Frédéric Sitterlé
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triangleJe ne fais durer aucun suspens. Il suffit de consulter le code pénal sur légifrance.
C'est une infraction. Point barre. -
Qu'est ce qui est une infraction ? Ils ont un contrat en tant que prestataire, non ? Les défraiements ça existe partout et les 1500 €uros en déplacements représentent sur 20 jours ouvrés 75€uros ce qui est la routine. S'ils habitent Paris, ils ne peuvent même pas se permettre un deux étoiles à Stras. Je gagnais encore plus qu'eux rien qu'en frais de déplacement alors qu'ils doivent être 3 ou 4 fois plus qualifiés que moi. Bref si c'est cela et que tu enlèves le défraiement, c'est bel et bien du bénévolat.
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triangle a écrit, le 2012-02-19 22:35:29 : Je ne dirai pas le nom de cette infraction pour l'instant.
Suite au prochain épisode ?! -
Le prochain épisode, ce ne sera pas moi....
Evitons de tomber dans les querelles personnelles. Comme je l'ai déja dit, je ne suis qu'un banal supporter qui a des connaissances juridiques, qui ne roule pour personne et qui est passionné du RACING. D'habitude en matière sportive uniquement.
Le sujet, c'est Frédéric SITTERLE, pas moi. -
triangle a écrit, le 2012-02-20 00:00:30 : Le prochain épisode, ce ne sera pas moi....
Evitons de tomber dans les querelles personnelles. Comme je l'ai déja dit, je ne suis qu'un banal supporter qui a des connaissances juridiques, qui ne roule pour personne et qui est passionné du RACING. D'habitude en matière sportive uniquement.
Le sujet, c'est Frédéric SITTERLE, pas moi.
Mais nous sommes d'accord, je ne fais pas de querelle personnelle et le sujet du topic est Sitterlé.
Donc je te demande d'expliquer l'infraction de Sitterlé plutot que de terminer ton post par un vieux " Je ne dirai pas le nom de cette infraction pour l'instant "
Et je redis donc que moi aussi également comme toi donc, je ne suis pas un fan de ce bénévolat rémunéré.
Tu vois cela n'est ni personnel et ca concerne Sitterlé..... -
triangle a écrit, le 2012-02-19 22:35:29 : Embaucher des copains bénévoles et finalement payés quand on est président d'une association, c'est une infraction à laquelle le Procureur pourrait s'intéresser. Je ne dirai pas le nom de cette infraction pour l'instant.
le pire c'est qu'on a vraiment l'impression que tu n'attends que ca ...
L'interview dans les dna ont permis de répondre à plusieurs points, convention, repas avec Hillali, alors tu te jettes sur le morceau qui te reste, franchement oui peut etre c'est pas joli, mais en quoi là se joue une vision scandaleuse du racing ? on a l'impression que tu t'égares dans tes propres fixations et orgueils ! -
Ils vont s'excuser quand les DNA pour cet article assez scandaleux que je viens de découvrir : http://www.dna.fr/sports/2012/02/18/le-bon-la-brute-ou-le-truand
Citation: L'opposition s'en émeut. La majorité également. Le Racing vit sur un financement public, dans des proportions spectaculaires, avec une contribution de 750 000 euros. Il fait l'objet d'une forme de spéculation Frédéric Sitterlé prévoit de faire payer de 150 000 en CFA 2 à 1,5 million en Ligue 1 la marque Racing et il y a de quoi faire grincer quelques dents, car ce n'était pas vraiment prévu.
Apparemment c'est faux, qui peut bien être la source ? -
Pas de problème STAGARIC.
Quand on est président d'une association et responsable jurididique de celle-ci, on emploie des fonds qui ne sont pas les siens. Si on embauche des copains, à titre onéreux, c'est du favoristisme, sans doute même de l'abus de bien social.
Même si SITTERLE rembourse demain l'association sur ses deniers personnels, l'infraction subsiste. C'est au Procureur de voir.
J'aimerais bien que Francis SITTERLE écrive ce qu'il en pense, à l'occasion. De préférence, sur le SO ou dans les médias plutôt que de se prétendre victime d'un acharnement ignoble ou d'un complot. -
GIGI, pas d'attaque personnelle.
Le RACING est immortel, lui.
Et ça ne me fait pas plaisir qu'il soit pris en otage. -
triangle a écrit, le 2012-02-20 00:43:39 :
J'aimerais bien que Francis SITTERLE écrive ce qu'il en pense, à l'occasion.
Ah merde! Il a même embauché son frère? (père, cousin, petit-fils?). Quel salaud.
:D -
Bonne nuit GOEFT
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triangle a écrit, le 2012-02-20 00:45:23 : GIGI, pas d'attaque personnelle.
Le RACING est immortel, lui.
Et ça ne me fait pas plaisir qu'il soit pris en otage.
En otage ?
Il est perdu dans un désert avec 3 fusils pointés sur son nez ?
Attendons de voir ce qu'il va se passer, pour le moment l'equipe tourne bien.
Les mots sont important afinde ne pas atiser des sentiments injustifiés, le mot "otage" utilisé à tout bout de champ ne veut plus rien dire du tout... -
triangle a écrit, le 2012-02-20 00:43:39 : Pas de problème STAGARIC.
Quand on est président d'une association et responsable jurididique de celle-ci, on emploie des fonds qui ne sont pas les siens. Si on embauche des copains, à titre onéreux, c'est du favoristisme, sans doute même de l'abus de bien social.
Même si SITTERLE rembourse demain l'association sur ses deniers personnels, l'infraction subsiste. C'est au Procureur de voir.
J'aimerais bien que Francis SITTERLE écrive ce qu'il en pense, à l'occasion. De préférence, sur le SO ou dans les médias plutôt que de se prétendre victime d'un acharnement ignoble ou d'un complot.
Ta conclusion ressemble à s'y méprendre à de l'acharnement. Si tu te dis réagir par passion, je ne crois pas qu'on puisse ignorer à tel point les accusations qu'il porte à l'égard de certaines personnes et cela est bien plus inquiétant pour l'avenir du club que deux personnes engagées et payées au smic ou presque pour venir lui filer un coup de main. -
Je sais pas ou certains ont péché leurs informations sur ce qui est interdit par la législation ou non.
Perso, je refuse carrément des fonctions pour 1500€ comme cela a été évoqué. Je lacherais pas mon job pour une merde pareille. D'autant plus si j'habite paris.
Si c'est un défraiement.... j'ai été payé environs 60€ par nuit d'hotel plus 17€ par repas... soit 100 euros par jours ou plus précisément 2000€ par mois juste pour un remplacement à Grenoble. Je passe sur les transports.
Pour 1500€ / mois j'aurais tout cassé dans ma boîte si j'avais touché si peu.
Bref, je lis les articles de KCB et ça résume tout à fait ce que je pense. -
Sports
Football
par Fr.N., publié le 20/02/2012 à 05:00
Football Le club strasbourgeois fait encore et toujours l'actualité en dehors des terrains Le Racing interpelle
Leader de CFA2, Anthony Sichi et les Strasbourgeois font plutôt bien le travail. En coulisses, néanmoins, les problèmes sont loin d'être réglés. Photo archives DNA
Leader de CFA2, Anthony Sichi et les Strasbourgeois font plutôt bien le travail. En coulisses, néanmoins, les problèmes sont loin d'être réglés. Photo archives DNA
Le Racing fait l'objet d'une interpellation au conseil municipal, cet après-midi. Il a beau être au cinquième niveau de la hiérarchie nationale, le club strasbourgeois ne s'empêche pas de s'offrir une petite crise, comme il en a si souvent l'habitude.
Sports
Football
Racing Club Strasbourg
Il va y avoir du sport, au sens propre comme au sens figuré. Aujourd'hui, les habitués du Conseil municipal ne vont certainement pas troquer la cravate et les mocassins pour un short et des crampons dernier cri. Mais ce qui est sûr, c'est que les politiques vont s'intéresser à l'inclinaison des greens, aux rebonds de la balle jaune et à la trajectoire du ballon rond.
« De la situation juridique et financière du Racing Club de Strasbourg »
Trente-cinq points sont au programme du conseil municipal de ce lundi. Sept feront l'objet d'interpellation, c'est-à-dire qu'ils ont été déposés par l'opposition. Quatre tournent autour du sport, deux concernent la construction d'un golf à Hautepierre, un autre les Internationaux de Tennis. Mais c'est sans doute le 34 e point à l'ordre du jour qui pourrait faire exploser le serveur du site strasbourg.eu où sont retransmis les débats du conseil municipal. L'opposition a décidé de questionner la majorité à propos de « la situation juridique et financière du Racing Club de Strasbourg ».
C'est que le club meinauvien coûte une certaine somme à la collectivité (750 000 euros pour la saison rien que pour la Ville et la CUS). C'est que le scénario envisagé l'été dernier d'un investisseur assurant l'essentiel du budget ne se déroule pas sans anicroche. C'est que les principaux dirigeants du club, Frédéric Sitterlé, à l'origine de la Société Anonyme Sportive Professionnelle (SASP), et Patrick Spielmann, qui préside l'association, ne filent plus vraiment le parfait amour.
Pour pouvoir répondre aux interrogations somme toute légitimes qui devraient animer les travées de l'hémicycle strasbourgeois, Roland Ries, le maire, et Frédéric Sitterlé ont rendez-vous. Celui-ci est programmé en fin de matinée. « Le maire a souhaité le rencontrer face aux événements des derniers jours, indique-t-on du côté de la municipalité. Il faut dire que Frédéric Sitterlé était également désireux de rencontrer le maire. »
Le jeune homme d'affaires sera sans doute prié de présenter des garanties quant à son engagement dans le capital du club. Il devrait voir retoquer ses projets concernant une convention de marque lucrative, ce qu'il envisageait dès hier dans ces colonnes, tout comme les énormes pénalités prévues en cas de rupture du lien entre l'association et la SASP (de l'ordre de 10 millions d'euros en Ligue 1, de deux en National).
« Frédéric Sitterlé est extrêmement habile dans la gestion de son image, constate un proche du dossier. Aujourd'hui, il fait l'objet d'attaque de diverses origines. Mais il ne faut pas oublier non plus qu'il y a six mois, il avait le soutien de la mairie, de la Région, du conseil général, de la Ligue d'Alsace de Football et qu'il a convaincu le juge en charge de la liquidation ainsi que la Fédération Française de Football (ndlr : qui a accepté d'inscrire le Racing en CFA2). » On pourra ajouter qu'à la faveur d'une remise de maillot à Nicolas Sarkozy, c'est comme si le jeune homme d'affaires avait même séduit le Président de la République.
Un observateur avisé du feuilleton ne manque d'ailleurs pas de déceler des ressemblances entre le pensionnaire de l'Élysée et Frédéric Sitterlé : « Il tient un double langage et se comporte parfois comme un bulldozer ».
En interne, les méthodes ont aussi du mal à passer. Il y a de la friture sur la ligne avec le sportif. L'éviction du psychologue, en charge des gamins du centre de formation, intervenue officiellement ce week-end, ne devrait pas la faire disparaître. « C'est un homme d'affaires averti, constatait en début d'année Alain Fontanel, en première ligne demain dans les rangs de la majorité pour avoir la haute main sur le dossier depuis 18 mois. Il n'a pas réussi à sécuriser les dispositifs pour continuer à contrôler ses éventuels investissements. »
Rendez-vous annulé auprès de Jeunesse et Sport
Et cela fait l'objet d'intenses tractations, autour des fameuses conventions imposées par la loi. Pour l'heure, en la matière, on est loin du compte. On n'est peut-être pas loin d'une impasse. Le rendez-vous pris par Frédéric Sitterlé et Patrick Spielmann auprès de Jeunesse et Sport pour faire le point sur la reconstruction en cours du Racing a été annulé. Après les volées de bois vert échangées ces derniers jours et auxquelles ce dernier n'a pas voulu ajouter un nouveau fagot (lire ci-dessous), ce n'est pas franchement une surprise. À suivre -
Interview du président de l'association, Patrick Spielmann « Il n'y aura pas de combat des chefs »
Patrick Spielmann, le président de l'association, veut laisser au Racing la possibilité de se défendre contre les intérêts particuliers. Photo archives DNA
Patrick Spielmann, le président de l'association, veut laisser au Racing la possibilité de se défendre contre les intérêts particuliers. Photo archives DNA
Mis en cause par Frédéric Sitterlé, le président de l'association, Patrick Spielmann, se refuse à entrer dans le jeu de la surenchère. Il n'en veille pas moins à l'intérêt d'un club, soumis à rude d'épreuve, dans les négociations en cours.
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Racing Club Strasbourg
Actualité
Faisant l'objet de moult supputations, Frédéric Sitterlé a répondu à quelques incertitudes le concernant en mettant en cause l'association. Il ne comprend notamment pas pourquoi la négociation autour de la convention tarde à aboutir. Qu'avez-vous à répondre à ce sujet ?
Il faut trouver un accord équilibré entre l'association et la future SASP. Nous devons, par ailleurs, avoir la certitude que l'association puisse utiliser la marque RCS sans frais et que tout l'argent des investisseurs reste bien dans le Club. J'ai lu avec plaisir dans votre journal que Frédéric Sitterlé semblait ne pas vouloir à titre personnel percevoir de l'association, et donc je suppose via sa holding, la redevance de marque. Il faut adapter en conséquence le projet de convention. Cela permettra de réserver nos moyens à la formation des jeunes. C'est une mission essentielle de notre association.
Où en est-on dans le processus qui doit aboutir à un document indispensable pour que le Racing puisse continuer ?
Je peux comprendre qu'un investisseur ne s'engage pas sans sécurité juridique. Il est donc urgent d'organiser une réunion entre, d'une part, les représentants de l'association et, d'autre part, ceux de BMV (ndlr : Blodelsheim Media Venture, propriétaire de la marque Racing) et de la SASP, chacun avec ses conseillers.
« Les comptes de l'association sont validés chaque année par un commissaire aux comptes indépendant »
Ces discussions doivent être franches et dans le respect des contraintes de chacun avec pour objectif commun une structure de club enfin assainie et sans risque de retour en arrière. Je défends les intérêts du club dans son ensemble en recherchant un bon équilibre entre l'association et la future SASP. Dès leur finalisation, nous pourrons rapidement soumettre les conventions au vote du CA et de l'AG.
Frédéric Sitterlé dénonce en filigrane l'absence de transparence dans la gestion de l'association, « certaines mauvaises habitudes », des rémunérations indues. A-t-il quelques raisons de vous accuser de la sorte ?
Non absolument pas, d'ailleurs je ne prends pas personnellement ces remarques. C'est bien la SASP qui traditionnellement gérait directement, comme dans tous les grands clubs, les principaux contrats comme par exemple Racing Espace Vert, l'Alsacienne de Restauration ou encore SportFive qui était par exemple rémunéré sur la base d'une commission. Je vais par sécurité refaire des vérifications auprès de notre trésorier, Gérard Lehr, pour m'assurer que tout est conforme mais j'ai pleinement confiance en lui. Les comptes de l'association sont également validés chaque année par un commissaire aux comptes indépendant. Nous devons continuer à renforcer la rigueur de notre gestion c'est une évidence comme pour toute structure, encore plus quand il y a de l'argent public.
On imagine que vos relations ne sont guère au beau fixe à la lecture des échanges apparus sur la place publique. Est-il concevable que vous puissiez encore travailler avec celui que beaucoup ont présenté comme le « sauveur du Racing » ?
Il n'y a pas et il n'y aura pas de « combat des chefs ». Je lui ai laissé la présidence de l'association en septembre quand il me l'a demandé. Je l'ai reprise en décembre quand il l'a souhaité. Il avait alors réalisé qu'il ne pouvait pas signer la convention de marque qu'il avait lui-même préparée à la fois pour le compte de l'association et pour celui de sa société BMV.
« L'association a défendu avec acharnement les intérêts du club sous l'ère Hilali, elle doit pouvoir continuer à le faire »
Dès qu'une convention sera signée la SASP aura en charge l'équipe 1. Les discussions sur le contenu des deux conventions (marque et SASP) ne sont pour autant pas terminées. Le passé récent a montré l'importance de ce cadre contractuel en cas de crise. C'est pour cela que j'y suis très attentif. L'association a défendu avec acharnement les intérêts du club sous l'ère Hilali, elle doit pouvoir continuer à le faire à l'avenir en cas de difficultés.
Comment envisagez-vous la suite ? Décelez-vous encore quelques raisons de croire en des lendemains plus sereins dans un club qui reste l'objet d'une incroyable agitation ?
Le club est premier de son groupe grâce à la qualité de son entraîneur, François Keller, et de ses joueurs. Sa remontée devient possible. Il faut que chacun tienne ses engagements. Les joueurs doivent pouvoir jouer sereinement sur le terrain. N'oublions pas une chose : sans victoire, il n'y aura ni reconstruction ni remontée au plus haut niveau. C'est cela qui doit être notre priorité.
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@Triangle
Dans le cas d'une association, il est impossible d'être passible d'un abus de biens sociaux dans la mesure où cet abus porte sur des biens sociaux donc « d'une société » qui doit être commerciale de surcroit...
Donc, M. Sitterle ne peut être poursuivi pour un tel délit mais éventuellement il pourrait avoir à répondre d'un détournement de fonds, délit qui me parait difficile à constituer dans la mesure où ses deux amis ont certainement travaillé - au moins un peu - sur le sujet racing...
Par ailleurs, on ne peut pas parler de défraiement pour des honoraires. Les frais sont normalement payés en sus. Je doute que les repas et autres aient été payés de la poche des « convives », ce qui, en passant, aurait de la gueule. On n'est donc plus près de disons 2000 euros (500 euros de frais divers (repas, train etc.) par mois).
Pour le reste,
Perso, je ferai aussi travailler mes amis dans ce cas de figure mais évidemment ici, le problème n'est pas légal mais moral : c'est de ne pas avoir dit qu'ils étaient rémunerés et donc éventuellement de leur avoir payés leurs frais sur un « club » (en fait une simple assoc) qui etait et est en grosse difficulté financière.
La vraie classe dans cette affaire pour Sitterle aurait été de n'avoir rien fait payer à l'association racing même pas un ticket de tram. Il n'y aurait alors eu aucune preuve pour l'attaquer...
Il aurait pu rémunérer ses amis une fois la SASP crée. Ils pouvaient bien attendre quelques mois, non ? Je ne pense pas qu'ils étaient à la rue...
Son équipe en serait sortie grandie mais maintenant elle est plutôt dans la merde....
Comme quoi dans cette histoire comme d'autres il est toujours beaucoup plus intelligent de dire toute la vérité.
On peut considérer que Sitterle a raison de vouloir se faire rétribuer d'une manière ou d'une autre s'il investi. Je ne crois pas qu'il y ai beaucoup de « philantropes » dans le football à part et paradoxalement dans les clubs comme City ou Chelsea ou le passif est tellement grand qu'on n'est pas loin de la charité (hors éventuels blanchiments mais bon, no comment)
En l'occurrence, la marque était le dernier et unique actif du racing et vraiment le dernier des derniers... Sitterle comme tout autre businessman savait qu'il pourrait seulement gagner de l'argent la dessus.
Son seul problème moral est de ne pas l'avoir dit au moment de sa reprise : du style, je ne suis pas mère Theresa, je veux bien investir mais pas à fond perdus et voila.
Ce n'aurait pas été très populaire mais les alsaciens l'auraient compris et surtout c'est exactement de cette honnêteté et sincérité dont le club avait besoin et que tout le monde avait appellé de ses voeux !
Faut croire qu'investir dans un club de foot n'intéresse jamais les gens honnêtes et sincères
Wait and see anyway... -
Ca commence a partir en cacahuète toutes ces histoires
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J'ai vraiment l'impression d'un règlement de compte entre Godin et Sitterle .
En tout cas le radiostub de ce soir risque d'être mythique
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Je me répète pour la nième fois que Stéphane Godin ne cherche nullement à régler le moindre compte avec Sitterlé. Il tient tout simplement à rétablir la vérité. L'article de ce jour montre combien l'homme à la casquette a menti dans les propos tenus dans les DNA de hier
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Merci infiniment, SSUN, pour ton apport juridique éclairé et éclairant. Enfin un vrai juriste !!!!
A COCO, GODIN a le grand mérite, parmi d'autres, d'avoir révélé les dessous de cette affaire mais il n'est en guerre avec personne. Sans rancune de ma part.
Ce que dit SPIELMANN, un parfait honnête homme, c'est que l'association était contrôlée, tous les ans, par un commissaire aux comptes indépendants. Je crois l'avoir écrit il y a une trentaine de pages.
Ce qui est encore plus intéressant, c'est que les fournisseurs et les prestataires de service avaient affaire, non pas à l'association, mais à l'ancienne SASP aujourd'hui en liquidation. C'est de ce côté qu'il faudra chercher les malversations éventuelles.
Quant au fan club de SITTERLE, il va bien falloir qu'il se rende compte qu'il manque quelques boulons à la statue de son idole.
:-B -
Tu devrais attendre au mois cette après midi pour te palucher la nouille. Sitterlé devra je pense détailler l'ensemble des faits qu'il reproche à l'association.
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A Pur et Dur, sans avoir lu ton post avant ma réponse, je me rend compte que nous avons la même vision de GODIN qui ne fait que rechercher la vérité, si dérangeante qu'elle soit pour certains (+)
A SITTERLE, d'assumer ses engagements maintenant. -
Je suis du même avis que SSUN . Sitterlé n'a pas été franc , Godin n'a révélé que des choses vraies , aucune n'a été démentie par Sitterlé , donc on devient méfiant .
Ce n'est pas de la haine , comme j'ai pu le lire ailleurs , c'est du doute .
Après il nous sort une histoire , non prouvée elle , de malversations . J'attends la suite .
Il n'a rien donné , il veut se la jouer chevalier blanc , on verra . -
Je comprends plus rien mais j'aimerais juste savoir si Sitterlé veut se faire payer la marque "racing" oui ou non ??
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jamal a écrit, le 2012-02-20 09:23:00 : Tu devrais attendre au mois cette après midi pour te palucher la nouille. Sitterlé devra je pense détailler l'ensemble des faits qu'il reproche à l'association.
Pas d'attaque personnelle, JAMAL. Au fait, j'attend un mois ou cet après-midi ? L'onanisme n'a jamais été ma tasse de thé. J'ai ce qu'il faut dans mon entourage.
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