sedna
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Dans Ils viennent de nous quitter -sednaPas faux... La liberté, c'est quelque chose qui se prend et on a sans doute moins de courage pour le faire.
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Liberté de ton et impertinence (comme J. Martin et le petit rapporteur dans un genre plus satyrique). La disparition de M. Polac nous rappelle ce bon temps ou le politiquement correct n'était pas encore de mise, ou il n'y avait pas une foule de censeurs prêt à "twitter" dés le moindre pet de travers. La censure d'état n'avait pas été encore remplacé par celle plus insidieuse que l'on connait à travers les médias actuels.
Le bon goût n'était pas toujours en rendez-vous, mais on pouvait tout de même humer ce bon air pur de liberté qui nous fait si cruellement défaut aujourd'hui. -
Cette histoire de certificat médical, c'est avant tout une astuce pour permettre aux organisateur de sortir la tête haute et de pouvoir revenir sur une décision injuste ou en tout cas très exagérée. Remarquez que le certificat a été fourni par un médecin du comité d'organisation des jeux.
Dans le même genre, sans que cela ait posé le moindre problème ni créé de commentaires, le représentant français en keirin (mais peut-être d'autre aussi) était obligé par les règlements internationaux d'être alignés dans au moins deux compétitions, il a donc été aligné dans la course en ligne et a évidemment très rapidement abandonné comme cela était prévu dés le départ.
Evidemment il n'est pas question de tricherie ici, mais dans le fond, ce n'est pas le cas non plus du coureur tunisien.
Le comité olympique a mis les doigts dans un engrenage délicat en excluent des joueuses de badminton, il a fermé les yeux sur certains autres agissements et détournement des règles, il va avoir du mal a garder une ligne cohérente. -
Il n'y a d'ailleurs pas d'équipe de Rugby d'Irlande du Nord, mais parfois des joueurs venant d'Irlande du Nord sélectionnés dans l'équipe de la République d'Irlande.
C'est vrai que le Rugby n'est plus, depuis fort longtemps un sport olympique. -
Beaucoup de tirs et d'occasions pour seulement un but.
Inutile d'aller chercher ailleurs les raisons de la défaite, pour gagner, il faut marquer.
Les japonaises ont un jeu défensif avec beaucoup de solidarité. elles peuvent compter sur le talent de leur deux attaquantes qui font le boulot devant et marquent les buts.
Bien entendu, techniquement, il y a encore beaucoup d'écart avec le foot masculin et quand je vois la technique des gardiennes qui ne boxent pratiquement jamais la balle, qui ne font pas les claquettes qui pourraient écarter les balles dangereuses, sans parler de plongeons, je suis quand même un peu étonné. Même en U13, les jeunes sont capable de ces gestes, ce n'est pas un problème de capacité physique. Je pense qu'il y a une marge de progression encore énorme dans ce sport dont la version féminine est encore assez neuf.
Il ne viendrait à l'idée de personne de comparer les techniques des gardiens des années trente avec celles des gardiens d'aujourd'hui. A la DTN de plancher sur ce sujet et de mettre en place des filières de formation.
Ce n'est qu'un exemple, mais s'il y a encore beaucoup de travail, le foot féminin français a accroché le bon wagon, il doit rester parmi les meilleures nations dans les années à venir et accompagner les progrès qui immanquablement verrons le jour dans ce sport en rapide progression. -
Un petit peu...
Juste sous l'orage au moment de changer de tram pour aller au boulot.
Je suis trempé ! -
Et puis J.M. Furlan, contrairement aux trois autres cités reste d'actualité puisqu'il existe encore dans le monde du foot.
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Furlan, avec le recul, on peut tenter une analyse plus sereine de son passage au Racing.
D'un point de vue tactique, il était partisan d'un jeu plutôt agréable et quand tout allait bien, assez efficace. Son grand défaut, c'est de n'avoir pas su gérer les crises.
En L1, il avait très bien commencer et placé le Racing dans une belle position, dans le top dix pendant le premier tiers de la saison. Quand la bise fut venue, il n'a pas su gérer les problèmes de vestiaire ni surtout faire réagir son groupe et on a eu droit au naufrage final que l'on connait. La responsabilité de P. Ginestet est engagée sur ce coup là aussi. C'est à ce moment là qu'il fallait changer d'entraineur pour sauver ce qui pouvait encoure l'être.
La saison suivante, c'était sans doute difficile de repartir après un tel naufrage. Pourtant, il l'a fait et plutôt bien, son équipe caracole en tête au cours des premières journées. Cependant, il n'a pas su gérer les tournants de la saison et perd les rencontres importantes qui provoquent l'essoufflement et il échoue finalement au pied du podium dans un match à Montpellier où tout aurait pu encore basculer.
On peut constater aussi qu'il n'avait pas à sa disposition un groupe soudé et porté vers le même objectif pour le bien du club mais plutôt d'un assemblage assez hétéroclite de jeunes issus du centre manquant de l'expérience nécessaire à la stabilité et de joueurs plus expérimentés mais faisant plutôt figure d'une troupe de mercenaire dont beaucoup n'étaient que prêtés et peu impliqués sur le long terme. Ajoutons à cela quelques fortes têtes mal encadrées et on aura résumé les principales raisons de son échec.
Si à Troyes il peut compter sur un groupe plus solidaire et trouver des relais lorsque ses lacunes dans la gestion de groupe pourraient influer sur les résultats d'ensemble, il est capable de réussir une saison satisfaisante. A condition bien sur qu'il ait retenu les leçons du passé et puisse admettre qu'il ne peut pas tout à lui tout seul. -
Pauvres lensois...
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Bien entendu, on ne peut comparer l'EDF aux équipes d'Italie et d'Espagne. Les différences sont trop cruelles. Il y a effectivement au sein des deux équipes finalistes des leaders dans divers compartiment du jeu. Mais surtout ces deux équipes ont montré une solidarité et un sens du collectif à toute épreuve, malgré de grands talents individuels. C'est grâce à cela qu'on les retrouve en finale.
Les très grands gardiens ont souvent été capitaines de leurs équipes, c'est vrai qu'ils sont en général plus âgés que leurs coéquipiers et qu'ils ont tout simplement plus de maturité, ceci compensant le fait qu'ils soient cantonnés dans leur surface. Casillas et Buffon ont chacun le fameux brassard et je ne pense pas que l'on puisse y trouver à redire, le succès étant au bout.
Le brassard, c'est plus un problème d'équipe et de charisme individuel que de position sur le terrain.
LLoris est un très bon gardien, même s'il a de grandes qualités humaines, il n'est pas assez expansif pour être à son âge le grand leader d'une équipe et surtout certains de ses coéquipiers sont trop bouffis d'orgueil pour garder les pieds sur terre. -
J'ai entendu dire récemment de façon très péremptoire qu'il était inconcevable de donner le brassard de capitaine à un gardien de but.
Comme quoi, il vaut mieux faire tourner sept fois sa langue dans sa bouche avant de parler et de se complaire à des préjugés. Les équipes de cette finale de l'Euro ont toutes les deux un capitaine gardien de but et s'en portent très bien.
C'est vrai aussi que ce sont sans doute les deux meilleurs gardiens du moment.
Belle finale à venir, on peut compter sur l'Italie pour déstabiliser le bel ordonnancement ibérique. Le match devrait être assez ouvert et sans doute assez intéressant, beaucoup de qualités techniques sur le terrain, et deux gardiens qui pourraient faire durer le plaisir jusqu'à la nuit. -
On serait en plein championnat italien, on aurait pu penser à un match truqué. Il est vrai que cela ne se passe que là-bas.
Cependant, l'extrême nonchalance de la plus grande partie de l'équipe amène à se poser quelques questions. les défenseurs qui font des erreurs de benjamins, c'est drôle une fois mais quand c'est sur tout le match...
A l'évidence, ils n'avaient aucune envie de jouer sérieusement cette rencontre. Par calcul peut-être. En étant quasiment qualifié même en cas de défaite, ils ont pu choisir leur adversaire en quart.
En revanche, si c'est ce qu'ils peuvent faire de mieux, c'est très inquiétant.
Pas sûr qu'une équipe comme celle-là ait grand chose à espérer face aux espagnols. Ni aux italiens d'ailleurs.
Un match pitoyable à bien vite oublier. -
argueti a écrit, le 2012-06-05 08:43:22 : ravanelli a écrit, le 2012-06-05 06:45:56 : Amis chefs d'entreprise bonne nouvelle: faites preuve de probité payez vos salariés sous forme de frais kms!
L'activité bénévole au sein d'un club de football ouvre aussi le droit à une réduction éventuelle d'impôts, notamment en fonction des kilomètres parcourus tout au long de l'année pour le club (sur présentation des justificatifs).
http://associations.gouv.fr/IMG/pdf/Fiche_pratique_frais_des_benevoles_2011.pdf
A condition qu'au sein du club quelqu'un prenne en charge la partie administrative assez lourde,
Rien n'empêche en effet de faire apparaitre sous forme de don partiellement déductibles les indemnités kilométriques qui pourraient être accordées à l'ensemble des personnes qui se dévouent pour transporter les jeunes par exemple pour leurs matches.
C'est loin d'être le cas dans la plupart des clubs.
Pour un championnat de 12 matches extérieurs, c'est bien 100 à 200 euros que l'on pourrait espérer déduire de ses impôts. -
Chat échaudé...
Certes cela met du temps.
Y a-t-il des candidats sérieux à la reprise ? Cela reste à voir.
D'autre part, se précipiter et céder le club au premier venu, sans garanties sérieuses, cela risque de reproduire les mêmes effets que les dernières reprises en date. On es arrivé au bout du bout et il n'est plus permis de se tromper, sans quoi le club ne pourra plus se redresser. Il faut donc un peu de temps pour évaluer le sérieux d'un éventuel plan de reprise.
Je suis assez pessimiste, mais je vais essayer d'y croire une dernière fois. -
Quand il dit que ce n'est pas avec du vieux que l'on fait du neuf, j'ai l'impression qu'il parle aussi pour lui et qu'il a pris conscience de son erreur d'être revenu et d'avoir cru pouvoir repartir "comme en 78" alors que l'époque et les conditions avaient bien changé.
Pour le reste, il est toujours aussi caustique, mais son analyse n'est pas si erronée que cela. Quand à Specht, il lui en veut, on le sent bien, mais au delà de cela, il est certain que ce n'était pas l'homme de la situation et on peut s'interroger sur la raison et la pertinence de sa présence actuelle, après le dépôt de bilan de l'an dernier. -
Matches truqués, ce n'est hélas pas nouveau. Cela a pris une dimension bien plus importante et internationale depuis l'apparition d'internet et de ses paris en ligne.
On se rend compte maintenant que des matches sont truqués en Italie par des parieurs qui opèrent dans des pays parfois très éloignés. Qu'un scandale éclate, c'était prévisible, mais il est certain que ce n'est que la partie émergée de l'Iceberg. Il doit y avoir bien plus de rencontres au résultat faussé.
C'est l'Italie, c'est "normal"... Pas si sûr.
N'ayez pas d'illusions, c'est comme le nuage de Tchernobyl. cela ne s'arrête pas à le frontière italienne. Il n'y a aucune raison pour que les autres championnats européens ne soient pas atteints par ce même mal et le championnat français n'est pas à l'abri.
Je m'étonne par exemple du nombre grandissant de surprises que l'on voit en coupe de France ou en coupe de la Ligue. Certes, le niveau des championnat amateur a pu progresser et le niveau professionnel subir le contre-coup de l'exode financier de nos meilleurs joueurs. Il n'en demeure pas moins que la multiplication de ces matches où de petites équipes, parfois à la traine dans leur propre championnat, multiplient des exploit à répétition face à des groupes professionnels au comportement apathique me semble totalement suspect.
Cela peut arriver bien entendu, mais je suis sûr que si on fait des statistiques, on verra que ces exploits ont une fréquence qui s'est beaucoup accru lors de ces dernières années. -
yoyo67 a écrit, le 2012-05-26 13:00:19 : Oui sauf que les sportifs sont sur le terrain et nous on est des spectateurs et non des sportateurs O:)
Spectateurs ou supporters, toute la nuance est là, l'attente des uns ne correspond pas forcément à l'aspiration des autres...
Le supporter vient pour voir gagner son équipe, même quand celle-ci pratique un football défensif, ce qui est une tactique de jeu aussi valable que le mode offensif. Le spectateur veut en général voir des buts. Cependant, le spectacle n'est pas toujours limité à cela.
D'autre part, les séances de tirs au but recèlent une part de spectacle évidente.
Pour ma part, j'aime bien ces séances de tirs aux buts qui permettent de départager deux équipes qui se sont neutraliser l'une l'autre. En revanche, je n'ai pas apprécié la règle de la mort subite, elle n'a de toute façon rarement été utile et a eu tendance plutôt à geler le jeu en prolongation, ce qui est contraire au but recherché. -
J'ai un peu regardé les règlements de la FFF. Il en résulte qu'il y a bien un titre de champion de France CFA2, mais pas de "Champions de groupe". Tout au plus peut-on parler de premier de groupe.
Le titre de Champion s'attribue de façon assez complexe, puisque pour chacun des 8 groupes, il faut prendre les résultats de la meilleure équipe amateur (à l'exclusion des réserves pro) dans un mini-championnat ne prenant en compte que les 10 rencontres l'ayant opposée aux 5 équipes amateurs suivantes dans le classement du groupe.
L'équipe ayant les meilleurs résultat des 8 groupes est sacrée championne.
Il est donc aujourd'hui très difficile de déterminer qui sera sacré champion. Les points perdus par le Racing l'ont été contre les meilleures équipes amateurs du groupe, ce qui a un effet direct sur ce classement.
Un extrait de l'article du règlement :
III ? DISPOSITIONS COMMUNES AUX C.F.A. ET C.F.A.2
1. Les titres de Champion de France Amateur et de Champion de France
Amateur 2 sont attribués respectivement à celui parmi les clubs de chacun des 4
groupes pour le CFA et de chacun des 8 groupes pour le CFA2 (1er club amateur)
ayant obtenu le meilleur classement établi selon les critères suivants :
a) Le nombre de points obtenus dans les rencontres Aller et Retour qui ont
opposé dans chaque groupe le meilleur club amateur avec les cinq autres clubs
(hors équipes réserves ne pouvant accéder) les mieux classés est pris en
compte.
Le classement est établi conformément aux dispositions du paragraphe I du
présent article.
b) En cas d'égalité de points, il est tenu compte de la différence entre les buts
marqués et les buts concédés lors de ces rencontres.
c) En cas de nouvelle égalité, le plus grand nombre de buts marqués lors de
ces rencontres les départage.
d) en cas de nouvelle égalité, est retenu le club ayant le moins de pénalité au
titre du Carton Bleu
e) en cas de nouvelle égalité, un tirage au sort départage les équipes.
2. Les équipes réserves professionnelles les mieux classées de chacun des
quatre groupes de CFA sont qualifiées pour la phase finale désignant le club
Champion de France des Réserves Professionnelles.
3. Les demi-finales sont tirées au sort lors de l?Assemblée Générale Consultative
des clubs de Championnat de France Amateur.
En cas d?égalité à la fin du temps réglementaire des demi-finales et de la finale,
est jouée une prolongation de 2 périodes de 15 minutes. En cas de nouvelle
égalité, les équipes sont départagées par l?épreuve des tirs au but. -
la gué-guerre entre propriétaires association a trop duré, elle ne fait plus rire personne. A défaut de pouvoir s'entendre le club finira par disparaitre, c'est évident.
Dans ces conditions, qu'Hilali revienne, il nous permettra au moins de rire pendant ce naufrage. Une fin en apothéose, dans une dérision digne du club, spectaculaire et totalement déjantée. Surréaliste et iconoclaste à souhait. -
"Impossible ici de détailler, pour un club de 5 e division qui, tout bien considéré, ne mérite sûrement pas tout ce battage, les trois pages du communiqué."
Sous la plume de S.G., cette phrase a une certaine saveur. Lui-même qui nous fourni plusieurs articles par semaine sur le sujet.
Je ne suis pas encore intervenu sur le sujet, tant cette histoire me fatigue et me désespère.
Tout bien considéré, c'est gestion calamiteuse du monde professionnel qui a mené le Racing où il est et c'est une mauvaise gestion du monde amateur ou l'argent prend de plus en plus de place qui risque de nous mener à l'impasse.
Le Racing n'est plus pro, mais n'est pas vraiment non plus un club amateur. Les collectivités retrouvent une certaine influence et le risque est encore plus grand pour le propriétaire (de quoi au juste ?) qui est amené par la force des choses à travailler à fond perdu.
Le patron amateur du club (association) redevient puissant grâce aux subsides de la municipalité, le patron "pro" ne trouvera une légitimité et une autonomie financière que par le retour au monde professionnel et les rentrées d'argent qui en découlent. S'il veut exister aujourd'hui, il est condamné à accepter une certaine tutelle de l'association et des collectivités, mais on comprend très bien qu'il ne peut financer sur ses fonds propre s'il n'a aucunes garanties et aucunes marges de manoeuvre.
Cette situation est inextricable et demande de la part des acteurs un réelle volonté d'aller dans la même direction, au delà des querelles d'égos. -
Quand justement, ce n'est plus qu'un souvenir... hélas !
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remember79 a écrit, le 2012-04-06 15:24:57 : ...Le truc tout con,la 1ère fois où j'ai mis les pieds à la Meinau.Mai 88.24 ans déjà...
17 mai 77... Je ne compte plus... -
Et vous n'avez pas connu le temps (avant les disquettes) où les ordinateurs fonctionnaient avec des bandes papier perforées (une bonne représentation matérielle des fameux octets !)
J'ai fait mon service militaire (encore quelque chose d'oublié) dans un service de transmission et je passait mon temps à perforer des bandes papier pour l'expédition de télex...
Cela fait à peine 30 ans... -
... Quand les personnes que tu fréquente au boulot on l'age de ton fils, qu'ils sont incrédules quand tu leur dit qu'un jour le Racing était champion de France et que tu y étais..
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mediasoc a écrit, le 2012-03-23 08:49:33 : Quelle affiche deux ans plus tard ?
Mon style est peut-être alambiqué, mais ayant développé ce qui s'était passé en 1995 pour la venue de Milan AC, je reviens deux ans plus tard pour la comparaison avec l'affiche RCS - Inter de Milan de 1997.
Toutes mes excuses à ceux qui ont eu du mal à me suivre. -
Même si le stade était relativement plein contre l'inter, la rencontre n'avait pas été joué à guichet fermé. Deux ans plus tôt pour la réception du Milan AC,il avait été quasiment impossible pour un candidat spectateur non abonné de trouver une place. Les abonnés avaient eu le privilège de retirer une place supplémentaire par abonnement et il me semble que seul les spectateurs du match de championnat précédent avait pu retirer des billets.
Je me rappelle n'avoir pu obtenir mon précieux sésame que grâce à un concours de circonstances et l'aide d'un ami peu intéressé par le foot.
Deux ans plus tard, inexplicablement, il y avait beaucoup moins de candidats spectateurs pour une affiche équivalente et des prix de billets quasiment identiques.
Fallait-il voir là un effet du changement de présidence, Proisy ayant remplacé Weller. -
Cela rappelle le but de Mario Haas contre Montpellier en août 1999.
L'attaquant autrichien avait par la suite admis avoir tenté un centre, mais le but, comme celui-ci était sublime. -
J'ai aussi un peu de mal a comprendre l'intérêt, sauf s'il s'agit d'une erreur de date et une confusion entre le premier mars et le premier avril.
Un mois plus tard, c'eût été excellent. -
Dans le genre "J'ai échoué, mais je mérite un second mandat et vous verrez, je ferai des miracles", J. Hilali se pose en champion et n'a pas beaucoup de rivaux.
Un beau discours dans le fond, qui pourrait nous abuser si on n'en savait pas plus et si on ne l'avait pas vu à l'oeuvre.
Cela dit cela nous permet toujours de sourire, voir de rire franchement...
Impayable ce Jafar ! -
Je viens effectivement de le vérifier, il a d'ailleurs joué un match lors de la phase finale du Mondial 1970 (défaite 2-1) face à la Roumanie.
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Il me semble, si ma mémoire ne me fait pas encore défaut, que le père d'Alexander Vencel était lui-même déjà gardien de but, une tradition familiale en quelque sorte.
Pas forcément un talent héréditaire, mais une passion transmise de père en fils, de quoi fonder une dynastie talentueuse. -
Bien sûr qu'il faut être fou pour supporter encore un club qui nous a fait tant souffrir, passant des feux de la ligue 1 aux stades campagnards du CFA2 en l'espace de 3 saisons.
C'est pour cela sans doute qu'on est tellement attaché aux détails du passé. -
La tribune que l'on voit à l'arrière de la photo aux quatre joueurs est l'ancienne tribune assise NORD.
La tribune sud étant l'ancien Kop, une tribune debout.
Il n'y avait à l'époque aucun bâtiment à l'arrière de la tribune Nord, l'édicule visible sur la photo est bien l'antique cabine. La photo du stade (juste en dessous) montre la nouvelle tribune ouest avec l'ancien stade pour le reste intact. Cette photo a du être prise en 1980 Lorsque seule cette partie du stade avait été rénovée. Cela prouve aussi que la fameuse cabine existait encore à cette époque. -
La divergence, c'est de ne pas aller dans le même sens, la contradiction, c'est d'aller en sens contraire, c'est un petit peu plus fort.
Tout est dans la nuance.
Pour ma part, je ne crois pas au messie, mais je crois aux hommes de bonne volonté. Pour l'instant, je classe F. Sitterlé parmi ceux-là. Dans ses paroles et dans ces actes, il ne me déçoit pas pour l'instant. Je ne pense pas qu'il soit philanthrope, mais plutôt qu'il s'agit d'un chef d'entreprise responsable. Pour l'instant, il place le Racing dans les conditions d'un retour futur au niveau professionnel. Pour le présent, cela suffit.
Qu'il y ait des divergences avec P. Spielmann n'est pas étonnant non plus. Tout deux n'ont pas les mêmes priorités et chacun doit bien entendu défendre son point de vue. C'est sain pour le Racing et nécessaire pour faire avancer les choses. -
Je crois que Rudy n'a de problèmes qu'avec quelques supporters qui n'ont pas encore intégré le fait que le Racing est devenu un club amateur, je ne pense pas qu'il y ait le moindre souci avec le club ni avec F. Keller.
Qu'il ait l'ambition de rester dans le monde pro, c'est bien compréhensible. Ce n'est en aucun cas une trahison vis-à-vis du Racing qui par le passé ne lui a pas fait beaucoup de cadeaux. En définitive, qu'il y ait trouvé de quoi attendre pour se relancer et qu'il parte en bons termes avec tout le monde est plutôt sympathique.
Le choix de Rouen n'est pas mauvais, un bon club de National, c'est sans doute mieux qu'un mauvais de L.2, s'il parvient à faire son trou et si Rouen monte en fin de saison, il aura l'opportunité de relancer une carrière assez chaotique jusqu'à présent (à l'image de son club formateur...).
Bon vent à lui, il a toujours le potentiel pour s'imposer à ce niveau, j'espère pour lui que la chance finira par lui sourire. -
8 V, 3 N, 1 D... On a beaucoup de mal en effet !
Mis à part Vesoul qui a réalisé un meilleur début de championnat mais qui va peut-être commencer à craquer et Auxerre où l'on s'est imposé, il n'y a pas beaucoup de concurrence. Il ne fallait quand même pas s'attendre à gagner tous les matches. La montée semble se profiler au bout de saison, à condition bien sûr de maintenir le cap et de continuer à travailler et à progresser.
La montée, si montée il y a, sera évidemment l'occasion de se renforcer. Mais l'ossature actuelle, avec une demi équipe de joueurs confirmés au moins au niveau National est une belle base de départ pour construire un groupe capable d'assurer un retour rapide en National. -
Merci Jean d'avoir pris le temps d'un tel exposé.
Le passé devrait nous avoir enseigné que de les enfantillages sont vains et dangereux. -
Peut-on reprocher à un joueur d'avoir de l'ambition ?
A 25 ans, revenir au Racing, c'est se contenter d'un niveau inférieur à la L2 pour au moins 3-4 ans. S'il ambitionne de jouer en L2-L1, il peut espérer être pris à l'essai et faire ses preuves au cours de la trêve (comme JAF), son transfert ne coûte rien, cela peut intéresser de nombreux clubs.
S'il ne trouve rien à la fin de la période des transferts, il sera toujours temps pour lui de revoir ses prétentions à la baisse. -
A 23 ans, il a certainement plus de maturité qu'il y a deux ans quand son faux départ à Lille l'avait totalement déstabilisé. Si après un essai tout de même assez long, il a su montré que son potentiel n'est pas totalement évanoui et que sa motivation était de retour, il peut sans doute dans un des clubs sérieux du calcio débuter enfin sa vraie carrière. Il est encore bien assez jeune, qu'il réussisse, c'est tout le mal que je lui souhaite.
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Le championnat de National est un championnat qui coûte relativement cher et qui rapporte beaucoup moins que la ligue 2. Il serait sans doute très dangereux de s'y attarder trop longtemps. Pour le reste, bien entendu, il ne faut pas brûler les étapes mais un retour en L2 dans les cinq ou six ans est tout de même un objectif a atteindre si on ne veut pas risquer de briser l'élan et voire disparaître la mobilisation générale qui existe pour le redressement du club.
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Pourquoi vous parlez de strass et paillettes? En quoi le fait de préférer Ancelotti à AK est un choix mercantile?
Pour répondre à Pharaon,
La venue de Beckham est clairement annoncée avec le but de multiplier la vente de maillots et de produits dérivés, plus que pour l'impact sportif.
La venue d'Ancelotti doit permettre de faire venir des joueurs connus attirés par l'aura et l'éclairage médiatique qu'il apportera, avec in fine un but plus mercantile que sportif.
Ce n'est pas moi qui l'invente, il suffit de lire les justifications du club et les commentaires de la presse spécialisée. Je me trompe peut-être, mais je crains bien que l'argent attirant l'argent, le côté purement sportif passe un peu au second plan. Pourvu que les résultats puissent quand même suivre.
Je suis d'une autre époque sans doute, mais je dois avouer que la ligue des champions me fait beaucoup moins rêver que l'ancienne coupe des clubs champions. -
Ce n'est pas une question d'aimer ou pas le PSG, c'est plutôt que je n'aime pas le "Strass-paillettes" dans le sport et que je déteste les comportement qui privilégient le côté mercantile au côté humain.
On ne peut pas virer un entraineur premier de son championnat en lui disant qu'il n'est pas assez bon.
J'espère au moins que son indemnité est à la hauteur de ses résultats. Cela dit, les dirigeants du PSG font ce qu'ils veulent de leur argent. Si certains supporters du club s'y retrouvent, tant mieux pour eux, n'étant pas moi-même supporter du club, ce n'est pas mon affaire, c'est à eux de juger. Il reste à voir si les résultats suivront, ce qui n'est pour l'instant pas garanti. -
La dernière fois que le PSG a viré un entraineur qui présentait un bilan sportif favorable, il a mis cinq ans à s'en remettre. On verra combien de temps il lui faudra aujourd'hui.
Le PSG manque peut-être de vrais supporters, évidemment, ce n'est pas avec de telles pratiques qu'il va s'attacher la sympathie de ceux pour qui l'esprit sportif a encore un sens.
Il devient un club de "stars" au sens médiatique, pas au sens sportif. Ce n'est pas mon monde. -
D. Jeandupeux, que j'avais vu joueur à la Meinau lors d'un RCS-Girondins de Bordeaux n'était pas forcément un mauvais entraineur, mais le courant n'est pas passé avec les joueurs. Il faut dire que certains avaient un caractère bien trempé.
Il était effectivement à la tête de cette équipe de Caen 93/94 dans laquelle évoluait également R. Dutruel et lors du match retour A. Mostovoï (il était arrivé en Normandie à la trêve je crois). -
Le troisième pénalty a bien été tiré par P. Baills avant d'être repris par F. Leboeuf.
Je me rapelle que dans une équipe de Caen assez fébrile, il y avait un attaquant très puissant et remuant qui nous avait fait quelques frayeurs. C'est ce jour là que je l'avais remarqué et j'étais très content quand il vint signer au Racing quelques temps plus tard, c'était Pascal Nouma. -
Comparer Mouloungui à Arrache, c'est aller un peu vite en besogne. Arrache n'avait rien montré avant d'aller à Marseille. Mouloungui a déjà derrière lui une certaine carrière en L1 (plus de 160 matches, huit buts marqués l'an dernier, déjà trois cette saison)
Je ne comprends pas bien pourquoi les anciens du clubs focalisent cet espèce de dédain à leur encontre.
Mouloungui à Marseille pour compléter un effectif dans un club qui a aussi des difficultés budgétaires, cela ne semble pas si absurde. Même s'il est inconstant, il a tout de même les qualités pour jouer en L1 et dans ses bonnes périodes, il peut montrer une certaine classe. -
Merci... pour les liens directs.
Je n'ai pas eu la patience de chercher les liens pour les podcasts sur le site de F.C.
C'est une jungle dans laquelle je me suis un peu perdu.
L'émission quant à elle est intéressante, même si les intervenants ont parfois un avis manquant d'objectivité.
Il faudrait faire plancher des historiens là-dessus, pourquoi pas le sujet dune future thèse d'histoire régionale... -
Sans emploi depuis l'été, il doit encore avoir quelques droits aux indemnités de chômage en fonction des cotisations qu'il a pu verser. Mais bien entendu cette situation est précaire et très inconfortable. Tout ceux qui ont connu des périodes de chômages dans leurs vies peuvent en témoigner.
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Le "12", c'est le No du premier remplaçant, mais aussi du 12e homme qui est le public et plus particulièrement le supporter qui pousse son équipe.
Il me semble que J. Chirac parmi les nombreux maillots qu'il avait reçu ainsi aux cours de ses deux mandats en avait reçu un floqué à son nom et portant ce No 12 à l'occasion de la finale de la coupe du Monde 98. (Un autre floqué "Bernadette" portait le No 10 lors de la finale perdue en 2006.
Ce n'est donc pas ue première et le rapprochement No12 et échéance électorale n'est à l'évidence qu'une simple coïncidence. -
Remettre le maillot du club au Président (quoiqu'on pense de lui par ailleurs, partisan ou détracteur), ce n'est pas seulement donner un cadeau "'bling-bling", le maillot, c'est aussi un symbole fort, un peu comme un drapeau, ou les clés d'une ville. C'est un geste symbolique, qui rend hommage à la fonction de celui qui le reçoit, comme il affirme la volonté d'existence et de reconnaissance de celui qui le donne.
Ce n'est pas non plus un geste de politique "politicienne", mais bien de vraie politique, dans le sens ou cela porte un message. Le message en l'occurrence est celui de la volonté du club de survivre et de prétendre retrouver son rang.
Je ne suis pas un grand partisan de tout ce qui soumission à des symboles (on envoyé trop de gens se faire tuer pour défendre un morceau d'étoffe), mais dans une république qui affirme une symbolique très forte, je trouve tout à fait naturel qu'on puisse en user, au delà du simple fait médiatique.