La SIG
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rcsforeverL'ambiance n'a jamais été aussi bonne et le public n'a jamais autant joué son rôle que depuis le début des PO au Rhenus. Et concernant les joueurs on peut mettre en avant une certaine maladresse ou un trop plein de pression, débuter une telle série à domicile n'étant pas facile à gérer, mais certainement pas un manque d'envie, les gars s'étant battus durant plusieurs mois pour disputer de telles rencontres. Le problème à Stras c'est qu'on est habitué à voir la SIG enchaîner les victoires en saison régulière et qu'on en arrive à penser que c'est normal, alors qu'en face il y a une équipe d'Euroligue avec un budget élevé pour un club de Pro A. Malgré le classement de fin de saison, (sur le papier) ça n'aurait rien d'illogique de voir le CSP s'imposer avec les moyens qui sont les siens mais la SIG est très loin d'avoir dit son dernier mot. -
kitl a écrit, le 13/06/2015 11:35 :
D'ailleurs quelle idée de tenter un shoot à 2 points à 65-68 alors qu'il reste peu de temps ? Je comprends la frustration de Collet, qui a vu ses joueurs manquer de lucidité. D'une certaine manière, le retour des vestiaires plein d'intensité et d'énergie s'est payé en fin de match :(
Il restait une bonne vingtaine de secondes, donc marquer à 2 points à ce moment n'était pas si con que ça. Derrière, il aurait fallu à nouveau jouer l'interception, puis faire faute si ça foirait... Avec une dernière possession de balle pour la gagne à la clef ! -
Déjà sous pression
Battue avant-hier, la SIG devra surmonter la pression qui pèsera sur ses épaules, cet après-midi (17h00), pour le deuxième volet de la finale face au CSP. Sous peine de s’exposer à une mise en bière prématurée.
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Il est inutile de tourner longtemps autour du pot. Ou de formuler de savantes expertises. Cueillie avant-hier par le CSP (68-70), la SIG est dans l’obligation de réagir cet après-midi, toujours au Rhenus, si elle ne veut pas compromettre grandement ses chances avant les deux manches prévues la semaine prochaine à Limoges. C’est aussi simple que cela.
Vincent Collet ne s’est d’ailleurs pas dérobé à l’heure d’évoquer le deuxième épisode de la finale. « On est forcément dans une situation difficile. Quand l’équipe qui reçoit perd le premier match, il y a énormément de pression sur le suivant, a indiqué le coach strasbourgeois. Une deuxième défaite est quasi rédhibitoire. Demain (aujourd’hui) , c’est “do or die” (le faire ou mourir, ndlr). Il n’y a pas d’autre option à mes yeux. »
« C’est bien beau de bien jouer, mais il faut scorer »
Le technicien alsacien peut être rassuré sur un point. Il a retrouvé un groupe prêt à en découdre et désireux de se racheter. « Je pense qu’ils avaient envie de jouer dès ce soir (hier). Ils ont le sentiment, comme moi, d’avoir raté une occasion, mais malgré tout, on prend quand même cette journée d’interruption de façon positive. Ça permet de recharger les batteries. »
Pour être dans le “do” et éviter le “die”, la SIG devra commencer par ne pas gaspiller bêtement ses munitions. « Il faut concrétiser, résume coach Collet. Il y a des erreurs qui ne sont pas du niveau d’une finale. »
Vendredi, sa troupe a inscrit 22 paniers dans la peinture, ce qui est plutôt honorable en soi. « Mais on aurait dû en marquer vingt-six ou vingt-sept. Les trois premiers cadeaux faits dans les trois premières minutes impactent le démarrage. Tu mènes d’un point ou deux, alors que tu devrais en avoir huit d’avance. Rater des shoots extérieurs, qui ne sont jamais faciles à mettre, qui plus est avec le stress, on peut le comprendre. Mais rater à vingt centimètres, quand il n’y a personne, ça, c’est plus que de la maladresse, c’est une faute. C’est bien beau de bien jouer, mais il faut scorer. Là, on ne l’a pas fait. »
Dans une finale, la moindre erreur se paie cash. Et ces erreurs, ces occasions manquées, pardonnent encore moins contre une équipe qui dégage « une assurance importante » et dispose, dans ses rangs, de « tueurs » capables de faire la différence dans les moments clefs, de ces joueurs qui font peut-être défaut en Alsace. Les intéressés l’ont encore prouvé lors de la manche inaugurale, à l’image du fade-away d’Adrien Moerman ou du panier en pénétration de Pooh Jeter dans le money-time.
« Trop gentils par moments »
Les Strasbourgeois devront aussi se montrer plus vicieux, plus intenses. Et il leur faudra, pour cela, se faire violence et forcer leur nature. « Par moments, on est trop gentils, avoue Jérémy Leloup. Il va falloir qu’on soit plus durs, même si ça n’a pas été une de nos forces cette année. Nous, on défend très bien en équipe. Jouer “sale”, ce n’est pas notre style de jeu, mais on peut aussi le faire. »
Philippe Hervé, lui, n’ignore pas que les Alsaciens monteront sur le parquet le couteau entre les dents. « La remise en question est plus facile côté strasbourgeois que côté limougeaud, puisque l’un a perdu et l’autre a gagné. On se prépare au fait qu’ils vont avoir certainement à cœur d’essayer de démarrer ce match-là comme ils ont pu le faire en début de troisième quart-temps vendredi. »
Mais le coach du CSP est persuadé que ses hommes disposent d’une marge de progression, en faisant montre, par exemple, de moins de « suffisance » que celle affichée au retour des vestiaires lors de l’empoignade initiale. « Il y a matière pour nous de faire les choses mieux. »
Comme l’an dernier, la SIG se retrouve, en tout cas, dos au mur après le premier tour de piste. « Ce n’est pas la même situation, nuance Vincent Collet. Je pense qu’on est meilleurs que l’année dernière. Mais peut-être qu’eux aussi le sont. »
Le casse-tête n’en est que plus complexe. C’est le moment ou jamais de se sublimer.
http://www.dna.fr/sports/2015/06/14/deja-sous-pression -
La photo de l'article des DNA est magique !
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Il y avait une autre photo mais celle-ci m'inspirait plus..
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Belle victoire de +14, avec une énorme défense et un Diot digne d'un MVP. Il va falloir ramener quelque chose de Beaublanc !
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Et une énorme ambiance, le Rhenus s'étant transformé en chaudron. Comme dit la SIG de ce soir a retrouvé sa défense, a joué en équipe, n'a jamais permis à son adversaire d'y croire avec une agressivité de tous les instants. Si par bonheur on devait retrouver le Rhenus pour un match 5, je ne donnerais pas cher de la peau du CSP..
Une si belle réaction !
Jamais, cette saison, Limoges n’aura marqué aussi peu de points. La SIG a été héroïque, pleine d’abnégation et a « essoré » le champion de France (66-52) pour égaliser dans la série. Aux Strasbourgeois d’aller chercher un exploit en Limousin, jeudi ou samedi, pour s’offrir une cinquième manche au Rhenus. Ce serait fou !
La SIG savait à quoi s’en tenir… Dans un Rhenus brûlant et suant comme une étuve, les Strasbourgeois entraient bille en tête dans la partie. Fidèle à son habitude, Philippe Hervé modifiait encore son cinq de départ avec Jeter, Amagou et Batista aux côtés des incontournables Boungou colo et Moerman. Du coup, le Brésilien du CSP n’étant pas réputé pour ses qualités de défenseur, Limoges était plutôt « éteint » dans ce secteur de jeu, la SIG bien plus patiente aussi en attaque que lors du match 1. Et Matt Howard en profitait pour marquer les six premiers points, défiant Moerman près du cercle avant de conclure après une interception.
Une entame de choix
Le Rhenus était debout, vibrant avec beaucoup de ferveur, quand Ali Traoré passait le 8-0 (3e’). Jeter n’était pas sanctionné pour une faute énorme sur Campbell et Moerman à trois points, puis Batista ramenaient à 8-5. Pas de quoi freiner un Matt Howard intenable (8pts, 12 d’évaluation en 6’) qui avec son compère Traoré donnait le tournis aux intérieurs limougeauds : 14-7 (7e’). Les changements se multipliaient et avant la fin du quart temps, 20 joueurs différents avaient foulé le parquet. Le jeu s’équilibrait avant qu’au buzzer, Diot n’établisse le score à 21-12.
Quel combat !
Limoges se mit à défendre plus dur, à l’image de Zerbo et de Camara, provoquait des fautes à l’opposé et recollait grâce aux lancers-francs : 24-20 (16e’). La raquette cadenassée, la SIG avait dû s’en remettre à Antoine Diot, qui, en mode MVP, prit ses responsabilités. Un panier à trois points pour survivre, des pénétrations (13pts, 19 d’évaluation en 18’45’’), puis encore des passes lumineuses (5 à la pause) et malgré les échecs de Traoré, Leloup et Dragićević aux lancers-francs (5 sur 11 à la mi-temps), les Strasbourgeois filaient à 30-20 (17e’) puis 36-27 à la mi-temps, le cercle se refusant à Dragićević bien malheureux sur la série. Limoges n’avait finalement survécu que grâce à sa domination au rebond offensif (9 prises déjà). Tension, engagement, un peu de vice, il y avait tous les ingrédients pour des play-offs exceptionnels…
Un écart maximum de 17 points
Diot continuait sur sa lancée avec un panier « Ave Maria » à la fin des 24’’, Leloup interceptait et filait au dunk (40-27, 22e’) et si tout n’était pas parfait, Limoges n’eut cependant que deux petits points à se mettre sous la dent en cinq longues minutes. La SIG tissait sa toile (44-29, 25e’) et si Moerman scorait à 6,75m, Louis Campbell, exemplaire en défense, lui répliquait aussitôt : 47-32 (26e’).
Limoges ne renonçait pas, pourtant et grignotait une partie de son retard par Batista, Smith et Moerman. Heureusement, Traoré avait aussi trouvé des ouvertures pour permettre à son équipe de virer à 53-39.
Soudain, l’attaque alsacienne s’enraya. La faute à la pression défensive adverse, mais aussi à un excès de facilité. Limoges se remit en selle (55-46, 33e’), manquait deux occasions de se rapprocher plus encore, réclamait une faute sur Jeter et écopait d’une technique. Diot redonnait de l’air (58-46) dans une fin de match étouffante, mais en « guerriers », avec une moisson de rebonds offensifs pour garder le score, les Strasbourgeois égalisaient dans la série. Paul Lacombe pouvait remercier le Rhenus archi-comble de son soutien. Et il y aura deux matches au moins à Limoges pour reprendre l’avantage du terrain. Chiche ?
Les réactions
Vincent Collet : « Dos au mur, l’équipe a répondu de la meilleure façon. C’était indispensable car il fallait faire un match de « possédés » après ce qui s’est passé vendredi. On n’a pas laissé beaucoup d’espaces et en terme d’engagement, c’était une des meilleures performances défensives de la saison. On les a ralenti, on leur a pris le rythme en les faisant jouer à l’arrêt et on a repris le contrôle. Un très grand match d’Antoine (Diot), présent d’entrée, et tout au long de la partie, il a été le rouage essentiel pour maintenir le rythme. Il a aussi fait d’énormes efforts en défense, tout comme Louis Campbell. On n’a pas voulu leur redonner confiance au début du 3e quart temps et l’activité de Fofana a aussi été précieuse à ce moment-là. Il nous manque encore l’adresse à trois points et il nous la faudra pour gagner à Limoges. Au-delà de nous redonner espoir, car le plus dur reste à faire, ça nous a permis de démarrer notre finale et a apporté la preuve qu’on a des arguments à opposer ».
Ali Traoré : « Une ambiance de fou ! Le public nous a portés, transcendés. On avait ciblé leur défense, qui ressemble un peu à une zone et on a voulu privilégier la relation poste haut-poste bas. On voulait marquer dans la raquette et ça a été déterminant. Antoine a fait aussi un match exceptionnel, avec des points, des passes, beaucoup d’influence. On va faire la même chose à Limoges. On a une équipe très complète et si je suis ciblé par les défenses, je prends ce qu’on me donne, je joue pour l’équipe. Car derrière moi, il y a Fofana qui fait des play-offs exceptionnels. Notre défense a été énorme et il faudra rééditer cette performance. On a fait sauter un verrou mental aujourd’hui, par rapport à ce que la SIG avait vécu jusque là ».
Philippe Hervé : « Strasbourg a été plus volontaire que nous, même si le groupe n’a pas lâché et a fait avec les moyens du jour. Leur intensité était bien supérieure à la nôtre. On a subi et en règle générale, quand vous subissez, vous ne gagnez pas. C’est la vérité d’un match et il faut qu’on apprenne vite pour savoir comment résister à ce type d’agressivité. Ce n’est pas la salle qui a été difficile pour nous, c’est l’équipe de Strasbourg. On ne peut que se réjouir de ce type d’ambiance dans une finale. On y goûte… et c’est un avant-goût de ce qui nous attend à Beaublanc. On a souffert dans le basket, dans la comparaison face à la dureté de Strasbourg. L’effort défensif était là, même si on n’a pas trop bien contrôlé notre rebond, mais c’est surtout en attaque qu’on a souffert en ne bougeant pas le ballon. Et puis sur le peu d’ouvertures qu’on a eu, on n’a pas eu d’adresse ».
Léo Westermann : « On a été dominés partout à la mène, à l’intérieur, surtout au début où ils ont pris l’ascendant. Il faut rentrer dans les matches plus durement. 17 rebonds offensifs pour eux, 17 passes à 9. Tout est dit. On a joué comme des m… A la mi-temps, on n’était pas trop loin tout en étant mauvais. Et puis on revient, c’est pire encore, on perd notre collectif… Bravo la SIG. À nous de nous remettre en question. Neuf passes, ça nous est jamais arrivé. C’est d’abord la faute de Pooh et de moi-même, mais toute l’équipe doit mieux faire ».
http://sigbasket.fr/2015/06/une-si-belle-reaction/ -
La SIG à jouer à son niveau ! surtout défensivement très dur ! cette même intensité qui nous rend quasi intouchable !
En cette fin de Journée la SIG à réussit là ou elle à failli vendredi ! c'est à dire qu'elle n'as rien laissée de facile ! obligeant Limoges a mettre 2-3 fois les pieds en touche et à faire des marchés ! de gros contre !Si Strasbourg joue de la même façon y'a moyens d'allez le chercher ce titre ! mais ça va êtres dur !
Mais il y à quand même des stats trésfavorables ! -
Quelqu'un a une idée de quand les places pour le match 5 seront en vente du coup svp ?
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Il faut d'abord que ce match 5 existe !
Ça sera en vente, le cas échéant, juste après le match 4. -
Superbe fin de WE avec ce match dans lequel la SIG a mis une grande intensité. On sentait les joueurs remontés comme des pendules dès l'échauffement. Et effectivement on a eu droit à une très belle SIG dans un Rhénus chauffé à blanc. Je pense qu'il peut y avoir un match 5 d'anthologie !!!
Pour l'anecdote, vu un membre éminent du Conseil municipal de Strasbourg dont je tairais le nom, en chemise bleue (ben oui, ça aurait fait con de se mettre en rouge comme le bon peuple), avec une gamine de 5 ans morte de trouille face au bruit et pire, avec un bébé de 2 ou 3 mois. Moi, ça m'a laissé pantois une telle crétinerie ! -
Première défaite en PO pour Limoges cette saison, première victoire pour la SIG en finale depuis le match 1 contre Nanterre en 2013. Peut-être le déclic que l'on espérait...
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strasbourg972 a écrit, le 14/06/2015 22:52 : Mais il y à quand même des stats trés favorables !
Dont celle concernant la SIG loin du Rhenus, sur terrain adverse ou neutre :
Pro A : 16 victoires / 1 défaite
PO : 1 victoire / 1 défaite
Coupe de France : 4 victoires dont la finale sur terrain neutre
Leaders Cup : 3 victoires sur terrain neutre
EuroCoupe : 5 victoires / 3 défaites
Bilan : 29 victoires et 5 défaites
Une petite dernière pour la route, svp messieurs.. -
Les deux rencontres qui se jouent à Limoges seront retransmises sur écran géant place Kléber.
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hallucinant !
quel dispositif finance ça ? qui porte le truc ? la CUS ? -
La Ville.
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Il était temps, dommage que le beau temps ne soit pas forcément de la partie. On peut aussi imaginer que la Saint Jack Lang dimanche permette de rentabiliser une telle installation dont la scène, la sono, etc. pourra être réutilisée.
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Antoine Diot est remonté avant d'aller à Limoges ! (itw sur le site officiel)
Antoine Diot : « Se déchirer la gueule en défense pour les stopper » -
Une idée de l'affluence place Kleber ?
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Moerman est incertain pour ce match 3. Son absence, psychologiquement, ne serait pas un plus pour les Limougeauds, bien au contraire. Il ne faut pas se réjouir du malheur des autres mais je ne dirais pas non à ce petit coup de pouce du destin.
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Moerman est out jusqu'à la fin de saison.
Fracture du metacarpe
http://www.bebasket.fr/a/51591-saison-terminee-pour-adrien-moerman -
frollo a écrit, le 18/06/2015 07:55 : Son absence, psychologiquement, ne serait pas un plus pour les Limougeauds, bien au contraire. Il ne faut pas se réjouir du malheur des autres mais je ne dirais pas non à ce petit coup de pouce du destin.
On parle surtout du MVP 2015, même si le CSP a un effectif assez complet suite a sa participation en Euroligue. Après il est bon de se souvenir qu'il y a deux ans la SIG perdait Fitch au plus mauvais moment puis Duport la saison dernière, les blessures faisant partie du sport malheureusement. La roue aurait-elle enfin tourné... (?) -
Très gros coup dur pour le CSP avec la perte de leur meilleur joueur. Là, y a vraiment aucune excuse pour la SIG...
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Match 3: Limoges-SIG: 71-59
Ça fait 2 à 1 pour Limoges. Le titre pour samedi. -
Triste match, triste SIG, ce soir je n'ai pas envie de défendre l'indéfendable devant un spectacle aussi affligeant, indigne d'une finale. Bougez-vous le c.. samedi messieurs, offrez au Rhenus un moment inoubliable ou partez en vacances et évitez nous à l'avenir une énième déception car trop c'est trop. C'est maintenant ou jamais, debout les gars !
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