"Lycée.
1/ Ecole antique où l'on s'entretenait de philosophie.
2/ Ecole moderne où l'on discute de football"
"Tous les mecs se déchainent
Devant la télé
Saint-Etienne, Bourg-la-Reine
Tous des enculés !
Dans les gradins c'est l'enfer !
Ecoutez les supporters :
Football, football, football
Allez, allez, allez !
Courrez ! courrez ! courrez !
Allez, allez, allez !
Tapez ! Dans le ballon !
Tapez ! Sur le voisin !
Football football football..."
Et une partie de jambes en l'air pour finir sur un ton plus léger...
Il y a donc toujours un mais...
« Les obstacles ne sont que ce qu'il faut surmonter », paraît-il...
Non aux matchs ? Oui aux matchs ! Et au reste...
"aujourd'hui je sens la bonne humeur
courir dans mon sang toucher mon coeur
je serai ta balle mon joueur de football
quand il f'ra beau temps c'est décidé
sur un stade j'apprendrai à dribler
je serai ton goal mon joueur de football
shot shoot shoot shoot dans l'ballon d'foot
mets leur un péno à ces idiots
vas-y marque des buts
un toutes les minutes
elle avait raison la boulangère
quand on aime un champion il faut lui plaire
je serai ta balle mon joueur de football
j'ai vu des garçons mais rassure toi
je n'ai pas de pulsions pour ces gars là
de toi je suis folle mon joueur de football
shot shoot shoot shoot dans l'ballon d'foot
mets leur un péno à ces idiots
vas-y marque des buts
un toutes les minutes
mon p'tit nom à moi c'est Mauricette
ton p'tit nom à toi c'est Roberto
on ira au bal mon joueur de football
quand tous les ballons seront épuisés
je me pos'rai là juste à tes pieds
je serai ta balle mon joueur de football
pour que tu me frôles mon joueur de football
shot shoot shoot shoot dans l'ballon d'foot
mets leur un péno à ces idiots
vas-y marque des buts
un toutes les minutes" (source)
Ah ça fait du bien de retrouver les copains (fussent-ils norinois !!), l'apéro, l'excitation d'avant match et les premiers frissons à l'entrée des joueurs...
Cette fois ça y est, c'est vraiment reparti...
A quelques heures et quelques coups de tête près...
Faute de gloire, reste l'histoire...
"1930 :
Alors qu'elle ouvre les hostilités face au Mexique, la France inscrit par l'intermédiaire de Lucien Laurent le premier but de l'histoire de la Coupe du monde de Football. Nous sommes alors à la 19ème minute et trois autres buts suivront. Finissant sur un score de 4 à 1, la France, qui est un des seuls pays européens à ne pas avoir dédaigné cette coupe, peut croire en ses chances. Mais ce sera en fait sa seule victoire du tournoi. Finalement le seul français qui inscrit son nom dans l'histoire pour longtemps est Jules Rimet, instigateur de cet événement devenu un des plus populaire au monde.
[....]
Lors de la finale de la première Coupe du monde de football à Montevideo, l'Uruguay bat l'Argentine par 4 buts à 2. La France terminera à la troisième place. L'équipe de l'Uruguay, qui joue à domicile, remporte tous ses matchs. L'Italie en 1938 puis le Brésil en 1970 et 2002 remporteront aussi la Coupe du monde sans perdre un seul match" (source)
Ironie du sort, c'est toujours quand on (re)commence à vous promettre quelque chose qu'on vous l'enlève aussitôt...
Fin du rêve, on se réveille... Pas de quoi s'envoyer en l'air ou découcher, finalement...
Tant pis, gardons la tête haute, merci pour les bons moments et la leçon, et retour au train-train du quotidien...
Robert a dit :
"Finale : dernière épreuve qui, après les éliminatoires et parfois le repêchage, désigne le vainqueur".
Game over, donc...
"Depuis que je suis loin de toi
Je suis comme loin de moi
Et je pense à toi tout bas
Tu es à six heures de moi
Je suis à des années de toi
C'est ça être là-bas.
La différence
C'est ce silence
Parfois au fond de moi.
Tu vis toujours au bord de l'eau
Quelquefois dans les journaux
Je te vois sur des photos.
Et moi loin de toi
Je vis dans une boite à musique
Electrique et fantastique
Je vis en "chimérique".
La différence,
C'est ce silence
Parfois au fond de moi.
Tu n'es pas toujours la plus belle
Et je te reste infidèle
Mais qui peut dire l'avenir
De nos souvenirs
Oui, j'ai le mal de toi parfois
Même si je ne le dis pas
L'amour c'est fait de ça.
Il était une fois
Toi et moi
N'oublie jamais ça
Toi et moi !
Depuis que je suis loin de toi
Je suis comme loin de moi
Et je pense à toi là-bas.
Oui j'ai le mal de toi parfois
Même si je ne le dis pas
Je pense à toi tout bas..." (source)
"I'm forever blowing bubbles, pretty bubbles in the air
They fly so high, nearly reach the sky
Then like my dreams they fade and die
Fortune's always hiding, I've looked everywhere
I'm forever blowing bubbles, pretty bubbles in the air
United! (clap hands) United! (clap hands)"
C'est l'histoire d'un Hobbit, dont on dirait toujours qu'il a abusé de la salsepareille, qui est d'ailleurs accusé de schtroumpfer de la poudre blanche. A voir sa gueule, faut pas s'étonner ! Bref, il est donc chassé de ses terres universitaires gringo-prestigieuses (histoire qu'on saisisse bien que le Hobbit est certes petit en taille, mais grand en esprit et en principes) et change rapidement de continent avec son baluchon (les moyens de transport ayant évolué, le trajet et ses dangers ne constituent plus l'intérêt du film, que ce soit clair).
Là, le petit homme débarque dans la capitale britannique et, incroyable, il tombe par hasard sur sa frangine. Ah mais dites donc, ça, ça tombe bien, justement il vient d'arriver et ne connaît personne, donc le hasard fait bien les choses. Et en plus c'est Claire Forlani. Bon après s'ensuit une sombre histoire de foot, de bière et de baston, où certains se tapent dessus, mais préservons le suspens (même si on peut deviner le dénouement...) car malgré un début plutôt caricatural, le film est plutôt plaisant et se regarde bien. Evidemment, il n'évite pas deux-trois énormités et les « puristes » y trouveront toujours quelque chose à redire, mais force est de constater qu'on aurait pu s'attendre à bien pire...
A voir en VO...
"Entassés dans les tribunes
Nous attendons le coup d'envoi
Comme nos frères d'infortune
Nous sommes prêts au combat
C'est le chant des supporters
Nos chants résonnent dans le stade
Partout la bataille fait rage
On se bat dans les balustrades
Nos bannières flottent sur les grillages
C'est le chant des supporters
Ce soir nous serons vainqueurs
Malgré toutes nos souffrances
Les meilleurs dans la violence
Dans le sang et la démence
Melun, 40 000 habitants, ville connue pour... heu...
« C'est en l'an 52 avant J.C que la cité qui prendra au VIème siècle le nom de Melun, a connu son premier développement. Depuis quatre siècles, la devise de Melun est inchangée "Fidèle à ses murs jusqu'à manger des rats" mais depuis, on préfère le Brie ! Et c'est à la Révolution, que la "Lutèce briarde" devient une préfecture » (Ville de Melun)
Son fromage, donc, le Brie... Bon allez, les bords de Seine et les châteaux non loin, également...
Et aussi, en l'occurrence, accessoirement, sa demi-finale de Coupe Gambardella, à laquelle on s'est mis en tête d'assister...
Nous sommes donc quelques uns... La campagne française défile à travers le pare-brise...
Ils courent vers nous... Misère, va-t-on encore se faire insulter ? Non, non, ils sont hilares et respirent une joie sincère et spontanée. Ils traversent le terrain pour venir saluer cette douzaine de supporters inconnus venus les soutenir aussi loin. Mais ils ne se contentent pas d'un geste lointain et craintif. Non, non, ils s'approchent jusqu'au grillage, viennent taper dans les mains et remercier les présents pour le déplacement... On a beau regarder leur maillot, il s'agit bien de celui du Racing. Incroyable, il y a donc encore des joueurs strasbourgeois qui prennent du plaisir... et qui en donnent... Et même pas à contrecoeur !
"Je suis pendu à votre cou dans les plus beaux de mes rêves mais je ne me réveille jamais près de vous et j'en crève" (Cali)
"Hold on to me love
you know I can't stay long
all I wanted to say was I love you and I'm not afraid, Oh!
can you hear me?
can you feel me in your arms?
Holding my last breath
safe inside myself
are all my thoughts of you
sweet raptured light it ends here tonight
I'll miss the winter
a world of fragile things
look for me in the white forest
hiding in a hollow tree(come find me)
I know you hear me
I can taste it in your tears
Holding my last breath
safe inside myself
are all my thoughts of you
sweet raptured light it ends here tonight
Closing your eyes to disappear
you pray your dreams will leave you here
but still you wake and know the truth
no one's there
Say goodnight
don't be afraid
calling me calling me as you fade to black
(Say goodnight...)
Holding my last breath
(don't be afraid...)
safe inside myself
(calling me calling me as you fade to black)
are all my thoughts of you
(sweet raptured light) it ends here tonight
Holding my last breath...
safe inside myself...
are all my thoughts of you...
sweet raptured light it ends here tonight...
"Il avait les oeilz plus grands que le ventre et la teste plus grosse que tout le reste du corps, avecques amples, larges et horrificques machouëres bien édentelées, tant au dessus comme au dessouls... " Tel est, selon François Rabelais, le portrait du Graouilly, le dragon de Metz, qui hanta longtemps les ruines de l'amphithéâtre romain, avant que Saint Clément, venu christianiser la cité, ne lui ordonne de quitter les lieux à l'instant ! Clément lia le Graouilly avec son étole, et le conduisit bien sagement sur les rives de la Seille toute proche. Le dragon et tous les serpents de sa suite plongèrent dans la rivière, pour disparaître à tout jamais... (source)
"Tous les mecs se déchainent
Devant la Télé
St Etienne, Bourg La Reine
Tous des enculés !
Dans les gradins c'est l'enfer !
Ecoutez les supporters :
Football, football, football
Allez allez allez !
Courrez ! Courrez ! Courrez !
Allez, allez, allez !
Tapez ! dans le ballon
Tapez ! sur le voisin
Football football football
Football football football
Larchuma football club
Football football football
Football! larchuma football club
Santa Maradona priez pour moi (2x)
Le loto, le Calcio, Détrousseurs du Populo !
La coupe du Monde est terminée
Maradona n'était plus là
Pour protéger les Italiens !
Larchuma football club
Santa Maradona priez pour moi
L'aillier gauche va centrer
La Défense est débordée
L'avant centre est apparu
Le guardien est battu !!
Penalty ! non ! si !
Match nul !
Match pourri !
Santa Maradona priez pour Moi !
Football football football
Football football football
Larchuma football club !
Santa Maradona priez pour Moi !
Football football football
Football! larchuma football club !
Berlusconi, Bez et Tapie ont bien compris
Paolo Rossi ! L'heure est aux choux gras...
...et aux bourreaux des Tibias
"I see trees of green........ red roses too
I see 'em bloom..... for me and for you
And I think to myself.... what a wonderful world.
I see skies of blue..... clouds of white
Bright blessed days....dark sacred nights
And I think to myself .....what a wonderful world.
The colors of a rainbow.....so pretty ..in the sky
Are also on the faces.....of people ..going by
I see friends shaking hands.....sayin'.. how do you do
They're really sayin'......i love you.
I hear babies cry...... I watch them grow
They'll learn much more.....than I'll never know
And I think to myself .....what a wonderful world
(instrumental break)
The colors of a rainbow.....so pretty ..in the sky
Are there on the faces.....of people ..going by
I see friends shaking hands.....sayin'.. how do you do
They're really sayin'...*spoken*(I ....love....you).
I hear babies cry...... I watch them grow
*spoken*(you know their gonna learn
A whole lot more than I'll never know)
And I think to myself .....what a wonderful world
Yes I think to myself .......what a wonderful world" (source)
Ce soir, l'important, c'est le rose... Prochaine étape, en espérant ne pas encore se taper seulement les épines...
"Des yeux qui font baisser les miens
Un rire qui se perd sur sa bouche
Voilà le portrait sans retouche
De l'homme auquel j'appartiens
{Refrain:}
Quand il me prend dans ses bras,
Il me parle tout bas
Je vois la vie en rose,
Il me dit des mots d'amour
Des mots de tous les jours,
Et ça me fait quelque chose
Il est entré dans mon coeur,
Une part de bonheur
Dont je connais la cause,
C'est lui pour moi,
Moi pour lui dans la vie
Il me l'a dit, l'a juré
Pour la vie.
Et dès que je l'aperçois
Alors je sens en moi
Mon coeur qui bat.
Des nuits d'amour à plus finir
Un grand bonheur qui prend sa place
Des ennuis, des chagrins s'effacent
Heureux, heureux à en mourir