Saison 2023/2024
Racing Club de Strasbourg

schlesier

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  • Dans Le Real Madrid -
    schlesier
    Les Galactiques deviennent miteux... C'est les stalagmites ou les Stalactiques ? En tout cas, ils sont colés quelque part :)) :)) :)) :)) :)) et qu'ils y restent !
  • Pour imposer sa vision, il faut être soit malin, soit fort soit friqué... Marc Keller a sans doute eu les yeux plus grands que le ventre. Il aurait probablement dû rester (voir se cantonner) dans son rôle de DG, gérer le quotidien et pas le politique. La tentation a été trop forte de se mêler au "jeu" politique. Il n'y avait alors plus de vrai président à bord et plus de vrai DG à bord... Marc Keller a probablement surestimé son influence à tous les étages. Le Racing est une nouvelle fois le grand perdant dans cette histoire.

    Quant à un "Racing aux Alsaciens", qui ressemble à un "Rennes aux Bretons" ou un "Nantes aux Bretons", c'est illusoire dans le monde du football professionnel actuel.

    Le clan Pinault a bien essayé de mettre cela en place à Rennes, avec beaucoup d'argent, sans diplomatie, en faisant un merchandising bretonnant caricatural... Quant à certains joueurs bretons, ils ont été stigmatisé par le DG Guidal puisqu'ils n'avaient semble t-il aucune intention de se brader... Quant au "sentiment breton", il est beaucoup plus palpable à Nantes qu'à Rennes, bien que plus discret. Comme quoi il ne suffit pas de crier les choses sur les toits...

    Un club dit "identitaire", ça ne peut plus (voir pas) exister. Seul Bilbao a su garder vivante une recette centenaire mais cet idéal demande des efforts supplémentaires de plus en plus lourds au vu de l'évolution du football pro. Mais comme dans tout paradoxe, le jeune footballeur basque se voit offrir là bas une chance qu'il n'aurait peut-être pas dans un contexte mondialiste.

    Existe t-il un Pinault alsacien (au moins financièrement) ?
  • :)) :)) :))
  • Le jour où les journalistes de sports ferrons du vrai journalisme d'INVESTIGATION sur les instances dirigeantes (au lieu de casser joueurs et entraîneurs - c'est tellement plus facile à faire...), on en reparlera. Où est le 'contre pouvoir' de la presse ? (-) (-)

    Il s'agit de presse nationale, je sais, en ce qui concerne l'exemple suivant : La récente interview avec Noël Le Graët dans L'Equipe (2 mars 2006) où celui-ci fait presque les questions et les réponses en achevant le tout pour expliquer les dérives de la direction de la FFF en indiquant que l'ancien président avait été NAÏF (alors que l'ancien DG était le vrai décideur)... ça c'est à GERBER, ça fout en ROGNE.

    L'interview s'achève sur cette soit-disant naïveté alors que le journalisme devrait alors reprendre Le Graët et expédier un missile en plein dans la lucarne de la FFF... Ce fut plus facile de s'en prendre à Jacquet, homme de terrain, en son temps.

    C'est à l'image du pays, ça ronronne. Dommage qu'ils n'aient pas la presse britannique au C..L ! X-( X-( X-( X-(
  • maubo a écrit :
    Arrêtez de paraguiner en Anglais,Redde wie uns de schnawel gewaxe esch!


    'Paraguiner'? Was ist das? Bara- oder Para- ? Ein Pariser der will ein Fremde Sparche reden oder ? :))

    Origine du mot 'baragouiner' :
    http://http://www.lexilogos.com/breton_mots.htm

    Les mots bretons bara et gwin sont-ils à l'origine du verbe baragouiner, parce que les bretons, dans une auberge, avaient coutume de dire "bara, gwin" : "du pain, du vin" ?

    Gilles Ménage écrit dans son dictionnaire étymologique de la langue françoise (1750) à l'article baragouin : "J'ai cru autrefois qu'il venait du mot bas-breton bara qui signifie du pain & de celui de guin qui signifie du vin. Mais je ne doute plus que baragouin n'ai été fait de barbaracuinus, diminutif de barbaracus.

    Le terme barbare vient du latin barbarus, lui-même emprunté au grec. Il est formé à partir d'une onomatopée qui évoque le bredouillement. Il désignait ceux qui ne parlaient pas le grec, l'étranger qui a un langage grossier (toute langue paraît grossière à celui qui ne la comprend pas). La forme en -acus est un augmentatif et en -inus, un diminutif."

    En breton, baragouiner se dit gregachiñ, littéralement : parler grec (greg). Gregach : grec, baragouin. Ce qui semble incompréhensible n'est cependant pas forcément barbare !
  • Difficile avec un effectif comme celui-ci de mener de front l'Europe et la L1. En inversant les rôles, c'est peut-être Nantes qui perdait ce soir. Entre le match de la Roma et celui de ce soir, je crois vraiment que le Racing est sur les rails pour une première victoire et l'enchaînement de résultats positifs. Mais il va falloir gagner et encore gagner car le retard est déjà très conséquent, oublier les matches nuls et aller faire des hold ups à l'extérieur. La solidarité reste essentielle. La délivrance est pour bientôt. Allez Racing ! (+)
  • fm-rcs a écrit :
    Et voila aujourd'hui ce crétin il s'excuse presque de ce qu'il a dit hier comme d'hab quand le rcs fait qq chose de bon et qu'il a critiqué à fond, lui il rectifie le tir comme si de rien 'nétais


    :purple">Edit de modération : Ne pas aimer la prose ou les méthodes de Coquis est une chose, l'affubler de noms d'oiseaux en est une autre que racingstub.com ne cautionne pas. Merci.


    Attention aux balles de ping-pong alors... Je sais, c'est une 'blague' affligeantes :))
  • Relevé sur le site de la LAFA :

    La Ligue d'Alsace de Football recherche pour son siège à STRASBOURG :
    Comptable - H/F- à compter du 02/11/2005

    Vous aurez en charge la comptabilité générale et analytique ainsi que la gestion de la paie. Une bonne maîtrise de l'informatique est indispensable.

    La connaissance de la comptabilité spécifique aux assurances serait appréciée.

    Candidature (CV, lettre manuscrite, photo et prétentions) à adresser impersonnellement à l'attention du

    Trésorier Général de la LAFA
    Rue Baden Powell
    67082 STRASBOURG CEDEX
  • Dans Le Racing des années 40 -
    schlesier
    Sur le Racing 39-45, vous trouverez un nouveau portrait (tragique) de joueur, celui de 'Buwi' Schaaf sous le lien
    https://racingstub.com/page.php?page=joueur&id=653
  • Super topic, mais mythique, c'est vraiment costaud, et il ne suffit pas d'avoir été "étranger dans le championnat de France" pour être un mythe. Désolé si je la ramène... :-' ;)

    Alors, pour moi, un mythe, c'est notamment Stan Libuba (okay, et en plus il a joué au Racing) https://racingstub.com/page.php?page=joueur&id=96, demi-finaliste du Mundial '70 lors du match mythique contre l'Italie.

    Sa carrière internationale est retracée en photo sur http://www.schalker-fotoarchiv.de/stan/fotos/displayimage.php?album=4&pos=0
  • Merci à Jean-Claude pour son 'papier' sur Racing c. Nürnberg. Néanmoins, même si le 'Club' (Kloup) a beaucoup fait l'ascenseur depuis longtemps, cela reste un club mythique, donc pas complètement... modeste.
  • Dans Le Racing des années 40 -
    schlesier
    Même sujet, mais diffusion en Allemagne par l'agence de presse sportive n°1, le SID.

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    Sport-Informations-Dienst (Sid) – 18. Juli 2005

    Fritz Walter in Thionville

    Als das Elsass in die Gauliga gezwungen wurde...
    Arbeitslager, Zwangsdeportation, fünf Jahre symbolischer Widerstand

    von Fanch Gaume und Rainer Kalb


    Paris (sid) Als vor 60 Jahren Frankreich von der deutschen Besatzung befreit wurde, kehrten auch die Fußballvereine von Elsass, Lothringen und der Mosel wieder in den französischen Verband zurück. Fünf Jahre lang hatten sie zwangsweise im deutschen Fußballbetrieb mitspielen müssen.

    Direkt nach der Besetzung 1940 hatte die deutsche Verwaltung die elsässische Liga LAFA aufgelöst und angeordnet, dass die Klubs sich der `Gauliga Elsass´ anzuschließen haben. Das war besonders hart für Racing Straßburg, den FC Mülhausen und SR Colmar, die schon Profivereine waren; das Profiwesen aber war in Deutschland bis 1963, der Einführung der Bundesliga, verboten. Der FC Metz, Sarreguemines und Merlebach wurden der Gauliga Westmark zugeteilt und mussten sich mit rheinland-pfälzischen Mannschaften messen. Das Schlimmste aber war, dass unter Androhung einer Sperre oder weiterer Konsequenzen vor jedem Spiel der Hitlergruß zu leisten war. Oskar Rohr, der Onkel des heutigen Trainers Gernot Rohr und Spieler in Straßburg, wurde, weil er sich der französischen Fremdenlegion angeschlossen hatte, in ein Arbeitslager gesteckt.

    Die SS zwang einen kleineren Fußballverein in Straßburg, zur `Sportgemeinschaft SS Straßburg´ zu werden - und blutete, da es offiziell kein Profitum mehr gab, mit materiellen und immateriellen Vorteilen für abwanderungswillige Spieler Racing aus. Der im Oktober 2004 verstorbene französische Nationalspieler Oscar Heisserer hat erzählt: `Als ich mich weigerte, zu unterschreiben, wurde ich mehrere Stunden von der Gestapo verhört, aber mehr zu tun, als wüste Drohungen auszustoßen, haben sie nicht gewagt.´ Die SG SS entpuppte sich als Falle: ein Vereinswechsel war nicht mehr möglich. Erster Titelträger in der Gauliga Elsass wurde 40/41 der FC Mülhausen. In den Spielen um die deutsche Meisterschaften gab es dann trotz zweier Nationalspieler nur ein Unentschieden und fünf
    Niederlagen. Reichstrainer Sepp Herberger fühlte bei Rene Heitz vor, den er zu den fünf besten Torhütern Europas zählte, und bei Oscar Heisserer, den er schon bei der WM 1938 gesehen hatte. Beide lehnten dankend ab; sie blieben lieber Patrioten.

    Bei einem Lokalderby zwischen der SG SS und Racing Straßburg - umgetauft in Rasensport Club - kam es vor 15.000 Zuschauern zu einem Eklat: Racing trat in blauen Trikots, weißen Hosen und roten
    Stutzen an. Sportgauführer Herbert Kraft sah darin eine politische Demonstration und Provokation: `Die Elsässer bedienen sich ihres Fußballs als trojanisches Pferd, um ihre Jugend in der Hand zu behalten und uns lächerlich zu machen´, meldete er. Danach durften elsässische Mannschaften nur noch zwei Farben tragen. Die Sitten wurden rauer; einige Spieler wurden wegen angeblichen Singens französischer Lieder zwangseingezogen.

    Am 23. August 1942 wurde den Elsässern und Lothringern die deutsche Staatsbürgerschaft aufgezwungen, was bedeutete, dass die Einwohner zur Wehrmacht eingezogen werden konnten. Viele Klubs der zweiten und dritten Liga mussten den Spielbetrieb einstellen. Alphonse Wenger, Vater des heutigen Arsenal-Trainers Arsene, wurde 1944 mit 24 an die Front geschickt. Einige Spieler verstümmelten sich, um dem deutschen Militärdienst zu entgehen. Der spätere Weltmeister Fritz Walter spielte für den FC Thionville, Nationalspieler Edmund Malecki für den FC Metz. 1944 schlug der FC Mülhausen, verstärkt mit Torjäger Edmund Conen und dem Ausnahmespieler August Klingler, im Sechzehntel-Finale um die deutsche Meisterschaft Kickers Offenbach mit 4:2. Das Achtelfinale gegen den FC Saarbrücken ging 3:5 verloren. Die `Prämie´ für die meisten Spieler war die Deportation.

    Fast jeder Fußballklub in Elsass-Lothringen verlor die Hälfte seiner Spieler. Insgesamt wurden 130.000 `Deutsche wider Willen´ eingezogen. 42.500 starben oder verschwanden in sowjetischen Kriegsgefangenenlagern. 30.000 kehrten mit bleibenden Verletzungen zurück. Der letzte `Deutsche´ aus dem Elsass sah seine Heimat erst 1955 wieder.
  • Dans Equipe de Côte d'Ivoire -
    schlesier
    Match politico-sportif autour de l'Ivoirien Kalou aux Pays-Bas

    AFP - vendredi 20 mai 2005

    LA HAYE - L'Ivoirien Salomon Kalou, 19 ans, étoile montante du Feyenoord Rotterdam, devra attendre 2008 pour endosser le maillot de l'équipe des Pays-Bas de football, la ministre de l'immigration Rita Verdonk estimant que son talent ne justifie pas une naturalisation accélérée à l'heure où le pays referme ses frontières.

    "Sur la base des faits et des circonstances connues, il n'est pas concevable que le succès de l'équipe des Pays-Bas dépende de l'apport que l'intéressé pourrait fournir", a expliqué la ministre dans un courrier à l'avocat de Kalou, estimant "qu'il n'y pas assez d'intérêt néerlandais".

    Les lettres de recommandation de l'entraîneur national Marco van Basten, qui s'est dit "prêt à sélectionner Kalou s'il est naturalisé" et de son homologue des Espoirs Foppe de Haan, qui envisageait d'appeler le jeune Ivoirien en vue du Mondial des 20 ans, au mois de juin aux Pays-Bas, n'y ont rien changé.

    Travailleurs profitables

    Dans un pays où le football est le sport national mais dont la sélection - demi-finaliste de l'Euro-2004 au Portugal - est à la recherche d'un second souffle, Salomon Kalou, frère de Bonaventure Kalou (Auxerre/FRA), semblait disposer de tous les atouts pour devenir néerlandais.

    Son avocat et celui de son équipe avaient donc demandé une naturalisation selon une procédure rapide, comme la loi les y autorise lorsque cela sert un intérêt sportif ou culturel néerlandais.

    "Cette disposition restera lettre morte si même les recommandations des entraîneurs nationaux" n'ont pas d'influence, s'indigne un éditorialiste du quotidien De Volkskrant (progressiste).

    "Le risque que Salomon Kalou fasse appel à l'assistance publique est pourtant négligeable", poursuit l'éditorialiste, qui conclut: "Mme Verdonk loupe l'occasion de passer de sa politique concluante de limitation des immigrants avides d'allocations, à une politique d'admission de travailleurs profitables".

    Mme Verdonk, également ministre de l'intégration, s'est rendue célèbre par une série de mesures qui ont drastiquement diminué le nombre de demandes d'asile aux Pays-Bas.

    "Renfort bienvenu"

    Elle n'a pas hésité à décider le renvoi dans leurs pays de 26.000 demandeurs d'asile en fin de procédure, dont plusieurs ont passé jusqu'à dix ans aux Pays-Bas.

    Dernière initiative en date de la ministre, un examen d'intégration comprenant la maîtrise du néerlandais, de l'histoire des Pays-Bas et du fonctionnement de la société néerlandaise, que les candidats à l'immigration devront réussir avant d'entrer en lice pour un visa. Ce projet doit cependant encore être approuvé par le parlement.

    La ministre n'a rencontré que peu d'opposition des Néerlandais à ses projets, mais, pour le football et Kalou, de nombreuses voix se sont élevées, indignées qu'on prive "Oranje", l'équipe nationale néerlandaise, "d'un renfort pourtant bienvenu".

    Elle s'est justifiée sur les ondes de la radio publique, indiquant qu'elle "applique une politique restrictive qui (m')impose ce genre de décisions".

    "M. Kalou obtiendra probablement la nationalité néerlandaise en 2008. S'il répond aux conditions. Bien sûr, il peut continuer à jouer au foot dans notre pays", a-t-elle continué.

    L'intéressé a poursuivi les entraînements sans faire de commentaires. Ses avocats envisagent de faire appel. La partie n'est pas encore jouée.

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    QU'EN PENSEZ-VOUS ?
  • Dans Equipe de Côte d'Ivoire -
    schlesier
    A noter que le kiné de la sélection Ivoirienne est Joël Le Hir, ancien kiné du Stade Brestois, du Paris Saint-Germain, de l'équipe de Bretagne, de l'équipe nationale du Mali (coupe d'Afrique 2004) et du Alania Vladikavkaz.
  • 4.641 spectateurs seulement au Kuip de Rotterdam pour la finale Magdeburg v Milan le 8 mai 1974... Il faut dire que c'était juste avant un certain Feyenoord v Tottenham, dans le même stade, en finale retour de la coupe de l'UEFA...
  • mars68 a écrit :
    le meme je l'ai payé 30 € :O mais faut se deplacer en angleterre pour ca !!! :-'


    Glasgow en Angleterre, Mars? T'es sur Vénus alors ? :)) :)) Je blague bien sûr, mais l'Ecosse ce n'est pas l'Angleterre, certainly not...
  • fandelacour a écrit :
    ah bien joué Schlesier... merci bien ! :)-


    You're most welcome. C'est un bon site, des gens sérieux, et je le dis par expérience. (+) (+)
  • A l'époque où Jürgen Sparwasser a marqué son fameux but pour la RDA contre la RFA, il était enregistré sous la profession... d'étudiant :)) ;)
  • pommes a écrit :
    et les strasbourgeois quitteront leur maillots de lOM


    En Bretagne aussi nous avons des exotiques sans cerveau avec le maillot de Marseille sur le dos... Ils devraient aller faire un stage là bas...
  • conan a écrit :
    Je ne crois pas... En fait sa naissance en Alsace relève plus de l'accident qu'autre chose apparement. Ses parents sont Bourguignons et son père avaient à ce moment là trouvé du boulot à Colmar...


    Son père était militaire, n'est-ce pas? Il aurait tout aussi bien se retrouver à Tombouctou. Alors Guy Roux aurait été Malien :)) Un "gros" Malien quoi :)) Désolé, elle est vraiment trop nulle :o)
  • Dans Philippe Ginestet -
    schlesier
    conan a écrit :
    Peut être qu'il est préférable d'avoir un Marco, pas si angélique que celà (et pas super élégant sur cette affaire) mais plus réaliste.


    Marco n'aura pas toujours de Joker... Il est passé en force, ça a marché... Il y a une certaine ingratitute dans cette histoire. Mais il s'agit de football de haut niveau, de pouvoir et d'argent, alors, c'est... normal...
  • Dans Le Racing des années 40 -
    schlesier
    Voici la version originale de l'article, avant qu'il ne paraisse dans France Football. Son titre est différent et il est légèrement plus long mais aussi plus précis.
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    Le football alsacien-lorrain résiste à la dictature nazie

    Juin 1940. Conquises militairement par l'armée allemande, abandonnées par la France du gouvernement de Vichy, l'Alsace et la Moselle sont annexées au Reich allemand. Hitler entend les vassaliser à jamais. Tout est re-germanisé de force et la langue française bannie. Les nazis y installent leur dictature, la délation, l'incorporation de force dans l'armée allemande, la répression sur les familles de réfractaires, un camp de «rééducation» et un autre d'extermination... Pourtant Alsaciens & Lorrains vont résister, footballeurs compris. Mais clubs et arbitres doivent maintenant participer à des championnats régionaux qualificatifs pour les très redoutables compétitions allemandes. Le cauchemar durera cinq ans.

    Dès son arrivée, l'administration allemande dissout la Ligue d'Alsace (LAFA) et la remplace par le «Gaufachwart Fussball», sa propre section football. Le District mosellan subit le même sort. A l'instar de l'Allemagne, le professionnalisme est interdit. Les clubs pros alsaciens – Racing Strasbourg, FC Mulhouse et SR Colmar – doivent disputer le championnat d'Alsace, appelé «Gauliga Elsass». Le FC Metz, Sarreguemines et Merlebach jouent en «Gauliga Westmark» avec les clubs de Sarre-Palatinat. Comble de la soumission, comme en Allemagne, tout joueur doit faire le salut hitlérien à chaque match, sous peine de suspension ou de radiation, voire pire. Toute rencontre de championnat d'Allemagne devient un outil de propagande pour le pouvoir. La plupart des 600.000 Alsaciens et Mosellans évacués par les autorités françaises vers le sud-ouest de la France en septembre 1939, lors du déclenchement de la guerre, puis en mai-juin 1940, et ceux faits prisonniers sous l'uniforme français, reviennent dans leur pays, devenu allemand, entre août et décembre 1940. De très nombreux footballeurs finissent eux aussi par rentrer chez eux. Oskar Rohr, le buteur allemand du RCS, après s'être engagé dans la légion étrangère française, atterit dans un camp de travail allemand...

    UN CLUB SS A STRASBOURG

    L'organisation paramilitaire et policière «SS» contraint un club de Strasbourg à devenir la «Sportgemeinschaft SS Strassburg», comme il en existe à Berlin, Lublin, Nuremberg, Posen, Salzbourg... «A l'origine, c'était le Red Star, explique Ernest Waechter, joueur du Racing de Strasbourg, 24 ans en 1939. Lorsque je suis revenu de captivité en septembre 1940, poursuit-il, il a repris le nom qu'il avait avant 1918, le FC Franconia. Moi, j'avais signé pour le Red Star, étant donné qu'il n'y avait plus de professionnalisme en Alsace et que tous mes copains y étaient. Mais une fois contrôlé par les nazis, il n'y eut plus moyen de quitter le club pour un autre.» Et il n'est pas facile de résister à la pression de cette association sportive «SS», qui essaye de convaincre les joueurs... du Racing de la rejoindre, avec des moyens assez colossaux. La liste comprend des incitations matérielles... mais aussi une menace d'emprisonnement, voire d'enrôlement dans la «Wehrmacht», l'armée allemande.

    La SG va donc «saigner» le Racing pour récupérer l'international français Fritz Keller, mais aussi Hoffmann, Hummel, Lang, Oesch et Rieth, en plus des frères Waechter. «C'était une période très difficile, nous étions mal vus» témoigne Ernest Waechter. Car cette formation, incarnant le régime de l'occupant honni, sera détestée comme rarement une équipe a pu l'être dans l'histoire. «On m'a offert d'aller à la SG SS, ce que j'ai refusé» explique quant à lui le déjà fameux international français Oscar Heisserer, 26 ans, qui indique par ailleurs : «J'aurais pu «tout» obtenir des SS si j'avais accepté de signer pour leur SG». Au lieu de cela, il est interrogé par la «Gestapo» pendant des heures. «Des menaces furent proférées contre moi, mais ils n'osèrent jamais aller plus loin» conclue celui qui s'était vu interdire un retour au RC Paris. «Heureusement on avait des copains dehors, ceux que j'avais du Racing. On arrivait à se voir après les matches...» confesse Ernest Waechter. «Oui, au bistro de notre coéquipier Emile Harthong, ou Place du Marché» ajoute Robert Schneider, 17 ans en 1940 et footballeur au Racing.

    LE STADE DE MULHOUSE CACHE LE DRAPEAU TRICOLORE

    Le FC Mulhouse, rebaptisé «Fussball Club Mülhausen 1893», remporte la première «Gauliga Elsass», en 1940-41, se qualifiant donc pour la phase finale du championnat d'Allemagne. Avec un match nul et cinq défaites, il est renvoyé à ses chères études, malgré ses deux internationaux français, les alsaciens Kauffmann et Korb.

    «Mais le football, à tous les niveaux, était d'abord source de survie et un moyen de revivre» révèle le gardien de Mulhouse René Heitz, que le sélectionneur allemand Sepp Herberger considère rapidement comme un prodige, avec ses 16 ans et ses étonnants réflexes. «Tu es l'un des cinq meilleurs gardiens d'Europe» lui dira Herberger... ce qui flatte le joueur mais rebute le patriote français qu'est René Heitz. C'est d'abord Oscar Heisserer que veut le sélectionneur Allemand qui connaît sa réputation depuis le Mondial 1938 avec l'équipe de France. Mais l'Alsacien repoussera les offres du «Chef» de la «Nationalmannschaft», lors de la visite de ce dernier en Alsace en 1941.

    Officiellement, les Mulhousiens jouent le jeu. Officieusement, notamment le président Waechter et le défenseur Paul Heinrich, ils résistent dans l'ombre. «Un drapeau tricolore était caché sous la toiture de la tribune de Bourtzwiller... poursuit René Heitz. Nous le savions mais personne n'en parlait. Les dirigeants du FCM étaient plus que formidables. René Waechter a bien rempli son rôle de président en évitant les problèmes politiques et les incursions des nazis. Il était également le relais de la résistance alsacienne et a beaucoup aidé les joueurs en leur trouvant un emploi. Traqué par la Gestapo, Heinrich a vite rejoint Londres.» Pour la population, la vie est presque normale. En cette année 1942, Alsaciens et Lorrains se sont adaptés, sortent, vont aux concerts. L'activité rurale est régulière. Les restrictions et l'annexion ne sont pas encore tout à fait insupportables. Le football et son sacro-saint match du dimanche reste populaire. La guerre semble lointaine. «Nous laissions libre court à notre joie de vivre... sans penser que la guerre serait si longue» concède Pierre Heintz, 19 ans, footballeur au Racing.

    UN RACING STRASBOURG EN BLEU-BLANC-ROUGE CONTRE LES SS

    Le Racing, ou plutôt le «Rasensport Club Strassburg», emmené par Oscar Heisserer, incarne alors la résistance passive du football strasbourgeois face au club «SS». «C'était le match de l'année, et, même s'ils étaient meilleurs sur le papier, nous n'avons jamais perdu contre eux en huit rencontres» se souvient Oscar Heisserer. A la Meinau, cette année là, devant 15.000 spectateurs remplis de haine pour l'équipe des SS, le Racing fait un match étourdissant et s'impose 3-0. «Les relations étaient très mauvaises entre les deux clubs. C'était très tendu...» poursuit Oscar Heisserer. Ce jour là, le Racing joue en maillot bleu, short blanc et chaussettes... rouges ! Un vrai France-Allemagne... «L'exploit» est attribué au président Joseph Heintz... «Ce fut un concours de circonstances plus qu'un acte de résistance délibéré. Il aurait été très dangereux de provoquer ce genre de chose» explique Pierre Heintz, dont le président de père, sermonné par les autorités, évite au bénéfice du doute de se retrouver au Camp de Rééducation alsacien de Schirmeck... La légende n'est donc pas tout à fait celle que l'on croit. Acte délibéré ou non, Herbert Kraft, le «Sportgauführer» nazi (Chef des sports d'Alsace) n'est pas dupe : «Les Alsaciens se servent de leur football comme d'un bouclier, pour garder en main leur jeunesse et nous ridiculiser» écrira t-il. «Un nouveau décret nazi limitera alors à deux le nombre de couleurs portables en match...» précise Robert Schneider.

    «Les gens étaient surexités lors des matches contre la SG SS, c'était leur seul moyen d'extérioriser leurs sentiments et après certains matches il y eu des arrestations» reprend Heisserer. Car des spectateurs, hurlant désespoir et espoir à la fois, sont alors embarqués manu militari par la «Gestapo» et finissent à Schirmeck... «Certains joueurs du Racing se retrouvèrent mobilisés de force pour avoir chanté des chants français, interdits par les nazis, après un match. Ce fut mon cas» se souvient Emile Stahl (Ndlr. aujourd'hui Président d'honneur de Vauban Strasbourg), expédié vers la Prusse orientale. Pourtant, c'est la «Sportgemeinschaft SS» qui devient championne d'Alsace 1941-42. «Nous avions tout de même quelques satisfactions, par exemple de battre des équipes allemandes» rappelle Ernest Waechter. En 1/16e de finale, la Sportgemeinschaft reçoit les Kickers Stuttgart au stade du Tivoli, le 10 mai 1942. «Ce jour là, se souvient Ernest Waechter, on avait toute l'Alsace derrière nous. On les avait contre nous dans les autres matches, derrière nous quand on jouait contre une équipe allemande. On a gagné 2-0 (Ndlr. deux buts de son frère Pierre) parce-qu'en fait c'était contre eux que l'on pouvait s'exprimer vraiment.» En 1/8e de finale, le 24 mai, la Sportgemeinschaft continue en battant le champion de Bavière Schweinfurt 2-1, à La Meinau cette fois-ci, toujours devant 12.000 personnes, sur un but décisif de Fritz Keller. Mais, le 7 juin 1942, en 1/4 de finale, plus dure est la chute, un 0-6 face à Schalke 04, le futur champion.

    LES NAZIS TRANSFORMENT L'ALSACE ET LA MOSELLE EN CASERNE

    Arrive alors la fin d'une époque lorsque le cauchemar vire à l'horreur. Le 23 août 1942, les nazis prennent l'ordonnance qui confère la nationalité allemande aux Alsaciens et Mosellans. Les «Gauleiter» Wagner et Bürckel obtiennent l'accord de Hitler de mobiliser et d'incorporer de force les jeunes Alsaciens-Lorrains dans la «Wehrmacht» ou dans la «Waffen SS» : les décrets des 25 & 29 août 1942 viennent de les jeter dans la guerre. De nombreux clubs de 2e et 3e division alsaciennes sont dans l'obligation d'arrêter leurs activités avant la reprise du championnat 1942-43 à cause de ces incorporations. Voilà comment Alphonse Wenger (Ndlr. père d'Arsène), modeste amateur du FC Duttlenheim, est enrôlé de force en octobre 1944, à l'âge de 24 ans. Certains joueurs vont jusqu'à s'auto-mutiler pour échapper au triste sort de leurs compatriotes.

    En championnat d'Allemagne 1942-43, le champion d'Alsace Mulhouse sombre d'entrée en 1/16e de finale, le 7 mai 1943 à Sarrebruck (1-5). Mais la résistance, même symbolique, se poursuit au FC Mulhouse : «Notre manière, à nous joueurs, de manifester notre révolte était de parler français dans les vestiaires et sur le terrain» révèle René Heitz. En mars 1943, Oscar Heisserer avait fuit l'incorporation de force, se réfugiant en Suisse, après avoir contribué à aider nombre de Juifs à passer discrètement la frontière. Les Messins Gorius, Hibst et Lauer passent la frontière du «Reich» en Lorraine et se cachent à Saint-Etienne, l'international Veinante à Paris. Mais Charles Zehren, un autre international Lorrain, et son coéquipier Henri Nock, ne peuvent échapper au front de l'est. L'étau se ressere... Pendant ce temps, l'allemand Fritz Walter (champion du monde 1954) joue au FC Thionville, son compatriote international Edmund Malecki au FC Metz.

    Lors de la saison 1943-44, alors que de plus en plus d'Alsaciens-Lorrains sont jetés dans la guerre sur le front russe après Stalingrad, des joueurs de la SG SS Strasbourg sont mis aux arrêts la veille d'un match contre Mulhouse à cause du refus de certains de s'engager dans la «Waffen SS». Même dans l'antre de la «bête», des Alsaciens résistent... «Heureusement, le médecin de notre club était un gars formidable, il a évité à certains d'être incorporés» précise Ernest Waechter. Renforcée par deux internationaux allemands – le génial buteur Edmund Conen, héro du Mondial 1934, anti nazi, et le surdoué August Klingler, habile comme un Kopa, mais 100% nazi – Mulhouse remporte sa troisième «Gauliga Elsass». Le FC Metz, barré par Sarrebruck ou Kaiserslautern, doit se contenter de sa quatrième place de dauphin en quatre saisons de «Gauliga Westmark»...

    LA PRIME D'UN « MALGRE NOUS» ? LA VICTOIRE OU LE FRONT RUSSE...

    Le 16 avril 1944, les Mulhousiens, avec probablement la meilleure équipe de leur histoire, défient les Kickers Offenbach au stade de Bourtzwiller. Ce 1/16e de finale de championnat d'Allemagne est d'une intensité extraordinaire. Les Alsaciens ne se laissent pas impressionner. 3-2 pour Mulhouse à la mi-temps. Les Allemands obtiennent un penalty pour revenir à égalité. Alors, dans une détente insensée, un jeune homme de 18 ans, René Heitz, gardien du FC Mulhouse, va chercher la lourde frappe dans la lucarne... avant que Eugène Hartmann n'achève Offenbach suite à un phénoménal travail de Klingler. 4-2. Mulhouse et toute l'Alsace explosent de joie. «Nous sommes assez forts pour devenir champion d'Allemagne !» se disent alors René Heitz et les Mulhousiens. Bravant l'interdit, les «Allez Mulhouse» sont autant de cris qui fleurissent, en écho à la souffrance de ces milliers de soldats qui se surnomment les «Malgré Nous» et meurent sur le front russe. Un cri de liberté. En 1/8e de finale, le 7 mai 1944, Mulhouse retrouve Sarrebruck. La prime de match ? Se qualifier pour les 1/4 de finale ou... être expédié sur le front russe, tout au moins pour les Allemands Klingler et Bitzer et l'Alsacien Heitz. Paralysant et Effroyable.

    Après une partie épique, Mulhouse est finalement éliminée 5-3 en Sarre. La finale du... 18 juin 1944 à Berlin restera un rêve aussi paradoxal qu'inachevé. Direction le front de l'est. Klingler y sera porté disparu fin 1944. René Heitz réussira l'invraissemblable. Il s'évadera de l'enfer ukrainien, à grand coup d'ingéniosité, de culot et de courage. Mais les Racingmen Gruber, Schaaf et le Mulhousien Boehler tomberont au combat. Presque chaque club de football d'Alsace-Moselle de tout niveau dénombrera, à la fin de la guerre, des effectifs réduits de moitié. La libération de l'Alsace et de la Moselle, à laquelle participera Oscar Heisserer, interviendra entre septembre 1944 et mars 1945. Dès lors, Heisserer retournera au Racing de Paris avec lequel il gagnera la coupe de France 45. «La guerre m'a volé mes meilleures années. C'est mon grand regret» avoura Heisserer, amer. Prisonniers au camp russe de Tambov, les Messins Nock, Zehren et le Strasbourgeois Stahl parviendront à s'en sortir.

    Sur les 100.000 Alsaciens et les 30.000 Mosellans «Malgré nous» incorporés de force durant le conflit, 42.500 moureront, ou disparaîtront sur le front de l'est, ou comme prisonniers sous l'uniforme allemand dans les camps soviétiques. 30.000 reviendront invalides. Le dernier «Malgré Nous» ne rentrera en Alsace qu'en 1955... Beaucoup d'Alsaciens-Lorrains portent encore aujourd'hui les stigmates d'un héritage très lourd à assumer à travers les générations. Ils auront pourtant défendu leur patrie avec une ferveur extraordinaire.
  • Dans De Nantes, merci! -
    schlesier
    bofbof2004 a écrit :
    Ce qui serait sympa, c'est qu'ils nous laissent enfin gagner à la Beaujoire. ;)


    Dream on :)) Breizh Atao !
  • Sur le forum de Nantesfoot.com, une personne n'accepte pas l'appartenance historique de Nantes à la Bretagne. Voici sa réponse :

    "Historiquement, l'alsace et la lorraine ont été allemandes, l'algérie a été française... etc. Les choses évoluent, faut apprendre à vivre avec un peu !"

    On voit que le reniement et l'opportunisme (voire la bêtise ?) sont toujours bien présents parmi nous. Pour cette personne, l'Alsace aurait dû accepter d'être allemande, tranquillement, alors Nantes vous pensez... Tout se brade de nos jours...
  • Dans André Bord -
    schlesier
    Merci Aragon, super article sur une époque telle douloureuse, même pour un 'étranger' comme moi.

    Par contre tu indiques à la fin de l'article :
    "** Après la descente en division 2 en 1976, l'arrivée du tandem Bord/Gress entraîne :
    - La remontée immédiate en Division 1 en 76/77"

    A l'époque Léopold était président, avec Schilcher entraîneur, puis le duo Schilcher/Schwartz, n'est-ce pas, au lieu de Bord-Gress?

    Pour la petite histoire, Alain Léopold était allé voir Marc Berdoll à Sarrebruck afin de le faire signer au Racing pour 77/78 (il opta finalement pour Marseille).
  • Dans De Nantes, merci! -
    schlesier
    Certains entraîneurs ont remporté des titres sans promo, sans diplôme... :-'
  • Y a t-il jamais vraiment eu de vrai derby en France au plus haut niveau? A Paris, peut-être, à une certaine époque (Racing, Stade Français et d'autres... mais ailleurs en France?? De la ville même? Les agglomérations peut-être (Paris, Lille, ??).

    Ce serait une recherche très intéressante. A Brest, il y eut une vraie rivalité entre l'AS Brestoise et le Stade Brestois, par exemple, mais jamais en pro.

    Le plus proche d'un 'vrai derby', ça resterait alors Racing c. Metz... à défaut d'un vrai derby Strasbourgeois, Racing c. Vauban... Et Racing c. Schilik, ce serait un vrai derby?
  • Dans Le FC Mulhouse -
    schlesier
    Fabuleux comme humour =D
  • Dans Le FC Mulhouse -
    schlesier
    yackimoto a écrit :
    jayjay a écrit :
    bientot un RCS-Mulhouse en L1???? :-/
    Tu peux en atendre :D


    Un FCM fort, c'est bon pour le football Alsacien et les joueurs Alsaciens.
  • Dans De Nantes, merci! -
    schlesier
    J'espère simplement que le Racing sera un jour en mesure de s'aligner sur le palmarès et la présence en D1 du FCN. C'est la seule réponse. Le reste la légende, etc, le FCN en est toujours une, même mal en point, c'est probablement ce que voulait dire Da Rocha. Il n'y a pas de comparaison possible avec le Racing. Chacun à sa place, chacun sa légende, deux beaux clubs qui, je l'espère, continueront de prospérer et de faire briller leur étoile.
  • C'est beau de voir comment Chirac a cru posséder tout le monde en croyant 'plier cette histoire là en quelques mois'. Il a en fait effrayé tout le monde et fait le lit d'un ramassis d'extrêmistes qui il y a quelques décénies encore n'auraient pas été contre une Europe soviétique, ou fasciste (dont Chevènement qui prône le rattachement de la Wallonie à la France...)...
    Les problèmes de boulot et existentiels ont fait le reste. Après 2002, ça commence à faire beaucoup... Avant, on avait 'Little England', l'anti-européenne... La France est déjà perçue en Europe et dans le monde comme un boulet prenant du volume au fil des ans, perdant son influence en Europe et dans le monde, voulant faire perdurer son système centralisé dépassé... et cela ne va pas s'arranger.
    La petite France va t-elle maintenant rétrécir de 54% ou de 57%? Lorsque tout sera bloqué, il y aura encore moins de boulot et les Français se 'taperont' encore plus sur la gueule.
  • Dans Promotions - Relégations -
    schlesier
    aragon a écrit :
    schlesier a écrit :
    aragon a écrit :
    J'en ai marre de Landr.. heu Nantes en L1... comme si y'avais pas assez de Marseille et Bordeaux...


    Merci Aragon... X-( X-( X-(
    Breizh Atao ! Naoned Atao !


    Ah, c'est en Bretagne alors Nantes, finalement? :D C'est pas la banlieue nord de Bordeaux? :p
    Rennes Atao! ;) (je sais pas écrire Rennes en breton :'> )


    Franchement, si je te connaissais pas... :D et que tu étais pas Basque... :D Je te trouverais plein d'humour X-( Nantes est la capitale de la Bretagne, sinon Bilbao est la banlieue de Santander :)) Quant à Rennes, bravo pour l'exploît du siècle, une coupe d'Europe toutes les trente ans, ça marque :))
  • Dans De Nantes, merci! -
    schlesier
    Quel soulagement de voir notre FCN, notre Naoned rester là où il doit être... La Beaujoire hier soir, c'est à la fois beau et pathétique... ce qui montre que ce club est plus mythique qu'on ne le pensait encore et que les Bretons et leurs voisins savent se mobiliser aussi fort que cela... Mais pour que le mythe redéploie ses ailes il va falloir faire vite et bien et ça ne sera pas simple...
  • Dans Marc Keller sur le départ ? -
    schlesier
    jon.allez-rcs67 a écrit :
    Il faut faire quelque chose c pas possible on va pas laisser le racing se séparer du meilleur manager kil ai jamais eu a cause d un débutan altruiste !!!VIVE KELLER VIVE LE RACING


    Comment le duo Gindorf-Keller n'a t-il pas vu venir Ginestet? Ils se sont pratiqué tout de même... Keller n'a t-il pas eu le poids qu'il fallait pour trouver une autre solution que ce Ginestet de m... ?
  • Dans Promotions - Relégations -
    schlesier
    samh a écrit :
    TF1 #-o
    Pascal Praud ? :-&


    :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :)) :))
  • Dans Promotions - Relégations -
    schlesier
    aragon a écrit :
    J'en ai marre de Landr.. heu Nantes en L1... comme si y'avais pas assez de Marseille et Bordeaux...


    Merci Aragon... X-( X-( X-(
    Breizh Atao ! Naoned Atao !
  • Dans Promotions - Relégations -
    schlesier
    marc a écrit :
    samh a écrit :
    on parie combien que si nantes descend, ajaccio sera retrograde a cause de son stade et nantes repeche :-'
    $-)


    J'en suis convaincu moi aussi !


    Je crois que ça reste franchement à voir... tout de même...
  • Dans Naturalisations -
    schlesier
    Voilà un mec qui n'a rien, mais alors, rien à voir avec les Pays Bas... JUSQU'OU IRA T-ON DANS LE DELIRE !!! X-( X-( X-(
  • Dans Naturalisations -
    schlesier
    QUATRIEME DIMENSION...


    Match politico-sportif autour de l'Ivoirien Kalou aux Pays-Bas

    ven 20 mai, 11h01

    LA HAYE, 20 mai (AFP) - - L'Ivoirien Salomon Kalou, 19 ans, étoile montante du Feyenoord Rotterdam, devra attendre 2008 pour endosser le maillot de l'équipe des Pays-Bas de football, la ministre de l'immigration Rita Verdonk estimant que son talent ne justifie pas une naturalisation accélérée à l'heure où le pays referme ses frontières.

    "Sur la base des faits et des circonstances connues, il n'est pas concevable que le succès de l'équipe des Pays-Bas dépende de l'apport que l'intéressé pourrait fournir", a expliqué la ministre dans un courrier à l'avocat de Kalou, estimant "qu'il n'y pas assez d'intérêt néerlandais".

    Les lettres de recommandation de l'entraîneur national Marco van Basten, qui s'est dit "prêt à sélectionner Kalou s'il est naturalisé" et de son homologue des Espoirs Foppe de Haan, qui envisageait d'appeler le jeune Ivoirien en vue du Mondial des 20 ans, au mois de juin aux Pays-Bas, n'y ont rien changé.

    Travailleurs profitables

    Dans un pays où le football est le sport national mais dont la sélection - demi-finaliste de l'Euro-2004 au Portugal - est à la recherche d'un second souffle, Salomon Kalou, frère de Bonaventure Kalou (Auxerre/FRA), semblait disposer de tous les atouts pour devenir néerlandais.

    Son avocat et celui de son équipe avaient donc demandé une naturalisation selon une procédure rapide, comme la loi les y autorise lorsque cela sert un intérêt sportif ou culturel néerlandais.

    "Cette disposition restera lettre morte si même les recommandations des entraîneurs nationaux" n'ont pas d'influence, s'indigne un éditorialiste du quotidien De Volkskrant (progressiste).

    "Le risque que Salomon Kalou fasse appel à l'assistance publique est pourtant négligeable", poursuit l'éditorialiste, qui conclut: "Mme Verdonk loupe l'occasion de passer de sa politique concluante de limitation des immigrants avides d'allocations, à une politique d'admission de travailleurs profitables".

    Mme Verdonk, également ministre de l'intégration, s'est rendue célèbre par une série de mesures qui ont drastiquement diminué le nombre de demandes d'asile aux Pays-Bas.

    "Renfort bienvenu"

    Elle n'a pas hésité à décider le renvoi dans leurs pays de 26.000 demandeurs d'asile en fin de procédure, dont plusieurs ont passé jusqu'à dix ans aux Pays-Bas.

    Dernière initiative en date de la ministre, un examen d'intégration comprenant la maîtrise du néerlandais, de l'histoire des Pays-Bas et du fonctionnement de la société néerlandaise, que les candidats à l'immigration devront réussir avant d'entrer en lice pour un visa. Ce projet doit cependant encore être approuvé par le parlement.

    La ministre n'a rencontré que peu d'opposition des Néerlandais à ses projets, mais, pour le football et Kalou, de nombreuses voix se sont élevées, indignées qu'on prive "Oranje", l'équipe nationale néerlandaise, "d'un renfort pourtant bienvenu".

    Elle s'est justifiée sur les ondes de la radio publique, indiquant qu'elle "applique une politique restrictive qui (m')impose ce genre de décisions".

    "M. Kalou obtiendra probablement la nationalité néerlandaise en 2008. S'il répond aux conditions. Bien sûr, il peut continuer à jouer au foot dans notre pays", a-t-elle continué.

    L'intéressé a poursuivi les entraînements sans faire de commentaires. Ses avocats envisagent de faire appel. La partie n'est pas encore jouée.
  • Dans Le Racing des années 40 -
    schlesier
    C'est l'une de ces "hallucinations" de l'histoire du football... Pourtant, le FC Thionville n'était même pas au plus haut niveau régional de l'époque, mais "le" Walter était stationné là bas avec la Luftwaffe. Après, le FC Thionville, ce fut la D2 dans les années 80 (Bernard Tischner et Jean-Paul Pfertzel après Fritz Walter), et aujourd'hui, c'est la DH...
  • Dans Le Racing des années 40 -
    schlesier
    Même s'il y a de l'anti-Lorrain pour x raisons, il ne faut pas oublier ce qu'ont aussi vécus les adversaires d'un soir durant la même sinistre époque...

    Entre 1941 et 1944, Le FC Metz, Sarreguemines et Merlebach jouèrent en «Gauliga Westmark» avec les clubs de Sarre-Palatinat. Le FC Metz, barré par Sarrebruck ou Kaiserslautern, doit se contenter de quatre places de dauphin en quatre saisons de «Gauliga Westmark»... En 1943, suite aux décrets d'incorporation d'août 1942 dans la Wehrmacht, les Messins Gorius, Hibst et Lauer passent la frontière du «Reich» en Lorraine et se cachent à Saint-Etienne, l'international Veinante à Paris. Mais Charles Zehren, un autre international Lorrain, et son coéquipier Henri Nock, ne peuvent échapper au front de l'est. L'étau se ressere... Pendant ce temps, l'allemand Fritz Walter (champion du monde 1954) joue au FC Thionville et son compatriote international Edmund Malecki au FC Metz. C'est dans un triste état que Nock et Zehren reviendront du camp de Tambov.
  • Dans Le FC Mulhouse -
    schlesier
    superdou a écrit :
    En lisant le règlement, on se rend compte qu'il est quand même très injuste pour les clubs de ligue 2 (-)

    Ainsi, tant qu'une équipe évolue en ligue 1, sa réserve peut monter en CFA, mais elle ne sera reléguée en CFA2 que si ce même club descend en CFA.

    C'est assez étrange comme règlement :-/


    Tout simplement débile comme règlement... Quelle est la lumière qui a bien pu pondre ça Avenue d'Iena? Le pire, c'est de l'avoir votée en plus X-(
  • Trois arbitres agressés dans les vestiaires d'un club amateur près de Toulon

    TOULON, 10 mai 2005, 19h45 (AFP) - - Une information judiciaire pour "violences" avec des circonstances aggravantes a été ouverte mardi soir à l'encontre de trois hommes après l'agression de trois arbitres dans les vestiaires, dimanche à Saint-Mandrier (Var), à l'issue d'un match de football amateur, a-t-on appris de sources concordantes.

    Les trois agresseurs présumés, deux joueurs et le père de l'un d'eux ont été placés en garde à vue au commissariat de La Seyne-sur-Mer avant d'être déférés au parquet de Toulon dans l'après-midi.

    Ce dernier a ouvert dans la soirée une information judiciaire contre ces trois personnes pour "violences volontaires en réunion dans une enceinte sportive, ayant entraîné une ITT (interruption temporaire de travail) supérieure ou inférieure à 8 jours selon les victimes, avec usage ou menace d'une arme (une pierre, ndlr) et sur une personne chargée d'une mission de service public".

    Par ailleurs, le parquet a requis le placement sous contrôle judiciaire pour l'un des agresseurs présumés et le mandat de dépôt pour les deux autres.

    L'agression est survenue après le match opposant l'US Saint-Mandrier à Solliès-La Farlède (promotion de 1re division de district), qui s'était pourtant terminé dans le calme, a indiqué à l'AFP Pierre Guibert, vice-président du district de football du Var, en charge des problèmes de violence.

    Mais peu après le coup de sifflet, une trentaine de personnes ont tenté d'investir les vestiaires des trois arbitres de la rencontre, qui se sont fait molester par un groupe ayant réussi à pénétrer dans la petite pièce.

    L'un d'entre eux, arbitre assistant, a été frappé à la tête par une pierre et blessé à l'oeil. Il a bénéficié d'un arrêt de travail de dix jours contre trois jours pour ses deux collègues, souffrant de contusions.

    Trois agresseurs présumés ont été identifiés et placés en garde à vue. Selon M. Guibert, il s'agit d'un joueur de l'équipe de Solliès, d'un second qui jouait pour le même club mais ne disposait pas d'une licence valide et du père de ce dernier.

    Une commission de discipline devrait se réunir très prochainement pour se prononcer sur le cas du joueur licencié en garde à vue et de plusieurs autres qui ne font pas l'objet de procédures mais s'exposent à des sanctions sportives pour l'intrusion dans les vestiaires, a dit M. Guibert. Ils risquent une suspension définitive.

    Pour le second joueur et son père, les instances sportives ne sont pas compétentes mais ont l'intention de se porter partie civile en cas de procès, a dit le vice-président du district.

    Le club de Solliès et ses responsables encourent également des sanctions. "

    Quand la FOLIE va t-elle prendre fin?

    Il faut parler encore plus des agressions d'arbitres (exemples, articles de presse)... pour que cela cesse !
  • Dans Où habitent nos joueurs ? -
    schlesier
    Un champion du Monde (autre que Frank Leboeuf) a habité en Alsace : Thomas Häßler. Mais, bien sûr, il jouait alors pour le KSC (alors en 1. Bundesliga) et pas au Racing...
  • Dans Le foot en Espagne, olé ! -
    schlesier
    Le Real Club Celta de Vigo va revenir en force ! (+)
  • Dans Banderole à Sochaux -
    schlesier
    Encore ça et puis j'arrête :))

    Chanson d'Alan Stivell sur un texte de Yann-Ber Piriou

    Les chiens redevriendont sauvages / Ar chas donv yelo da ouez

    Brewet dindan yew an dud uhel
    Leun a fae hag a lorc'hentez
    Hon eus bewet lent hag uvel
    E pad kantvedou a vezh

    Dre hor c'hoadou hag hol lanneier
    Awel an ankou ra he reuz
    C'hwezhan a ra eus ar Reter
    Bez'zo lod o devo keuz

    Rag ma tarzh an deiz hirgortozet
    Ha ma tihun ar bobl a-bezh
    Eus Menez Are d'an Naoned
    Ar chas donv yelo da ouez

    Y B Piriou
    =;
  • Dans Banderole à Sochaux -
    schlesier
    johnnbo a écrit :
    Ces conneries d'indépendance, j'en entends parler toutes les semaines là où j'habite, et franchement, en ce qui concerne la Bretagne, à part la pêche et les choux fleurs, il leur resterait quoi comme richesse pour pouvoir prospérer ?


    Bien piteux comme argument. La Californie est la 5e économie du monde sans être indépendante. Haïti est indépendant... Forcément, détruire un Etat indépendant et saboter son identité légitime pendant ensuite plus de 500 ans, ça fait peut faire réécrire beaucoup de choses. L'indépendance d'un pays ne répond pas à une logique mais à un rapport de force donné à une époque ou des époques données, ainsi qu'au respect de l'autre dans sa différence... Pourquoi ne pas rattacher le Danemark à l'Allemagne, le Portugal à l'Espagne, la Porte au Rico et les Vessies aux Lanternes? :))
  • Dans Banderole à Sochaux -
    schlesier
    superdou a écrit :
    Sochaux, Sochaux, on t'enc... ? :p

    ---> ok, je sors :o)



    :)) :)) :)) :)) M'enfin, et que fait cet enf... de Guy Lacombe? :)) :)) :))
  • Dans Banderole à Sochaux -
    schlesier
    dartagnan a écrit :
    holicool a écrit :
    De l'humour ? Pas voulu ? Mais faut arrêter bon sang... :)

    Sincèrement, ce n'est pas parce qu'ils viennent d'une petite bourgade du Doubs qu'ils sont cons pour autant... Ils savent ce qu'ils écrivent, ils savent ce qu'ils font...

    D'ailleurs la banderole n'a pas fait long feu, preuve qu'il fallait l'enlever assez vite vu son caractère craignos...
    N'ayons pas peur des mots, c'était clairement un message à caractère raciste.

    Alors oui, on peut mettre ça sur le compte de la bêtise... Ou du fait que patati ou patata. Mais les Sochaliens sont des adultes responsables, des ultras, ils connaissent bien le monde des tribunes, des rivalités et l'histoire de l'Alsace, alors c'est tout sauf involontaire de leur part... :-&

    Absolument d'accord avec toi holicool, que n'aurait on pas entendu si cette banderolle avait été apposée a la Meinau, alors arrêtez avec votre racisme a la noix pour moi ça c'est du RACISME ANTI-ALSACIEN et j'espère que le club va porter plainte et que la LICRA va se porter partie civile pour le coup , mais ça j'en doute (-)


    Se faire traîter de 'Sal Alsacien' ou de 'Sal Breton', vous allez porter plainte, mais on se fout de votre/notre gueule, et pourtant, à qui s'est déjà arrivé??? Racisme ou discrimination de tout type, c'est inacceptable.
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  • cigonhao Syndrome dépressionaire aigue
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  • arthas On est relégable sur la base des matchs retour
  • arthas Elle a même été mauvaise en général
  • rutchi35 Le Racing a marqué 7% de buts/m en plus mais a encaissé 29% de buts/match en +
  • rutchi35 La phase retour a été laborieuse pour le Racing, surtout en défense
  • innomine même si on visait le top 10 (desfois qu'on ait des joueurs potables qui arrivent)
  • innomine il apporte de la hargne, de l'expérience et il est polyvalent. Il a largement sa place dans le groupe l'année prochaine
  • innomine même si Guilbert est globalement mauvais cette saison (à l'exception de 2-3 matchs en central)
  • arthas Le jour où ils seront surpassés, Perrin et Guilbert partiront déjà d'eux-mêmes

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