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- Côté tribunes
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- Par edmond
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Un après-midi bien arrosé, un stade champêtre, 200 spectateurs et une buvette. Voici les ingrédients d'un match amical fort sympathique.
Article rédigé par airka, edmond, etienne et matt-ub90
Arrivés au stade peu avant le coup d'envoi, le temps d'acheter nos billets et de retrouver les quelques stubistes sur place, il est déjà l'heure de faire un tour à la buvette.
A peine avons-nous trouvé nos places à l'ombre, nous constatons à notre grand désespoir que nos gobelets sont déjà vides.
Lorsque Fournier lance à ses joueurs "Soyez méchants !", nous comprenons le message, nous nous exécutons aussitôt et rejoignons la buvette au pas de course.
Le petit vieux derrière le comptoir, fourbe, tente alors de nous escroquer en nous servant quatre panachés. Nous ne sommes pas dupes et remarquons l'entourloupe. On n'a pas fait deux fois le tour du stade pour des panachés ! Nous réclamons des bières.
Changement de fût, c'est la mi-temps à la buvette. C'est pour nous l'occasion de jeter furtivement un coup d'oeil par la fenêtre et de constater qu'un match de foot se joue à quelques mètres de là. C'est à ce moment précis que Gurtner choisit de se trouer lamentablement sur un coup franc.
Nos bières enfin servies, nous regagnons nos places. Sur le chemin, un Allemand nous demande si c'est bien notre équipe 1 qui joue. A notre grand regret, nous répondons que oui.
C'est la mi-temps sur le terrain, nous changeons de buvette. On gagne au change, la bière y est plus fraîche. Le seconde mi-temps sportive est insignifiante pour nous, nous continuons donc notre marathon.
La fin du match est sifflée, nous profitons d'une porte ouverte dans la main courante pour monter sur le terrain afin de congratuler nos joueurs après leur fantastique match. Malgré nos félicitations, ils ne daigneront pas nous donner leurs maillots. Scheiss egal ! On les suit dans les couloirs du stade. Le barrage de la sécurité esquivé d'un "Hallo !" et nous voilà devant Fournier, occupé à répondre à des journalistes, à quelques mètres de la porte des vestiaires. Nous passons et tentons d'y entrer. Fournier, d'une voix autoritaire, nous demande alors ce que nous faisons. "On va parler à Sikimic". Il nous demande donc de rester devant la porte et d'attendre. Nous obéissons et en profitons pour faire la traduction allemand-français au journaliste qui connaissait quelques difficultés avec la langue de Molière.
Sikimic sort des vestiaires, nous parlons quelques minutes avec lui et tentons de le raisonner afin qu'il reste avec nous cette saison. Moment fort sympathique.
Sur ce, nous convoquons les journalistes pour une conférence de presse afin d'annoncer notre départ.
En marche vers nos voitures, nous faisons un dernier détour par le parking où se trouve le bus des joueurs, David Klein nous prend en photo avec Sikimic et Fournier.
(un cinquième stubiste - célèbre - s'est invité sur la photo)
Entrée au stade 7€, l'essence 5€, le sandwich fromage cornichons 1.5€, de la bière dans les stades ça n'a pas de prix.
Arrivés au stade peu avant le coup d'envoi, le temps d'acheter nos billets et de retrouver les quelques stubistes sur place, il est déjà l'heure de faire un tour à la buvette.
A peine avons-nous trouvé nos places à l'ombre, nous constatons à notre grand désespoir que nos gobelets sont déjà vides.
Lorsque Fournier lance à ses joueurs "Soyez méchants !", nous comprenons le message, nous nous exécutons aussitôt et rejoignons la buvette au pas de course.
Le petit vieux derrière le comptoir, fourbe, tente alors de nous escroquer en nous servant quatre panachés. Nous ne sommes pas dupes et remarquons l'entourloupe. On n'a pas fait deux fois le tour du stade pour des panachés ! Nous réclamons des bières.
Changement de fût, c'est la mi-temps à la buvette. C'est pour nous l'occasion de jeter furtivement un coup d'oeil par la fenêtre et de constater qu'un match de foot se joue à quelques mètres de là. C'est à ce moment précis que Gurtner choisit de se trouer lamentablement sur un coup franc.
Nos bières enfin servies, nous regagnons nos places. Sur le chemin, un Allemand nous demande si c'est bien notre équipe 1 qui joue. A notre grand regret, nous répondons que oui.
C'est la mi-temps sur le terrain, nous changeons de buvette. On gagne au change, la bière y est plus fraîche. Le seconde mi-temps sportive est insignifiante pour nous, nous continuons donc notre marathon.
La fin du match est sifflée, nous profitons d'une porte ouverte dans la main courante pour monter sur le terrain afin de congratuler nos joueurs après leur fantastique match. Malgré nos félicitations, ils ne daigneront pas nous donner leurs maillots. Scheiss egal ! On les suit dans les couloirs du stade. Le barrage de la sécurité esquivé d'un "Hallo !" et nous voilà devant Fournier, occupé à répondre à des journalistes, à quelques mètres de la porte des vestiaires. Nous passons et tentons d'y entrer. Fournier, d'une voix autoritaire, nous demande alors ce que nous faisons. "On va parler à Sikimic". Il nous demande donc de rester devant la porte et d'attendre. Nous obéissons et en profitons pour faire la traduction allemand-français au journaliste qui connaissait quelques difficultés avec la langue de Molière.
Sikimic sort des vestiaires, nous parlons quelques minutes avec lui et tentons de le raisonner afin qu'il reste avec nous cette saison. Moment fort sympathique.
Sur ce, nous convoquons les journalistes pour une conférence de presse afin d'annoncer notre départ.
En marche vers nos voitures, nous faisons un dernier détour par le parking où se trouve le bus des joueurs, David Klein nous prend en photo avec Sikimic et Fournier.
(un cinquième stubiste - célèbre - s'est invité sur la photo)
Entrée au stade 7€, l'essence 5€, le sandwich fromage cornichons 1.5€, de la bière dans les stades ça n'a pas de prix.
