Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

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Flux RSS 950 messages · 191.207 lectures · Premier message par kibitz · Dernier message par raukoras

  • Finalement les rennais ont bu des coups au centre, la police a eu des renforts, tout est bien qui finit bien puisque Troyes a perdu.
  • Accueil sympa, effectivement , s'ils pouvaient se passer des fumigènes et de cette "chanson" complètement débile " aux armes":p
  • Vers un fichage légal des supporteurs de football

    Un travail commun entre le ministère de l’intérieur et un député Les Républicains (LR) pourrait donner naissance dans les prochaines semaines à une nouvelle loi sur la gestion des supporteurs de football. Le projet de loi renforçant la lutte contre le hooliganisme, soutenu par le député LR de l’Yonne Guillaume Larrivé et négocié avec le gouvernement, a passé mercredi 27 janvier l’obstacle de la commission des lois, adopté à l’unanimité après un amendement du groupe socialiste.

    Il a pour objet de permettre aux clubs de refuser l’accès au stade à des supporteurs ne faisant pas l’objet d’une interdiction de stade, qu’elle soit administrative ou judiciaire, mais ayant porté atteinte « aux dispositions prises par les organisateurs pour assurer le bon déroulement ou la sécurité de ces manifestations ».
    Une loi proposée après une rencontre Marseille-Lyon

    Les clubs pourraient également inscrire sur un fichier les personnes n’ayant pas respecté les conditions générales de vente ou le règlement intérieur du stade, « dans des conditions fixées par décret en Conseil d’Etat pris après avis de la Commission nationale de l’informatique et des libertés (CNIL) ».

    Lire aussi : Interdiction de déplacement des supporteurs : « Une mesure disproportionnée et liberticide »

    Cette proposition avait été émise en septembre par Guillaume Larrivé dans la foulée des incidents durant le match Marseille-Lyon, qui avait suscité une nouvelle polémique sur le comportement des ultras dans les stades.

    Dans un premier temps, elle n’avait pas été soutenue par le gouvernement. Le Conseil d’Etat et la CNIL ont en effet sanctionné par le passé un fichier similaire, appelé « Stade », qui permettait au club parisien de répertorier leurs supporteurs jugés indésirables mais pas interdits de stade.

    Lire aussi : Interdictions de stade : le PSG à nouveau épinglé par la CNIL

    L’arrêté de création du fichier a été suspendu en mai 2015, à la suite du recours de la Ligue des droits de l’homme et de plusieurs associations de supporteurs, au motif que le fichier portait « une atteinte grave et immédiate au droit au respect de la vie privée, tant par la nature des informations collectées qu’en raison de leur transmission aux clubs sportifs [le PSG]. »

    Le texte de Guillaume Larrivé est ainsi parfaitement adapté à la situation du Paris-Saint-Germain, engagé dans une lutte contre une partie de ses supporteurs, qu’il juge incontrôlables. Ces supporteurs n’étant pas interdits de stade – certains l’ont été par la préfecture de Paris avant que la justice ne casse leur interdiction, faute de preuve –, le club ne peut en théorie leur refuser l’accès au Parc des Princes.

    Lire aussi : PSG : la justice annule des interdictions de stade
    Clubs et supporteurs pas consultés

    « Il faut donner aux clubs de football la capacité effective d’exercer les responsabilités qui sont les leurs en matière de sécurité dans les stades », justifie M. Larrivé. Une proposition qui étonne Bernard Caïazzo, président de Première ligue, syndicat autonome des clubs de foot de Ligue 1. Joint par Le Monde, le président du conseil de surveillance de l’AS Saint-Etienne affirme ne pas avoir été consulté lors de la préparation du projet de loi.

    L’article 2 de ce projet de loi prévoit quant à lui l’allongement d’un à deux ans de la durée des interdictions administratives de stade, infligées par les préfets sans qu’il soit besoin de recourir à la justice.

    L’article 3 évoque la transmission des nouveaux fichiers aux instances sportives internationales telles que l’UEFA, la FIFA ou le Comité international olympique. L’article 4 stipule que les abonnements annuels seront remis nominativement par le club ; ce qui n’est pas le cas à Marseille, où les abonnements sont gérés par les associations de supporteurs.

    Le texte doit s’enrichir à l’avenir d’un article créant un organisme national représentatif des supporteurs, désigné par le ministère des sports. Cette instance serait « chargée d’assurer un rôle d’interlocuteur privilégié avec les clubs, les fédérations, les ligues, les pouvoirs publics et tous les partenaires institutionnels ». Retiré lors de l’examen de la commission des lois, cet amendement cosigné par des députés de l’ensemble des groupes de l’Assemblée nationale sera réécrit afin d’être présenté lors de l’examen du texte en séance, le 4 février.

    Cette demande de représentativité, soutenue par le secrétaire d’Etat chargé des sports, Thierry Braillard, est une requête des groupes de supporteurs et obéirait aux injonctions de l’UEFA, qui dénonce l’absence de dialogue entre les supporteurs et les dirigeants du football français.
    « Abandon de pouvoirs régaliens à des sociétés privées »

    « La lutte contre le hooliganisme n’est pas incompatible, bien au contraire, avec un meilleur dialogue, avec les supporteurs, qu’il faut bien sûr distinguer », a estimé Guillaume Larrivé devant la commission.

    L’Association nationale des supporteurs (ANS) a précisé n’avoir pas été reçue, malgré sa demande, par le député Les Républicains. « Nous sommes très étonnés, puisque à l’heure où la plupart des acteurs essayent d’instaurer un dialogue entre les différentes parties, nous n’avons pas du tout été consultés », déplore le président de l’ANS, Pierre Revillon.

    « Ce texte, c’est encore plus de répression et un abandon des pouvoirs régaliens par les pouvoirs publics à des sociétés privées. Il porte un très grave risque d’atteinte irrémédiable aux libertés des supporteurs, n’apporte aucune solution aux problèmes existants et va même nourrir un sentiment général pouvant conduire à l’irréparable », affirme, inquiet, un supporteur lensois.


    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/football/article/2016/01/27/vers-un-fichage-legal-des-supporteurs-de-football_4854906_1616938.html#ED91e7golhOGoSWv.99
  • Ou lorsque nos gentils gouvernants se trompent de terroristes.
  • Je ne pense pas qu'ils se trompent, ils appliquent seulement les mêmes recettes à ceux qui les dérangent. Qui sera la prochain ?:-$
  • A Larrivé, c'est le foot français qui trinque.
  • Nouvelle interdiction de déplacement, cette fois pour les supporters du FC Bâle, qui devaient se rendre à Saint-Etienne, ville qui accueille l'Euro dans quatre mois. Encore une fois, ça promet...
  • c'est cohérent de la part des autorités (+) Passer pour des incapables au niveau européen en vue de l'euro.
  • Le préfet de la Somme vient de prendre un arrêté pour interdire les supporters d'Orléans à Amiens ce samedi. Il était en effet certains que les supporters de l'USO allaient débarquer à 1000 pour mettre la ville à feu et à sang.
  • Sûrement en lien avec les problèmes qu'on eu les Drouguis cette saison a domicile avec ceux d'Amiens.
  • + le faite que le match se passe dans un stade de 2000 places sans équipement
  • Heureusement qu'il n'y a pas de grand évènement organisé dans deux stades à à peine 100km plus au nord dans quelques mois...
  • Parodie d'arrêté rédigé par les membres du site http://www.wearemalherbe.fr/ à l'occasion de l'arrêté interdisant le déplacement des Rennais à Caen la semaine dernière.

    http://i84.servimg.com/u/f84/14/96/12/84/arrete11.jpg
  • Citation:
    Dimanche, sur une des banderoles dévoilées lors de la rencontre entre Nantes et Monaco, ce message : « Avec des interlocuteurs interdits de stade, comment allez-vous faire pour dialoguer ? » Le porte-parole de la Brigade Loire craint une interdiction de stade.
    Pour avoir été parmi les 200 supporteurs nantais à Lorient alors que le préfet avait pris 1 arrêté préfectoral l'interdisant. 1 seule personne convoquée au tribunal.

    http://www.20minutes.fr/nantes/1796635-20160229-fc-nantes-porte-parole-brigade-loire-craint-interdiction-stade
  • Dans le projet de loi sur la "lutte contre le crime organisé, le terrorisme et leur financement" (sic !), un amendement visait "à permettre à l’autorité administrative ou au ministre de l’Intérieur d’interdire par arrêté les déplacements de supporters dans les fans zones" (re-sic)...

    L'amendement a été refusé en commission, mais ça illustre bien le contexte actuel.
  • http://www.butfootballclub.fr/wp-content/uploads/Banderole-Beaujo...

    "La Dépêche: un torchon à l’appétit de sensationnalisme jamais rassasié."

    La banderole des supporters nantais en réaction à l'article de la Dépêche du midi suite au déplacement à Toulouse. Un énième article de propagande sécuritaire n'hésitant pas à faire passer les ultras nantais pour des hooligans écervelés ...
  • http://brigadeloire.fr/medias/photos/img/copyrigh/15-16/FCN-Monac...

    toujours du même match :)
  • Les rencontres Tottenham - Arsenal, c'est toujours un succès auprès des supporters.

    http://www.theguardian.com/football/2016/mar/05/tottenham-arsenal-fans-north-london-derby

    https://i.guim.co.uk/img/media/98b3ceddb3e16318e62d7fe2ce801db06b...
    Citation:
    Two men were arrested before the north London derby as football fans clashed with police.

    The Metropolitan police said the two men were detained for separate public order offences at around 12.30pm at the Park Lane junction of High Road, in Tottenham, near to White Hart Lane.

    The arrests came as tens of thousands of fans headed to the ground to see Tottenham Hotspur and Arsenal in a highly anticipated Premier League match, which finished in a 2-2 draw.

    Footage posted on social media appeared to show some Tottenham fans clashing with mounted police and one man was seen with a bloodied face in a photo uploaded to Twitter.

    Objects including bottles are seen to be thrown at officers by some fans, while others try to escape the melee.


    Blourg

    JPDarky
  • Petit clin d oeil pour nos amis (ou pas) des ultras parisiens en "déplacement" à Troyes.

    http://www.lequipe.fr/Football/Actualites/Des-ultras-parisiens-a-troyes/648943
  • Chapeau au gars qui a eu l'idée :
    "Bon les gars, on nous empêche d'aller à Troyes pour supporter notre équipe. C'est pas grave, on ira à Troyes quand même... pour le match d'après !"

    Belle auto-dérision. ;)
  • faut aussi sacrément se faire chier à Paris pour passer son weekend au stade de l'Aube.
  • C'est pour ça, qu'ils n'y ont passé que 2 heures...
  • Puisque l'on parle de supproteurs, une tribune du Monde qui explicite clairement les enjeux de la future loi.

    Citation:
    La proposition de loi du député Les Républicains Guillaume Larrivé pour « lutter contre le hooliganisme » pourrait marquer un tournant dans la gestion des supporters. Mais, après les amendements apportés par l’Assemblée Nationale en février et avant l’étude du texte par le Sénat le 5 avril, il est difficile de savoir en quel sens, tant elle contient des orientations divergentes.

    L’utilité du projet originel, qui vise à renforcer des dispositifs répressifs déjà conséquents, est loin d’être évidente. L’imminence de l’Euro 2016 ? Les mesures proposées n’auront quasiment aucun impact sur son organisation. Une augmentation des violences autour des matches ? Les quelques données avancées ne convainquent pas : les incidents entre supporters demeurent, heureusement, d’une ampleur limitée. Néanmoins, Guillaume Larrivé propose deux mesures principales.

    D’abord, augmenter la durée des interdictions administratives de stade. Les interdictions de stade sont de deux sortes, judiciaires ou administratives. Elles peuvent être prononcées par la justice, comme peine complémentaire d’une durée maximale de cinq ans. Ou elles peuvent être décidées par le préfet afin d’écarter immédiatement des enceintes sportives un individu considéré comme dangereux ; pour ne pas trop atteindre les libertés individuelles, la durée d’une interdiction administrative était, lors de son inscription dans la loi en 2006, limitée à trois mois. Depuis, elle n’a eu de cesse d’être allongée - un an voire deux en cas de récidive. Guillaume Larrivé propose de fixer le plafond à deux ans - trois en cas de récidive. Cette proposition s’inscrit dans une tendance lourde, qui dépasse le cadre du sport, à préférer les mesures administratives aux sanctions judiciaires, ce qui est loin d’être anodin étant donné la durée de ces mesures, leurs contraintes - pointage au commissariat à chaque match - et leurs motifs. Selon lesp ériodes, entre la moitié et les 2/3 des interdictions de stade sont administratives et beaucoup d’entre elles ne font pas suite à des violences mais à l’usage d’engins pyrotechniques… Si les interdictions de stade sont utiles et dissuasives quand elles sont bien ciblées et proportionnées, allonger encore la durée des mesures administratives ne paraît pas nécessaire.

    La seconde mesure est radicalement nouvelle. Elle autoriserait les clubs à ficher leurs supporters et étendrait largement leur possibilité de refuser l’accès au stade à des individus considérés comme indésirables. Selon Guillaume Larrivé, il s’agit de clarifier le cadre légal, de responsabiliser les clubs et de permettre aux forces de l’ordre de se concentrer sur des missions plus essentielles. En fait, cette mesure répond à la situation d’un seul club : le Paris Saint-Germain (PSG). Elle peut dès lors être diversement appréciée. Soit en considérant qu’elle encadre des pratiques existantes du PSG, lequel écarte déjà, en flirtant avec la légalité, certains de ses supporters qui ne sont pourtant pas interdits de stade. Soit en estimant que la loi est adaptée aux exigences du PSG. Si la réécriture du texte par l’Assemblée limite les risques d’abus et prévoit des garde-fous (l’avis du Conseil d’Etat et de la CNIL), les garanties demeurent très insuffisantes. Ce transfert de compétences des pouvoirs publics vers les clubs doit être mieux étudié et encadré.

    En outre, cette proposition de loi s’inscrit dans un contexte récent, postérieur à son dépôt, d’exacerbation des tensions entre supporters, notamment les ultras - les fans les plus engagés et parfois excessifs -, et pouvoirs publics et sportifs. Sous couvert d’état d’urgence, les interdictions de déplacement pour suivre l’équipe à l’extérieur ont considérablement augmenté. Quant aux supporters ayant l’autorisation de se déplacer, ils subissent parfois des dispositifs de maintien de l’ordre particulièrement inhospitaliers. Des clubs ont aussi reçu des amendes des autorités sportives pour des banderoles de leurs supporters ne présentant pas de caractère insultant mais critiquant le projet de loi ou la politique du PSG envers ses fans.
    Les ultras se sentent ainsi persécutés, ce qui renforce leur hostilité envers les policiers, même si une fédération d’ultras se pose en interlocuteur national en condamnant la violence. Quant aux forces de l’ordre, elles reçoivent le message que les supporters, surtout ceux qui suivent leur équipe à l’extérieur, sont dangereux. Dès lors, ultras et policiers se considèrent comme des ennemis, ce qui a provoqué de graves incidents lors de Le Havre-Lens ou de Reims-Bastia. Il est donc urgent de s’interroger, comme le député François de Rugy devant l’Assemblée, sur les « dérives » du maintien de l’ordre autour des matches de football, de sortir de ce cercle vicieux et d’enclencher une désescalade des tensions entre supporters et policiers. Il faut faire respecter l’ordre public et sanctionner les violences de certains supporters, tout en accueillant correctement les fans et en dialoguant avec leurs représentants.

    C’est une orientation que contient la proposition de loi puisqu’elle développe, suite à des amendements, un volet préventif inédit, en considérant les supporters comme un des acteurs du sport et en proposant des dispositifs de dialogue locaux et nationaux. Concrétisant la position défendue par plusieurs rapports et par le secrétaire d’Etat aux sports Thierry Braillard, le texte adopté par l’Assemblée ouvre la voie à une politique de gestion des supporters qui ne soit plus seulement sécuritaire, mais qui combine répression et prévention. La modification du titre du projet, qui vise désormais à renforcer « le dialogue avec les supporters et la lutte contre le hooliganisme », est un symbole fort, qui ne devra pas rester que symbolique.

    Nous espérons donc que les sénateurs aboutiront à un texte plus équilibré et que les autorités sauront apaiser les tensions entre supporters et policiers. L’enjeu dépasse le football. Annoncer les interdictions de déplacement quelques jours seulement avant les matches, les justifier par des motifs parfois ubuesques, étudier le projet de loi devant une poignée de députés, laisser à Gilbert Collard le soin de s’interroger sur les atteintes aux libertés qu’il contient…, tout cela renforce la distance de nombreux supporters envers les institutions.

    Nicolas Hourcade, Ludovic Lestrelin et Patrick Mignon sont sociologues et co-auteurs du Livre vert du supportérisme, éditions Ministère des sports, 2010


    En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/idees/article/2016/04/05/pour-une-desescalade-des-tensions-autour-des-supporters-de-football_4896046_3232.html#dHpovZrXhCXSjl5B.99
  • Geoffrey Jourdren, gardien de Montpellier, a du s'excuser d'être allé assister à un match à Nîmes, après que cela a été mal pris par certains qui se nomment "supporters" !!!!!

    Il faut arrêter le délire.

    Voici l'article du Midi Libre

    Présent au stade des Costières vendredi soir lors de la victoire synonyme de maintien des Crocos face à Lens (4-2), le gardien du MHSC a tenu de lui-même à venir s'expliquer dimanche, dans la foulée de la victoire de Montpellier contre Troyes (4-1) lors de la 35e journée de Ligue 1.

    C'est incroyable mais vrai. Un joueur de Montpellier n'a pas le droit d'assister à un match à Nîmes sous peine de s'attirer les foudres des supporters des deux camps. Et, plus extraordinaire encore, le “fautif” est invité à justifier son geste sous peine d'être le nouveau pestiféré du stade de la Mosson.

    Geoffrey Jourdren en a fait la cruelle expérience la semaine dernière lorsque ces derniers sont montés au créneau pour dénoncer sa présence, vendredi aux Costières, lors de Nîmes-Lens. Deux jours plus tard, sitôt terminée la rencontre Montpellier-Troyes (4-1), le garçon s'est même senti obligé de revenir sur le sujet.

    "Les supporters étaient tous contre moi car j'ai été voir Nîmes-Lens. Je ne pensais faire de mal", a d'abord indiqué Jourdren avant de préciser sa pensée : "J'allais juste soutenir de la famille lensoise. Je ne peux pas aller à Lens en temps normal. Malheureusement, en tant que Pailladin, il parait que je suis interdit d'aller à Nîmes (sic). Je m'excuse auprès d'eux d'avoir pu les offenser. Mais en aucun cas je suis pour Nîmes. Je suis 100 % pailladin, 200 % pailladin même. Je m'excuse si j'ai pu offenser tous ces gens..."
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