Les morts continuent ...
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superdouconan a écrit : BUDAPEST (AFP) - La "légende" du football hongrois, Ferenc Puskas, âgé de 79 ans et souffrant de la maladie d'Alzheimer, a été admis mercredi aux soins intensifs d'un hôpital de Budapest, a annoncé l'agence nationale MTI.
L'ami et biographe de M. Puskas, Gyorgy Szollosi, a informé l'agence hongroise du transfert en soins intensifs de l'ancien footballeur, hospitalisé en raison de sa maladie depuis six ans.
M. Szollosi n'a divulgué aucun autre détail sur la santé de M. Puskas.
Ferenc Puskas est considéré comme étant l'un des grands footballeurs du 20e siècle. Il a conduit l'équipe hongroise à une médaille d'or aux jeux Olympiques en 1952 et à une place en finale de la Coupe du monde en 1954, perdue face à l'Allemagne (2-3).
Dans les années 1960, il a contribué à aider le Real Madrid (1re div. espagnole) à remporter de nombreuses coupes européennes. Le Real l'avait engagé après son émigration de Hongrie au cours de la révolution anti-communiste de 1956.
Puskas a marqué 83 buts au cours des 84 matchs nationaux qu'il a disputés pour la Hongrie de 1945 à 1956, une époque où l'équipe nationale était surnommée "l'équipe d'or" ("golden team.")
:(
Ca s'arrange pas pour lui :(
Puskas dans un état critique
Victime de la maladie d'Alzheimer depuis six ans, le légendaire Ferenc Puskas se trouve, selon l'agence de presse nationale MTI, dans un état critique après deux mois passés dans une unité de soins intensifs d'un hôpital de Budapest. L'ancien buteur du Real Madrid et de la Hongrie souffre d'une pneumonie et d'une forte fièvre.
Jeudi matin déjà, le quotidien sportif Nemzeti Sport, s'appuyant sur un membre de sa famille, avançait que Ferenc Puskas, l'un des meilleurs footballeurs de l'histoire, aurait subi une opération et qu'il était nourri par perfusion. Souffrant d'une maladie dégénérative, il a été admis à l'hôpital Kutvolgyi de la capitale hongroise il y a six mois et a été placé dans une unité de soins intensifs le 13 septembre.
(Source: L'Equipe) -
Je ne savait pas ou la mettre, mais voici une video plutot bizarre ou apres un tete a tete, un joueur s'effondre et se roule dans tous les sens...je ne sait pas ce qu'il lui est arrivé après, mais la video en soit est choquante...
http://www.break.com/index/soccer_player_freaks_out_during_game.html -
Elles sont assez terribles ces images en effet!
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Ferenc Puskas est mort
La légende du football hongrois Ferenc Puskas est mort. Âgé de 79 ans et souffrant de la maladie d'Alzheimer, il avait été admis mercredi aux soins intensifs d'un hôpital de Budapest.
(Source: L'Equipe)
RIP :( -
Avec Di Stefano (à gauche) -
C'est un très, très grand qui nous quitte là...
Déjà George Best y a pas longtemps...
En plus j'ai l'impression qu'il n'y en a plus d'aussi grand de nos jours -
Ferenc Puskas est mort
L'atitude d'un très grand. (L'Equipe)
Légende du football hongrois, Ferenc Puskas est mort. L'information a été annoncée vendredi peu avant 9 heures par l'agence hongroise de presse. Âgé de 79 ans et souffrant de la maladie d'Alzheimer, il avait été admis mercredi aux soins intensifs d'un hôpital de Budapest. Le "Major galopant" est considéré comme l'un des meilleurs joueurs de tous les temps, même si la relative rareté des images filmées à l'époque de sa grandeur, entre la fin des années 40 et les années 60, n'est pas faite pour rendre justice à l'incroyable talent du leader technique de la mythique équipe de Hongrie.
L'itinéraire de Puskas épouse celle de cette première "Dream Team" de l'après-guerre, celle qui fut sacrée championne olympique en 1952, vainqueur à plate couture de l'Angleterre à Wembley en 1953 (6-3), et finaliste d'une Coupe du monde qui lui était promise, en 1954. La symphonie hongroise est inachevée depuis le "miracle de Berne" (victoire de la RFA 3-2), qui aura empêché Ferenc Puskas de remporter un titre mondial, comme Beckebauer, Maradona ou Zidane. Il avait incontestablement leur rayonnement. Les statistiques de Ferenc Puskas laissent rêveur : il a inscrit 85 buts en 84 sélections pour l'équipe de Hongrie de 1945 à 1956, 533 buts en 511 matches de championnat (Hongrie et Espagne) et 41 buts en 36 matches de Coupe d'Europe avec le Real Madrid. Il a notamment inscrit quatre des sept buts de la victoire (7-3 !) des Madrilènes en finale de la Coupe des clubs champions en 1960 contre l'Eintracht Francfort (les trois autres avaient été marqués par Alfredo Di Stefano).
Particularité de sa carrière, Puskas a porté le maillot de deux équipes nationales. Outre ses nombreuses sélections en Hongrie, il a également disputé quatre rencontres avec l'Espagne. Il avait quitté la Hongrie après les événements de Budapest de 1956 (invasion par les chars soviétiques). Puskas a également eu une carrière d'entraîneur. Il a disputé (et perdu) la finale 1971 de la Coupe d'Europe des clubs champions avec le Panathinaïkos face à l'Ajax d'Amsterdam. Un jour de 1996, lors d'un match de Coupe des coupes diputé par Nîmes à Budapest contre le Kispest-Honvéd FC, le retraité Puskas avait été interviewé quelques minutes sur TF1. Il assistait au match, éternel amateur de football. Il y eut quelques blancs à l'antenne. Thierry Rolland, l'homme qui en a vu d'autres, pleurait, bouleversé par cette rencontre inattendue. Pour toute une génération, Puskas était une légende vivante. Il est maintenant une légende éternelle. -
L'hommage de Ramon Calderon, le président du Réal :
«Aujourd'hui est l'un des jours les plus tristes pour le Real Madrid et je peux dire que c'est le plus triste depuis mon arrivée au club. Il a marqué toute une époque dans une ligne offensive mythique. Beaucoup d'amis le pleurent parce que tout le monde l'aimait, l'admirait en tant que professionnel et qu'homme. Je me souviens très bien de ses buts, il a fini meilleur buteur à quatre reprises. Les supporteurs en général, et surtout ceux de ma génération, pleurent la perte de l'un de leurs idoles».
sport24
Et de Raymond Kopa :
« Ca a été mon idole. Ferenc Puskas, je l'ai découvert en 1953 avec l'Equipe Nationale de Hongrie, c'est la que j'ai découvert un très grand joueur, a expliqué sur RTL Raymond Kopa. J'ai eu le privilège de le voir arriver au Real Madrid, j'ai eu la chance de jouer au moins un an avec lui. Je me souviendrais toujours de son arrivée, avec bien sur son poids. On l'appelait à l'époque le « major galopant ». Au Real Madrid, à son arrivée, on l'appelait le « major bedonnant ». Bien sur les journalistes à l'époque trouvaient que les dirigeants du Real avaient fait une très mauvaise affaire. Moi au contraire, (...) je le défendais, j'ai toujours dit que la classe, il l'avait, et effectivement pendant trois années consécutives, Puskas a été le meilleur buteur du Real Madrid. » Kopa parle également d'un homme attachant: « A Madrid sa maison c'était une réunion de passagers, il recevait beaucoup de monde chez lui, des gens en difficulté, des hongrois bien sur en particulier. Du coté coeur il était exceptionnel, pour moi c'est une grande perte pour le football mondial. »
foot365 -
Citation: Un jour de 1996, lors d'un match de Coupe des coupes diputé par Nîmes à Budapest contre le Kispest-Honvéd FC, le retraité Puskas avait été interviewé quelques minutes sur TF1. Il assistait au match, éternel amateur de football. Il y eut quelques blancs à l'antenne. Thierry Rolland, l'homme qui en a vu d'autres, pleurait, bouleversé par cette rencontre inattendue. Pour toute une génération, Puskas était une légende vivante. Il est maintenant une légende éternelle.
Je re-poste ce passage parce qu'il est joli.
Après Kocsis et Czibor, c'est le dernier des 3 grands joueurs de la mythique équipe de Hongrie des années 50 qui disparait.
Salut l'artiste :) (+) -
RIP Puskas.
Un des tous meilleurs joueurs de foot de tous les temps nous quitte, ça fait chier, vraiment :( -
Superbe hommage à Ferenc Puskas dans France-Football de ce jour sur 4 pleines pages.
Une légende est partie. -
Oui un très bel hommage dans le France-Foot de ce mardi.
On y apprend entre autre que le 9 décembre, jours de ses obsèques, sera une journée de deuil nationnal en Hongrie.
On y redécouvre également qu'en octobre 1956 Puskas était en tournée avec son club du Honvéd, alors que les chars soviétiques entraient dans Budapest pour écraser la révolution. Il décide de ne pas rentrer en Hongrie. En représaille le régime communiste obtiendra que la FIFA lui interdise de s'engager avec un club étranger.
Il reste ainsi 2 ans sans jouer. Santiago Barnebeu, le président du Real de l'époque, vient alors le chercher à Vienne et l'engage malgré les 12 kilos superflus. Quelques mois plus tard Puskas a retrouvé sa forme d'antant et pour son premier match sous le célèbre maillot blanc il inscrira... un triplet! Il a alors déjà 31 ans. Il jouera pour le Real jusqu'à 39 ans, finissant 4 fois meilleur buteur du championnat, gagnant 5 titres de champion d'Espagne et une coupe des Champions (en marquant 4 buts en finale!).
Il ne rentrera en Hongrie, son pays, qu'en 1981, 25 années après l'avoir quitté!
C'est donc un fabuleux footballeur qui disparait, mais aussi un symbole des bouleversements politiques de la 2ème moitié du 20ème siecle, et surtout un homme remarquable et admirable. -
Nous y sommes au jour de deuil national.
Un hommage sera rendu à la légende du football magyar, Ferenc Puskas, ce samedi au stadium de Budapest où des milliers de compatriotes seront attendus à l'occasion de ses funérailles. Une cérémonie en la mémoire du joueur sera organisée.
sport24 -
filipe a écrit :
Je re-poste ce passage parce qu'il est joli.
Après Kocsis et Czibor, c'est le dernier des 3 grands joueurs de la mythique équipe de Hongrie des années 50 qui disparait.
Salut l'artiste :) (+)
Il me semble d'ailleurs que le gardien de but Grosics est le dernier survivant de cette équipe incroyable... -
Il doit sans doute egalement s'agir du dernier survivant du "Miracle de Berne" parmi les joueurs présents sur le terrain, le dernier allemand a succombé il y a quelques temps.
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Alors qu'ils voulaient récupérer un ballon tombé dans le lac du centre sportif de Vinovo, deux jeunes footballeurs de la Juventus, Riccardo Neri et Alessio Ferramosca, se sont noyés vendredi. Une minute de silence sera observée ce week-end sur tous les stades italiens en la mémoire des deux joueurs âgés de 17 ans. La rencontre Juventus-Cesena, prévue vendredi, a été reportée en janvier.
sport24
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murphy a écrit : Il doit sans doute egalement s'agir du dernier survivant du "Miracle de Berne" parmi les joueurs présents sur le terrain, le dernier allemand a succombé il y a quelques temps.
Fritz Walter et Helmut Rahn sont effectivement décédés il y a 1-2 ans. Il me semble qu'il y a encore un survivant coté Allemand, mais je ne suis pas sur.
Ce qui est étrange, c'est que tous les Français membres de l'équipe 3e de la Coupe du monde 1958 (seulement 4 ans plus tard, beaucoup ont joué la Coupe 1954 d'ailleurs) sont tous à ma connaissance encore biens vivants. (Kopa, Fontaine, Piantoni, Vincent, Kaelbel, Remetter sûr en tous cas...)
Les deux jeunes de la Juve, c'est très très con... :( -
Triste nouvelle à Marseille ! Saby Zaraya, président du club de football de l'Olympique de Marseille de 1957 à 1963, est décédé à l'âge de 83 ans.
Avec pour entraîneurs Jean Robin, Joseph Zilizzi, Lucien Troupel, Otto Gloria et Armand Penverne, l'OM comptait alors dans ses rangs les internationaux français Jean-Jacques Marcel, Etienne Sansonetti et Roger Scotti et les Suédois Gunnar Andersson et Gunnar Johansson.
foot365 -
L'ancien gardien de but israélien Yaakov Khodorov est décédé à l'âge de 79 ans des suites d'une longue maladie. Il était considéré dans les années cinquante comme l'un des meilleurs gardiens du monde. Le Premier ministre israélien Ehud Olmert a salué la mémoire du footballeur disparu à l'ouverture, dimanche, de la réunion hebdomadaire de son gouvernement.
foot365 -
Aujourd'hui cela fait 3 ans que
tu nous as quittés Fab.
3 ans de trop.
Nous sommes toujours sous le choc.
Nous t'envoyons pleins de bisous
vers ton Paradis.
On TM -
Foot - Disparition : Décès de Manuel Bento
L'ancien gardien de but de la sélection portugaise et du Benfica Lisbonne, Manuel Galrinho Bento, s'est éteint jeudi à l'âge de 58 ans. Les causes de son décès n'ont pas été révélées.
Considéré comme l'un des meilleurs gardiens de l'histoire du football portugais, Manuel Bento, 63 sélections, était notamment titulaire lors de la Coupe du monde 1986 et l'Euro 84, où il s'était illustré en demi-finales contre les Bleus (match remporté 3 à 2 après prolongation par les Français). Avec le Benfica, il avait remporté huit Championnats, six Coupes du Portugal et était arrivé en finale de la Coupe de l'UEFA en 1983.
Source : lequipe.fr -
Un moustachu avec une bonne tête de Portugais. Je me souviens bien de lui, un très bon gardien. Il nous avait donné énormement de fil à retordre lors de la mythique demi finale de l'Euro 84 face à Platini et l'edf...
RIP comme on dit... -
Un footballeur moustachu qui disparaît, c'est toujours un coup dur pour la beauté du foot :(
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Le capitaine du légendaire « Barça aux cinq coupes » s'est éteint à l'âge de 85 ans. Maria Gonzalvo, appelé « Gonzalvo III » puisqu'il avait deux frères également blaugrana, a joué à Barcelone de 1942 à 1955. Avec 331 matchs sous le maillot du club catalan, il remporta entre autres cinq championnats, trois Coupes du Roi et deux Coupes latines. Lors de la saison 1951-1952, il remporta cinq titres avec son équipe. Samedi, les joueurs du Barça porteront un brassard noir en signe de deuil.
foot365 -
Kicker.de annonce ce jour le décès de Jupp Derwall, ancien sélectionneur de l'équipe d'Allemagne de l'Ouest, à l'âge de 80 ans.
Il fût en particulier l'entraîneur de la Mannschaft qui avait battu la France à Séville en 1982.
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