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Leader invaincu de L2, le Racing cherchera à confirmer son statut en Auvergne, face au Clermont Foot. Un succès permettrait aux hommes de Jean-Marc Furlan de distancer leurs poursuivants.
Une réputation à tenir
Contraint de jouer ce lundi soir, retransmission de la rencontre sur Eurosport oblige, le Racing a eu tout le loisir d'observer les résultats de ses rivaux. Que ce soit pour Lens, victorieux d'Angers (3-0), Metz, vainqueur à Dijon (1-0), et même le surprenant Boulogne-sur-Mer qui poursuit son excellent début de saison (succès à Brest, 1-0), les Strasbourgeois sont désormais à portée de fusil de tous ceux-ci. Ainsi, avant la rencontre de ce soir en Auvergne, seul un petit point fait du Racing l'unique leader de sa division. Inutile donc de dire qu'un succès en terre clermontoise serait synonyme de break, mais aussi et surtout d'un signal fort lancé à la concurrence.
Car avec 22 points en 8 matchs, le début de saison serait plus que réussi et l'objectif de la remontée immédiate serait plus que jamais à l'ordre du jour. Un objectif que les joueurs, à l'image de Renaud Cohade, ne perdent pas de vue : « nous n'avons pas le droit de nous relâcher, il faudra être très attentif à cela dans les prochains temps. » Mais avant de rêver à ce matelas de 4 unités d'avance sur le dauphin, il faudra avant tout se méfier d'une équipe de Clermont lourdement défaite à Ajaccio.
Clermont à la peine
Car si le Clermont Foot de l'excellent Didier Ollé-Nicolle avait été la bonne surprise de l'exercice précédent de L2, ne manquant la montée que pour 6 points. Mais la 5ème place accrochée malgré un statut de promu de National avait de quoi laisser entr'apercevoir un bon potentiel cette saison. Mais le mercato et les départs de certains éléments cadres, comme Marveaux et Loisoimier, ont laissé des traces dans l'effectif.
Ainsi, après 7 rencontres, le club auvergnat est bien loin de ses bonnes performances de l'an passé, et pointe à une place dans le ventre mou du championnat. Toutefois, malgré une défaite initiale contre Vannes, le stade Gabriel Montpied reste tout de même difficilement prenable, Nîmes, Angers et Troyes s'y étant cassés les dents. Mais la défaite subie à Ajaccio lors de la dernière journée risque elle de peser lourd dans les têtes. Rapidement mené au score, les coéquipiers du Strasbourgeois de naissance, Lhadji Badiane, ont en effet littéralement sombré, avant de s'incliner sur le score de 5 buts à 1.
Des absents de part et d'autre
En plus de la situation difficile de son groupe, Didier Ollé-Nicolle devra également composer avec la suspension de son meilleur buteur et révélation du début de saison, Mustapha Yatabaré, 3 buts. Pour le suppléer, le jeune Lhadji Badiane occupera seul la pointe de l'attaque. Derrière lui, un trio sera charger de l'alimenter en ballons. Un schéma en 4-2-3-1 un peu nouveau, mais qui a été expérimenté à Ajaccio, pour le résultat que l'ont connait.
Si contre Vannes, Jean-Marc Furlan avait l'embarras du choix pour composer son équipe, il lui faudra cette fois-ci faire avec les nombreuses absences, notamment en défense. Ainsi, et comme depuis le début de saison, ce secteur de jeu sera à nouveau entièrement modifié, la faute aux blessures de Jean-Alain Fanchone, Quentin Othon et Steven Pelé. Résultat, Zoltan Szelesi récupère sa place au poste de latéral droit, Ducrocq et Shereni reviennent dans l'axe, et c'est Gregory Paisley qui occupe le côté gauche. Un rôle qui, pour lui, l'ancien latéral parisien, troyen ou sochalien, « est un retour aux sources ».
Au milieu de terrain, l'absence pour cause de suspension de Chahir Belghazouani, sera compensé par le retour dans le 11 de départ d'Emil Gargorov, étincelant lors de sa rentrée contre Vannes. Le Bulgare sera chargé d'alimenter le duo Marcos-Traoré, qui garde les faveurs de Furlan. Un entraîneur qui, malgré ces chamboulements dans l'effectif, garde son optimisme : « à chaque fois que l'équipe a été recomposée, on s'en est plutôt bien sortis. »
Coup d'envoi du match à 20h30, en direct sur Eurosport
Contraint de jouer ce lundi soir, retransmission de la rencontre sur Eurosport oblige, le Racing a eu tout le loisir d'observer les résultats de ses rivaux. Que ce soit pour Lens, victorieux d'Angers (3-0), Metz, vainqueur à Dijon (1-0), et même le surprenant Boulogne-sur-Mer qui poursuit son excellent début de saison (succès à Brest, 1-0), les Strasbourgeois sont désormais à portée de fusil de tous ceux-ci. Ainsi, avant la rencontre de ce soir en Auvergne, seul un petit point fait du Racing l'unique leader de sa division. Inutile donc de dire qu'un succès en terre clermontoise serait synonyme de break, mais aussi et surtout d'un signal fort lancé à la concurrence.
Car avec 22 points en 8 matchs, le début de saison serait plus que réussi et l'objectif de la remontée immédiate serait plus que jamais à l'ordre du jour. Un objectif que les joueurs, à l'image de Renaud Cohade, ne perdent pas de vue : « nous n'avons pas le droit de nous relâcher, il faudra être très attentif à cela dans les prochains temps. » Mais avant de rêver à ce matelas de 4 unités d'avance sur le dauphin, il faudra avant tout se méfier d'une équipe de Clermont lourdement défaite à Ajaccio.
Clermont à la peine
Car si le Clermont Foot de l'excellent Didier Ollé-Nicolle avait été la bonne surprise de l'exercice précédent de L2, ne manquant la montée que pour 6 points. Mais la 5ème place accrochée malgré un statut de promu de National avait de quoi laisser entr'apercevoir un bon potentiel cette saison. Mais le mercato et les départs de certains éléments cadres, comme Marveaux et Loisoimier, ont laissé des traces dans l'effectif.
Ainsi, après 7 rencontres, le club auvergnat est bien loin de ses bonnes performances de l'an passé, et pointe à une place dans le ventre mou du championnat. Toutefois, malgré une défaite initiale contre Vannes, le stade Gabriel Montpied reste tout de même difficilement prenable, Nîmes, Angers et Troyes s'y étant cassés les dents. Mais la défaite subie à Ajaccio lors de la dernière journée risque elle de peser lourd dans les têtes. Rapidement mené au score, les coéquipiers du Strasbourgeois de naissance, Lhadji Badiane, ont en effet littéralement sombré, avant de s'incliner sur le score de 5 buts à 1.
Des absents de part et d'autre
En plus de la situation difficile de son groupe, Didier Ollé-Nicolle devra également composer avec la suspension de son meilleur buteur et révélation du début de saison, Mustapha Yatabaré, 3 buts. Pour le suppléer, le jeune Lhadji Badiane occupera seul la pointe de l'attaque. Derrière lui, un trio sera charger de l'alimenter en ballons. Un schéma en 4-2-3-1 un peu nouveau, mais qui a été expérimenté à Ajaccio, pour le résultat que l'ont connait.
Si contre Vannes, Jean-Marc Furlan avait l'embarras du choix pour composer son équipe, il lui faudra cette fois-ci faire avec les nombreuses absences, notamment en défense. Ainsi, et comme depuis le début de saison, ce secteur de jeu sera à nouveau entièrement modifié, la faute aux blessures de Jean-Alain Fanchone, Quentin Othon et Steven Pelé. Résultat, Zoltan Szelesi récupère sa place au poste de latéral droit, Ducrocq et Shereni reviennent dans l'axe, et c'est Gregory Paisley qui occupe le côté gauche. Un rôle qui, pour lui, l'ancien latéral parisien, troyen ou sochalien, « est un retour aux sources ».
Au milieu de terrain, l'absence pour cause de suspension de Chahir Belghazouani, sera compensé par le retour dans le 11 de départ d'Emil Gargorov, étincelant lors de sa rentrée contre Vannes. Le Bulgare sera chargé d'alimenter le duo Marcos-Traoré, qui garde les faveurs de Furlan. Un entraîneur qui, malgré ces chamboulements dans l'effectif, garde son optimisme : « à chaque fois que l'équipe a été recomposée, on s'en est plutôt bien sortis. »
Coup d'envoi du match à 20h30, en direct sur Eurosport
