Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

Les employés du Racing (les vrais)

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Flux RSS 342 messages · 45.070 lectures · Premier message par strohteam · Dernier message par frollo

  • Citation:
    Le comité d'entreprise reporté. Egalement prévu le 30 juin, le comité d'entreprise du club a finalement été repoussé à une date ultérieure. Mais au regard des exigences de la DNCG (voir par ailleurs), le personnel ne devrait pas échapper à un plan social dont l'ampleur reste indéfinie.


    L'Alsace

    Je pense qu'on avait été quelques un à être surpris de ne pas voir cette mesure dans le premier budget, on dirait que ça sera pour le second. Encore une fois ce sont ceux qui sont au plus bas de l'échelle (des salaires en l'occurrence) qui vont payer le plus cher l'incurie et le dilettantisme des autres.

    Cela étant, un plan social, ça se finance et là aussi c'est de l'argent à mettre rapidos sur la table.
  • c'est à :-& , surtout s'ils (les dirigeants du RCS) nous sortent un discours du genre "nous, on voulait tout faire pour sauver les emplois, mais la méchante DNCG..."

    Là par contre, si cela se fait, je me rangerais du côté des intransigeants du Fontenla casse toi X-( Dayan, l'ont payé combien pour ne rien faire?
  • Hors sportif, ça représente combien de personnes ?
  • Une trentaine je crois.
  • On parlait d'une quarantaine, en incluant les éducateurs du centre. Hors sportif, on doit être à environ 25 personnes.
  • Cela me semble tout à fait logique que le Racing se sépare d'une partie de ses employés.
    C'est pas un truc sympa à faire mais cela fait longtemps que cela aurait du être fait.
  • On a fonctionné deux ans en L2 avec une infrastructure de L1 avec l'espoir de remonter en L1 très rapidement. On se retouve aujourd'hui en National avec un déficit bien creusé. L'équipe que l'on aura sera du niveau National, pas mieux. Comment alors pouvoir maintenir un tel train de vie ?
    De plus, si le Racing ne remonte pas immédiatement, il pourra certes bénéficier éventuellement du statut pro encore une année de plus, mais comment dans ce cas continuer à faire vivre un centre de formation dont la politique est à projeter sur plusieurs années ?
    Il y aura à l'évidence des coupes sombres dans le personnel, cela devient inéluctable. Merci à tous ceux qui ont oeuvré pour en arriver là (je sais, je me répète).
  • « Obligés de faire confiance »

    La bonne parole présidentielle, dispensée à l'ensemble des salariés pendant moins de 10 minutes hier midi au salon des présidents de la Meinau, a-t-elle suffi à rassurer des salariés qui, depuis des mois, se demandent à quelle sauce ils vont être mangés ?

    Alors qu'un plan social, qui devrait entraîner le licenciement d'une dizaine de personnes, est en gestation dans les bureaux de la City londonienne où travaillent les propriétaires du club (notre édition d'hier), personne n'a évidemment souhaité s'exprimer à visage découvert après l'annonce de la rétrogradation en CFA. Qui pourrait reprocher à un personnel bien plus traumatisé que ne le certifie Jean-Claude Plessis de ne pas vouloir se mettre en porte-à-faux ? « J'espère juste que ça va s'arranger pour le club », s'était ainsi contenté de lâcher le nouvel entraîneur, Laurent Fournier, en apprenant la nouvelle à la fin de l'entraînement matinal.

    Les autres réactions, anonymes donc, sont de la même veine : plus fatalistes que virulentes. « Le président ne nous a pas donné de détails », témoigne un employé, « il a juste dit que les actionnaires ne laisseraient pas tomber le club. La direction nous invite à continuer à travailler. Nous sommes à son écoute et il n'y a pas de raisons de nous arrêter. Tout simplement parce qu'il y a une saison à préparer. »

    Plutôt qu'à fournir des réponses, les salariés sont ces temps-ci beaucoup plus enclins à poser des questions. « Comme souvent depuis quelques mois, le président a voulu se montrer rassurant », raconte un autre. « Nous sommes bien obligés de faire confiance. Les enjeux nous dépassent. Nous ne pouvons pas intervenir sur les événements, juste les subir. » Avec, depuis hier, une épée de Damoclès effilée comme un rasoir au-dessus de la tête. Comme dans le cynique film « Que les gros salaires lèvent le doigt » sorti en 1982, tous en sont à se demander qui va être éjecté de ce cruel jeu des chaises musicales.

    L'Alsace
  • Ce message est une brève publiée par katzo68.
    Valérie Bonjour, attachée de direction au Racing, va être licenciée par le club.
    Source: L'Alsace
  • Valérie Au Revoir ? :D
  • Mince quelqu'un l'a faite avant moi. :D
  • Évidemment, ce sont les plus modestes, ceux qui n'ont rien demandé, les gens qui travaillent dans l'ombre, qui vont trinquer...
    Chienne de vie b-(
  • En même temps, quand on sait qu'elle a été recrutée par Gardon, ça relativise, non ? :-'
  • Ouai p'tin et qu'elle ne trouve surtout plus jamais de boulot hein!

    (Qu'est ce qu'il faut pas entendre b-( )
  • On est en CFA , pratiquement , le club va devenir amateur , vous voulez qu'ils gardent tout le monde ?
    Faudra en licencier pas mal mais si le club dans 2 ans remonte en L1 , ils pourront réembaucher .

    Le patron de ma femme, pour une baisse du chiffre d'affaire de 8 % , a eu l'accord de l'inspection du travail pour la licencier .
  • Effectivement. C'est triste, mais plus on attend plus ça serait difficile pour le club, de vivre comme ça avec un train de vie de L1. D'ailleurs pas dit que la masse de travail soit la même en National qu'il y a quelques années pour le personnel administratif.
    Sur ce coup là Ginestet a sans doute été trop optimiste et gentil lors de la non-remontée.

    A noter que l'impact ne se fera vraisemblablement pas énormément sentir cette année, avec les indemnités de licenciement (en espérant qu'ils n'aillent pas aux Prud'hommes pour tout le monde... b-( ), mais plutôt à partir de l'an prochain...
  • Pourquoi n'iraient-ils pas aux prud' ? :-/
    La mauvaise gestion sportive des joueurs et financière des dirigeants n'est pas de leur fait.
  • Derrière notre soulagement on aura tout de même une pensée pour certaines personnes après les dernières déclarations de Plessis.
    Tout le monde n'a pas envie de sourire aujourd'hui et il est bon de ne pas l'oublier.
  • Oui enfin il y en a tout les jours des gens qui vivent ca, voila c'est con mais c'est la vie.Ils devaient s'y attendre.
  • Plus facile de relativiser lorsqu'on n'est pas concerné.
    Tu m'excuseras mais ta réaction est stupide.
  • Non elle est logique.Je n'est pas dis que ce n'est pas regrétable mais il n'y a pas le choix, et tout le monde le savait
  • Elle prouve surtout que tu es étranger à tout ça.
    Avant d'être à mon propre compte j'ai été victime avec d'autres de la gestion catastrophique d'un patron il y a de nombreuses années,et en ce sens j'ai plus de mal à relativiser en penser à ceux qui vont subir l'incompétence de personnes qui ont fait sombrer le Racing ces dernières années.
    Enfin ce n'est rien de nouveau et ce sont toujours les mêmes qui payent la casse au final,pendant que d'autres continuent de vivre confortablement.
  • T'es chiant b-(
  • guigues a écrit, le 2010-06-21 15:22:08 :
    Cela me semble tout à fait logique que le Racing se sépare d'une partie de ses employés.
    C'est pas un truc sympa à faire mais cela fait longtemps que cela aurait du être fait.

    En fait c'est guigues qui résume le mieux la situation
  • Sans vouloir défendre GREGRCS, je pense qu'il voulait dire qu'a partir du moment ou le club tombait en National, il était évident que les employes du Racing seraient concernés par des licenciements.
    C'est triste, dommageable pour ces personnes mais malheureusement inévitable.
    Dailleurs je me demande si lors du premier budget présenté a la DNCG, PLESSIS n'avait gardé toute la strcuture administrative mais même si le différentiel ne vient pas que de ça, la DNCG a bien du demander des coupes franches sur ce poste....
    C'est comme dans n'importe quelle entreprise lorsque la gestion est mauvaise, ce sont trés souvent pour ne pas dire toujours les employes qui trinquent en premier.
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