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- Après-match
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Au terme d'un match d'une pauvreté affligeante, le Racing n'a pu que prendre un point contre la modeste équipe de Plabennec. Les rares spectateurs n'auront plus de remords à manger des chips sur le canapé en face de la Ligue des Champions.
Ali-Azouz Mathlouthi, Loïc Damour, Francisco Donzelot suspendus ou blessés, c'était le match rêvé pour voir s'affirmer les dernières recrues (Marcio, Jocelyn Ahouéya) et les joueurs prometteurs (Billy Ketkeophomphone et les jeunes du centre de formation). Mais les quelques centaines de spectateurs à la Meinau du mardi soir n'auront rien appris de plus sur l'effectif très limité du Racing-Club de Strasbourg, tant le spectacle était indigent.
D'un point de vue tactique, les Strasbourgeois se présentent en 4-4-2 avec le duo Ledy-Hadji en attaque, Ketkeo et Tristan M'Bongo sur les côtés, Alexi Peuget et Ahouéya au milieu. La première mi-temps est rythmée par le kop strasbourgeois toujours vif et alerte qui s'époumonait sans sourciller. Sur le terrain, aucune action notable à mettre au crédit des strasbourgeois. Deux centres réussis de Ledy donnent quelques frissons à la défense bretonne, mais le gardien réussit à capter la balle.
En deuxième période, David Ledy donne le ton par une belle frappe à 20 mètres dès la reprise. Le même Ledy, libre de tout marquage, rate ensuite l'immanquable à la réception d'un centre de la gauche. A l'inverse, les joueurs de Plabennec n'hésitent pas à déborder et on voit plusieurs fois s'exercer une pression non négligeable sur la défense strasbourgeoise, recroquevillée autour de Régis Gurtner. Au comble de la domination bretonne, un centre en profondeur passe derrière Milovan Sikimic et Marcio qui restent spectateurs quand Mamadou Sakho reprend l'offrande au second poteau... pour tirer à quelques centimètres du poteau (87').
Au final, on retiendra surtout la frilosité du jeu strasbourgeois, trop stéréotypé - les ballons sont jetés vers Ledy ou Hadji - et trop peu volontaire. Nombre de passes partent latéralement ou en arrière pour la charnière centrale, ou même Gurtner... à en faire enrager Laurent Fournier sur le banc.
Les remplaçants habituels n'auront rien apporté à l'équipe ce mardi soir. Billy Ketkeophomphone était moins tranchant que d'habitude quand il entre en jeu en cours de match. Il était même privé de coups francs au profit de Julien Outrebon ou David Ledy. Nouha Dicko n'a pas pesé sur la défense, après avoir remplacé un Hadji assez peu porté vers l'attaque. Victor Correia n'aura pas non plus montré que Laurent Fournier devrait compter sur lui.
Le seul sourire de la soirée est venu du smiley sponsor du maillot de Plabennec. Cela reste bien maigre.
D'un point de vue tactique, les Strasbourgeois se présentent en 4-4-2 avec le duo Ledy-Hadji en attaque, Ketkeo et Tristan M'Bongo sur les côtés, Alexi Peuget et Ahouéya au milieu. La première mi-temps est rythmée par le kop strasbourgeois toujours vif et alerte qui s'époumonait sans sourciller. Sur le terrain, aucune action notable à mettre au crédit des strasbourgeois. Deux centres réussis de Ledy donnent quelques frissons à la défense bretonne, mais le gardien réussit à capter la balle.
En deuxième période, David Ledy donne le ton par une belle frappe à 20 mètres dès la reprise. Le même Ledy, libre de tout marquage, rate ensuite l'immanquable à la réception d'un centre de la gauche. A l'inverse, les joueurs de Plabennec n'hésitent pas à déborder et on voit plusieurs fois s'exercer une pression non négligeable sur la défense strasbourgeoise, recroquevillée autour de Régis Gurtner. Au comble de la domination bretonne, un centre en profondeur passe derrière Milovan Sikimic et Marcio qui restent spectateurs quand Mamadou Sakho reprend l'offrande au second poteau... pour tirer à quelques centimètres du poteau (87').
Au final, on retiendra surtout la frilosité du jeu strasbourgeois, trop stéréotypé - les ballons sont jetés vers Ledy ou Hadji - et trop peu volontaire. Nombre de passes partent latéralement ou en arrière pour la charnière centrale, ou même Gurtner... à en faire enrager Laurent Fournier sur le banc.
Les remplaçants habituels n'auront rien apporté à l'équipe ce mardi soir. Billy Ketkeophomphone était moins tranchant que d'habitude quand il entre en jeu en cours de match. Il était même privé de coups francs au profit de Julien Outrebon ou David Ledy. Nouha Dicko n'a pas pesé sur la défense, après avoir remplacé un Hadji assez peu porté vers l'attaque. Victor Correia n'aura pas non plus montré que Laurent Fournier devrait compter sur lui.
Le seul sourire de la soirée est venu du smiley sponsor du maillot de Plabennec. Cela reste bien maigre.
