Jean-Marc Furlan
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speedy67Rappelons nous quand même, concernant l'histoire récente, que le maintien en ligue 1 en 2018 n'a été obtenu qu'après un exploit et but invraisemblable de Liénard après 11 matchs consécutifs sans victoire. Ca vous rappelle quelque chose ?...
Sans ce but si ça se trouve on aurait un autre regard sur Laurey ..
Il est certain que Furlan est responsable de la descente, qu'il n'a pas su et pu inverser cette invraisemblable série de défaites.
Il avait quelques circonstances atténuantes (absences de Rodrigo et Cohade en fin de saison, un match contre Lyon, justement, qui ne tourne pas dans le bon sens il me semble,), mais il a aussi fait quelques mauvais choix, c'est certain (Gameiro pas assez et mal utilisé, Santos trop souvent utilisé, n'a pas voulu changer de schéma de jeu).
Pour autant cette saison là on a vu, au début, de belles intentions dans le jeu, de beaux matchs avec une équipe enthousiaste, joueuse, engagée, mais sans doute trop naïve par la suite.
Dommage, ça partait d'une bonne idée, mais forcément Furlan a été le 1er responsable du fiasco de fin de saison.
Pour autant, de là à en faire un paria, un pestiféré et le pire entraineur honni de quasi tous sans lui laisser une once de crédit c'est aller trop loin à mon humble avis. -
Le pire argument, c’est le « beau jeu ». Là on est dans le domaine du mythe pur et simple.
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Un mythe pour toi peut-être @kitl, pas pour ceux qui ont assisté au début de saison avec Furlan qui était des plus agréables.
C'est un concept qui n'a peut-être pas de sens pour toi, mais il en a pour d'autres, que tu considères sans soute comme des rêveurs. Soit, et amen. -
Si le beau jeu, c'est de faire plein de passes, oui, Furlan sait faire du beau jeu.
Si le beau jeu, c'est varié le système, prendre des risques, créer des déséquilibres et essayer de marquer le plus possible, non, Furlan n'est pas un adepte du beau jeu.
Furlan est un adepte du jeu de possession basé sur un système intouchable. Je préfère un adepte de l'efficacité qui adapte son système aux limites de son effectif et à ses adversaires. -
Le delire du beau jeu, médiatisé par quelques journalistes en bois ayant regardé 2 matchs de furlan en 8 ans, lui permet encore de faire illusion. Apres quelques mois, les clubs se rendent compte de la supercherie.
On verra si apres l'échec auxerrois (top 2 voir top 1 budget club en L2), Troyes lui laissera une énième chance d'ajouter à son palmarès une descente en ligue 2.
Une constante avec lui. Au depart le club et les supporters sont plutôt satisfaits par un entraîneur prônant le beau jeu avec une hype médiatique de naze. Ça marche quelques mois puis ça coule comme une brique dans un verre de Picon. L'escroquerie apparaissant au grand jour.
Vous pouvez demander à un supporter brestois de donner son avis sur furlan, il sera le même que le méchant alsacien anti-furlanesque.
Pour le troyen plus compliqué. Spécimen trop rare -
yvesdobrasil a écrit, le 28/02/2021 07:48 :
C’est une drôle de représentation de la L2 quand-même ! « adversité molle » !! C’est rigolo comme formulation. Mais le racing en L1 en a perdu des matchs de coupe contre des ligues inférieures, et l’adversité ne se montre pas toujours aussi molle que ça....
« quand ça joue vers l’avant contre Niort » Je ne suis pas convaincu qu’il soit moins difficile pour Auxerre de jouer vers l’avant contre Niort qu’au Racing contre Montpellier... La question des moyens ne peut être mise de côté à ce point.
En fait, tu résumes peut-être la véritable raison de l’acharnement contre Furlan, la fameuse « série » qui ne lui a jamais été pardonnée et que, c’est d’ailleurs assez intéressant pour être souligné, tu augmentes au passage ( 11 défaites et non-pas 13 ! ). Que Furlan avant cette série avait réussi de produire du beau jeu avec le racing est vite jeté aux oubliettes. Qu’il présente un ratio de points par match pas trop loin des moyennes des coachs de L1 aussi. Tu parles « d’incapacité de remobiliser, de donner un état d’esprit », eh bien tu n’as jamais écouté les interviews des joueurs qui ont travaillé sous sa houlette, c’est juste un peu le contraire ! D’ailleurs, comment pourrait-il en être autrement ? Comment fais-tu pour réussir à 4 reprises de faire monter ton équipe de L2 en L1, sans avoir le budget du top 3 ? Sans se remettre en cause ? Sans s’adapter ? Sans faire de choix ? Sans se remobiliser ? Il a été élu à 2 reprises meilleur entraîneur par ses pairs, mais pour quelles qualités alors si toutes celles-là lui font défaut ? C’est un peu fumeux d’avancer ces arguments, tu ne trouves pas ?
Alors il y a cette fameuse série qui reste, la seule chose irréfutable... Puel cette saison en était à 7 d’affilés avant qu’un pénalty miraculeux contre Lille arrête la série, et il est aux commandes d’un club qui n’était pas censé végéter en queue de peloton... Est-ce que Puel est aussi une parodie de coach ?
Bref, je respecte ton avis que je comprends surtout au travers de l’humiliation vécue par cette série. Moins par tes arguments autour de la « philosophie dans le boudin » ou de la trop grande différence entre la L2 et la L1 que je ne partage pas. J’espère juste que tu puisses concevoir au travers de mes arguments qu’on puisse aussi avoir envie de défendre ce coach.
Une façon assez nette de dire que la L2 n'est pas la L1, si tu préfères. Et parfois, le niveau interroge en L2. Comme on peut avoir des bonnes surprises dans certains matches parfois, mais il y a un écart certain.
Alors certes, il coache des équipes de L2, à la dimension des adversaires. Encore qu'il a plutôt le haut du gratin de la L2 en général. Toujours est-il que l'opposition est plus faible et surtout, moins nivelée. Quand tu compares les joueurs du Racing et ceux du LOSC, Montpellier, Paris, Monaco, Lyon, Rennes, Nice... j'en passe, l'écart n'est pas le même qu'entre ceux de Châteauroux, Niort, Clermont, Amiens, Le Havre. Parce que les clubs de l'élite ou des différences de moyens plus importants, peuvent mettre sur des joueurs plus confirmés. C'est plus resserré en L2, même si des clubs réussissent mieux que d'autres avec quelques perles qui finissent par faire carrière en L1.
Quand Furlan se retrouve en L1, avec plus de qualité individuelle en face malmenant ses "idées", des meilleurs tacticiens aussi, ça patauge. Son passé est quand même probant dans l'élite. S'il avait montré une capacité à être au niveau avec des clubs de L1, il n'en serait pas à Auxerre, après Brest; de la L2 et encore de la L2. Puis des clubs de L2 l'auraient gardé. Quelle mouche à piquer Brest ? Après un nouvel écroulement l'année où le Racing monte.
Jouer une montée en L1 n'a rien à voir avec la L1.
Sur la fameuse série, effectivement, que ce soit 11, 12 ou 13 matches, je ne lui pardonne pas. Et ce ne sont pas des interviews de joueurs dans cette période qui y changeront grand-chose. Jamais entendu des joueurs dire que le coach est nul et doit partir quand ça patauge. Ou alors c'est rarissime. Je n'ai pas entendu de Nantais parler de Domenech. Après, il y a les attitudes sur le terrain, le mental qui rejaillit. Pas besoin de mots.
Furlan s'est obstiné dans certains choix, n'a rien essayé. Il est mort avec ses idées, sa philosophie, qui s'est finie en boudin. Je confirme la formule.
Puel, je me suis déjà largement exprimé à son sujet. Entraîneur que je n'apprécie pas pour différentes raisons.
Un autre exemple me parlerait peut-être plus mais pas Puel.
Après, j'ai eu la main lourde sur le qualificatif "parodie de coach" pour Furlan. C'est un bon petit coach de L2, basta.
Quant au beau jeu furlanesque, ce n'est pas tous les soirs non plus. -
niko67 a écrit, le 28/02/2021 13:13 : Le delire du beau jeu, médiatisé par quelques journalistes en bois ayant regardé 2 matchs de furlan en 8 ans, lui permet encore de faire illusion. Apres quelques mois, les clubs se rendent compte de la supercherie.
On verra si apres l'échec auxerrois (top 2 voir top 1 budget club en L2), Troyes lui laissera une énième chance d'ajouter à son palmarès une descente en ligue 2.
Une constante avec lui. Au depart le club et les supporters sont plutôt satisfaits par un entraîneur prônant le beau jeu avec une hype médiatique de naze. Ça marche quelques mois puis ça coule comme une brique dans un verre de Picon. L'escroquerie apparaissant au grand jour.
Vous pouvez demander à un supporter brestois de donner son avis sur furlan, il sera le même que le méchant alsacien anti-furlanesque.
Pour le troyen plus compliqué. Spécimen trop rare
Amuse toi à relire les commentaires des stubistes, dont @superdou himself, sur les matchs de la première moitié de la saison de Furlan en ligue 1. Pas besoin des médias pour se faire une opinion de ce qu'on voit et de ce qu'on a vu au stade.
Tellement facile de discréditer au nom d'une pseudo hype médiatique, de laisser penser que seuls les détracteurs ont des yeux, un cerveau, une capacité d'analyse, et tous les autres se font berner par les médias.... -
Oui jusqu'à la 12eme journée ( dont la victoire à Metz ), on était tous content
puis çà a été la dégringolade ... au delà des 11 défaites consécutives, sur les 26 journées , c'était seulement aussi 2 victoires ..
Idem en L2 début en fanfare ( Leader) puis dégringolade jusqu'au fameux match contre Montpellier -
Perso je n'ai pas exprimé autre chose, on a bien débuté, obtenu de bons résultats en jouant bien, mais ça n'a pas tenu, les résultats se sont dégradés et la responsabilité de Furlan est forcément engagée.
Simplement je nuance un peu, tout n'a pas été horrible, désastreux, du début jusqu'à la fin.... -
Malheureusement seul le résultat final compte et force de constater que ce fut 2 échecs cuisant pour le bonhomme ( et donc il n'a pas rempli ses objectifs )
Laurey , malgré des passages à vide de l'équipe, a pour l'instant , a toujours atteint ses objectifs et même au delà
çà fait 35 ans que je suis le racing, c'est le seul entraineur (pour l'instant) qui a réussit chaque année à atteindre les objectifs fixés par la direction -
speedy67 a écrit, le 28/02/2021 13:49 : niko67 a écrit, le 28/02/2021 13:13 : Le delire du beau jeu, médiatisé par quelques journalistes en bois ayant regardé 2 matchs de furlan en 8 ans, lui permet encore de faire illusion. Apres quelques mois, les clubs se rendent compte de la supercherie.
On verra si apres l'échec auxerrois (top 2 voir top 1 budget club en L2), Troyes lui laissera une énième chance d'ajouter à son palmarès une descente en ligue 2.
Une constante avec lui. Au depart le club et les supporters sont plutôt satisfaits par un entraîneur prônant le beau jeu avec une hype médiatique de naze. Ça marche quelques mois puis ça coule comme une brique dans un verre de Picon. L'escroquerie apparaissant au grand jour.
Vous pouvez demander à un supporter brestois de donner son avis sur furlan, il sera le même que le méchant alsacien anti-furlanesque.
Pour le troyen plus compliqué. Spécimen trop rare
Amuse toi à relire les commentaires des stubistes, dont @superdou himself, sur les matchs de la première moitié de la saison de Furlan en ligue 1. Pas besoin des médias pour se faire une opinion de ce qu'on voit et de ce qu'on a vu au stade.
Tellement facile de discréditer au nom d'une pseudo hype médiatique, de laisser penser que seuls les détracteurs ont des yeux, un cerveau, une capacité d'analyse, et tous les autres se font berner par les médias....
J'étais également abonné, donc j'ai également vu de mes propres yeux l'équipe de furlan. Le Strasbourg Lyon reste toujours un mélange de souffrance et d'injustice au passage.
Comme un enfant, je peux retourner l'argument. Facile de discréditer les détracteurs de furlan en affirmant que seuls les adorateurs de furlan ont des yeux ou un cerveau.
Tout ceci pour dire qu'on n'a absolument pas la même conception de beau jeu. L'équipe sur la première partie de saison a bien tourné avec des résultats positifs. De la a dire que l'équipe avait un beau jeu..On en est loin pour moi.
En partant du principe que je suis dans l'erreur sur l'appréciation du beau jeu. On peut m'expliquer l'utilité de bien jouer pendant quelques mois pour que l'equipe coule par la suite?
"On descend mais on a bien joué pendant 3 mois". Super. -
Oui, sauf que pour Laurey ça a tenu à un fil, le coup franc improbable de Liénard contre Lyon, alors qu'on restait sur 11 matchs sans victoire, pour mémoire......
Personne n'éxonère Furlan de ses responsabilités, l'entraineur est forcément responsable, bien évidemment. Je l'ai d'ailleurs souligné.
Mais de là à ce que certains ne soient pas capables d'analyser objectivement le déroulement de la saison en niant le bon début de championnat de la bande à Furlan c'est de la mauvaise foi ou de l'amnésie délibérée.
Beaucoup de stubistes, de supporters, dont moi, ont apprécié le début, et détesté la fin. Sans pour autant nier, oublier ce début. -
niko67 a écrit, le 28/02/2021 15:00 : speedy67 a écrit, le 28/02/2021 13:49 : niko67 a écrit, le 28/02/2021 13:13 : Le delire du beau jeu, médiatisé par quelques journalistes en bois ayant regardé 2 matchs de furlan en 8 ans, lui permet encore de faire illusion. Apres quelques mois, les clubs se rendent compte de la supercherie.
On verra si apres l'échec auxerrois (top 2 voir top 1 budget club en L2), Troyes lui laissera une énième chance d'ajouter à son palmarès une descente en ligue 2.
Une constante avec lui. Au depart le club et les supporters sont plutôt satisfaits par un entraîneur prônant le beau jeu avec une hype médiatique de naze. Ça marche quelques mois puis ça coule comme une brique dans un verre de Picon. L'escroquerie apparaissant au grand jour.
Vous pouvez demander à un supporter brestois de donner son avis sur furlan, il sera le même que le méchant alsacien anti-furlanesque.
Pour le troyen plus compliqué. Spécimen trop rare
Amuse toi à relire les commentaires des stubistes, dont @superdou himself, sur les matchs de la première moitié de la saison de Furlan en ligue 1. Pas besoin des médias pour se faire une opinion de ce qu'on voit et de ce qu'on a vu au stade.
Tellement facile de discréditer au nom d'une pseudo hype médiatique, de laisser penser que seuls les détracteurs ont des yeux, un cerveau, une capacité d'analyse, et tous les autres se font berner par les médias....
J'étais également abonné, donc j'ai également vu de mes propres yeux l'équipe de furlan. Le Strasbourg Lyon reste toujours un mélange de souffrance et d'injustice au passage.
Comme un enfant, je peux retourner l'argument. Facile de discréditer les détracteurs de furlan en affirmant que seuls les adorateurs de furlan ont des yeux ou un cerveau.
Tout ceci pour dire qu'on n'a absolument pas la même conception de beau jeu. L'équipe sur la première partie de saison a bien tourné avec des résultats positifs. De la a dire que l'équipe avait un beau jeu..On en est loin pour moi.
En partant du principe que je suis dans l'erreur sur l'appréciation du beau jeu. On peut m'expliquer l'utilité de bien jouer pendant quelques mois pour que l'equipe coule par la suite?
"On descend mais on a bien joué pendant 3 mois". Super.
Relis mon post initial, et tu constateras que je ne suis pas un adorateur de Furlan. Par contre oui je nuance les propos de ceux qui ne retiennent que l'issue de la saison, en ne retenant que les 11 défaites. Il n'y a pas eu que ça, même si ce cycle noys a plongé en L2.
Puisque tu as également en mémoire les 2 matchs contre Lyon, en 2008 et 2018, imagine un instant qu'on ne gagne pas contre Lyon à la dernière seconde en 2018, et qu'on descende dans la foulée, tu aurais la même opinion de Laurey après 13 matchs sans victoire ?
Tu as clairement raison, je te l'accorde, la plupart du temps, en sport, seul le résultat compte, et Liénard a sauvé Laurey après 11 matchs sans victoire
Et Furlan a merdé en perdant 13 fois de suite. C'est indéniable. Ne retenons que les stats, rien d'autre.... -
" En 2010-11, il retourne à Troyes (Ligue 2) et monte en Ligue 1 (2011-12) avec le 12e budget de Ligue 2. Il redescend en Ligue 2 (plus petit budget de Ligue 1) la saison suivante tout en atteignant la demi-finale de la Coupe de France." Source=Wikipedianiko67 a écrit, le 28/02/2021 09:58 : On demande de ne pas occulter l'argument du "budget petite équipe" pour justifier les descentes systématiques en L2. Est-il possible de mettre en avant l'argument gros budget de L2 des clubs qu'il a fait monter pour relativiser sa performance?. -
(+)Tout-à-fait d'accord avec toi Speedy67 !speedy67 a écrit, le 28/02/2021 15:03 : Oui, sauf que pour Laurey ça a tenu à un fil, le coup franc improbable de Liénard contre Lyon, alors qu'on restait sur 11 matchs sans victoire, pour mémoire......
Personne n'éxonère Furlan de ses responsabilités, l'entraineur est forcément responsable, bien évidemment. Je l'ai d'ailleurs souligné.
Mais de là à ce que certains ne soient pas capables d'analyser objectivement le déroulement de la saison en niant le bon début de championnat de la bande à Furlan c'est de la mauvaise foi ou de l'amnésie délibérée.
Beaucoup de stubistes, de supporters, dont moi, ont apprécié le début, et détesté la fin. Sans pour autant nier, oublier ce début. -
kitl a écrit, le 28/02/2021 11:09 : Le pire argument, c’est le « beau jeu ». Là on est dans le domaine du mythe pur et simple.
La méthode Furlan
Surnommé "Monsieur montée", Jean-Marc Furlan savait qu'à son arrivée la saison dernière, il suscitait beaucoup d'attentes et d'espoir. Le coach a signé un contrat de trois ans avec pour objectif principal la montée en Ligue 1.
Tactiquement, l'AJA dégage une réelle force.
Julien Ben Bouali, journaliste sportif.
Après une première saison décevante, sa méthode et son projet de jeu semblent porter leurs fruits cette saison. "Quand il est arrivé l’année dernière, il a dû mettre en place son plan de jeu. Mais il faut que tout le monde adhère à ce projet de jeu et cela ne se fait pas du jour au lendemain", explique Patrick Bonnot. "Là, cela commence à porter ses fruits." Selon Julien Ben Bouali, "tactiquement, l’AJA dégage une réelle force."
"C'est vrai qu'on dégage une véritable sérénité avec cette capacité que l'on a de revenir au score quand on est mené," reconnaît Francis Graille, président de l'AJA. "C'est nouveau dans le groupe et c'est sûrement une force de caractère qu'a pu donner Jean-Marc à ce groupe là." ( L'Yonne-Républicaine ) -
Je ne vois toujours pas le rapport avec le « beau jeu ».
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Citation: Tu as clairement raison, je te l'accorde, la plupart du temps, en sport, seul le résultat compte, et Liénard a sauvé Laurey après 11 matchs sans victoire
Pour que le Racing gagne 2-1 contre l'Olympique Lyonnais grâce à un exploit de Liénard, encore faut-il que les conditions de l'exploit soient réunies: si l'OL mène 3-0 à la quatre-vingt-dixième minute, un but sur coup-franc de Liénard ne change rien.
Et dans les réactions d'après-match, on était nombreux à s'accorder que M. Laurey avait pris par le bon bout ce match (avec le rôle de Grimm, l'entrée bien sentie de Da Costa, etc.). Un peu facile de dire que le maintien du Racing n'a tenu qu'au coup-franc héroïque de Liénard (je ne minimise pas l'importance de ce dernier, disons plutôt que je réhausse le rôle du coach). -
De cet amour du beau jeu, il a fait la pierre angulaire de tout son projet. « Mon ADN est offensive. J’aime le jeu offensif, dans les 30 derniers mètres. Là, je donne des consignes strictes, pas question d’improviser. On joue comme je dis. Dans les autres 70 mètres, tout le monde sait faire, même un entraîneur de CFA2. »kitl a écrit, le 28/02/2021 17:06 : Je ne vois toujours pas le rapport avec le « beau jeu ».
C’est de là, des profondeurs de cette 5e division, qu’il vient d’ailleurs. « Me voilà en Ligue 1, j’ai donc prouvé que ce football-là marche. » Même si avec un effectif déplumé à l’intersaison, et un oukase d’interdiction de recrutement c’est plus difficile, forcément.
« Avoir entre les mains un club qui a plus de moyens »
« C’est quelqu’un qui a des idées bien précises sur ce qu’il veut faire, témoigne Gaël Danic qui l’a connu lors de son passage à Troyes. Il recrute ses joueurs en fonction de ça, ce sont souvent des joueurs de ballon. »
Comme beaucoup, l’actuel Bastiais a une haute opinion de son ancien entraîneur. « Sans dénigrer qui que ce soit, j’aurais aimé, et j’aimerais encore le voir avec des joueurs de qualité, dans un club de standing supérieur. Ne serait-ce qu’un club comme Rennes, par exemple. Je suis sûr que ça marcherait du tonnerre. »
Lui ne dirait pas non. « Quand des joueurs comme Bréchet vous disent qu’ils ont eu plein d’entraîneurs, et que jamais ils n’ont pris autant de plaisir, alors vous vous dites que ce serait bien, avant la fin de votre carrière, d’avoir entre les mains un club qui a plus de moyens, pour voir ce que vous valez vraiment. »
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Il n'y a pas à comparer les 2. TL a réussi des missions avec des équipes de L1, Furlan en a fait monter mais aussi descendre. Oui, il est un apôtre du beau jeu, mais cela ne veut pas toujours dire grand chose, Bielsa aussi et on a vu à l'OM sa deuxième partie de saison... Chez nous Furlan a quand même fait preuve d'une grande naïveté et de discours lenifiants dans la fameuse série. En cela, il reste responsable de la déroute. Alors oui c'est un coach intéressant, mais de là à coacher Rennes, c'est trop juste comme résultats pour postuler à ce type de club. Je le trouve pas si mal à Auxerre, candidat à une remontée où il y a des choses à reconstruire dans la durée.
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Il faudra plus que des coupures de presse jaunies à la légitimité douteuse pour me convaincre, il faut croire que tu n'as rien d'autre. Toujours cette conception d'un football théorique quand on peut attendre du factuel.
Le plus triste c'est que Danic s'exprime il y a peut-être cinq ans et qu'aucun club correct n'a pensé à Furlan. On peut multiplier les témoignages affectueux ou les descriptions chimériques, ça n'en fera rien de tangible.
Et le verbiage plein de morgue : « Me voilà en Ligue 1, j’ai donc prouvé que ce football-là marche. »
Effectivement ça a crevé les yeux. -
14 ans après que JM Furlan a été nommé entraineur à Strasbourg et 265 pages de topics, la fixette de certains sur JMF continue… Au moins, il ne laisse pas indifférent.
JM Furlan a eu sa part de responsabilité mais il était très loin d'être le premier fautif, il a dû composer avec un contexte déplorable et un club en pleine déliquescence (un président qui a dilapidé les joyaux du club, qui a mis son frère à la cellule de recrutement, et qui lui savonnait la planche dans son dos, avec en plus des joueurs qui ont semé la merde au sein du groupe (et notamment Johansen), etc.).
JM Furlan a suffisamment démontré qu’il savait faire jouer ses équipes avec du beau jeu, cela y compris dans des clubs ayant peu de moyens financiers, et ça ce n’est pas donné à tout le monde. A son arrivée, cela faisait des années que Strasbourg n’avait plus été aussi attrayant. -
Ça a duré combien de temps ? Au bout de deux mois, c'était retombé...
Les "joyaux du club" dont Furlan fit un usage absolument irréprochable !
Je ne comprends pas moi, à Troyes ils avaient aussi un Ginestet qui empêchait Furlan de bosser ?
21 journées relégables en 2006-07
38 journées relégables en 2012-13 (faut le faire)
12 journées relégables sur 16 en 2015-16
Quant au beau jeu, je suis toujours preneur de démonstrations concrètes. -
yvesdobrasil a écrit, le 28/02/2021 15:45 :
" En 2010-11, il retourne à Troyes (Ligue 2) et monte en Ligue 1 (2011-12) avec le 12e budget de Ligue 2. Il redescend en Ligue 2 (plus petit budget de Ligue 1) la saison suivante tout en atteignant la demi-finale de la Coupe de France." Source=Wikipedianiko67 a écrit, le 28/02/2021 09:58 : On demande de ne pas occulter l'argument du "budget petite équipe" pour justifier les descentes systématiques en L2. Est-il possible de mettre en avant l'argument gros budget de L2 des clubs qu'il a fait monter pour relativiser sa performance?.
2004-2005: monte avec le 4e budget
2014-2015: monte avec le 5e budget. -
Le problème est le suivant avec Furlan, il recrute des joueurs avec une idée de jeu, mais au bout d'un moment, ce jeu est compris par l'adversaire, et dès lors, il ne surprend plus personne. Et comme Furlan ne change jamais de système ou d'idée de jeu, par dogme, en Ligue 1, ça finit toujours dans le mur.
Pour comparer, la saison dernière, Laurey a clairement construit un effectif pour jouer en 3-5-2 / 5-3-2,basé sur 3 axiaux et 2 latéraux offensifs. Cela ne l'a pas empêché, quand le système ne marchait plus , de passer en 4-4-2 losange. Jamais Furlan n'aurait fait ce choix, il serait resté avec la tactique qui ne marchait pas, et on aurait coulé.
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