Le monument Guy Roux prend sa retraite
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fideliodire que SARKO et BACHELOT ont mis leurs grains de sel pour qu'il puisse entrainer.aujourdh'ui ça me fais bien marrer. -
Pas mieux (+)
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Trop c'est trop! Depuis ce dimanche matin, on n'entend parler que du départ de ce brave Guy Roux. Alors là,franchement, il y en a plus qu'assez. Qu'on nous fiche la paix avec toutes ces conneries. Il a voulu revenir alors que personne ne lui avait rien demandé. Il n'avait qu'à goûter à une retraite bien méritée. Aujourd'hui, qu'il ne vienne surtout ne pas pleurnicher avec des excuses à la gomme. Qu'il reste tranquille dans son coin, laissa sa place à un jeune (bonne chance JPP) mais je n'ose y croire. Il continuera à nous emmerder avec ses commentaires à la con que ce soit sur Canal + et à Europe 1. Une dernière supplique: Guy reste tranquillement chez toi et pour une bonne fois épargne-nous tes éternelles jérémiades. Profite de ta retraite et vive les jeunes!
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Guy Roux n' a jamais fait les choses comme les autres. Quel entraineur à part Guy Roux est resté fidèle au même club pendant plus de quarante ans et peut se vanter d' avoir fait passer ce club du championnat régional à la ligue des champions ? Qui aurait annoncé sa retraite un soir de victoire en Coupe de France. Qui aurait décidé de reprendre sa carrière d' entraineur à 68 ans pour ensuite arrêter après cinq journées ? On peut ne pas aimer le personnage mais il faut admettre qu' il a marqué l' histoire du football français.
On pourra effectivement parler d' une fin en queue de poisson mais je retiendrai surtout dans cette dernière pérpétie son courage d' admettre qu' il n' était plus en mesure d' assumer sa fonction. Je me réjouis d' avance d' entendre sur Canal + ou sur Europe 1 ses futures analyses sur le passion de sa vie, le football. -
Guy Roux : « Plus d'émotions et de colères »
Guy Roux qui a démissionné samedi de son poste d'entraîneur de Lens, a expliqué sa décision par son manque « d'émotions et de colères », conséquence de sa prise de médicaments après son pontage coronarien.
Guy Roux, c'est un soulagement de quitter Lens ?
« Ce n'est pas un soulagement de quitter un rôle actif dans le football français. Lens a la possibilité d'engager un entraîneur plus jeune, en pleine possession de ses moyens, pour atteindre les objectifs fixés ».
C'était une erreur de reprendre une équipe ?
« Lens était venu me chercher, je n'avais pas prévu de revenir aux affaires, à l'époque où j'avais un problème d'existence à Auxerre. Deux offres m'étaient parvenues, Lens et Bordeaux étaient insistants. J'ai choisi celle de Lens, la plus conforme à mon tempérament. J'ai eu un doute, mais Gervais Martel m'a réchauffé le coeur ».
Votre avis sur Jean-Pierre Papin , votre successeur ?
« En 11 matches, Lens n'a subi que deux défaites, et reste en lice pour une qualification en UEFA. Il restera à Jean-Pierre Papin de terminer le travail contre Berne avec au moins un nul 0-0 (jeudi, 19h, à Bollaert). C'est un excellent choix des dirigeants lensois. Il est jeune (43 ans), il a eu une carrière fabuleuse. C'est le bon moment pour lui d'avoir un grand club à sa disposition ».
Quel est votre état de santé ?
« Mon état de santé est excellent. Tous les gens qui ont eu un pontage cardiaque le savent bien, mon problème vient plutôt des médicaments que je dois prendre pour rester en bonne santé. Les bêtabloquants m'empêchent d'avoir les émotions et les colères que j'ai eues dans ma carrière. Or les colères, c'est nécessaire pour un entraîneur. Je n'avais plus le même enthousiasme pour transformer le nul en victoire. Cela m'est apparu évident à la mi-temps du match contre Valenciennes. Je n'ai pas su secouer le cocotier pour retourner le match et décrocher la victoire ».
Vous avez eu des conflits avec des joueurs. Est-ce une raison de vos problèmes ?
« Cela arrive dans la vie de tous les groupes. Si j'avais voulu éviter cela, je ne serais pas redevenu entraîneur. A Auxerre, c'est vrai que cela ne serait pas arrivé ».
source : l'Alsace -
Guy Roux s'en va Jean-Pierre Papin arrive
À 68 ans, Guy Roux quitte cette fois définitivement la scène et laisse sa place sur le banc de Lens à Jean-Pierre Papin, 43 ans, qui va lui découvrir la Ligue 1.
Roux, 894 matches en L1 en tant qu'entraîneur, croise Papin, 0 match. Le président Gervais Martel ne voulait pas présenter son nouvel entraîneur avant aujourd'hui, mais le secret a été éventé, notamment par Guy Roux lui-même: « Papin est déjà embauché ! Je vais l'attendre pour le renseigner sur l'équipe, et aussi bien-sûr sur les Young Boys Berne puisque je les ai étudiés ».
Le club suisse sera d'ailleurs le premier adversaire du Racing version Papin, jeudi à Bollaert, en match retour du 2e tour préliminaire retour de la Coupe de l'UEFA (1-1 à l'aller).
Papin, au chômage après avoir été évincé de Strasbourg malgré une indéniable réussite sportive (la remontée en L1), a évoqué ses « grands débuts en L1. Lens fait partie des cinq grands clubs français et c'est une grande fierté de prendre le club de la région qui m'a vu naître (il est de Boulogne-sur-Mer) ».
« Succéder à un monument comme M. Guy Roux est un grand honneur, a ajouté 'JPP'. C'est assez exceptionnel pour moi. Si un jour je peux faire aussi bien que lui dans ce difficile métier d'entraîneur...»
La dernière joie de Guy Roux
« Ma dernière joie est de passer le flambeau à un jeune entraîneur français, a insisté le démissionnaire. Je suis très, très, très content qu'il ait un poste de premier plan ». Cet enthousiasme pour celui à qui il passe le flambeau n'est certainement pas feint. Il y a bien des rapprochements à faire entre les deux hommes. Si Roux, contrairement à « JPP », n'a pas été un grand joueur, ils se rejoignent sur la modestie de leurs débuts de carrière sur le banc.
Comme Roux, qui a pris son AJA au niveau régional au début des années 1960, Papin, patiemment, a commencé par apprendre le métier en Division d'Honneur, à Arcachon, quand d'autres internationaux commençaient sur le banc de Monaco, comme Didier Deschamps (2001), ou de Bordeaux, comme Laurent Blanc cette année.
Papin, Ballon d'Or 1991, acceptait de reprendre une carrière à zéro, d'accord pour retourner à l'école du football amateur pour y apprendre son nouveau métier.
Respectant les délais de rodage d'un diesel, l'ancien capitaine de l'OM et de l'équipe de France a ensuite pris son premier club professionnel en Ligue 2, modestement, l'été dernier: le RC Strasbourg.
Malgré la remontée immédiate, le président Philippe Ginestet n'a pas gardé son entraîneur. Il semble notamment qu'une partie de son vestiaire critiquait les méthodes de JPP.
Un retour « précipité »
Vexé d'avoir été éconduit, Papin rebondit donc déjà, à Lens. Le Racing, lui, va continuer avec lui une saison alors qu'un autre avait mis la machine sur les rails, assuré la préparation, et teinté de bleu Auxerre le recrutement (Akalé, Kalou, Pieroni et Le Crom).
« Mon retour a été précipité », reconnaît Guy Roux, qui dégage en touche quand on lui fait remarquer qu'il laisse les Sang et or au milieu du chemin. « Ce n'est pas totalement négatif pour Lens, qui, quand je suis arrivé, était dans un état de sinistrose à cause de sa Ligue des champions manquée (le RCL n'a lâché la 3e place qu'à la dernière journée), a assuré Roux. Il y eu le record d'abonnements de battu avec 26.000...»
Il ne s'est pas non plus laissé entraîner dans la polémique sur cette fin en queue de poisson alors qu'en juillet son retour avait fait parler la France entière, jusqu'au président Nicolas Sarkozy. La Ligue avait refusé de valider son contrat parce qu'à 68 ans il avait dépassé la limite d'âge (65 ans) et même le chef de l'Etat s'était indigné qu'on empêche de travailler un senior.
«Ce n'était pas de mon fait», a insisté Guy Roux. Il n'a pas perdu son art de la pirouette, peaufiné par trente années de fréquentation de plus en plus assidue des médias, et va pouvoir retrouver avec bonheur son rôle de consultant, sur Europe1 et Canal+.
source : l'Alsace -
Ce qui m'énerve dans cette histoire, c'est que notre victoire méritée face à Lens passe au second plan... Par contre, quand le Racing descend, quand y'a des conflits joueurs-dirigeants ou dirigeants entre eux, la presse en fait ses choux gras !
Mais je vais vous dire, c'est un mal pour un bien, comme ça notre bon début de saison passe inaperçu et l'effet de surprise demeure un peu :p
Concernant Guy Roux, qu'il nous lâche un peu. Certes, c'est un monument du football français, avec un sens de la formule aiguisé, mais se voir attribuer l'aide de politiques pour retrouve un poste d'entraîneur qu'on quitte deux mois plus tard, c'est pas se foutre du monde ça ?
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Ce qui me degoute dans cette histoire c'est que pour Guy Roux on lui fait une derogation a cause de son age...Alors que Guy roux lui meme a empeché un entraineur de diriger son equipe du a son age...
Ce petit détail me reste en travers de la gorge car ça prouve le favoritisme fait par la Ligue pour certains
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Il est certain que plus que le retour de Guy ROUX au poste d'entraineur a LENS, ce qui m'a beaucoup géné c'est la maniére dont cela s'est fait et surtout effectivement les dérogations accordées.
Maintenant une certaine morale a cette histoire donne le clap de fin.
Par contre, G.ROUX , parti de l'AJA, on ne peut pas dire que cela marche mieux la bas et cela casse un peu le cou a la rumeur qui prétendait que la présence de cet homme au club était paralysante pour beaucoup et que dés qu'il serait parti, le club irait mieux.
Je crois que la page est définitivement tournée concernant cette grande figure du Foot Ball Français.
Bonne retraite Monsieur ROUX. -
Moi aussi j'aimerais juste lui rendre un dernier hommage à cet entraineur qui reste pour moi mythique! Donc voila il a fait une très belle carière et a vécu un peu une drole de fin mais bon vu son age c'est pas si grave il faudra retenir ce qu'il a fait avec Auxerre
. Voila sur ce monsieur Guy Roux bonne retraite à vous ( si jamais il passe sur le forum :p) et à bientot dans les travées de la Meinau :))
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Pauvre Lensois quand meme de devoir se coltiner JPP :))
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sjon a écrit : Pauvre Lensois quand meme de devoir se coltiner JPP :))
En même temps, il a quand même un poil contribué à ce qu'on soit en D1 actuellement, non ?
Concernant Guy Roux, ce type me fait vomir depuis un certain temps déjà : vénal, égocentrique, prétentieux, m'as-tu vu...... Qu'il prenne sa retraite (définitivement cette fois j'espère) me laisse dans l'indifférence la plus totale. Il a peut-être fait des choses merveilleuses à Auxerre, mais ce cher Guy est devenu d'un pathétique au fil des années... A pleurer. Heureusement que tout le monde ne vieillit pas aussi mal...! -
Un article pas tendre et assez intéressant sur le départ de Guy Roux, trouvé sur Yahoo :
Cet article a été rédigé par la rédaction des Cahiers du Football, portant un regard critique, décalé et second degré sur l'actualité du football. A lire avec précaution et humour donc.
Un bâton dans le Guy Roux
L'entraîneur lensois prend sa retraite en rase campagne et laisse le Racing en plan. Mais il n'a pas oublié de mettre en scène à son avantage ce brusque revirement.
Trois petits tours et puis s'en va. Au risque de prouver qu'il s'est définitivement assimilé à sa marionnette (des Guignols), Guy Roux s'est fendu d'une pirouette professionnelle qu'on pense ultime jusqu'au prochain come-back de la Line Renaud du football français.
En exclusivité... pour les trois émissions du week-end, Roux a expliqué ses états d'âme. Le choix des mots aurait pu être touchant s'ils n'avaient été répétés à l'identique sur toutes les ondes. Il a même, grillant une dernière fois la vedette à son ex-président, annoncé sur TF1 le nom de son successeur. Prouvant ainsi cette tendance à mettre en scène ses départs, comme ce soir de victoire en Coupe de France où il avait ravi la vedette à ses propres joueurs pour livrer la primeur de ses adieux au micro de Christian Jeanpierre.
Date de péremption
Chacun sera juge pour déterminer si cette démarche relève d'une honnêteté qui honore le bonhomme lorsqu'il fait l'aveu de sa faiblesse, ou s'il témoigne, une fois de plus, de l'extraordinaire égoïsme du personnage. Comme l'événement est accueilli avec une bienveillance qui ne dément pas les décennies d'indulgence dont il a bénéficié, on nous permettra de charger plutôt l'autre côté de la balance. Au crédit de la thèse critique, il y a en effet le constat que durant deux mois, il a occupé l'avant-scène médiatique avec une puissance assez incomparable. Non seulement au travers de son retour à des fonctions sportives, mais également de la polémique sur la limite d'âge, qu'il a initiée en sous-main, se laissant ensuite instrumentaliser par le gouvernement du "travailler plus" (lire Guy Roux Manager 1938).
De ce seul point de vue, l'ironie de cet retrait est plutôt cinglante. On avait voulu en faire un symbole de la vitalité des seniors et de la capacité de leur passion à prolonger leur vie professionnelle. Parions que le symbole ne servira pas dans l'autre sens aux yeux des deux ministres et du président qui s'en étaient emparés, et que ni Nicolas Sarkozy, ni François Fillon ne viendront discourir au chevet de cette victime-là.
Culotté, Roux affiche, cette fois, son souci de laisser la place aux jeunes, de donner une chance à ces entraîneurs de talent restés sans emploi (car, quand il a signé, "le marché n'était pas terminé, on ne savait pas qui resterait"). Sans vergogne, il parvient à travestir en générosité un revirement de position auquel il a été contraint.
Lens reste en plan
Il resterait, ensuite, à débattre de l'erreur objective qu'a constitué ce retour. Roux en fait porter en partie le chapeau à ceux qui lui ont fait des propositions qualifiées de "traquenard". Il est par ailleurs assez difficile de s'en tenir à la seule explication médicale, traduite en langage footballistique par un déficit hormonal de grinta, tant les décalages avaient été patents entre le nouveau technicien et le staff nordiste Roux lui-même n'ayant pas lésiné sur les allusions et les petites phrases douces-amères. Ainsi, en dehors d'une série de résultats médiocres, le mandat rouxien restera marqué par "l'affaire du sparadrap": un conflit mesquin avec l'équipementier du RCL qui ne lui proposait pas de contrat individuel et se vit sanctionné par une dissimulation de logo.
Un journaliste de L'Équipe soulignait naïvement, dimanche, que Gervais Martel était apparu "presque plus touché que Guy Roux". Il peut. Car si l'un va pouvoir vaquer à ses occupations, l'autre devra gérer un changement d'entraîneur après cinq journées de championnat, lequel nouveau venu héritera d'une situation sportive (classement et recrutement) plutôt pénalisante.
Au-delà du destin individuel de l'ex-entraîneur lensois, se pose de nouveau la question de la gestion du Racing. Supposée exemplaire avec l'exploitation de son assise populaire, la construction de son centre ultramoderne de La Gaillette et l'exploitation avisée de Bollaert, elle n'en finit pas de montrer des limites qui, pour n'être pas rédhibitoires (le club n'est pas passé loin de la qualification en Ligue des champions la saison passée), sont tout de même inquiétantes.
Ce n'est plus le problème de Guy Roux, qui va voguer vers d'autres contrats. Son image ne pâtira pas vraiment de cet écart, qui sera logiquement considéré comme marginal dans son parcours. On se souviendra peut-être qu'il s'est trompé sur lui-même. Ce qui lui fera un point commun avec tout ceux qu'il a trompés sur lui-même.
Étienne Melvec -
Toute la journée, ce soir encore sur Europe, il vient nous raconter des balivernes. Il était un grand entraîneur, soit. Il a voulu revenir, personne ne l'y obligeait. Alors maintenant qu'il soit honnête, il a échoué, qu'il nous fiche la paix. Il a mérité un repos bien gagné. Mais non, il va revenir nous emmerder à Canal et Europe. Vous trouvez normal que son feuilleton ait occulté la victoire du Racing. Ce monsieur ne veut pas faire comme le commun des mortels, il se croit obligé du matin au soir de se mettre en avant. Ilpleurniche sur son sort alors que tout ce qu'il entreprend, il le monnaye et pas à bas prix. Alors par pitié, laissez nous respirer et qu'il prenne sa retraite bien méritée.
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Il a été un grand entraineur, il a commenté, bien , beaucoup de matchs, mais cela suffit. Place aux jeunes retraités footballeurs .
Tout a un prix, à 100 000 € mensuel, j'aurai aussi accepté de devenir entraineur de Lens. Aprsè il n'a pas voulu être viré, alors il a démissionné.
Guy , va à la retraite et fait régime, ce sera mieux pour ton coeur . -
tme68 a écrit : Sans vergogne, il parvient à travestir en générosité un revirement de position auquel il a été contraint.
Excellent article, ça change de ce qu'on entend malheureusement partout (+) -
ce qui me déplait un peu c'est qu'il a dit voici 2 années qu'il arreterait et qu'il prend sa retraite. Cet été il reprend un club en main alors qui le devait etre retraité....
Mais bon, ca n'enlève rien au personnage !
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Bonne retraite à un grand monsieur du football Français.
Il restera à jamais lié à l'histoire de notre football national. -
belle article !!
enfin quelqu'un qui ose critiquer un monument du football français.
Perso pour moi il sort par la petite porte, de plus avec la mini trève de la semaine prochaine il aurait pu attendre une semaine, c'est vraiment égoiste, voir irresponsable...
alors quand il parle de ces 3 ans de salaire qu'il ne percevra pas alors moi ca me scandalise encore plus.
Martel c'est vraiment le bouffon, ce sont tous ces quelques présidents qui s'accaparent la L1 pour eux tout seul, et qui sont hauts placés dans la Ligue pour dicter leur loi...... -
Bon allez, Guy Roux c'est quand même un grand Monsieur, il mérite un hommage. J'ai retrouvé cette vidéo du résumé de la demi finale retour de la Coupe UEFA 1993 Auxerre-Dortmund. Peut être l'un de plus beaux matchs de foot que j'ai vu en direct au niveau de l'engagement et de l'intensité. Le temps de la vraie Coupe d'Europe comme on l'aimait. Et un Guy Roux au sommet de sa forme sur le banc!
http://fr.youtube.com/watch?v=WbewYTkSNHY -
Je me rappelle parfaitement de ce match ou l'AJA ( de cocard , vahirua , martins et Baticle ) avait développé un football extraordinaire.
ça n 'avait malheureusement pas suffi -
Quelle vidéo (+)
Guy Roux remonté comme une pendule, les Allemands arrogants, Prunier chaud bouillant, l'AJA qui se rue à l'attaque non-stop, le maillot Commodore, les pénos, quel match légendaire ! Le foot du début des années 90, ça avait quand même beaucoup plus de gueule :( -
Match incroyable! C'est quoi la musique du début?
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Guy Roux qui péte une pile "Mais c'est des Italiens, c'est pas des Allemands!", la classe de Franck Verlaat, la coupe de cheveux de Daniel Dutuel, Stephane Chapuisat coté Dortmund, Coco Martins, Gérald Baticle, le bras d'honneur de Michael Rumenigge... J'ai vraiment eu la larme à l'oeuil en revoyant cette vidéo...
J'ai une énorme nostalgie des années 90... -
chris68 a écrit : Match incroyable! C'est quoi la musique du début?
Je dirais qu'il s'agit de la musique d'Armaggedon. :-B
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