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- Après-match
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- Par athor
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... pourvu qu'on ait la qualification. C'est tout ce qu'il faudra retenir de ce match qui a vu le Racing arracher sa qualification aux tirs aux buts, face à Rouen.
Jean Marc Furlan l'avait annoncé avant la rencontre, il ne comptait pas faire tourner son effectif, comme il est pourtant de coutume lors des rencontres de coupe, qui plus est contre des formations de rang inférieur. Seuls l'habituel turn over des gardiens a eu lieu, avec la titularisation logique de Puydebois, laissant Cassard sur le banc. Le Racing se présente donc avec un visage classique au coup d'envoi de cette rencontre:
On s'y attendait, les joueurs en premiers, la venue d'un club de l'élite française dans un stade habitué aux joutes laborieuses de CFA est synonyme d'ambiance de fête. Et Robert Diochon n'a pas manqué l'occasion de se remplir. L'enceinte rouennaise était donc quasiment comble au moment d'accueillir les 22 acteurs.
Transcendés par le contexte, les joueurs du FC Rouen montrent d'entrée beaucoup d'enthousiasme et se ruent sur le ballon. Le Racing se contente de gérer, mais va vite prendre le dessus après une dizaine de minutes. Fanchone allume la mèche en premier, avec une reprise qui fuit le cadre de Verger. Ce même Fanchone, assez remuant en première période, aura une nouvelle occasion d'ouvrir la marque sur ce lob qui passe au dessus. La domination est belle et bien strasbourgeoise, mais les attaquants alsaciens pêchent dans la finition. En face, les normands se montrent dangereux par leur duo offensif Eveno - Da Costa, tous deux très bons. Juste avant le repos, c'est Mendy pour les locaux qui inquiète Puydebois. A la mi temps, le résultat vierge est somme toute assez logique.
A la reprise, le jeu s'équilibre, et les occasions se font plus rares. Coté strasbourgeois, on n'arrive plus à trouver Alvaro Santos, esseulé en pointe. Il faut donc attendre la 70ème minute pour voir l'un des gestes de cette soirée et le retourné acrobatique de Renaud Cohade que Verger parvient à sortir au prix d'un belle envolée. Poussé par son public, les Diables Rouges vont tout tenter et Louiron va même tenter d'imiter le numéro 8 strasbourgeois, mais sa reprise est dégagée en corner. On se dirige vers les prolongations quand, à quelques minutes du coup de sifflet, Da Costa s'en va conclure un beau mouvement rouennais en trompant Puydebois. On crois vivre une nouvelle désillusion coté alsacien mais le but est refusé pour un hors jeu plutôt logique au vu des images. Plus rien ne se passera et la fin du temps réglementaire est sifflée par l'arbitre. Il faudra donc passer par les prolongations.
Malgré les 90 minutes précédentes, les Rouennais trouvent encore l'énergie pour mettre à mal des Strasbourgeois qui semblent de plus en plus émoussés. Résultat, les locaux poussent et il faudra la main ferme de Puydebois pour détourner la tête de Da Costa en corner. Le Racing vient encore d'échapper au pire, lui qui multiplie les approximations et les pertes de balles. Pour voir la seule véritable occasion alsacienne, il faudra attendre la fin de la seconde période de prolongation et cette tête du jeune Mustapha Durak, détournée magnifiquement par Verger.
Malgré une nette domination normande au cours de cette période, la décision se fera donc aux tirs aux buts. Coté Racing, les tireurs désignés sont: Cohade, Alvaro Santos, Rodrigo, Gasmi et Johansen.
Les trois premiers tireurs de chaque camp ne tremblent pas et portent le compte à 3-3. Dans la 4ème série, Louiron coté rouennais voit sa frappe repoussée par Puydebois. Romain Gasmi ne se fait pas prier pour offrir l'avantage à Strasbourg. Béhary, le dernier tireur normand ayant réussi sa tentative, le tir au but de Pascal Johansen est décisif. Et le Colmarien ne va se faire prier pour offrir la qualification aux siens.
Le Racing l'emporte donc aux tirs aux buts sur le score de 5 à 4. Un succès poussif, surtout au regard de la performance des Rouennais qui méritaient même mieux. Les Strasbourgeois de leur coté n'étaient pas suffisamment inspirés pour tenter d'aller chercher une victoire plus aisée. Mais l'essentiel était de se qualifier pour les 16ème de finale de la coupe de France : c'est chose faite mais c'est vraiment la seule chose que l'on retiendra ...
On s'y attendait, les joueurs en premiers, la venue d'un club de l'élite française dans un stade habitué aux joutes laborieuses de CFA est synonyme d'ambiance de fête. Et Robert Diochon n'a pas manqué l'occasion de se remplir. L'enceinte rouennaise était donc quasiment comble au moment d'accueillir les 22 acteurs.
Transcendés par le contexte, les joueurs du FC Rouen montrent d'entrée beaucoup d'enthousiasme et se ruent sur le ballon. Le Racing se contente de gérer, mais va vite prendre le dessus après une dizaine de minutes. Fanchone allume la mèche en premier, avec une reprise qui fuit le cadre de Verger. Ce même Fanchone, assez remuant en première période, aura une nouvelle occasion d'ouvrir la marque sur ce lob qui passe au dessus. La domination est belle et bien strasbourgeoise, mais les attaquants alsaciens pêchent dans la finition. En face, les normands se montrent dangereux par leur duo offensif Eveno - Da Costa, tous deux très bons. Juste avant le repos, c'est Mendy pour les locaux qui inquiète Puydebois. A la mi temps, le résultat vierge est somme toute assez logique.
A la reprise, le jeu s'équilibre, et les occasions se font plus rares. Coté strasbourgeois, on n'arrive plus à trouver Alvaro Santos, esseulé en pointe. Il faut donc attendre la 70ème minute pour voir l'un des gestes de cette soirée et le retourné acrobatique de Renaud Cohade que Verger parvient à sortir au prix d'un belle envolée. Poussé par son public, les Diables Rouges vont tout tenter et Louiron va même tenter d'imiter le numéro 8 strasbourgeois, mais sa reprise est dégagée en corner. On se dirige vers les prolongations quand, à quelques minutes du coup de sifflet, Da Costa s'en va conclure un beau mouvement rouennais en trompant Puydebois. On crois vivre une nouvelle désillusion coté alsacien mais le but est refusé pour un hors jeu plutôt logique au vu des images. Plus rien ne se passera et la fin du temps réglementaire est sifflée par l'arbitre. Il faudra donc passer par les prolongations.
Malgré les 90 minutes précédentes, les Rouennais trouvent encore l'énergie pour mettre à mal des Strasbourgeois qui semblent de plus en plus émoussés. Résultat, les locaux poussent et il faudra la main ferme de Puydebois pour détourner la tête de Da Costa en corner. Le Racing vient encore d'échapper au pire, lui qui multiplie les approximations et les pertes de balles. Pour voir la seule véritable occasion alsacienne, il faudra attendre la fin de la seconde période de prolongation et cette tête du jeune Mustapha Durak, détournée magnifiquement par Verger.
Malgré une nette domination normande au cours de cette période, la décision se fera donc aux tirs aux buts. Coté Racing, les tireurs désignés sont: Cohade, Alvaro Santos, Rodrigo, Gasmi et Johansen.
Les trois premiers tireurs de chaque camp ne tremblent pas et portent le compte à 3-3. Dans la 4ème série, Louiron coté rouennais voit sa frappe repoussée par Puydebois. Romain Gasmi ne se fait pas prier pour offrir l'avantage à Strasbourg. Béhary, le dernier tireur normand ayant réussi sa tentative, le tir au but de Pascal Johansen est décisif. Et le Colmarien ne va se faire prier pour offrir la qualification aux siens.
Le Racing l'emporte donc aux tirs aux buts sur le score de 5 à 4. Un succès poussif, surtout au regard de la performance des Rouennais qui méritaient même mieux. Les Strasbourgeois de leur coté n'étaient pas suffisamment inspirés pour tenter d'aller chercher une victoire plus aisée. Mais l'essentiel était de se qualifier pour les 16ème de finale de la coupe de France : c'est chose faite mais c'est vraiment la seule chose que l'on retiendra ...
