Jean-Marc Furlan
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il-vecchioFurlan, je trouve que sur la Stub ça rime avec clivant.
Oui je sais, la rime est pauvre. -
Oui, c’est vrai que la poisse était au rendez-vous ! Et j’y rajouterai un contexte de travail des plus déplorables avec un président insécurisant, une politique de court terme et un mercato conforme à ce type de gestion. Juger Furlan en faisant abstraction du contexte dans lequel il pouvait évoluer c’est comme s’étonner que le citronnier ne porte pas de fruits en Alaska ou que la tarte à l’oseille a un goût fade sans l’oseille et le sus-dit citron … ( attention, double sens ! )herman67 a écrit, le 01/06/2022 13:46 : Enfin quand on avait la série de défaites avec Furlan tout ne doit pas lui être imputé. Nous avions un manque de chance assez incroyable sur certain match. des buts déviés contre nous un nombre de poteaux assez incroyable et ainsi de suite...
Le match contre Lyon où l'on gagne et avant la mi-temps l'arbitre sort un rouge contre Mouloungui complètement hallucinant et qui en deuxième oubli littéralement 2 pénos pour nous (dont une sacré poussette de Chris). -
fripon67 a écrit, le 01/06/2022 13:09 : Et Laurey, la première saison, qu'est-ce que tu en aurais pensé Superdou.....si liénard n'avait pas mis le but de sa carrière.....
Parce qu' il me semble que Mr Laurey ne trouvait pas non plus la solution pour arrêter la spirale qui nous a amené d'une 10eme place je crois..... jusqu'à une place de relégable sans qu'il ne trouve le moyen pour chercher les deux points qu'il nous fallait....avant donc, le MIRACLE liénard....et là il n'y est pas pour grand chose, si non peut-être d'avoir mis Dimitri sur le terrain...
Alors on aurait dit quoi de ce coach qui est resté figé dans ses principes en blablatant journée après journée qu'il n'est pas inquiet, qu'il reste du temps....???
Peut être que tu vas me dire que ce n'était pas mort si on avait pas gagné contre l'OL puisque il restait une possibilité à la Beaujoire....et comme on gagnait souvent là bas. ...:---)))))
Vous jugez ce mec juste avec ce sentiment aigre - amère qui n'arrive pas à passer, mais le faire passer pour un des pires coachs français, quand on regarde un peu sa carrière, ses réussites de remontées dans différents clubs, je trouve cela vraiment excessif.
Mais chacun ses ( re ) sentiments, évidemment, mais lui faire porter, grandement, le début de nos malheurs, alors que ceux-ci se sont construits, longuement, soigneusement, de longues années par differents personnages et qui en gros a commencé pour ma part avec la vente du club par Trautmann à IMG Mc cormack....aux dépend de Weller....
Mais on s'écarte du simple débat j'aime/j'aime pas Furlan... :--))))))
Déjà, avec Laurey, on avait un effectif de Ligue 2 / National. Rester en Ligue 1, on le savait, serait un exploit.
Descendre avec un niveau insuffisant, ça s'entend. Descendre avec un effectif de Ligue 1, en ne changeant jamais de ligne de conduite, c'est pas pareil.
C'est un peu comme si tu comparais cette année Clermont à Bordeaux ou Sainté.
Oui, Bordeaux ou Sainté, c'est anormal au vu de l'effectif qu'ils descendent. Clermont, ça n'aurait pas choqué les supporters.
Furlan, il avait un Sainté dans les bras, Laurey avait un Clermont. -
Hum je comprends la métaphore entre Clermont et Saint Etienne, mais là aussi ce n'est pas comparable.
Furlan est arrivé l'été 2007 pour remplacer JPP à la suite d'une montée très poussive acquise au physique et grâce à plusieurs buts de Tum en fin de matchs.
Il a certes démarré la saison avec Cassard, le gardien mythique qu'on connait,
Une défense fébrile avec ducroq, Ekobo, paisley, Strasser, et le tout jeune Bellaid et Szelesi et abou en latéraux...
Un milieu mitigé avec Cohade et Rodrigo de niveau L1, éventuellement Lacour qui était le Lienard de l'époque, puis des jeunes comme Bah et Othon, puis Loué :D
Offensivement, Abdessaki et Johansen c'était bien mais pas régulier,
Puis devant il y avait le très bon Fanchone, Mouloungui, Renteria (mitigé) et les jeunes (Kevin, mathlouti) ah et Gmandia hum
Donc non le RCS n'avait pas l'envergure d'un Saint Etienne,
C'était un effectif avec quelques joueurs cadres de niveau ligue 2 ou seconde moitié de ligue 1 tout au plus, et une pléthore de jeunes,
Un effectif parfait pour faire illusion le temps d'une saison et s'effondrer par la suite, faute de mental,
Bien sur Furlan a sa part de responsabilité dans l'histoire, mais non il ne disposait pas d'un effectif de Ligue 1 comme on peut le sous entendre -
Et ne pas oublier que notre lente descente vers les abimes a coincidé, comme par hasard, avec la blessure de Cohade avant le match contre Metz qui a été le début de ces 12 horribles défaites d'affilées.
Cohade était notre meilleur joueur au milieu, et il n'a plus joué jusqu'à la fin. Ca n'a pas aidé, même si ça n'explique pas tout. -
Je partage cette dernière analyse: On avait fait une saison de promu, à savoir surfer sur la dynamique de la montée, surperformer (avec en point d'orgue le 3-0 à Lille qui nous positionnait à la 6ème place), puis rentrer dans le rang avant de s'effondrer.
Je ne dis pas qu'un autre entraineur n'aurait pas pu nous sauver, mais personnellement, je ne place pas Furlan en seul responsable. Je le trouve au demeurant assez sympathique, et je pense que s'il n'a jamais tellement apprécié la ligue 1, c'est bien cette saison là qui l'en a un peu écœuré. -
Il porte bien sûr sa part de responsabilité, mais elle n’est pas aussi grande que certains veulent lui attribuer par pure haine du bouc émissaire. Le club était déjà sur une pente déliquescente. La direction d’un côté lui a mis des couteaux dans le dos et certains joueurs de l’autre côté lui en ont mis également.
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S'agissant de Furlan au Racing je pense qu'on loupe le coche en discutant de ses mérites proprement footballistiques, lesquels ont fait qu'il a toujours gardé des partisans même après son départ. Car oui, il sait y faire avec le ballon et les joueurs (pardon, les "garçongues").
Le problème est plus globalement humain. Ça va de son pétage de plomb bien beauf' sur Grosso alors que Monsieur se la jouait intello avec les journalistes jusqu'au chef d’œuvre consistant à refuser de démissionner après avoir planté en beauté deux saisons... en passant par les multiples excuses méphistophéliques qu'il nous a servies après des performances plus que médiocres en L2 sans oublier le magnétiseur et autres calembredaines du même tonneau.
Je pense que les Brestois ont très bien joué le coup en le lourdant au moment de la montée, espérons que les Auxerrois ne le feront pas. Comme ça ça fait déjà un bon candidat pour la charrette de quatre clubs. -
strada a écrit, le 01/06/2022 13:53 : Juger, aigre amer, ...rien que ça.
Mais non tu n'y es pas du tout, je suis bien content qu'il soit en ligue 1 et comme déjà dit, j'ai hâte de regarder son beau jeu en ligue 1 l'an prochain.
Tu pense qu'il est bon, je pense qu'il est nul, faut pas chercher plus loin
Aha, voilà c'est complètement ça..... après tout, on est pas obligé d'être d'accord sur tout....hein.
Déjà qu'on est d'accord sur la chose la plus importante, on veut le mieux pour notre Racing....la dessus on est raccord... :--))) -
J'ai attendu quelques jours et le déploiement d'arguments (O:) ) de la part des partisans récurrents de Furlan pour m'exprimer, hélas je ne suis toujours pas convaincu.
On verra ce qu'il adviendra d'Auxerre. Après tout ce n'est que la deuxième fois que ce club monte, ils ont galéré durant 10 ans et failli sombrer.
Leur meilleur joueur c'est Charbonnier, bon footballeur qui a eu du mal en D1, à l'image d'Autret, Birama Touré, Sakhi...il y a tout à construire au nouveau effectif.
Reste que Clermont a su s'en sortir, même des Dijon ou Amiens ont tenu quelques saisons.
On verra la capacité de ce fameux "projet de jeu", voire "beau jeu" à exister en première division. A Troyes époque Nivet-Darbion, Furlan parvenait à monter mais se faisait systématiquement laminer, ils étaient faibles et quasiment résignés dès le début.
Je suis toujours autant désespéré lorsque j'entends l'amalgame Furlan = jeu, car j'ai un souvenir très précis des deux saisons JMF au Racing : mes premières saisons d'abonné. Et franchement il n'y avait pas de quoi s'émerveiller sur le terrain. Il y a eu une petite euphorie au début, puis de nombreux à-coups avant l'extinction des feux finale. C'était encore bien pire la saison d'après en D2, le côté "joueur" du Racing de l'époque ne m'a pas vraiment sauté aux yeux.
Sportivement Furlan c'est deux échecs au Racing, un contexte pas évident que son côté beau parleur n'a pas oublié de relever et globalement un profond ennui. Le même ennui qu'avec JPP, coach grotesque, qui a de son côté atteint son objectif.
Donc quand j'entends Furlan apôtre d'un certain football et spécialiste des montées, je me dis "Ok, mais pas à Strasbourg". On a testé en 2008 avec Ginestet, j'ai vraiment pas envie d'imaginer ce que cela donnerait en 2022 avec Keller, car dans l'intervalle je n'ai pas senti la moindre remise en question chez le Girondin. Aucune réhabilitation de son passage n'est possible. -
Son passage chez nous a clairement été un échec, personne ne le nie dans tout ce que j’ai pu lire.
De là à le traiter de pipe comme le font certains, il y a peut-être juste quelques petites nuances à apporter, c’est tout.
Pour moi c’est de l’histoire ancienne malgré tout et je n’aurais perso pas la moindre intention de lui réserver une bronca à son retour à la Meinau, pour moi l’indifférence suffira.
Maintenant si ça peut faire du bien à certains de le conspuer qu’ils le fassent, je trouve juste cela assez puéril. -
Déjà fait pour ma part en 2017, lors du 4-1 infligé à Brest, alors leader de Ligue 2
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Si on suit les faits et les statistiques, très parlantes, Furlan apparaît clairement comme un entraîneur trop grand pour la L2 et trop petit pour la L1, une sorte de Sisyphe du foot toujours dans la lutte pour monter ou se maintenir. En soi, c’est profondément respectable. D’ailleurs pour n’avoir vu que le match retour à Saint-Etienne, le jeu d'Auxerre était autrement mûri et alléchant que celui des pensionnaires (ou faut-il dire des retraités ?) de la L1.
Mais je suis bien d’accord avec @strohteam dans l’idée que le « problème Furlan » est globalement et avant tout un problème humain. À titre de comparaison, Kombouare et sa série de neuf matchs sans victoire peuvent pénétrer tranquillement dans la Meinau.
Perso je garde bien en mémoire les déclarations de Furlan à l’époque de ses défaites strasbourgeoises, relevant TOUJOURS que l’équipe avait bien joué et que tout allait bien. Je pense que c’est ce déni de réalité et le fait de toujours botter sa responsabilité en touche avec des belles paroles sans fondement, qui lui valent l’inimitié d’une partie des supporters dont ma pomme.
Son attitude s’apparentait et s’apparente toujours à un procès qui n’a pas su établir les responsabilités : il s’en suit généralement du ressentiment. -
Furlan est un très bon coach quand il s'agit de faire jouer son équipe. Même si c'était moins joli chez nous ou à Nantes dans mes souvenirs globalement ça reste sympa à regarder. Dans la gestion du groupe et le management c'est en revanche très insuffisant, à mes yeux aussi c'est pour ça qu'il plafonne. Coacher une équipe c'est avant tout gérer une trentaine d'être humain qui doivent tous tirer dans le même sens.
Par contre si mes souvenirs sont bons il avait dit qu'il ne réclamerait pas d'indemnité de licenciement en cas de descente en ligue 2 avec nous. Promesse non tenue quand le club était déjà dans le rouge vif financièrement. Je pense que ce truc là passera jamais même si le personnage reste intéressant à écouter quand il parle de foot. -
Exactement, j'étais surpris de voir ce dernier point non cité. C'est ce qui a définitivement enterré le bonhomme à mes yeux en tout cas.
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Promesse qu'il avait faite à Ginestet qui n'était pas le dernier des tordus.
En fait le pire quand on parle de Furlan c'est que ça nous replonge direct dans cette période horrible.
Mon dieu le dernier match à domicile contre Caen où prend une énième branlée ... -
Ce qui est sûr c'est qu'à l'heure actuelle, le club se porte très bien quand on voit que le principal débat depuis bientôt une semaine concerne des vieux fantômes du passé. Certains supporters aimeraient bien être à notre place. (Suivez mon regard qui se dirige de l'autre côté des Vosges mais surtout en Gironde et dans le Forez :D )
Quant à Furlan, je n'ai pas vraiment d'avis dessus. Je suis un peu jeune pour me faire ma propre opinion, le tout premier match du Racing dont je me souviens, c'est cette défaite à Montpellier lors de la dernière journée. -
Tu as raison cela montre à quel point il faut se réjouir de la situation actuelle.
J'espère qu'elle va durer le plus longtemps possible car en football tout change très vite, même si nous avons quelques raisons d'être optimistes pour les années à venir. -
anaconda a écrit, le 02/06/2022 11:38 : Promesse qu'il avait faite à Ginestet qui n'était pas le dernier des tordus.
...
CQFD -
Si on y réfléchit bien c'est suite à Furlan que tout part en couille et que le racing se reconstruit et qu'il est devenu ce qu'il est actuellement :D
Peut-on le remercier pour autant? lol -
C'est grâce à Catherine Trautmann qu'on est 6ème de Ligue 1 aujourd'hui :D
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Ah donc une promesse n'est valable qu'en fonction de l'interlocuteur. Vu que Ginette a par la suite continué à creuser alors qu'on touchait le fond, le brave Furlan ressort plus blanc que blanc de cette expérience.
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C'est clair, une parole c'est une parole. Il l'a faite publiquement au club, aux supporters pour faire le beau étant certain pour lui qu'on se maintiendrait...
Libre à vous de voir en lui un mec bien, mais un gars qui ne tient pas ses promesses, pour moi, c'est zéro, à vie. -
mediasoc a écrit, le 02/06/2022 17:12 : C'est grâce à Catherine Trautmann qu'on est 6ème de Ligue 1 aujourd'hui :D
Certainement, et aussi aux femmes et gars Cro-Magnon qui se sont perdus près de l'Ill en allant chercher des champignons et qui se sont dit que bon, c'est pas mal comme coin, les crocodiles étaient pas trop agressifs et y'avait des cigognes à grailler.
Blourg
JPDarky -
kitl a écrit, le 02/06/2022 17:54 : Ah donc une promesse n'est valable qu'en fonction de l'interlocuteur.
Les promesses n'engagent que ceux qui les reçoivent...
Citation attribuée (faussement) en politique à JC. En foot à quasi n'importe quel joueur qui déclare l'amour de son club juste avant de signer ailleurs. Alors pourquoi pas à Furlan ?
Ginestet était une sacrée pipe aussi, tout comme ce type là, manager général à l'époque et jusqu'en 2006 et son taillage sur un rocher.
Ne deterrons pas trop le passé, Furlan qui fait remonter l'AJA après 10 ans de galères, ça aurait pu être nous finalement sans le coup de patte de Laurey.
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