cela ma bien fait rire aussi ! :))
En plus, plus besoin d'acheter le livre comme il a ete completemet dissequer et analyser par conan et strohteam! -
Le parrain s'exprime:
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Pauvre Gress, je le trouve bien naif et tellement sincere ! Comment peut on mettre en doute sa parole et ses convictions !
Encore une fois, le Racing aura loupé le bon wagon, on s'en fout finalement,il y a de l'espoir, c'est un soir de victoire, et l'objectif du club, c'est le maintient en ligue 2 !
L'objectif de ginestet, c'est de partir au plus vite et de vendre son jouet , qui ne vaut meme plus la valeur de Gameiro ! -
Il vaut mieux en rire, après tout...
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Géniale cette interview, Gilbert Gress c'est un mythe ! Rien à ajouter... Sur ce, je vais aller choper le bouquin ~o)
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Putain, il vit vraiment sur une autre planète. Entre son ego, sa parano contre certains joueurs (Pelé fait un super bouc émissaire) et son discours de soi disant meilleur entraîneur du monde qui n'a fait aucune erreur et qui n'est responsable de rien, c'est vraiment lourd. Un autre détail me choque assez, c'est qu'après deux mois au contact direct de l'équipe, il ne connait toujours pas les noms exacts de certains joueurs: Stéphane Pelé, Magaye Gay ...
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